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[RP] Le Tit'Moulin à aube de KIO et Tine...Rasmo...Aël......

Valentine.


Tine trouvait toujours le temps long sans lui, elle se demandait vraiment comment elle faisait avant, son esprit était plein de lui.

Une inquiétude la tenaillait, pourquoi s'était-il vexé au cours de mairie, avait-elle était sèche ? Espérant le retrouver le soir pour lui faire oublier sa maladroitesse.

Elle rentra au domaine avec Aël, la nurse ne pouvait pas le garder ce soir malgré la demande insistante de Tine. Une recherche de nurse allait être de mise, celle là n'était vraiment pas sérieuse. Elle avait tant envie d'être un peu seul avec lui, toute seule pour un soir, ne sachant pas encore sa décision sur la date de son retour vers Belley.

C'était décidé, elle passerait une annonce à la mairie pour trouver une bonne nounou.

Comme à chaque fois qu'elle rentrait le soir, elle alluma l'âtre et prépara un repas, succinct, le temps manquait mais les poules avaient bien pondue, elle allait lui faire une omelette et une tarte aux pommes, elle espérai que cela lui irait et l'omelette pouvait se faire dernière minute si il rentrait tard il mangerait chaud au moins.
Kekione
Fourbu de fatigue, KEKIONE s'était endormi au pied d'un arbre.
Le froid de la nuit le réveilla... il chercha un moment son chemin dans le noir.
Il finit par retrouvé Bourg.
Il alla droit au moulin de Valentine.
Il regarda par le carreau et vit que le jeune femme était là.
il frappa 2 coups à la porte et l'ouvrit sans attendre qu'elle vienne lui ouvrir.

Bonsoir mon amour.

Il alla l'embrasser... et se blottit tout contre elle.

J'ai froid.
Je me suis endormi sur l'herbe.


Il s'approche du feu et tente de se réchauffer.
Valentine.


Elle entendit les coups sur la porte, et celle ci s'ouvrit, penchée à raviver la braise, elle tourna la tête le regardant par dessous sous son bras et lui fit un large sourire.

Lorsqu'elle vit qu'il était gelé, elle se précipita sur lui et commença à le frotter énergiquement, autant qu'elle le pouvait avec ses petits bras, c'est qu'il était musclé l'homme, à couper du bois tous les jours.


Mon cœur, mais tu es fou tu aurai pu y laisser la vie, l'humidité de l'automne ne prévient pas, regarde moi ça, tu tremble.


Elle ne pensa même pas à l'embrasser tellement elle était inquiète, à son age allait savoir, la mort à vite fait de vous surprendre. Elle grimpa les escaliers quatre à quatre, arrivant dans la chambre, tira d'un coup sec sur la pelure qui servait de couverture, redescendit aussi vite les escaliers, arriva dans la cuisine, l'enveloppa autour de son corps, tira une chaise près du feu, l'accompagna jusqu'à l'antre.

Debout devant lui, il la regardait hébété par cette tempête, elle réalisa qu'elle avait été un peu trop, trop... mère, se pencha sur sa bouche et lui fit un baiser des plus sensuelle.
Kekione
KEKIONE sourit.

Ca, ça réchauffe ¨

Il regarde les yeux vert de sa beauté.

Merci mon cœur.
Valentine.


Mon cœur, je te fais une petite omelette, ça te va, bouge pas et après je vais te donner quelque chose d'efficace pour te réchauffer.

Tine s'affaire à battre les œufs, il la regardait faire, son œil toujours coquin sur ses formes, elle allait, venait, excitée à l'idée de lui offrir ce qu'elle avait fait préparer à la Brasserie- Distillerie " Au Nunc est Bibendum " - Bourg Savoie, Edelle avait mit tout son cœur à lui préparer l'étiquette de ses souhaits.

Ils mangeaient la dite omelette, les yeux dans les yeux, échangeant des pensées par le regard, il était beau son gribouille.

Après avoir finit sur un morceau de tarte aux pommes, Tine se leva et s'assieya à califourchon sur lui l'entourant de ses bras, nez contre nez.


