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[RP] : Mariage de Sybille et d'Uriel

Tristan.
Appartements du duc et de la duchesse de chiny- hebeviller

Encore un mariage, les noces se succedaient a une vitesse deraisonnée, celui la avait une saveur particuliere, il reprenait peu a peu ses forces le printemps arrivant. La douceur maternelle de sa soeur et la presence de son epouse et de ses filles l'aidait a reprendre ses esprits et ses forces.
Sa soeur ne le lachait pas, oui il avait perdu sa mere mais elle et siva compensé bien largement son absence qui en ce jours lui pesé.

le souvenir laissa la place a la joie quand il repensa aux chamailleries d'antan, de ses courses effreinées dans les couloirs de chiny ou de l'aigle. Ces moments de plaisir qui laisserent la place a la séparation malgré eux.Les souvenirs revenaient depuis son retour en lorraine le laissant a la fois nostalgique et heureux que les images reviennent enfin.
Heureux de ce mariage qui ressemblait au sien, la victoire de l'amour sur la raison, la sincerité plutot que les fiefs. Ce mariage serait sans doute un succes.

le duc avait enfilé l'habit de lumiere aux couleurs de chiny, la tronait devant ses yeux deux couronnes celle de sa mere defunte et l'autre specialement faite pour son epouse. Apres avoir offert la deuxieme a son epouse, il les laissa elle et onaelle finir de se preparé. Enlevant catherine victoire enorig du berceau il l'emmena avec lui jusqu'au appartements de sybille tenant le present de l'autre main

Privilege grandiose de pouvoir penetré impunement dans ses appartements, il entra en compagnie de sa fille souriant

Tu es radieuse ma soeur! je t'amene ta niece, j'espere que celle ci va apaisé ton anxieté sourire je t'amene egalement un present qui devrait te faire plaisir la couronne de mere, elle est a toi desormais

un instant de silence se passa quand il repris la parole

Me laissera tu le privilege de t'emmené jusqu'a l'autel?
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L'encapuchonner , incarné par Chevalier_dide
Non loin de la porte de la Cathédrale, Un homme seul s’avança d’un pas lent en direction de l’entrée.

Encapuchonner à moitié pour laisser apercevoir quelques détails, une couronne sur une chevelure blonde, d’une fleur de Lys, une croix d’argent et d’un collier de gueule.

Il avait parcourus en largeur et délaisser sais troupes mobiliser pendant quelques temps pour assister au mariage de la Duchesse Sybille.

La main sur la paume de l’épée et il resta là, dos au mur à dévisager les personnes présentes et à attendre les autres ou du moins le temps d’aller prendre une chope de bière ...
Plume87
Plume avait reçu l'invitation pour le mariage d'Uriel alors qu'elle s'apprêtait à partir en voyage. Elle décida, néanmoins, de faire un crochet pour assister à cet heureux événement. Plume avait peu vu Uriel mais elle en gardait un excellent souvenir. C'était un homme très agréable et ouvert. Elle était touchée qu'il ait pensé à l'inviter et se réjouissait qu'il ait rencontré la femme de sa vie. Plume revêtit la robe bleue qu'elle s'était faite faire pour l'occasion et se dirigea vers la cathédrale. Elle fut impressionnée par toutes les personnes qui se trouvaient déjà là. Après avoir salué Lavania et Jec, Plume alla discrètement s'installer dans la magnifique bâtisse.
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Della
Elle avait pas dit "seule" ?

Il ne fallut pas longtemps pour que des visages connus fassent leur apparition.
Le curé de Nancy, du moins, celui qui était curé à Nancy, autrefois, arriva.
Il me sembla que je devais lui dire quelque chose car il me salua comme on salue une personne connue.
Je cherchai alors dans mes souvenirs cherchant à me rappeler si j'avais eu avec lui, des contacts particuliers ou pas. Cette époque était un peu ténébreuse pour moi et menant ma rébellion jusqu'à l'extrême limite, j'avais été jusqu'à sombré dans la religion ancienne. Aussi, il était possible que d'une façon ou d'une autre, j'ai pu froisser ce curé...Comment se nommait-il déjà ? Ah oui, le père Joce...Mais non, aucun souvenir de mésentente avec lui...Donc, naturellement, je me dirigeai vers lui, sourire aux lèvres.
Puis : Mon père, le bonjour. Permettez-moi...Je suis Della de Volvent, nous avons partagé un petit bout de Nancy, fut un temps. Toujours souriante et ravie, j'inclinai la tête avec respect pour achever mon salut.
J'allais questionner ce brave père Joce sur ce qu'il était devenu lorsque...une voix connue m'appela.

