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[RP] Hôpital de campagne à Forcalquier

ulrich
Sursaut, on lui parle, il se retourne...

Ulrich avala sa salive un noeud s'était formé dans sa gorge... Il grimaça, puis ouvrit de grands yeux... et se mit à faire de grands gestes avec ses bras...


CHHHhhh
hhhhhhhh!


Il poussa la damoiselle dehors de la tente...


pardonnez mes manière peu cavalièress, mais je ne tiens pas à ce que Mère me voie en gente compagnie à son réveil, cela la tuerait! Je... j'ai reçu ordre de quitter Forcalquier d'ici la fin de la semaine, et je dois la prévenir, d'où mon départ précipité...

Je...heu... merci, c'est fort aimable à vous, je... je regarderai cela à tête reposée, je vous le promets...


Il rangea les esquisses dans son pourpoint..

Pour l'heure, je dois revenir auprès d'elle, comprenez-vous?

Puis, sans attendre de réponse, il souffla:

Adieu!

Et pénétra de nouveau dans la tente...

Maman!

Pardon, la taverne ne répondait plus tout à l'heure, sur mon ordinateur en bois...

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Pour vous quand il vous plaît!
Filomene2


Ne vous inquiétez pas messir, je ne voudrai vous causer d'ennui et de toutes manière mes intentions sont honorable étant moi même fiancé, je ne faisais que venir voir les blessés, étant loin de me douter de vous trouver en ces lieux.

Souriant, bien sur que je comprend, vous n'avez aucun soucis à vous faire, je ne fait que vous donner votre "cadeau" vous êtes parti si vite.

Sur ces quelques mots Filomene, laisse le sir se rendre au chevet de sa maman, pensant elle même à la sienne, trop vite disparue à son gout.

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Arianrod
[Le 15 avril...]


Une main fraiche sur le front de la Baronne, doucement les paupières tentent de s’ouvrir jusqu’au Maman, émeraudes embrumées qui se posent sur son fils, doux sourire qu’elle lui offre, puis petite scène qu’elle ne comprit pas et heureusement pour les deux d’ailleurs, sinon ca aurait bardé encore une fois et même presque morte, elle n’aurait pas changé son comportement.


Mon fils...


Elle se redressa légèrement, laissant passer de longues minutes afin que son regard devienne normal. Elle s’était endormi aussi vite que le réveil la veille, même pas eu le temps de répondre à sa fidèle, juste quelques missives urgentes qu'elle n'avait pas pu faire attendre, dont son ami Sebbe. Ce jour elle devait le faire, répondre et rassurer Stephandra.


Fils, donnez moi un parchemin avec de quoi écrire s’il vous plait, et venez vous installer au coté de mère. J’ai envie de vous avoir auprès de moi... de vous regarder, de vérifier par moi-même que vous êtes entier...


Elle lui tendit sa main, l'incitant à venir y glisser la sienne.

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ulrich
Elle était réveillée!
Ulrich sourit,, puis plissa son front: avait-elle vu la scène? Si oui, il risquait d'en prendre pour son grade, il savait qu'elle détestait le voir courir la gueuse... Enfin, pour une fois qu'il n'y était pour rien...
Le jeune homme se mit à s'agiter pour répondre au plus vite à la requête maternelle, farfouillant un peu partout pour trouver plume et parchemin...


Que vous estes pâle, maman!
Cela vous sied, certes, et fait ressortir vostre doux visage; néanmoins, convenez que c'est inquiétant...
Que... que vous est-il arrivé?


Il s'assit, disposa un écritoire sur ses genoux, y plaça le parchemin, et trempa sa plume dans l'encre...


Je suis tout à vous, maman.


Il attrapa sa main tendue, en serrant la paume, tout en caressant négligemment le dessus avec son pouce...

