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[RP] Un petit coin de Cheminée pour rêver et faire rêver[RP]

Sylumi
Sylu vint s'asseoir au coin de la cheminée. On était si bien parfois, seule avec soi-même, perdus dans nos pensées, dans le silence, juste le crépitement des flammes. Elle remit une bûche dans la cheminée et alla accrocher son parchemin parmi les autres.

Tes mains jouent leurs Arpèges sur mon corps
De ce Solfège, une Mélodie s'élève caressante
Dans les Soupirs de ces Accords parfaits
Montent des Allégros et des Symphonies
Tu joues ta Partition de ton Archet en Harmonie
Enivrante Mélopée dans la Fugue de nos émois
Et mes doigts en retour composent leur Gamme
Dans un Diapason sur ta peau enfiévrée
pour chanter cet Hymne d'Amour à l'Unisson

_________________
Cyleblue
Je n'entends plus que le silence
les autres sont heureux et dansent
Pourquoi la vie est si injuste.....
j'écoute sans entendre....juste ce silence que tu as laissé...

Je n'entends plus que ce silence
les autres rient et sont heureux....
Je regarde vers les cieux et attend un signe...
Oui c'est à toi que je pense...a toi mon ami si vite parti...

J'espère que tu es heureux tout près du seigneur
Jamais un jour ne passera sans que je ne pense a toi...
Ton sourire, tes mots tes arrogances, mais jamais tu n'as été détestable, au contraire toujours a nous faire rires....
Ces souvenirs resterons a toujours graver dans nos cœurs....dans mon cœur mon ami trop vite parti...

Pour toi Apo....






_________________
Selenae


Une matin d'hiver seule, dans mon manteau tout blanc
je regardais la neige là sur les toits tombant

Il me vint un poème, faire en alexandrin
Qu'il serait à dédier à l'un de mes béguins


    Que vais-je devenir si par ces froids matins
    Sous la bise gelée, n'ai plus aucun béguins

    Moi
    Clochard de mes amours, n'en retire qu'une aumône
    Au parvis de mon cœur ai connu joli môme

    Qu'un asile éphémère ou pour l'amour ne prends
    Tout juste ce qu'il faut pour nourrir mon amant

    Il va au delà d'un zénith à en percer la sphère
    Pour ne rester autant que ne vit l'éphémère

    Fugace en est l'ivresse, mais quel joli printemps
    Que de voir dans ses yeux de si beaux sentiments

    Alors, pourquoi chercher plus avant l'hyménée
    Puisque plus rien ne dure et je peux vous le prouver.

    Sélénaé vous embrasse, avec tout son cœur .


_________________________________________________
_________________
Selenae
Sélénaé déposa un poème commencé il y a quelque temps déjà et finit aujourd'ui



    Hémoglobine

    Aux caniveaux de mes veines, je sens l'odeur du sang

    Se jette dans l'estuaire, d'un immense Océan

    Mes pensées divaguent, voguent, viennent lécher le néant

    Où ton corps est friable, fluide entre mes doigts

    Caressent les souvenirs ou l'âme n'a pas le choix

    Intransigeante mémoire, seul destin qui l'échoie

    Sentiments implacables, ineffables saveurs

    Ils traversent l'éther, mystère d'un ailleurs

    Ils partent dans l'oubli et rejoignent mon cœur

    Alors, mes veines sont vides mon sang étalé

    Il est sorti des soutes de mon cœur é_chou_é

    Des Flaques rouges sur l'amour aux sentiments pollués

_________________
Oryax
[Adieu]


Alors que je n'ai pas ma place à tes côtés
puisque tu en aimes une autre,
Je ne veux plus t'attendre
puisque tu n'as rien à me proposer.

Je me sens au plus mal
et ça c'est ma mort.
Je me suis faite à l'idée
de vivre sans toi.

Ce soir ta main, tu ne me l'as pas donnée.
Comprends que je t'en veuille.
Ce soir ma main, tu ne l'as pas serrée.
Comprends que je veux te dire adieu.
S'il te plaît, comprends
que je dois partir pour t'échapper
et vivre seule avec mon amour pour toi.

Je ne suis pas à ma place ici,
je dois partir pour échapper à cette vie
Parce que cette fois,
je suis décidé à bouger,
très loin d'ici.
Je trop de griefs contre toi
et tu me manqueras certainement
car mon amour est toujours présent..

J'espérais un endroit
plein de paix et de lumière.
J'espérais que tu me reprendrais
quand le moment serait venu.
J'espérais un au revoir
de ta part ce soir.

J'aimais notre vie à la bergerie
parce qu'elle me manque déjà.
Je prie que par la grâce de Dieu
il y ait quelqu'un qui écoute.
Je n'ai pas la force de la faire
puisque tu m'as blessée
et que je ne peux pas te consoler
parce qu'une autre t'a abandonné.

Donne-moi une chance
d'être la personne que je veux être.
Je vais faire tout ce que je peux
mais tu dois me laisser le faire de moi-même
Ne me poursuis pas,
libère-moi de mon amour pour toi.
J'ai besoin d'une autre chance pour vivre,
sans toi, loin de toi,
pour l'enfant que je porte en moi.