Bonjour Della, comment allez vous ?
Me retournant, je tombai nez à nez avec Monseigneur Aliénor !? Mais que diantre faisait-elle ici ? Et elle n'était pas seule !? Elle était au bras du Duc de Bourgogne !?
Par tous les saints du ciel, Monseigneur au bras du Duc ! J'en restai bouche bée même si cette grimace était des plus moches.
Enfin, je refermai mes jolies lèvres avant de les rouvrir : Monseigneur, votre Grâce, vous, ici ? Mais...comment se fait-il ? Oh, pardon...je suis impolie. Me reprenant un tantinet, je fis une jolie révérence, de celle des jeunes filles comme il faut. Le bonjour, Monseigneur, le bonjour votre Grâce....Regard intrigué au Duc.
Si je m'attendais à vous rencontrer ici...Connaitriez-vous Uriel ou son épouse ?
Question idiote, pardi. S'ils étaient là, ce n'était pas pour les pigeons.
Vous êtes en beauté, Monseigneur, si je peux me permettre...

C'était vrai, l'Evêque était resplendissante. La preuve qu'on peut rester féminine même dans un carcan clérical. Et voilà que l'idée de prendre le voile me traversa à nouveau l'esprit. Idée qui fut chassée très vite lorsque je vis arriver une autre tête connue, Melrikk...Ah, celui-là, les souvenirs qu'il faisait remonter étaient détonants ! Sa barbichette était, grâce à moi, devenue célèbre à Toul. Elle m'avait aussi valu quelques jolies prises de tête et de bec...Ciel, comme tout cela était tellement loin, maintenant.
Melrikk sembla se diriger vers nous, je lui adressai un petit signe de la main, espérant qu'il me reconnaisse. Je ne devais pas avoir trop changé...du moins, je l'espérais.
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*~* B.U.T.*~* Absente du 6 au 11/04.
Elenion
Dans un sens puis dans un autre... Il l'aura traversé la France! Cette fois il est même aller plus loin encore dans le Saint Empire et remonta jusqu'à Aachen.
Mais bon c'était un événement important qu'il ne pouvait pas se permettre de louper. Quand même! Le mariage d'Uriel et Sybille était un moment important... En plus ça pourrait lui servir. Ça ne serait pas pour le lendemain il n'était qu'un petit au final dans la hiérarchie, mais bon on sait jamais.

Or donc l'espace d'un moment il relégua le sort des Pictaviens pour venir... Un long moment même. Fort heureusement le voyage était plus rapide depuis le Poitou car en prenant le bateau sur la Loire on gagnait facilement une semaine de voyage. Aller-retour c'est pas mal!

Le temps du voyage il avait eu le temps de se remémorer visages, noms, souvenirs communs, anecdotes de Lorraine. Des Lorrains il allait forcément en rencontrer. Donc autant se préparer psychologiquement à devoir passer en revue les réminiscence, bonnes ou mauvaises, et à devoir répondre à une salve de question quand le moment serait venu. Surtout qu'il s'en était passé des choses depuis, des plus surprenantes, sans doute, pour le commun des Lorrains.

Quoi que pour minimiser l'étonnement général, Il choisit un style vestimentaire à mi chemin de son anciens et du nouveau, qui de toute manière était encore assez décalé et loin du standard... Oui, il y a des choses sur lesquelles on ne se refait pas. Il avait le goût du chic, alors autant faire "des efforts" pour un mariage, et puis être confortablement vêtu pour le voyage... Enfin s'étaient de bons prétextes officiels.

Or donc! Il était là, sur le parvis de la cathédrale, "in da place"! Dans un style entre le bourgeois en voyage et le clerc en vadrouille : Père Elenion!
Barberine



Sancy, tôt le matin.

Ils s’étaient levés à l’aube, les yeux encore plein de sommeil et de rêves inachevés.
Les domestiques avaient préparé de quoi subsister pour le voyage, les robes des deux amies et le costume de Fiha étaient bien à l’abri dans une grande malle. Il s’arrêteraient peu avant d’arriver, pour quitter leurs vêtements de voyage plus pratiques mais inappropriés pour la cérémonie à laquelle ils se rendaient.