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Pour vous quand il vous plaît!
Arianrod
Elle ferme les yeux quelques instants pour apprécier la caresse de son fils, depuis quand n'avaient il spas eu de moment à eux comme celui ci ? Et encore il fallait qu'elle soit mourant sur un lit de fortune en pleine guerre. Petit grogenement interne, puis elle se détendit un peu, et fit un nouveau sourire à son fils.


Je suis si pale mon fils ?! La Baronne lacha un soupire, s'en voulant à nouveau, pourquoi ce loup l'avait il sauvé ?!


Que m'est il arrivé ? Personne donc vous a dit ? Courant du mois dernier lors d'une nuit de combat... eh bien... mere n'a pas su sauver sa peau comme il le fallait, aussi voici dans l'état que je me trouve ce jour. Louis m'a dit que que j'avais des cotes brisées, mon poignet gauche cassé, ma jambe... enfin ma cuisse aurait encore était touchée, décidement celle là... puis si vous regardez, il doit y avoir un bout de fleche quelque part par là, celle qui était plantée dans mon épaule d'apres les dires de Louis et Stephandra.


Ah Stephandra, fallait lui répondre avant qu'elle n'oublie encore.


Et vous, fils... comment allez vous? Vous n'avez rien eu depuis mon long sommeil ? Dites moi tout, car Louis me cache des choses, j'ai essayé de lui poser des questions sur Julien, mais il fait celui qui entend pas, il change de sujet aussi vite que mes questions.


Montrant son pendentif et la chevaliere à son fils.


Ce qui m'inquiete c'est que je porte ses bijoux, est il mort ? et personne veut me le dire ? Il y a si longtemps que je n'ai pas de nouvelle de lui, à dire vrai... Elle se mit à compter, puis crispa sa main sur celle de son fils sans sans rendre compte. Depuis la premiere blessure, cela remonte à plus d'un mois fils que je n'ai plus de votre oncle.

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ulrich
Ulrich se mordit la lèvre inférieure, à trop parler, voilà qu'il inquiétait la baronne... Et voilà qu'elle lui en demandait plus...
Qu'est-ce qu'il en savait d'où était Julien?
Non pas qu'il ne l'aimât point, mais Ulrich avait pour coutume de centrer toute son attention sur sa petite personne , et sur les plis de son pourpoint...


Julien...


vite, un mensonge!

Julien.... est...


Et puis non, si elle apprenait la mort de son doux plus tard, Ulrich en prendrait pour son grade... Mieux valait rester dans le vague...

Il est probablement sorti, et n'a point voulu s'encombrer...gageons qu'il ne tardera pas à vous revenir...

Le jeune Lasteyrie savait que cela ne suffirait pas, elle allait revenir à la charge, c'était évident... Il ajouta donc:

Mais ma seule compagnie ne vous suffit-elle donc point pour que vous réclamiez Julien?

Puis détournement de conversation, histoire d'enterrer correctement cette affaire, sous une couche de culpabilisation, surplombée d'une couche de proposition de services...

Alors, vous souhaitez me dicter une lettre?
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Pour vous quand il vous plaît!
Arianrod
La Baronne l'écoutait, voila que son fils tentait d'échapper à la question, au sujet meme qu'est Julien. Elle ferma ses yeux quelques secondes puis se repris, préférant ne plus mettre mal à l'aise son fils qui devait certainement rien savoir non plus.


Long soupir...


Comment osez vous croire que votre compagnie ne me suffit pas, ? je suis juste inquiete des personnes que j'aime, mais soit... oublions Julien, et parlons de vous.


La Baronne s'installa un peu mieux sur le lit de fortune, regardant le parchemin vierge de son fils.


Ne vous inquiétez pas, je vais moi meme lui écrire, ma main droite est valide encore, et heureusement vu le nombre de missives que je fais depuis mon réveil.


Elle saisit le tout, et les posa sur ses jambes en faisant attention à sa cuisse meurtie.


