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[RP] Amour Crime et Botanique

Ganju
Godefroy rit, oui il rit, il ne l'avait pas fait dans cette salle depuis le précédent conseil, mais la vue de Marguerite lui déclencha un rire franc et bien plus sonore qu'il l'aurait voulu.

Mais non Frim, il s'agit de la future amante du Duc dont parlé Monseigneur.
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(en cours)
Frim2811
Frim ricana en entendant Ganju.

- C'est sur que les vaches, en général, elles ne sont pas dérangées par les aboiements.


Frim se renfonça dans son fauteuil, jetant un œil sur le Duc, son imagination en ébullition.

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Breiz24
Rouquine qui se tait, alors que d'autres font leur arrivée... Une évêque, une connétable, une prévot, une vache. Une vache?!
Sourcil roux haussé, demi sourire amusé. Déjà Gauvain sorti des jupons de Sorane se précipitait vers l'animal, épée de bois brandie, à l'assaut du dragon qu'il représentait.
Et la rouquine de se lever à la suite du bambin, pour l'empêcher de cogner sur le mufle de la bête.


Sans blagues, Lena, la vache sait monter les escaliers. Tu l'as prise à la Basse Cour? Marrant, elle me fait penser à quelqu'un... Mais avec le regard plus doux...

Et de caler le mouflet sur sa hanche, retournant à sa place. Épée de bois qui se perd du coté de crâne ducal, stoppée net par la main maternelle. Nouveau sourire, et le mouflet est redéposé et retenu par le fond de couche.

On disait?

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Snell
Une vache? Une vache au conseil! Déjà qu'y emmener un gosse c'était pousser l'enveloppe... mais une vache!

Le Borgne se leva avec un geste exaspéré.


Non, mais ce n'est pas sérieux! Où croyez-vous être, dame Lena? C'est la salle du conseil, ici! Pas un pâturage!
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Régent de Bourgogne
Lenada
Elle regarda le Borgne sourire aux lèvres

Nous avons bien un Duc qui aboie comme un chien qui beugle ou meugle comme vous voulez comme une vache qui crache son venin comme un serpent, qui hausse le poil comme un matou, lors pourquoi pas Ma vache!!!



Regardant Breiz

Tu peux laisser Gauvin jouer avec elle est toute douce pas comme certain....
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Breiz24
Bin pourtant, qu'est-ce qu'on y voit comme veaux!

Un cri du cœur. Pas d'autre explication. La rouquine porta délicatement la main à sa bouche, plus pour cacher un sourire émail diamant que pour masquer son trouble, et prit la peine de prendre un petit regard désolé.

L'air innocent, elle se tourna vers Sorane, et murmura :


Bin quoi, j'ai pas raison?

Clin d'oeil vers Lenada, et lâchage de mouflet :

Même si elle se prend un coup d'épée dans les pis?

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Frim2811
Frim esquissa un sourire en écoutant les échanges, tout en se demandant si Snell voulait faire fuir le bovidé.

- Gentille, gentille, je reste sceptique, Lena. Je l'ai vu poursuivre un cochon un jour ... Si si, je t'assure. Il avait même du se réfugier dans une église, du coup.

Repense à son cochon, vaguement nostalgique, puis reporte son regard vers Snell.


- Messire Snell, méfiez vous, tout de même, faudrait pas qu'elle vous éborgne. Ce pourrait avoir de malheureuses conséquences.

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Angelyque
La Barone-avocate arriva à son tour au conseil ducal. Elle avait reçu un courrier du Duc concernant l'affaire du Baron Wolfar.

Citation:
Nous, Eusaias de Blanc-Combaz, Duc de Bourgogne, Seigneur de Saint Robert,
Au juge de Bourgogne,
Salutations,

De par la présente et par les pouvoirs qui nous sont confiés, ordonnons l’acquittement sans condition du Baron de Cudot dit Wolfar.

Rédigez à Dijon le 08 avril 1458




Elle garda la lettre dans sa poche, d'après Art. 211-1 – Des compétences du Duc de Bourgogne , le Duc avait tout à fait le droit d'ordonner la cloture d'une instruction, le Baron Wolfar étant son vassal, il lui devait protection.