Depuis le temps qu’ils en parlaient !!
Les fiancés avaient enfin trouvé la date, ça n’avait pas été facile.
Il fallait partir, s’ils voulaient arriver à temps. Isis tout aussi ensommeillée, mais ravie d’entreprendre ce voyage avec eux vers une région mal connue, s’approchait d‘un pas dansant. Après avoir échangé les embrassades de rigueur, le départ s’organisait, Fiha aidait les deux jeunes femmes à monter dans le carrosse. Après l’excitation du départ et des commentaires animés sur la tenue des futurs mariés, Uriel et de sa charmante fiancée, Sybille., le nombre des invités, les connaissances qu’ils allaient retrouver sur place, les rires se calmèrent, les voix se firent plus basses. Chacun cherchait la position la plus commode pour voyager , Isis enfouie dans une couverture, en face de Barberine blottie dans les bras de Fiha.

Sur la route

Bientôt on, entendit plus un bruit, le silence était interrompu de temps à autre, par la respiration régulière des dormeurs, les claquements du fouet du cocher, les hennissements des chevaux des autres équipages, et du fourmillement des villes traversées.

Puis le soleil se fit plus chaud, traversant les épais rideaux du carrosse, venant caresser les visages des dormeurs.

L’un après l’autre ils se réveillèrent, Fiha fit arrêter le carrosse.
Ils descendirent dans l’air chaud de la journée qui s’avançait. On était dans la cour d’une auberge. Il était temps de se restaurer, de nourrir et de donner à boire aux chevaux, de s’étirer après les cahots du voyage, et enfin de revêtir les vêtements pour le mariage.


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....marie....
Marie salua poliment Léo ainsi que son épouse qu'elle avait déjà rencontrée auparavant à Epinal, non sans penser à Ama...
Que de visages du passé...Della, partie si rapidement de Nancy suite au décès en duel du bouché mal embouché, avait’ elle trouvée son cavalier blanc là ou elle résidait à présent?
Certainement vue les atours qu'elle affichait ...

La brune observait les arrivants un à un, on aurait pu croire que la Lorraine et ce qui avait été sa quintessence s'était donné rendez-vous en ces lieux, ce qui semblait logique vu le nom mais surtout la popularité des futurs époux.
Cette pensé la fit sourire
Marie ne connaissait que peu certains mais les avaient au moins croisés une fois ou avait déjà entendu les noms qui était prononcés dans les conversations autour d'elle.
Il lui tardait à présent que la cérémonie commence, ne manquerait plus que certains fantômes de son passé ressurgissent…

Elle secoua la tête pour chasser ces pensés et se recomposa un visage plus adéquat à l'événement à venir, pas de tristesse en ce jour heureux!
Elle rajusta son châle sur ses épaules et se dirigea vers l’entrée de la cathédrale.
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Thomasdeclerel
Sa vassale l'avait invité à se joindre à elle pour un mariage, et c'est un sourire d'amusement qui se dessina sur lui lorsqu'il apprit le nom de la future épouse. Son amie se mariait enfin. Une lettre d'invitation vient peu après confirmer la nouvelle.
Ne pouvant rien refuser à sa vassale, et encore moins manquer le mariage de son amie, le Duc avait convenu qu'elle le rejoindrait chez lui à Dun, et qu'il partirait ensemble, avec en plus une amie à elle finalement, pour le lieu du mariage.

Le jour venu, le Duc attendit Titca, repensant à que lui avait dit un jour le Vicomte Kref, dit Krefounet, on passe notre vie à attendre les femmes...Mais grâce à sûrement un miracle, il n'eut pas à l'attendre bien longtemps, et ils partirent sur les routes vers le fameux mariage. Lorsque la dame de Soye s'endormit sur lui, le Pair porta un regard protecteur à sa vassale, puis porta son regard vers le paysage qui défilait, se disant qu'il aurait pu inviter Bitterly, même si elle était amnésique elle serait peut être venu,...ou pas.

Après le long voyage jusqu'à Aix la chapelle, ils arrivèrent enfin. Thomas n'était pas mécontent de quitter le carrosse, n'appréciant guère de rester longtemps assis. Les yeux posé sur la cathédrale, le berrichon lui trouva moins de charme que Notre dame, qui en avait elle même moins que la cathédrale de Bourges...

Amusé par l'enthousiasme de sa vassale, le maréchal d'armes s'en approcha et lui offrit son bras.