Mon fils, j'imagine que tu repars au combat ? Quand comptes tu reprendre ? Promettez moi de faire attention à vous, je vous en supplie fils... je ne saurais le supporter qu'il vous arrive malheur.


Tout en lui parlant elle commenca a déposer quelques mots sur le parchemin.

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ulrich
Ulrich rougit, il s'était finalement fait avoir avec sa culpabilisation... Mais au moins, elle s'était arrêtée à la deuxième couche, celle juste au dessus du "secret", c'était satisfaisant pour le bâtard Lasteyrie...

Ce serait prétentieux de ma part de le concevoir, mais je suis heureux de vous l'entendre dire, je garderai ces mots contre mon coeur, lorsque je me languirai de vous, à Uzès. Car oui, maman, j'ai des ordres, et je vais devoir vous quitter...


Quand est-ce qu'il cesserait? Ulrich l'ignorait. De toutes manières, à part combattre et paraître (encore qu'il faisait les deux assez mal), il ne savait pas faire grand chose...


Je m'arrêterai, maman, quand vous me le demanderez, ou dès que ce conflit sera fini, mais je crois que ce n'est pas demain la veille... Foutue guerre inutile... Ma grande tante Juliette se marie le premier juin à Rouen... J'espère que je pourrai y être!
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Pour vous quand il vous plaît!
Arianrod
Ainsi donc vous repartez au combat, eh bien soit, faites attention à vous mon fils, ma robe blanche ne me manque pas je dois l'avouer, et la porter à nouveau risque de me tuer à petit feu.


Elle signa la missive, et la tendit à son fils



Citation:
Ma Steph, ma bernique,
Ma douce et fidèle amie,


J’ai été heureuse de lire ta missive à mon réveil, elle m’a fait chaud au cœur, mais je t’en supplie te connaissant tu dois t’en vouloir de m’avoir laissée seule ici, sans toi pour prendre soin de moi, alors oublie tout ca, je ne t'en veux pas au contraire meme. Ah oui une chose, très importante, fait ce que ton cœur dit de faire, toujours !!

Je n’ai pas répondu le jour même de mon réveil car j’étais bien trop dans le brouillard pour y arriver, mais Louis m’a longuement parlé, il m’a expliqué ce qui m’était arrivé en omettant certains détails.
Tu me connais, je ne lâche pas prise comme ca, je n’abandonne pas facilement, mais alors lui il est dur en affaire, il ne veut rien me dire, et encore moins des que je parle de mes blessures ou de Julien. Il change de sujets aussi vite que les questions que je lui pose, mais rien à faire, il ne me dit rien.

Je t’écris en compagnie d’Ulrich qui est venu me voir, il me tient compagnie et c’est très agréable, il y avait si longtemps que lui et moi nous ne nous étions pas retrouvés de la sorte, et il a fallu que se soit à cause de mes blessures et de cette foutue guerre.

Excuse cette vilaine écriture, mais tu connais mon état physique, d’ailleurs serait il possible que toi tu me dises ce que j’ai réellement ? Ce que la Duchesse a fait sur mon corps ? Car je suis bandée de tout le corps ou presque, j’ai de fortes douleurs encore.

Dit… au cou j’ai la chaine de Julien avec le pendentif et sa chevalière au doigt, que c’est il passé ? Est il mort ? J’exige que tu ne me caches rien, je veux savoir, Louis ne veut rien me dire !!! Je n’ai toujours pas vu Julien ici, et le fait que j’ai ses bijoux ne me rassure pas du tout au contraire même. Ma douce amie, dois je ressortie cette tenue blanche que tu haies tant ?! Si maintenant ce n’est pas cela, je n’ose croire à tout ce qui me passe par la tête en ce moment, et vaudrait mieux que ce que je pense soit faux, sinon…

La colère me monte et je ne veux pas la faire voir au fils, aussi je finirais cette missive par de tendres baisers maternel que je t’envoie depuis mon lit… Prend soin de toi, mes prières vont vers vous tous.

