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[RP] Le Tit'Moulin à aube de KIO et Tine...Rasmo...Aël......

Valentine.


Tine entendit des pas devant la porte, comme quelqu'un qui tapait des pieds pour décrotter des chaussures, et la porte s'ouvrit, un sourire puis un air inquiet. Son homme dégoulinait.

Et bien amour, tu n'as pas échappé à la pluie, on dirait une pauvre bête traquée par tous les éléments de notre terre, met toi vite au sec, et ne laisse pas ta pelisse dedans elle va gouter partout.

Elle regardait son amour l'air compatissant se dévêtir et s'approcher d'elle mobilisée par la succion du nourrisson, elle leva la tête pour happer ses lèvres fougueuses. Elle posa sa main sur sa cuisse nue.


Tu es gelé mon amour.


Elle lui souriait amoureusement lorsqu'il disparut pour aller se mettre au sec. Lorsqu'il revint, Aël avait changé de sein et Tine guettait le retour de son homme avide de baisers. Il s'installa tout près d'elle et l'embrassa a en perdre le souffle.

On est bien là mon cœur, je vais préparer la soupe après et des miches fraîches pour demain, Rasmo adore mes galettes, je vais en faire aussi. Tu pourrais me tuer une volaille pour demain, la petite va avoir besoin de force, elle a eut un voyage pénible.

L'enfant s'était endormi sur son repas, Tine sourit et le déposa dans son berceau pour vite revenir se blottir contre son gribouille. Elle lui chuchota comme si quelqu'un d'autre qu'eux pouvait entendre "j'ai envie de toi" puis l'embrassa follement se blottissant sensuellement entre ses bras.
Kekione
KEKIONE se leva de bonne heure ce matin là.
La nuit avait été courte, mais il se sentait bien tellement la soirée avait été belle.
Il avait à nouveau put apprécier combien il était chanceux que la si belle Valentine le laisse l'aimer.
Il la regarda longuement en train de dormir, puis s'habilla en vitesse et partit pour la forêt.
Il espérait revenir tôt pour pouvoir rencontrer la fille de Tine.
Il était à la fois impatient et pas du tout pressé.
Il haussa les épaules en se disant qu'il verrai bien assez tôt.
Son pragmatisme reprenait le dessus.
Enveloppé dans sa pelisse sèche, encapuchoné et couvert comme pour l'hiver il sortit dans le froid glacial du matin.
Valentine.


Le matin pluvieux avait largement commencé quand Aël poussa des gazouillis, Tine ouvrit les yeux, les yeux bordés de reconnaissance, encore empreinte de l'odeur de leur ébats, elle sourit largement à ce doux souvenir, étira son corps sous les draps, son nez qui, lui, avait dormit en dehors des tissus était froid et lui indiquait que la température avait du baisser. Elle fit un bon hors de la chaleur du lit, un frisson la parcourut, attrapa son ange dans son berceau, le collant à elle, se renfila dans le nid douillé pour lui donner la tétée.

Ses pensées se mettaient petit à petit en place, le petit goulu lui dévorait un mamelon et de son pouce elle le raisonnait à ne pas l'abimer.

Sa fille serait-elle là aujourd'hui, ce voyage avait été si perturbé, peut-être c'était-elle réjouie trop tôt, peut-être ne serait-elle la que demain.

Après de longues minutes, le petit était repu et Tine prête à commencer sa journée. Elle s'élança dans la cuisine, raviva le feu, baigna changea l'enfant qui se rendormi aussitôt près de l'âtre pendant qu'elle tournait à préparer, soupe, gâteaux, potée.

Son homme devait être en forêt et il serait heureux de trouver de quoi se réchauffer le corps et le cœur en rentrant.
Kekione
Ce matin là, KEKIONE avait tellement mal à la tête qu'il vomit tout son estomac au pied du lit en essayant de se lever.
Il ne lui semblait pourtant ne pas avoir bu tant que ça le soir d'avant.
Melisse avait du lui mettre quelque chose dans ses chopes, ce n'était pas possible autrement.
Et la petite Rasmoquette lui avait aussi servit moult bières.. enfin il croyait.
Il ne se souvenait plus bien.
Il était assis au bord de la couche, les pieds recouvert de son repas de la veille digéré sur les pieds.
Il se leva péniblement et glissa sur la marre qu'il venait de régurgité.
Il était maintenant assis dans une odeur nauséabonde qui lui arracha du corps le repas qu'il avait pris l'avant-veille.