Nous pouvons y aller, s'il plait à la dame de Soye d'entrer maintenant. Sourit.
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Eloin
Elle aurait du venir seule, à dos de cheval, en habits d'homme, et louer une chambre d'auberge dans la cité impériale pour retrouver l'apparence d'une dauna digne de ce nom.

Mais elle estoit venue accompagnée, ou plutost, c'est elle qui accompagnoit le drosle de couple qui luy fict face durant tout le trajet en coche.
Et finalement elle se félicitoit in petto d'avoir accepté la proposition de la dame de Soye, sa compagnie fut fort divertissante et égaya le voyage -très long, on n'a pas idée d'aller se marier aussi loin, nom d'un chien ! En Empire, en plus, ceste terre inconnue de la veuve que l'on disoit peuplée d'ignorants et de ratés. Force luy serait de constater que ces ragots estoient faux, dans les heures à venir, mais pour le moment elle restoit sur ce qui luy fut dict depuys sa prime enfance, depuys qu'elle fut en asge de comprendre les paroles parfois estranges des adultes.

Elle aurait du, de faict, rester encore plusieurs jours à Paris, assister aux joutes ayant suivit le mariage de sa filleule, puys estre près d'elle jusqu'à leur retour en Guyenne.
Et puys le doyen du séminaire de leur -trop ?- chère abbaye luy avoit remis une invitation pour ses espousailles, suggérant que ce serait pour elle une bonne occasion de se distraire et de se changer les idées, durant ceste sombre période qu'estoit le deuil d'un estre que l'on a aimé au point de vouloir mourir avec luy.

Du coup, elle avoit sauté sur l'occasion pour s'esquiver de la capitale francoyse, une excellente raison ainsi fournie à sa filleule encore éplorée de ce récent mariage et de ceste affreuse nuit de noces avec le mufle Impérial, layssant Elianor aux bons soins de la mystérieuse Aélis et d'une Cerridwen meurtrie par les épreuves de la vie, revenue assister à l'hyménée de sa nièce le visage garni d'une nouvelle cicatrice, balafre si bien dessinée par la lame de l'ennemi qu'elle avoit faillit ne la point reconnoistre, lorsqu'elle avoit vu sa silhouette noire entrer dans Nostre Dame...

Elle avoit donc profité du trajet pour discuter et prendre part aux plaisanteries bon-enfant du duc de Dun-le-Roy et de sa vassale, se laissant divertir de la monotonie latente qui rythmoit son existence depuys le trépas de Lorenzo. Et puys, maintenant qu'Elianor sembloit avoir durci un tant soit peu son caractère pour survivre à la méchanceté de son espoux, elle pourrait s'effacer un peu, et se consacrer à sa propre existence.

Vous ne devriez pas vivre qu'à travers votre fils, ma soeur ; certes le soutenir et parfaire son éducation, mais une femme telle que vous aurait bien tord de s'effacer.

Les paroles de celuy qui se mariait en ce jour revinrent à sa mémoyre, et un sourire nostalgique ourla ses lèvres, tandis que, sur la banquette face à la sienne, la maistre des novices s'estoit endormie d'un lourd sommeil sur l'épaule -apparemment plus confortable que la banquette elle-mesme- du hérault de Berry.

Vivre pour elle... Désormais c'est ce qu'elle ferait, libérée un peu de ceste silencieuse promesse faicte à la duchesse Izarra sur le lit de mort de ceste dernière, quelques instants avant qu'icelle n'ait rendu l'asme.
Bien sur, elle continuerait à veiller sur l'éducation de son fils et l'ayderait à achever de se construire, quitte à le laysser voler de ses propres ailes s'il venoit à en émettre le souhaict. Mais elle ne se soucierait plus uniquement de luy, et, dès qu'ils seraient de retour en Noirlac, elle irait s'entretenir franchement avec le recteur. Car son souhaict le plus cher, désormais que ce veuvage pourtant si douloureux l'avoit libérée d'un mariage parti en quenouille sans qu'elle ne cherche vraiment à luy donner une seconde chance, c'estoit de devenir moniale. Peu estoit au courant de ceste volonté, mais elle estoit sure du chemin qu'elle vouloit emprunter pour les années luy restant à vivre.