Je t'aime mon amour, je t'aime plus+ que jamais je ne pourrai te le prouver. Je sais je te l'ai déjà dit.

Elle rit et l'embrasse langoureusement. Se lève d'un bond, sort de la pièce et revient les bras chargés.


Tiens mon amour pour fêter cette soirée et toutes les autres à venir

Elle lui tendit la bouteille en souriant.




Elle avait gardé une étiquette de la cuvée pour l'admirer encore et encore tellement Edelle avait fait un superbe travail.

Kekione
KEKIONE prit le cadeau sans émotion.
Il ouvrit et sourit.
il restait là, sans rien dire, à regarder le flacon.

Merci.

Valentine faisant des gros yeux et une moue de dépit, le vieil homme se sentit de lui donner quelques explications.

Excuse-moi !
Mais... ça fait tellement longtemps qu'on ne m'a fait un cadeau.
Je ne sais pas quoi dire... ni quoi faire.


Il se leva pour aller embrasse sa belle.
Il avait les yeux humides.

Je ne me rappelais plus que ça faisait autant plaisir.
Encore merci !


Il tenait sa taille d'une main et le flacon de l'autre, son regard passant des yeux verts de sa maitresse à l'étiquette de l'Armagnac.
Il finit par sourire.

Il est plus vieux que toi...
on devrait le goûter pour savoir s'il est aussi savoureux que toi... ce qui m'étonnerai grandement.
Prends 2 gobelets, s'il te plaît !


Alors qu'elle lui amenait de quoi boire, il ouvrit le flacon.

La femme du dessin te ressemble bien... par contre, je suis bien trop jeune.. s'il s'agit de nous, bien entendu.. ce que je suppose.
Tu ne m'aurais pas offert un dessin de toi avec un autre amant que moi, hein ?


Il rit et servit le liquide brun orangé.

A ta santé !
A notre amour !
A toi et à toutes les bonnes choses que tu me donnes !

Je t'aime Valentine.
Valentine.


Tine souriait tendrement trinquant avec son homme.

Mon amour, c'est toi avec mon regard sur le dessin, c'est tout, je t'aime.

Elle se blottie dans ses bras trempant ses lèvres dans son armagnac.
Valentine.


Après une soirée et nuit d'amour comme jamais, le petit jour se levait, Tine ouvrit un œil en même temps qu'Aël, se leva précipitamment pour ne pas réveiller son homme.

Son bébé sous le bras comme un ballot de linge sale, les yeux à demi fermés, bordés de reconnaissance, elle descendit pieds nus vers la cuisine. La braise était encore rouge, elle y jeta une buche pour essayer de faire repartir le feu et s'installa sur la chaise restait là de la veille. Découvrant son sein, serra son enfant contre elle et le petit goulument attrapa son mamelon pour ne plus le lâcher.

Tine berçait son enfant pendant qu'il tétait et ses pensées commençait à organiser sa journée. C'était le jour des comptes à la mairie, il faudrait y aller de bonne heure ; Elle devait trouver une nounou et ça n'allait pas être facile, sur Bourg toutes étaient déjà prises ; les lancés de barriques, un grand repas sur l'herbe qu'allez t -elle cuisiner pour y aller ? ; son four à pain devait tourner inlassablement, les boulangers ne travaillait pas régulièrement et elle devait fournir ;

Un long soupire de découragement, mais ça ne durait jamais cher elle, elle mit Aël sur son deuxième sein, le petit n'en avait jamais assez.

Allez mon ange, maman a encore mille chose à faire.



Kekione
KEKIONE, perclu de fatigue, ne se leva que fort tard pour lui.
Il s'enroula dans une couverture pour descendre en cuisine.
Il ressemblait à un sénateur romain.
En arrivant dans la cuisine, il tomba sur le charmant tableau de la belle Valentine donnant le sein à sa petite.
Il s'approcha sans bruit et embrassa sa maitresse dans le cou.