Elle entra enfin dans la salle et lança


- Bonjour tout le monde! tiens, une vache au conseil! je ne pense pas en avoir déjà vu...j'ai vu des dindes...des coqs.., mais jamais de vache

edit: fautes.
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Eusaias, incarné par Poupounet


Il regarda Sorane avec amusement, il savait bien que les anciens conseillers s’étaient alliés afin de s’en prendre au baron de Cudot.

Allons les propos étaient dirigés contre un Sirantonio et pour être sincère, m’est d’avis que l’homme est bien un bougre d’andouille. Alors, les paroles de Wolfar sonnaient justes ! De plus c’est un vieux dossier encore plus rabougri que vous, alors je dois le classer. Je ne changerai pas d’avis Wolfar est innocenté !

Puis il porte son regard sur l’emm**deuse numéro 2.

C’est une menace la rombière ? Méfie-toi bien, je suis d’humeur à te donner en pâture aux chiens. Dès demain tu seras dispensée de venir au conseil, de toute manière je peux plus voir ta sale trogne.

Il porta son attention sur le mioche à qui il collera un coup de pied dans la figure dès que personne ne regardera.

Ouais sort d’ici, les cuisses de Sorane c’est pour tonton Eusaias.

Là au moins, c’était dit. Puis s’était au tour de l’évêque de venir lui parler de Cudot.

Vous ne l’aimez pas c’est un fait, mais il est bien plus utile que certaine personne *regard sur Breiz* en Bourgogne. Sinon Monseigneur j’ai été vilain ce matin et j’aurai besoin d’une confession. Il me serait agréable de savoir que vous passerez ce soir me confesser.

Oh oui il l’imaginait bien sa confession… Il se perdit un instant dans ses pensées quand Frim se mit à son tour à râler.

Ma chère amie, ne soyez pas désagréable avec votre Duc adoré, car la pomme c’est Sorane qui n’a pas voulu la finir et la laissée tomber au sol.

Bon, il est vrai qu’un tableau mange peu en général, mais c’était bien celui de la rousse qui l’avait touché en dernier. Il regarda bouche bais, Lenada et sa vache arriver. D’habitude la brune le soutenait mais là… là… Il remercia Snell d’un geste de la tête pour sa remarque intelligente avant de reprendre :

« Oh tu sais mon frère, la seule différence entre Breiz et le bovidé c’est que Breiz ne fait pas encore ses défections devant nous. Sinon as-tu remarqué qu’elles ont les mêmes hanches et la même lueur d’intelligence dans les yeux. Enfin bon, tout ça pour dire qu’une ou deux vaches au conseil, je ne vois pas la différence.»

Puis à Ganju.

Pour sur monsieur, je préfère la mort plutôt que de culbuter Breiz, même saoul. Ah moins que vous ne parliez déjà de la vache et dans ce cas je choisirai aussi la mort, trop peur de penser à la rombière et lui flattant la croupe.


Poupounet
Elle tripotait son pendentif. Un joli pendentif en argent finement gravé et qui a pour particularité de pouvoir contenir tout type de substances. D'une belle facture, il permet d'avoir sur soi une quantité suffisante de différents produits. Elle écoutait Eusaias tout en faisant tourner entre ses doigts son bijou. Oui ? Non ? Peut être ? Elle ne savait pas encore. Jalouse ? Oui elle le devenait, il disait l'aimer et pourtant il n'arrêtait de regarder les autres femmes, elle n'en pouvait plus. Elle ne supportait plus cette situation. Elle ne pouvait rien dire sans risquer la place qui lui tenait à cœur. Et là ! Les cuisses de Sorane, comment osait il ? Il savait que c'était son amie, il savait ses sentiments pour lui. Non cela devait cesser !!!

Son plan, elle l'avait échafaudé depuis un bon moment, elle espérait que l'homme changerait mais non rien n'y faisait. A de nombreuses reprises elle l'avait prévenu qu'un jour elle n'en pourrait plus et que ce jour là il serait surpris. Était on ce fameux jour ? Oui sans aucun doute. Ses saphirs se posèrent sur le pendentif pour ne plus le quitter. Sans un mot elle se leva et se dirigea vers une desserte qui proposait différents vins de bourgogne. Elle connaissait les gouts de l'homme et c'est sans difficultés qu'elle choisit l'objet de sa vengeance.