Je n'ai jamais eu ma place à tes côtés
je dois partir pour échapper à cette vie
Parce que cette fois,
tu as décidé sans salut
que nous n'avions plus rien à nous dire.
Comme ça,
en t'écoutant ta seule douleur,
sans m'écouter mes pleurs.

Tu me manques déjà maintenant
car mon amour est toujours présent.
Ton choix est le tien.
Mon choix n'est pas le mien.

_________________
Feyrak

Elle poussa la porte et vit que le feu s'éteignait doucement. Elle en fut contrariée, si personne n'entretenait le feu où aller se réchauffer alors ? Elle prit une bûche qu'elle plaça dans l'âtre et attisa le feu jusqu'à ce que les flammes montent très haut. Enfin satisfaite, elle fit le tour de la pièce. Elle se mit au milieu et tourna sur elle-même pour voir tous ces parchemins, disséminés ça et là.

Ces temps derniers, sa maison aux rêves avait été le témoin de sa tristesse sans borne. Il était parti en voyage, la laissant seule attendre leur enfant. Il n'avait pas été là pour la naissance de leur fille Laia. Pourquoi, dans ces conditions, vouloir un enfant ? Elle ne savait s'il reviendrait, peut-être déciderait-il de faire sa vie ailleurs, loin de sa famille. Elle n'en savait rien, mais le silence qu'il opposait à ces courriers équivalait pour elle à une totale indifférence qu'elle ne supportait pas. Il ne savait même pas qu'il était père. Après tout, peut-être que cela l'indifférait. Comment savoir ? le silence seul répondait à ses souffrances, mais de cela se moquait-il peut-être aussi. Elle lui avait écrit pour lui annoncer la nouvelle. Elle avait placé cet homme au dessus de tout, pour la première fois de sa vie elle avait accordé sa totale confiance, cru à ses promesses sans jamais douter.

Qu'en était-il aujourd'hui ? Pas un mot pour la réconforter, l'assurer de son amour comme elle l'avait fait dans chacune de ses lettres, rien.....le silence...cruelle indifférence.

Elle se retrouvait seule. Leur fille était née, angelot de l'amour. Quel petit bébé magnifique, elle était si belle avec ses yeux gris, ses cheveux tout noirs, l'enfant de l'Amour. Elle ne verrait peut-être jamais son père. Quelle ironie du sort, elle ne voulait pas d'enfant jusqu'à présent, le sort en avait décidé autrement, à elle d'assumer maintenant.

L'espoir l'avait quitté, elle l'avait gardé longtemps, mais il lui fallait se rendre à l'évidence. Ce silence répondait à toutes ses questions.

Elle soupira et déambula dans la pièce où tant de mots étaient posés. Son dernier poème, exprimait ce qu’elle ressentait, elle n’en ferait pas d’autre pour l’instant. Elle lut Sylu et sourit, puis Cyle et eut une pensée pour Apo et Sélé, la maîtresse des mots. Elle ne maîtrisait pas encore assez les mots pour les faire voguer comme elle aurait aimé, les faire danser comme au son d’une valse, cette envie était enfouie là au fond d’elle, mais elle ne savait pas la retranscrire.

Puis elle s’arrêta devant un poème qui lui serra le coeur. Seigneur, tant de souffrances pour si peu de bonheur.

Elle alla se mettre à sa place préférée devant l’âtre, elle avait besoin d’un peu de quiétude, Laia était aux mains de ses amies, elle était tranquille.

Elle ferma les yeux et revécu les mille instants de bonheur qu’elle avait eu avec l’homme de sa vie.

Quand elle les rouvrit, elle pleurait sur ce bonheur disparu.

_________________
Sylumi
Sylu entra dans la pièce, et comme à son habitude vint s'asseoir en face de la cheminée, les yeux dans les flammes. Elle souriait en pensant à cette naissance magique qui l'avait tellement émue. Fey était maman et pour rien au monde elle n'aurait voulu être absente pour ce moment si important. Elle alla accrocher son parchemin et revint s'asseoir.

LAIA

Après un long voyage vers l'inconnu
Te voilà enfin petit bout d'amour
Tu as ouvert ta main et serré son doigt
De tes yeux gris plongés dans les siens
Tu as allumé dans son coeur un incendie
Incendie brûlant de bonheur et de félicité
Toi si petite et déjà tellement importante
De ta bouche affamée tu as trouvé son sein
Et là blottie contre elle tu t'endors confiante
Ange descendu du ciel pour un amour absolu

_________________
Feyrak

Une dernière fois elle pousse la porte de sa maison aux rêves. Un grand soupir, un sourire nostalgique. Elle se souvient.....Seigneur ça a l'air si loin et si près à la fois...c'était....hier.