Ta Baronne adorée
Arian



Pourriez vous lui remettre en mains propres, ou préférez vous que j'envoie mon meilleur pigeon ?


Elle posa le tout au pied du lit, se décala un peu, et demanda à son fils de venir prendre place à ses cotés, elle voulait le caliner comme par le passé.


Vous féliciterez votre tante pour son mariage, mais qui est l'heureux élu alors ? Ne vous inquiétez pas, vous y serez en Normandie à cette date.

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ulrich
Ulrich prit le parchemin, le scella, et le mit à sa ceinture.

Je vous promets que vous ne porterez pas de sitôt le deuil par ma faute!
Je remettrai à vostre suivante vostre courrier, ne vous inquiétez pas, maman.


Ulrich se gratta la tête à la question de sa mère, comment s'appelait-il déjà?

Heu... Morkar. Mais pas le jeune, le... v....heu... celui de votre génération...

Puis il enlaça sa mère...

A bientôt, maman! Prenez bien du repos! Et n'oubliez pas que je vous aime!

Et il sortit, le coeur lourd, pour ne pas faire durer ces moment déchirants...

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Pour vous quand il vous plaît!
Arianrod
Apres le départ de son fils, la Baronne était restée de longues heures réveillées, elle eu meme droit à une visite des plus inattendues. Un Noble... lui... rien ne pouvait réunir les deux personnes sous cette tente médicale.


Il y avait eu grand brouaha, de mouvements, des gardes qui prenaient place dans la tente, faisant sortir toutes les personnes qui le pouvaient, elle regardait ce qui se déroulait sous ses yeux, mais ne compris pas tout de suite, les hommes n'étaient pas les siens, et pourtant elle connaissait les couleurs. Louis semblait discuter avec le Noble... Elle se redressa sur son lit, prenant sa canne, des fois que des coups étaient à mettre.


Puis le Noble la rejoignit une fois que tout fut calme, meme Louis avait mis des hommes en plus en faction dans la tente et à l'extérieur. La Baronne cherchait à qui appartenait ses couleurs, puis l'homme fit tomber sa cape por laisser apparaitre son visage, elle cru en tomber à la renverse de qui était là face à elle... Comment osait il venir ici ?! Et pourquoi ?! Voullait il sa mort en entrant dans le camp ennemi ? Et Louis depuis quand laissait il entrer les ennemis ?!


Des doutes s'emparèrent de la Capitaine, pas le temps de réagir, que déjà il était assis à ses cotés, et lui parlait. De longues heures passerent, à converser de tout et de rien, mais surtout d'eux, de ce que penseraient tous s'ils savaient qui était là sous la tente médicale, pour sur cela déclencherait une nouvelle guerre.


De voix tres basses ils se parlèrent, et rièrent meme. Il resta à ses cotés de tres longues heures, prenant soin d'elle, ordonnant que la Baronne devait recevoir les meilleurs soins, lui apportant un confort bien meilleur que celui qu'elle avait depuis de longs jours. Ils se confièrent l'un à l'autre, moment agréable en la compagnie de ce Noble, puis cadeau lui est offert à la brune, un loup noir, si beau, il se nomme Lotthard, noir aux yeux noirs, quelle belle bete... qui deviendra l'ombre de la Baronne à compter de ce jour.


Le Noble repartit tard dans la nuit pour éviter d'eveiller quelques soupçons sur lui, en faisant promette à la baronne de se remettre sur pieds au plus vite, et qu'il serait toujours là si elle en avait le besoin.


La Nuit passa au calme pour la Capitaine qui arriva à trouver le sommeil en pensant à un loup sauvage, se demandant ou il pouvait etre, ce qu'il pouvait bien encore chasser ?! Puis un réveil par Louis pour lui transmettre missive qu'on lui avait fait parvenir. Elle la déroula et se mit à la lire.