Et bin bravo !!

Après quelques renvois gastriques fort désagréables il réussir à se lever.
Il descendit jusqu'à la sale commune et sortit nu comme un ver dans la rue.
Par chance pour les habitants de Bourg, il était déjà tard dans la matinée et personne ne trainait dans ce passage
Il poussa jusqu'au puits. Il commença à sentir le froid sur sa peau, et ça lui faisait du bien.
Il tira un sceau d'eau et se le retourna au dessus de la tête.... un immense frisson l'envahit.
Il recommença l'opération deux fois en se frottant énergiquement entre chaque rincée.
Il grelottait tellement, maintenant, qu'il lâcha le sceau et rentra au moulin aussi vite que possible.
Il se posta devant le feu et s'essuya énergiquement.
Le vieux était maintenant complètement réveillé et.. frigorifié.
Il alla chercher des vêtements propres et chaud.
Il rit en voyant son attribut mâle tout petit et rougit par le froid, car il pensait : Si Tine voyait ça elle aurait bien du mal y trouver quelques envies...
L'odeur de la galette au pied du lit était insupportable.
Il mit sa pelisse et prit 2 sceaux pour retourner au puits.
Il devait nettoyer cette immondice avant que la maison soit insalubre.
KEKIONE remplit les 2 récipients et rentra faire un peu de ménage.
L'odeur était si insupportable qu'il vomit 2 fois encore, mais dehors, par la fenêtre.
Lorsque tout fut remis en état, il prit un pichet d'eau et le but d'un coup.

Haaaaaaa, que c'est bon.

Tout son corps subissait une débattue terrible, due au chaud-froid qu'il s'était imposé.
Il s'assit devant le feu, ferma les yeux et pensa à sa belle.
Il était vraiment amoureux, il n'y avait aucun doute.
Il se surpris à parler tout seul... ce qui lui arrivait de plus en plus souvent.

Je t'aime, ma Valentine

Puis il se demanda si on l'avait surpris tout nu dans les rues de Bourg en pleine journée, recouvert de vomis jusqu'à la taille. Il n'y avait pas tellement prêté attention.
Sa réputation ne s'améliorerai en tout cas pas avec cet épisode.
Cette idée le fit partir d'un grand éclat de rire.
Valentine.


Tine inquiète de l'état de son homme passa rapidement voir si il se reposait vraiment, elle arriva au moulin et vit les deux seaux du puits trainer pensant qu'il devait avoir du y avoir du vent dans la nuit les ramassa et les rangea ou ils auraient du être.
Elle entra dans la pièce chauffée ou elle trouva son amour endormi, elle s'approcha doucement de lui et posa ses lèvres sur les siennes tendrement, elle sentit une haleine peu fraîche, sourit espérant que le calme et la chaleur allait le remettre sur pieds.

Elle prépara une grande gamelle de tisane au thym et absinthe pour laver son interieur mais doutait déjà qu'il fasse l'effort de boire la mixture.

Elle prit le temps de le regarder dormir un moment avant de retourner dans la ville, le moulin était extra-muros, porte de Belley, loin des voisins et bien au calme.


Souriante à ses pensées, "comme je t'aime toi ! pourquoi je t'aime autant ? Pourquoi tu m'aimes autant ? Pourquoi le destin nous a fait perdre autant de temps ? Si tu m'entendais tu dirais que les femmes sont bien compliquées" Elle eut un petit rire.
Kekione
KEKIONE se réveilla car la position dans laquelle il était lui faisait mal au dos.
Il se leva, s'étira et remarqua avec joie qu'il allait mieux... à part un terrible mal de crâne, une douleur dans le dos, des fourmillements aux jambes et une langue si épaisse qu'il ne pourrait certainement plus jamais parlé.

Il vit que les sceaux étaient rangés et un bol plein d'un mélange douteux posé sur la table.
Il évita avec soin le breuvage, s'habilla chaudement et décida d'aller couper du bois.
L'air frais et l'exercice ne pouvaient lui faire que du bien.

Il sortit en essayant de penser à autre chose que ses douleurs.
Valentine.