Bonjour, ma mie.
Je ne me suis pas réveillé ce matin.
Notre incroyable nuit m'a épuisé.
Il me faut qu'en même aller couper du bois.


Il attrapa une miche de pain qui trainait et retourna dans la chambre pour s'habiller.
En revenant dans la cuisine, il embrassa longuement sa si magnifique amante.

A tout à l'heure mon cœur.

Il sortit en sifflotant.
La vie était tellement belle.
Valentine.


Tine l'observait évoluer tout en continuant à nourir son bébé.

Elle souriait, certaine d'entendre des mots qu'elle allait entendre et lorsqu'il parla d'aller en forêt elle explosa de rire.


Mais dit moi mon coquin, tu n'aurais pas rendez vous avec le lutin toi ? Avec quoi tu l'as corrompu notre lutin qui montre les six stères. Fut un temps il me les réservait mais je devais user de mes charmes pour ça.

Il ne l'avait surement même pas entendu tellement il fila vite se préparer, redescendant, l'embrassant follement et hop plus personne. Elle sourit tendrement.

Aël lâcha sa prise repu s'endormit dans ses bras, elle le déposa dans son couffin, le couvrit et se mit à courir aussi vite que son homme pour se préparer. Elle avait tout d'un coup une envie de mettre sa jupe, réfléchit à son programme de la journée, elle pensait presque à voix haute "Bon, à part le pique nique, mais pieds nus je la remonterai aux genoux, allez trop envie de faire plaisir à mon homme" Un sourire coquin illumina son visage.

Une fois toilettée, habillée, elle attrapa le couffin et fila vers le village.

Valentine.


La journée s'était passée très sereinement, Tine s'était promené dans Bourg qui restait très calme, le soleil ayant fait de belles apparitions, les Burgiens avaient surement profité du temps clément pour aller finir leur champs, ou en forêt pour ramasser des châtaignes, toujours est-il que Kékione et Tine avait avancé leur travail chacun de leur côté et s'était retrouvé souvent pour de nombreux moments câlins.

En fin de soirée, il était temps de rentrer au moulin, son homme avait une réunion entre homme ce soir et rentrerai encore surement très tard. Elle décida de s'avançait sur la le rangement de la maison, choe qu'elle ne faisait plus trop vu le manque de temps.

En arrivant aux abords du moulin elle aperçut Colombe Blanche dans les airs en train e faire sa belle devant son Vautour qui l'admirait du toit





Elle les regarda un moment et entra pour faire ce qu'elle avait prévu se disant qu'elle retournerai en taverne pour voir ses amis ce soir.


Valentine.


Les jours passaient si vite, l'emploi du temps de Tine était encore plus serré qu'à son habitude et elle espérait vraiment trouver nourrice pour son ange.

Partagée entre le moulin et le domaine, les nœuds et le froid des trajets ne lui faisaient plus peur. Elle trouvait un peu dommage de ne pas pouvoir un peu profiter d'un peu de détente au bord de la rivière qui passait faire tourner la roue du moulin en compagnie de l'homme qui avait chamboulé sa vie. Elle se promis de le tirer jusqu'au bord de la Reyssouze pour un moment tendre et amoureux.

Sa fille était en route pour le retour vers Bourg, Tine avait fait le nécessaire pour qu'elle puisse avoir un cheval et arriver plus vite, elle lui manquait tant et la gamine s'ennuyait à mourir durant ce voyage, pleurant tous les jours par pigeon à sa mère.

Kekione
KEKIONE passa au moulin comme le lui avait demandé sa Valentine... mais il n'y trouva personne.
Dépité, il lui écrit un petit mot.

Citation:
Mon ange,
ne te trouvant pas, je suis retourné à mon labeur.
Je t'aime de tout mon cœur.
Ton dévoué amant,
KEKIONE
Valentine.


C'était le jour ou Tine commençait à angoisser, sa fille arrivait le lendemain et il faudrait lui expliquer qui était l'homme qui avait remplacé son père dans le cœur de sa mère. Pas facile mais Rasmo avait grandit, elle avait aujourd'hui l'age de peut-être comprendre, difficile pour une enfant déjà abandonnée dans sa plus tendre enfance de subir encore une fois l'abandon d'un père adoptif.