Elle se ferait introniser moniale cistercienne, puys ordonner auprès de Monseigneur Aurélien et luy manderait s'il avoit une paroisse à luy confier, quitte à partir de Bordeaux la Belle Éveillée. Et puys, pourquoi pas, un jour ou l'aultre, postuler à une charge au seing de la Saincte Eglise et devenir évesque ? Elle n'y avoit encore guère réfléchi, songeant que le temps serait bien assez long pour qu'elle y songe immédiatement.

Le climat nettement plus frais des Flandres fict sortir l'oblate de ses réminiscences, et elle posa un regard curieux sur les paysages qui défilèrent devant eux durant les dernières heures du voyage. Elle qui n'avoit jamais quitté le royaume de France avoit là l'occasion de découvrir un aultre territoire, une aultre culture, un aultre climat. Et elle en profiterait dans la mesure du possible, se laisserait guider par la pétillante Typhanie et le discret mais cultivé duc. Ce jour serait jour de joie, à n'en point doubter !

Son regard détailla les façades et apprécia l'architecture de la ville impériale lorsqu'ils eurent franchi l'enceinte et arpentèrent les rues menant à la cathédrale, s'éloignant un peu de la conversation entretenue par ses voisins de coche. Puys la fin du voyage, lorsque l'attelage s'arresta devant les marches du parvis de l'imposant bastiment, à l'architecture aussi bien ouvragée que celle de Nostre Dame de Paris, tira un nouveau sourire à la mère de famille.

Elle laissa la future mère s'extirper la première du véhicule, l'imaginant le faire dans quelques moys avec beaucoup plus de difficultés, du faict d'un ventre qui aurait grandement enflé, se rappelant ses propres gestes pour sortir de litère avec moults précautions pour ne point se retrouver face contre terre.

Il n'y a pas à dire, plus c'est vieux plus c'est gracieux ! Euh... sans vexer personne...

La manière dont la soeur se rattrapa ravala la réplique acerbe qui estoit venue à la veuve. Maussade sur certains sujets depuys qu'elle avoit découvert quelques rides au bord de ses yeux et à la commissure de ses lèvres, elle prenoit conscience -avec plus de difficultés qu'elle ne l'aurait pensé dans sa prime jeunesse- du temps qui passoit inexorablement, et qui laissoit sa trasce sur le visage des humains.

Elle n'en plaindrait point, ses marques du temps avoient pour mérite de luy attirer un certain respect, ces derniers temps. Ce n'estoit point pour luy déplaire, mais elle n'irait pour autant point s'en vanter !

Elle adressa donc un mince sourire à la maistre des novices, un de ces étirements de lèvres marquant son amusement, mais qui parfois dissimuloient la gesne qu'elle pouvoit éprouver face à certaines paroles. Izarra luy avoit appris l'art du paraistre et de la dissimulation, elle avoit gardé ces enseignement comme des leçons de savoir-vivre qui luy servoient moins souvent qu'auparavant, mais qui luy restoient bien utiles en certaines circonstances !

Eloin sortit elle aussi à l'air libre, lissant les plis de sa vesture, la mesme qu'elle avoit revesti pour les espousailles de sa filleule, d'ailleurs elle avoit passé commande à la couturière et -un temps durant- cistercienne Marymetal de Herstal, oeuvrant au seing d'un réputé atelier de confections à ceste occasion, rechignant à porter une robe anciennement portée, faisant là acte de coquetterie pure et simple. Et, comme elle l'avoit faict pour assister au mariage de la duchesse de Bellesme, elle s'estoit coiffée, laissant de costé, pour la seconde foys depuys le début de son veuvage, la désormais coustumière guimpe ornant -d'aucuns diraient dissimulant- son visage pasle. Se souvenant des gestes accomplis par la meschine ayant réussi, plus d'une semaine auparavant, à dompter sa chevelure parfois rebelle à toute discipline, elle avoit donc divisé en deux macarons la masse de ses cheveux bruns et les les avoit enroulés sur ses oreilles, logeant le tout dans un filet maintenu par un fin anneau d'or, avant d'y fixer un voile, blanc quoiqu'un peu transparent, utime rappel de son deuil.