Elle se leva dans le gris, le gris d'un lit froid, elle tendit le bras et se dit qu'il était déjà parti en forêt, surement, peut-être, son esprit mal réveillé essayait de se souvenir le jour qu'il était, ah oui Dimanche, la messe, Valentin a ramener à son papa, Aël a déposer à Ana, Rasmo, Rasmo toujours pas vue au moulin, tout se remettait en place et d'un coup elle blêmit, son homme, non, pas la forêt, Belley aujourd'hui, ses yeux s'humidifièrent malgré elle, première séparation depuis qu'il avait déboulé dans sa vie, un jour sans lui, une éternité sans soleil.
Valentine.


Le soleil est revenu ce jour, Tine est en pleine forme et se met à un ménage d'automne éperdu, déplaçant les meubles, vidant la cendre de la cheminée dans le jardin, on aurait dit la tornade. Son soleil était rentré.
Kinori


Sifflotant un air joyeux, le père Kinori fit son éruption dans la boulangerie de Tine. L'air confiant et dégageant une grande paix, il s'approcha de tine qui était en train de déplacer des meubles !

Alors bonjour Tine

Comme convenu en taverne, me voici. J'espère que tu te souviens pourquoi je suis ici !

_________________
Père Kinori
Phileo
Phil arriva ce matin au moulin de Tine. Il avait reçu une missive qui ne laissait rien presagé de bon et sur les conseil de Tine avait décidé de quitté la ville. Il la serra fort dans ses bras.

Tine je te confie Valentin, si jamais il devait m'arriver malheur je veux que tu t'occupes de lui... Promet le moi.

Il donna un gros bisous à son bébé ne pouvant s'empecher de verser une larme.

Bon il faut que j'y aille...

Il prit la route en direction de Macon se disant qu'il ne verrai peu etre plus son petit valentin, ni ses amis, ni bourg...
Valentine.


Tine était les mains dans la farine, elle avait posé son petit Aël dans le pétrin à demi assis qui la regardait en gazouillant pendant qu'elle roulait les miches.

Un sifflet se fit entendre et elle vit entrer le père Kironi, elle sourit


Bonjour Kiro, oui oui je sais pourquoi tu es là, tu veux des pains de toutes sortes pour ta fête de dimanche je vais te faire un assortiment tu n'en reviendra pas.

Philéo déboula, Valentin dans les bras, la mine pâle, informant de son soucis, il confia son enfant à Tine.
Elle le prit dans les bras, embrassa son ami le rassurant


Tu sais bien qu'il est bien avec moi et il y a Ana, je lui emmènerai les deux petits plus tard, te fais pas de soucis ça va aller mon Phil, reviens vite.
--_elevedumaitre
Comme convenu, le jeune élève se rendit chez celle qui trouvait la plus belle de ces lieux.
Il y avait déjà pas mal de monde mais cela devrait la soulager un peu.
il abaissa son chef, serra la main des hommes ici présent et lorsque ses yeux croisèrent ceux de la belle dame, son visage s'illumina.

Bonjour dame de nivellus, me voici! que puis je faire pour vous soulager aujourd'hui?
[/b]
Kinori


Alors que tout Phileo entrait et un autre personne qui avait un allure étrange, Kinori se dirigeait vers la porte en remerciant la belle Tine de lui rendre ce service !!!

MERCI BEAUCOUP TINE !!!! IL TE SERA RECONNAISSANT EN HAUT !!!!

Humectant l'odeur du pain pour une dernière fois, il ouvrit la porte et fit attention de pas trop la claquer fort en refermant la porte. DIRECTION, église !

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Père Kinori
--Petitporteur
OYE OYE MSIEURS DAMES V'NEZ A LA BIBIOTEQUE Y A BOIRE A MANGER ET DAME MELISSE SUR UN TONNEAU

Kekione
KEKIONE arriva au moulin alors qu'il faisait encore jour.
Il ouvrit la porte et rentra sans bruit.
Il vit Valentine en train de travailler.
Elle lui tournait le dos.
Elle avait relever rapidement ses cheveux dans un chignon fou qui dégageait son cou gracile.
Il admira comme elle était belle.
Blanche de farine, les bras nus, elle s'activait avec sa vigueur habituelle.
Il s'appuya à une poutre et attendit sans un mot qu'elle le voit.
Plus il la regardait, plus il l'aimait.
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