Elle observa le climat, orageux comme à son habitude, tendu, les noms d'oiseaux volaient, bref tout pour plaire. L'avantage d'une telle situation c'est que tout le monde ou presque pourrait être coupable. Son ange avait de nombreux ennemis au sein du conseil et plus d'un l'aurait volontiers tué. Mais non. On oublie toujours la vengeance d'une femme. Donc toujours devant la desserte, elle vida discrètement sa cargaison de digitale dans un verre, le duc avait son verre, le plus beau le plus richement orné, il n'était donc pas facile pour un valet de se tromper. Elle demanda au valet, après avoir fait semblant de choisir la bouteille de servir le conseil dans son ensemble. De retour auprès du Duc, elle ne put s'empêcher de prendre un ton sarcastique pour lui répondre.


Mais bien sur, je suis à votre disposition c'est connu !

Sur un ton bien plus bas, à peine audible.


On verra ce soir, on verra.

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Breiz24
Elle prit note consciencieusement : bouc émissaire du jour, c'était elle. Enfin vache émissaire, visiblement. Elle ne releva pas les insultes, elle n'était pas loin de penser la même chose d'elle même d'ailleurs, alors pourquoi s'offusquer?
Elle se contenta de penser, en son fort intérieur, que peut être le duc était jaloux. Vrai qu'avec le nombre de maitresses qu'on lui connaissait, il devrait avoir plus de bâtards disséminés dans le royaume. Alors voir sa rouquine honnie ronde comme une vache gravide - regard vers Marguerite, c'était pas flatteur tout de même! Mais l'idée était là... - tout juste après ses épousailles forcément, il devait travailler du ciboulot l'duc!

Mais, comme elle n'était tout de même pas connue pour autre chose que sa voix mélodieuse, elle se contenta de répliquer, platement :


Je viendrais au conseil, car j'ai été élue pour faire un travail, chose dont je m'acquitte tous les jours, moi... Et les cuisses de Sorane sont à Gauvain comme elles étaient à son père avant lui...

Sourire en coin de la rousse, qui ne perdait jamais une occasion de rappeler de qui Gauvain était le fils. Et le Pi n'avait il pas connu une folle passion pour Sorane, quand cette dernière était proc?

Elle nota tout de même que "même saoul" le gueulard ne souhaitait pas la culbuter. Nez froncé, elle se garda bien de répliquer que de toutes façons il se ferait trouer la peau s'il essayait - les dagues, ça pique, même si ça tuerait difficilement un homme dans la force de l'âge comme lui - et hésita un instant entre le soulagement, et l'inquiétude liée au célèbre "qui aime bien châtie bien". Elle finit par choisir le soulagement. Après tout, qui irait désirer une encloquée? Fallait pas avoir les yeux en face des trous. Ou bien être, très, très amoureux, chose que son mari s'appliquait à prouver quotidiennement.
Lentement, un sourire rêveur s'étira sur le visage de la rousse, les mains effleurant distraitement son ventre rebondi, tandis que Gauvain continuait à passer de ses jupes à celles de Sorane.
Que l'on se méprenne sur l'origine de son sourire chargé de désir ne l'effleura même pas, son esprit était déjà loin, après la réunion, ce soir, une chambre d'auberge, avec un rouquin endormi et un blond très, très éveillé... Si loin qu'elle ne se rendit même pas compte qu'un verre de vin lui était servi. Ce qui n'est pas peu dire, quand on la connaissait un petit peu...

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Ganju
Bon voilà qu'on servait du vin, Godefroy regarda d'un air dédaigneux le verre. Ici tout était pour faire plaisir à Sa grâce, et cet idiot prétentieux, n'avait aucun goût, il n'exigeait même pas que lui soit servit du Beaumont. Il faudrait que sa change un jour. Il fit signe à un valet de venir, et lui rendit la coupe, que celui ci s'empresserait de finir quand personne ne ferait attention à lui. Et s'en fit apporter une autre, vide celle là, il fit venir, aussi, une bouteille de Beaumont, et s'en fit servir.