Le duc quitta le coche en bon dernier, puys tous trois entamèrent l'ascension des marches du parvis, une foys qu'iceluy les eut invitées à entamer la marche menant au lieu Sainct. Le regard sinople de la Bellecour remarqua des visages connus, et des hochements de teste saluèrent ceux que ses yeux pouvoient croiser.
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Niconoss
Niconoss seul dans son coin, enfin depuis seulement quelques secondes, fut rejoint par une de ses amies de toujours, vivlyne, tant d'histoires passées, de soirées en taverne, de souvenirs. Il sourit, en l'a voyant arrivé, charmante et toujours avec un grand sourire, comme d'habitude.
Il s'attend a une remarque et ne fut pas déçu, par la courbette qu'elle fit et a la manière dont elle le nomma.

Hello, ça fait très plaisir de te voir et pour toi je ne reste que Nico tout simplement Surtout que tu tu avait vraiment voulu me salué en rapport avec mes titres il aurait fallu dire, Sa Seigneurie.

Il sourit a nouveau et lui rendit la bise qu'elle venait de lui donner, puis se laissant entrainer, il se retrouve dans un tas de personnes il ne les connaissaient pas tous, mais venait devoir liz, qui elle ne l'avait certainement pas vu. Il lui fit un sourire.

Alors Liz t'en oublie tes vieux amis ?
Comment va tu ?
Sa fait aussi très plaisir de te voir.

A côté venez d'arriver Caoimhim.

Bonjour Lieutenant On en retrouve du monde par la

Lavania était aussi ici.

Bonjour, ravi de vous voir aussi, sa changera de nos conversations par mésange

Et puis en finissant le cercle enfin en espérant n'avoir oublié personne si ce n'est les gens qu'il ne connaissait pas il vit Melrikk, il avait été assez proche de lui a une époque, mais Melrikk avait été quelque peu absent et fort éloigné.

Alors vieil ami, de retour dans la vie lorraine ? Il me semble t'avoir vu reprendre ton poste a l'ost ? C'est bien.

Puis s'adressant un peu a l'ensemble, il demanda a être présenté aux gens qu'il ne connaissait pas.
Joce_rr
Le prêtre allait répondre à Dame Della de Volvent... quand elle se retourna vers le sire Melrikk... le prêtre sourit. C'était l'attitude à laquelle il devait s'attendre en ce jour de retrouvailles...

Enfin, des visages connus ! Melrikk de Beauregard, Jewak de la Garde, l'évêque de Nevers rencontrée quelques semaines plus tôt, le Père Élénion et la soeur Typhanie, récemment revu à Noirlac...

Quelques visages de gens croisés à Nancy, qu'il n'avait pes eu le temps de connaitre, hélas...

À tous, il adressa un salut poli avec un immense sourire.
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Titca
Perdue dans l'observation du lieu, la Dame de Soye resta tout de même prêt de son suzerain, telle une enfant peu rassuré à l'idée d'en être trop éloignée – trop de monde-, c'est pourquoi parfois elle posait une main délicate sur sa manche et le tira avec elle à la découverte des lieux. Des remarques comme : '' Oh regarde là Thomas !'' , '' Wouha, tu as vu ! C'est grand non ?'' ou encore '' Dit dit c'est plus grand que Notre Dame ici ?'' Était rapporté aux oreilles du Pair toutes les deux ou trois secondes, heureusement celui-ci ne semblait pas agacé par son comportement, mais plutôt amusé. Tournant encore quelques minutes à droite et à gauche, le nez vers le ciel et les yeux brillant d'admiration. Elle finit par se rendre compte de son attitude très impoli, alors quand Thomas lui offrit son bras accompagnée d'une phrase très élégante, Tit accepta sans ronchonner.

Posant ses doigts sur son avant-bras elle sourit et lui lança un regard brillant de joie et de bonheur, un jour elle devra le remercier de tout ce qu'il fait pour elle et cela sans jamais montrer le moindre signe de colère ou d'agacement, au contraire il semblait toujours enjoué et ravie, n'hésitant pas à prendre de son temps simplement pour l'accompagner ici ou là et passer un peu de temps avec ses vassaux ! Des suzerains comme lui ils devaient en avoir beaucoup, mais à ses yeux il était unique et elle était ravie d'avoir la chance d'être à ses côtés. A ses paroles, elle approuva.

J'aimerais bien voir l'intérieur, maintenant que je connais l'extérieur ! Alors, si Votre Seigneurie est d'accord, allons-y.