Tine avait tant d'amour pour sa gamine, jamais elle n'aurait pensé devoir lui annoncer pareille nouvelle et subir encore une telle déception, mais sa propre souffrance était minimisée par l'envie de tout faire pour que sa fille se remette plus facilement de la situation et l'amour que son amant lui apportait lui donnait une force surhumaine.

Elle avait demandé à KIO de passer l'aider à préparer le moulin pour cette occasion, ils passeraient la nuit ici plutôt que d'aller au Domaine de Saint-Sorlin, la petite allait surement arriver à l'aube et Tine voulait être là pour la recevoir avec un bon repas du matin.

Elle arriva au moulin, Aël sur la hanche, poussa la porte de la carré ou la cheminée était bien tristement éteinte et trouva un petit mot


Mon ange,
ne te trouvant pas, je suis retourné à mon labeur.
Je t'aime de tout mon cœur.
Ton dévoué amant,
KEKIONE


Elle sourit en secouant la tête et marmonna

Mon courant d'air adoré, enfin, pas ta faute je suis en retard moi

Elle rangea comme toujours le petit mot entre ses deux seins, posa Aël dans son berceau et commença par allumer le feu. Une fois lancé, le petit s'étant endormi, elle monta quatre à quatre à l'étage.
La chambre de sa fille ne demandait qu'à être aérée depuis plus d'un mois d'absence, elle sera heureuse de retrouver son lit et sa vue sur les champs de maïs, le clocher de la ville toujours digne. Tine fit un clin d'œil à son cher clocher et cru voir Dame-Blanche tourner autour.

Après une grande inspiration, elle prit les plus beaux draps brodés de ses mains et fit le lit de sa petite, les larmes embuaient ses yeux, ses pensées s'embrouillaient. Elle disait tout haut


Ma chérie, tu vas voir on va enfin l'avoir ce bonheur, tu verras Kio adore les enfants, c'est un homme exceptionnel.

Pff, je parle seule, ça s'arrange pas moi.


Elle se reprit et finit la chambre en y mettant un superbe bouquet de branches d'automne, elle sourit et redescendit rapidement, son Aël commençait à chougnier,l'heure de la tétée arrivait.

Je suis là mon ange, maman va s'occuper de toi.

Elle s'installa près du feu et prit le temps tranquillement de nourrir son petit blond, le berçant en lui donnant le sein et chantonnant une berceuse.




Kekione
KEKIONE avait transporté ses stères de bois de la forêt jusqu'à la place du marché.
Ils les vendrait demain.
Il se dirigea vers le moulin de sa Valentine, espérant l'y trouver, cette fois.
Il était trempé jusqu'aux os, la pluie froide de l'après-midi ayant transpercé sa pélisse. Le cuir tanné était trempé et les poils intérieurs aussi. La neige n'était pas loin.
Il entra précipitamment dans la maisonnette pour se mettre à l'abri.

Sa belle était là, devant le feu, donnant paisiblement le sein à son petit.
Il admira le tableau et se crut arrivé au paradis, tellement le contraste avec l'extérieur était grand.

Ahhh, mon amour !
Je suis déjà passé mais tu n'étais pas là.


Il enleva tous ses vêtements humides et les disposa non loin de l'âtre.
Il était à torse et pied nus près du feu et sentit la douce chaleur le réchauffer.
Il se pencha vers sa belle et l'embrassa avec fougue.

Tu es belle, ma Tine... tellement belle.

Je vais mettre quelques vêtement secs et je reviens.


Il disparut quelques instants pour revenir entièrement rhabillé de braies jaunes, d'une chemise rouge et de chausses bleues.
Il sourit à sa compagne et prit une chaise qu'il colla à la sienne.
Il passa un bras derrière les épaules de son amante et l'embrassa jusqu'à en perdre haleine.
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