Vôtre Grâce, sauf votre respect il vous faudra bien un jour arrêter de boire de la piquette et enfin reconnaitre les qualités gustatives inégalées en Bourgogne du vin de Beaumont.

Pour trouver des arguments percutants il glissa simplement sur le sujet préféré du Duc.


Le vin c'est comme une femme, si la robe est belle est encourageante on a envie d'en avoir plus. Et bien le Beaumont c'est une maitresse d'exception, et ce que vous buvez est la catin vérolée du coin.

Il sourit au Duc et porta sa coupe à ses lèvres, laissant couler lentement le précieux liquide dans son palais.
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(en cours)
Della
Quelle semaine calme et sereine je venais de passer...Une semaine chez les nonnes...un plaisir, le paradis, l'extase...Prier, travailler, lire...Prier, travailler, manger, lire...Prier, travailler etc.
Une semaine loin de l'agitation, loin des tourments bassement matériels, loin des prises de tête politiques...Bref, le pied !

Malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin.
Et un matin, la veille précisément, la mère supérieure était venue me faire ses adieux, en m'assurant qu'elle serait ra-vie de me revoir, une autre fois.
Mes bagages faits - légers, il va sans dire, pour aller chez les nonnes, une simple chemise, pas de vêtements... - j'avais donc rejoints le tumulte de la vie active, appelée aussi vie "normale".

Parmi toutes les occupations de cette vie normale, le Conseil ducal tenait une place...importante et incontournable.
Il faut dire que si mon premier mandat politique avait été terrain d'apprentissage - merci, Sorane - et de découvertes, celui-ci ressemblait plutôt à un grand terrain de jeux - merci, Eusaias - et de débats qui auraient pu se vivre autour d'une lice.
Qu'est-ce que je me m'amusais bien !
Toujours entre deux sourires ironiques aux rétorques de l'un ou de l'autre, voire même parfois, en parfait fou-rire lorsque la rousse et le Grand Duc s'empoignaient verbalement. Je ne désespérais d'ailleurs pas d'un jour les voir en venir aux mains...Héhé, je tiendrais les paris, ce jour-là !

Il me fallait reprendre ce petit chemin sentant la noisette et menant au Conseil, encore toute remplie de sainteté, d'innocence et d'un immense amour pour toutes mes soeurs et tous mes frères en Aristote.
Un ange...sisi, je vous jure, un ange !

Oups, l'ange ne serait pas à l'heure.
C'est que choisir entre la robe bleue et la robe ivoire n'était pas facile...Mon choix s'était porté sur la bleue puis, revirement de situation, en buvant mon bol de lait, j'avais bavé et hop, une tache !
Me voilà donc retournant à ma chambre et changeant de robe, toujours très...zen.
Mais le miroir ne m'aimait pas dans cette robe ivoire.
Je fus obligée d'en changer et finis dans une...verte. Encore !
J'aurais pu être presque à l'heure si je n'avais pas oublié de passer cette magnifique bague que j'avais reçue récemment.
Superbe anneau d'or blanc surplombé d'une toute aussi magnifique pierre rougeoyante offert par un ancien ambassadeur normand.
Enfin, je pus y aller.

La porte était entrouverte.
Chouette, je ferais moins de bruit en arrivant...en retard.

Je poussai donc doucement la porte pour apercevoir une vache !
Je me dis qu'on devait essayer une nouvelle espèce de blé ou de maïs, du genre qui ne gèle pas ou qui fait grossir plus vite les bestiaux pour obtenir des cuisses plus grasses ou des veaux sans cornes...enfin, un truc débile du genre.
Je me faufilais discrètement à la place réservée du Porte Parole, à droite du Duc donc, comme tous le savaient...Hum, excusez-moi du peu, lorsque la douce voix mélodieuse de mon frère se fit entendre :


Le vin c'est comme une femme, si la robe est belle est encourageante on a envie d'en avoir plus. Et bien le Beaumont c'est une maitresse d'exception, et ce que vous buvez est la catin vérolée du coin.
Je souris à mon grand frère adoré et faisant celle qui n'est absolument pas en retard et a tout suivi de la conversation, je précisai :