Tirant la langue très discrètement, Tit lui fit un petit clin d'oeil, ce n'était pas vraiment dans ses habitues d'utilisé l'étiquette avec lui, mais aujourd'hui elle était de bonne humeur, profitait de la vie, du repos et de ses amis, alors la taquinerie était de sortie. Afin de ne pas laisser la soeur Eloin toute seule, la maître des Novices lui pris la main et l'attira avec eux. En traversant la cour afin de rejoindre les portes de la cathédrale, elle reconnue Stephandra qui était présente, la Dame ce promis de la saluer dès que possible, pour l'heure afin de rester courtoise elle lui fit un ''coucou'' de la main et tenta de lui faire comprendre qu'elles se verront plus tard à l'aide d'autre geste quelques peu compliqués, pas certain que sa collègue de Saint-Louis les compris tous d'ailleurs.... Joce, enfin Monseigneur Joce, lui adressa un sourire et elle répondit de la même façon.

Une fois à l'intérieur, elle laissa le duc la guider, trop occupée encore une fois à admirer et commenter les lieux plus discrètement toutefois afin de ne pas déranger les personnes déjà présentes, regardant son suzerain elle murmura.

Pouvons-nous rester dans le fond ? Ou au milieu ? Je n'aimerais pas être trop devant il y a une meilleure vue de là... Comme ça je pourrais continuer mon observation.

Les joues rouges, consciente qu'elle commençait légèrement à abuser - d'un autre côté il devait avoir l'habitude depuis le temps-, elle montra d'un doigt un banc pas trop loin du choeur, mais toutefois assez en arrière, celui-ci serait parfait si les deux compagnons acceptaient de bien vouloir s'y installer. En attendant une réponse, elle se signa et fit une petite prière afin qu'ils acceptent ! C'était inutile de déranger le Très-Haut pour cela, mais autant mettre toutes les chances de son côté, non ? Et puis lui avait déjà vu beaucoup de belle chose étant Duc, elle en simple Dame avait encore tellement à voir et à découvrir ! Il fallait bien commencer un jour non ?
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Konrad_slayerstone
[Dans la charrette de Delhie, en route pour le mariage]

La journée avait été éprouvant pour Konrad. La fin du tournois de tir à l'arc, quitter définitivement Béziers et tout ce que cela comportait. Et en plus se coltiner la Peste Gasconne pour voyager. Enfin, il était quand même heureux d'être avec elle. mais il n'allait certainement pas le lui dire, elle serait bien trop fière. mais elle a un charme qui ne laisse pas indifférent, bien au contraire. Et Konrad était sensible à ses attraits.

A peine passé les portes de la ville de Béziers pour s'engager sur les routes Languedociennes, il sentit la fatigue le gagner rapidement. Il attacha son cheval à l'arrière de la charrette de Delhie et le "chieur" sauta dans la paille pour en écraser une petite.

Bon, je te laisse diriger, profite en bien, ce sera pas tous les jours comme ça. D'abord, c'est qui le patron?? ...................................................Bon d'accord, c'est toi.

Il la regarda en souriant. Mais c'est vrai qu'elle était terrible cette peste. Mais il commençait à beaucoup l'apprécier. D'autant plus que ça beauté n'était pas pour lui déplaire. C'est quand même plus agréable de voyager avec une femme aussi belle qu'avec la vielle arquebuse du coin.

Il finit par s'endormir paisiblement. Un sommeil réparateur et bienfaisant. Un gros dodo suivi d'un réveil.............................en fanfare. Il venait de recevoir une botte en plein ventre de Delhie. Il se réveilla en sursaut.

Heinn, quoi??? qué ce cé????????????? Rhooooooo, punaise c'est toi. Tu m'a fait peur la vache. Pouahhhhhhhhhhhh, en plus tu pues des pieds c'est une horreur. Là ça casse le mythe de la femme fatale.

Il éclata de rire en la voyant faire sa moue, elle savait bien en jouer la vilaine de ses charmes. Elle lui demanda de prendre les rênes afin qu'elle puisse se changer. Et de ne pas regarder. Là c'était peut-être un peu trop lui en demander quand même. Il lui dit, la tête tournée en direction de la route.

Mais chérie, tu es ma femme maintenant, j'ai le droit de te regarder, les invités ne vont pas comprendre sinon..Allezzzzzz, juste un petit coup d'oeil, pour voir s'il n'y a pas tromperie sur la marchandise.

Il explosa de rire en pensant à ce qu'il venait de dire. Quel séducteur. Là c'est sûr qu'avec une telle technique, fallait pas s'attendre à des miracles. Mais enfin, rire il en avait besoin en ce moment, et Delhie lui apportait ça.