Citation:
Ma Baronne Adorée,
Arian Mon Amie,

Quel bonheur déjà de vous lire et relire! Je suis ravie que vous repreniez le dessus. Ulrich a pris grand soin de vostre courrier et j'ai été ravie de le voir ce jour, il va bien toujours égal à lui même.

Maintenant je vais tenter au mieux de répondre à vos questions, en ce qui concerne vos blessures, j'ai pris sur moi de contacter la Duchesse Nennya afin qu'elle vous ôte la pointe de la flèche dans vostre épaule. Vous avez passé un moment terrible, je comprends pourquoi on la nomme la "sanguinaire" maintenant.
Elle a soigné avec ce qu'elle avait sur elle, enfin dans son sac de mire. Ensuite vous avez eut un autre vilain coup à vostre cuisse et vostre main, elle a soigné au mieux croyez moi...Bien que j'imagine que ce ne soit pas parfait et qu'il vous faille d'autres soins.

En ce qui concerne Messire Julien, rassurez vous , quoi que je ne sais pas du tout comment vous allez prendre la nouvelle... Mais ne ressortez pas vostre robe Blanche je vous en supplie.
Vostre promis a quitté la Provence, il est en France dans un couvent, j'ai échangé quelques missives avec lui et il pense tendrement à vous et vous embrasse tendrement. Je crois au départ qu'il est parti à vostre recherche mais je n'en sais pas plus.

Aux dernières nouvelles il était sur Montélimar, mais cela commence à dater, je ne peux donc vous en dire plus actuellement. Désolée, je me doute que mes mots risquent de vous mettre en pétard... mais je suis franche comme vous le vouliez.
Je pense qu'il vous a laissé les bijoux en gage d'Amour pour vous.

Sinon, je suis actuellement à Uzès, à travailler à la suite, on ne m'autorise pas à rejoindre Arles pour le moment. J'aurai tant aimé pouvoir rejoindre ce beau brun souriant et taquin, mais peut être est ce mieux ainsi... Parfois je me dis que ainsi il saura si il me veut vraiment à ses côtés, je le souhaite au fond de moi... mais j'ai peur.

Enfin, je ne vais pas vous ennuyer avec mes pensées alors qu'il vous faut toutes vos forces pour penser à guérir et aller mieux. Je pense tendrement à vous Arian, prenez grand soin de vous.

Sur ces mots je vous laisse, je vous embrasse tendrement comme j'aime à le faire.
Toutes mes prières vont vers vous.

Vostre bernique,
Vostre Steph



Elle la lu une seconde fois tentant de calmer la colere qui l'emparait, comment avait il osé faire ca ? La laisser la sans nouvelle, avoir quitté la Provence sans elle sa promise, sa suzeraine... ? Meme pas un petit mot à elle... rien de rien, juste une missive il y avait de cela presqu'un mois de cela.


Gage d'amour que de me rendre les bijoux ??!! Cria t-elle. Et en plus il prend le temps d'échanger missives avec Steph et pas un mot à moi sa promise ?!


Elle s'arracha le cordon et le jeta au sol et fit de meme avec la chevaliere dans une colere noire.


Promise à plus personne, qu'il creve !!! Jamais... Jamais moi je n'aurais fait cela !!! Jamais je n'aurais abandonné celui que j'aime....


Elle se tordit de douleurs quelques secondes puis elle continua faisant fi du mal qu'elle éprouvait du aux blessures.


Louiiiiiiiiiiiiiiiiiis !!!!??? On rentre à Ouillie, dépèche toi !!


Elle se redressa, pris sa canne et s'appuya sur celle ci avant de descendre du lit pour ranger les missives, qu'elle ne désirait pas perdre, dans sa besace. Puis elle regarda Lotthard, lui caressa le museau, pris Snellounet et le posa sur son épaule valide, il prendrait surement place sous sa chevelure comme il le faisait dans le temps.

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