Le vin de Beaumont est une perle, un joyau, un trésor...Godefroy a raison...cesser de boire autre chose, votre Grâce, vous finirez par en être malade.
Et faisant du coq à l'âne, délaissant cependant la vache, j'interrogeai à la volée :
Quel est le prochain sujet du jour ?
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*~* B.U.T.*~*
Eusaias, incarné par Poupounet


Oh les idées salaces qui se bousculent dans sa tête. Il allait lui en murmurer des choses à l’évêque. Il allait lui en parler de son péché de luxure, de ses aventures avec une grande partie de la gentes féminine Bourguignonne. Il le savait que trop bien, qu’elles se donnaient à lui surtout pour le titre, mais cela ne l’empêchait pas d’en profiter. Il regarda sa maitrêque (mélange de maitresse et d’évêque) toujours à ses côtés. Il hésita un moment avant de se refuser de congédier tout le monde. Il devait quand même faire passer la Bourgogne avant sa libido et Alienor pouvait attendre. Il s’enfonça un peu plus dans son siège afin de pouvoir poser ses pieds bottés sur la table sous le nez de sa voisine Sorane.

Il scrutait le valet qui déposait les verres tout en réfléchissant à comment relancer le débat sur ce vieux codex poussiéreux. Le Duc savait que trop bien que ça allait encore partir dans tous les sens, certains défendaient le codex, d’autres voulaient du changement et une dernière troupe était automatiquement contre les idées du Balbuzard. Donc il se demandait si une fois de plus il n’allait pas exprimer l’inverse de son opinion afin de « rallier » ses détracteurs à son idée. Il inspira et retira ses pieds de la table afin de pouvoir se pencher en avant et de saisir son verre. Non, rien de tel qu’un verre de vin afin de prendre des forces avant la « bataille » qui s’annonçait. Il sourit à Della et aux propos de Ganju.


Volvents Frère et Sœur, je prendrai note et attendrai avec joie que vous me fassiez livrer 6 tonneaux, dont trois que vous m’offrez il va de soit !

La première gorgée lui rinça sa bouche, afin de réveiller les papilles. La seconde était pour la soif et la troisième… La troisième il la trouva sévèrement amer. Il grimaça comme si le vin souhaitait rester accrocher à sa gorge. Son estomac se noua et des sueurs froides le prirent par traitrise. Il sentit son palpitant s’accélérer fortement et une douleur vive dans sa poitrine se fit bien présente. Oh des poisons il en avait usé et donné à beaucoup de monde et comprenait aisément qu’il en était victime. Se gout amer, ce rythme cardiaque et ses sueurs en étaient les symptômes. Son cœur faisait désormais des bonds dans sa poitrine, il se devait de trouver de l’air frais. Il s’appuya sur la table pour se relever. Garder son calme qu’il disait, garder son calme… ne pas faire circuler le poison. Son regard le plus noir scrutait cruellement le valet. Le coupable était là ! Devant lui, blanc comme un linge. Il dut prendre appui de sa main gauche contre le mur lorsque sa gauche se déroba sous son poids. Il porta sa main sur Victoria, mais les forces n’y était plus il s’écroula sur lui. Du coin de l’œil, la vue troublée, il cherchait son frère du regard.


Ganju
Godefroy sourit au Duc lorsque celui ci demanda des tonneaux de Beaumont, même s'il devait en offrir trois, en vendre trois autres au Duc cela avait quelque chose de prestigieux.

Il porta son verre à ses lèvres pendant que le Duc buvait ses deux premières gorgées, lorsqu'il grimaça à la troisième Godefroy sourit satisfait, il le savait bien que ce vin c'était de la piquette, il aurait du boire du Beaumont le Duc.

Le sourire se dissipa en voyant la suite de la Ducale réaction, de la piquette ça fait pas cet effet, on grimace, on crache et on lance son verre sur le valet qui a osé servir ça, mais là il était blanc le Duc, et il l'avait jamais vu dans cet état!

Et voilà que le Duc ne tiens plus sur ses jambes, elle monte vite à la tête cette piquette, il jeta un regard affolé sur les élus qui ne semblaient pas plus comprendre ce qu'il se passe.

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(en cours)
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