Une fois la peste changée, ce fut au tour du chieur d'en faire autant. Il enfila son costume qu'il avait acheté pour son baptême, quelques semaines plus tôt. Il ne lui allait encore pas trop mal. Il pourrait peut-être faire son effet au milieu de toutes ces grandes personnes du Royaume. Il ne voulait surtout pas faire honte à Delhie, elle allait le faire passer pour son époux afin de donner le change à tous, alors il voulait quand même faire honneur à son choix. Arrivant presque à destination, elle l'inspecta une dernière fois, enleva une petite trace de poussière sur sa joue. Il semblait lui convenir ainsi.

Ils arrêtèrent la charrette bien à l'écart de la cathédrale. Konrad s'occupa de mettre les chevaux à l'écurie, alors que Delhie cherchait ses amis du regard. Il panserait les bêtes après la cérémonie.
Liz_de_wissocq
Tout en se frayant tranquillement un chemin vers les portes de la Cathédrale grandes ouvertes, s’arrêtant ici pour un salut amical, à pour un baiser sur la joue d’une amie ou d’un ami, Liz entendit la voix un peu moqueuse de Niconoss s’adressant à elle.

Nico ! Dans toute cette foule, je ne t’avais pas vu. Contente de te voir, mon ami, ça fait bien longtemps que tu n’as plus donné de nouvelles. Penses-tu rentrer bientôt à Epinal ? Laisse-moi te présenter Leo, mon époux… Leo ? Voici Nico, un vieil ami spinalien à qui je laisserai le soin de t’énumérer tous les titres qu’il porte, la liste est tellement longue que Sybille et Uriel seront mariés que je n’aurai pas encore fini !

Puis resserrant légèrement son bras contre celui de Leo, elle lui murmura à l’oreille :

Et si nous allions nous chercher une place à l’intérieur, mon cœur ? Je ne voudrais pas que nous soyons forcés de rester debout ou pire encore : Imagine un peu que nous soyons obligés d’assister à la cérémonie depuis derrière un pilier !.

Elle lui déposa un baiser sur la joue et, sourire aux lèvres, elle l'entraîna vers l'entrée.
Melrikk
Melrikk arriva enfin sur le parvis ou il vit Della et le pere Joce non loin de lui. Au vu de leur réaction, il savait qu’ils l’avaient reconnu. Melrikk sourit et les salua d’un mouvement de tête tout en s’approchant d’eux pour les saluer de vive voix. Il s'adressa d'abord à Della

Bonjour Della, cela fait fort longtemps que nous nous ne sommes pas vu. J’espère que tout va bien pour toi.

Puis il se retourna vers le pere Joce

Bonjour mon père, je suis heureux de vous revoir surtout en cette belle occasion. Il faut que nous discutions pour une affaire privé mais nous verrons ça plus tard, ce n’est peut être pas le moment.

Melrikk vit Vivlyne venir à sa rencontre.

Je vous laisse pour l’instant, je vais saluer quelques amis, mais nous aurons bien l’occasion d’échanger quelques mots aujourd’hui.

il alla à la rencontre de vivlyne qui l’accueillit avec un sourire

Bien le bonjour mon ami, as-tu fait bonne route... que de monde... viens, rejoins-nous ... je crois que tu connais quelques personnes..

Bonjour Vyvline, j’ai connu plus reposant comme voyage mais le principal est d’être arrivé à l’heure pour le mariage. Je te suis

Melrikk la suivit jusqu'à un petit groupe de personne ou il reconnu quelques membres de l’Ost. Il salua Dame Liz et Messire Leo_de_Wissocq,

Bonjour Dame Liz et Messire Leo_de_Wissocq, ravis de faire votre connaissance

Avant que Niconoss intervient

Alors vieil ami, de retour dans la vie lorraine ? Il me semble t'avoir vu reprendre ton poste à l'ost ? C'est bien.

Bonjour Niconoss, oui je suis de retour à la vie séculière et à l’Ost. Mais mon long séjour chez les moines m’a été bénéfique.

Il salua enfin le lieutenant Coaimhim qu’il avait plusieurs fois croisé au castel de l’Ost.

Bonjour lieutenant, ça fait plaisir de se faire en dehors de l’Ost.

melrikk ensuite regarda l'ensemble du parvis ou la foule commençait à affluer.
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