Elle refait une dernière fois le tour des parchemins, s'attarda sur son dernier poème. Un sourire triste s'affiche sur son visage amaigri par tous ces moments si difficiles qu'elle vient de passer et qu’elle passe encore. Elle laisse dans ces mots transparaître tout son amour pour lui. Le père de sa fille, l'Homme de sa vie. Plus jamais elle ne laisserai le rêve et l'espoir l'envahir à nouveau. Pour elle, sa vie se terminait avec son départ. Elle se consacrerait entièrement à leur fille, elle lui parlerait de son père en lui disant quel homme merveilleux il est.

Elle regarde autour d'elle, ferme les yeux et se laisse envahir une dernière fois pas tous les souvenirs qui la liait à ce lieu. Elle s'attarda sur l’image de leur couple près de la cheminée et la garda fixée dans sa mémoire à jamais.

Elle se décida enfin à partir le coeur lourd.

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Orlagh
cela faisait longtemps qu'elle etais venu ici elle se rappela le premier poeme qu'elle avais deposer.elle ne voulais pas que la piece sombre dans l'oublie.elle decida de garder cet endroit vivant.la cheminee etais noire orly alla chercher ce qu'il fallait pour la ranimer .elle etais le coeur de la piece sans elle la piece etais noir, froide.elle n'invitais pas les gens a entrer pour y deposer leur plume.elle deposa les buches dans l'atre pris un peu de paille et avec la chandelle qu'elle avais amener elle l'alluma.le bois pris assez vite elle tendit les main pour profiter de la chaleur .elle regarda le plafond ,ici et là des toiles d'araignees avaient elues domicile elle se dit que demain elle ferais le menage.elle relu les derniers poemes laisser elle sourit sur certain d'autre la laisser songeuse.elle ressortie de la piece en esperant que quelqu'un vienne y deposer une de ses pensees.
Orlagh
orly entra de nouveau dans cette piece maintenant il y faisait bon.elle decida de nettoyer et d'enlever les quelques toiles .puis elle pris la plume et ecrit une lettre a kika mais elle ne lui enverrais pas.
mon amour
sur un cou de tete
je t'ai quitter.
maintenant tout n'est que regret.
j'aimerais t'embrasser, t'enlacer,te murmurer des je t'aimes,
j'aimerais pouvoir plonger mon regard dans le tiens
et m'y noyer.
j'aimerais que tu me pardonne cette betise,
meme tes abscences celles la meme qui m'on fait "partir"
me manque.
je t'aime toujours autant qu'au premier jour.
tu es unique .
je t'aime.ton ange.

orly posa la plume puis relis sa lettre et resta la pensive puis elle fini par s'endormir.
Dancetaria
Elle avait besoin de se réchauffer après sa promenade dans les jardins. Frissonnante, elle entra dans la taverne, se précipita vers la cheminée.
Se frottant les mains l'une contre l'autre, pour se réchauffer, elle repensa au joli poème, qu'elle avait trouvé ...
Elle la sortit à nouveau, en refit la lecture.
A son tour, elle prit une plume, un parchemin. Elle ne savait pas si elle y arriverait, cela faisait si longtemps ...
Après un long moment de vide, elle commença à écrire quelques mots

Un bouleversement est arrivé,
Je n'arrive pas à le maîtriser
Je me pensais beaucoup plus forte
Pour ne pas me laisser piéger de la sorte...
Au départ une simple joie de te savoir ici, chez moi
Et rapidement des pensées qui envers toi s'attardaient
Tout d'abord j'ai pensé que je me faisais des idées
Que d'une simple gentillesse je m'en tirai des promesses
A tes côtés je me sens être
Plusieurs sourires tu m'as fait naître
Mais tout autant de question, je ne sais plus qui a raison
Quand le coeur raisonne, l'esprit déraisonne ...
Le souvenir de ces moments me resteront longuement
Des rires et des souvenirs
Mon esprit s'ennivre
Au contact d'une danse
Mon coeur doucement balance
La perdition est proche ...


Une plume qui se pose, fatiguée, elle laisse son bras tomber contre elle. La chaleur de la cheminée l'apaise. C'est ici qu'elle passera sa nuit, entre la chaleur et le crépitement ...

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Bailli du Béarn, Ambassadrice et ... Gagnante du Combat au bâton, organisé lors des festivités de Lourdes par Guidonius
Kadfael
Kadfael entra dans la taverne,
On lui avait parlé d'une taverne où la liberté des mots étaient appréciés,
Il voulait y participer, mais à sa surprise,
En entrant, il vit Dancetaria enfoncé dans le fauteuil qui dormait,
La plume imbibée d'encre, il posa l'encrier et la feuille bien remplie,
Il n'osa lire les quelques mots posés, ça ne se faisait pas !

le bois crépitait, le feu était magnifique !

Dancetaria était très belle cet instant, un ange !


Tavernier ? puis je la monter dans l'une de vos chambres vides ?
elle sera tout de même mieux sur un lit que dans l'une de vos banquettes...
Je paierai, ne vous inquiétez pas...


Accompagnez moi pour m'aider à ouvrir la porte de la chambre et vous assurez que je ne fais rien à la Dame, simplement la coucher, les ragots vont si bon train !!!

Kadfale prit délicatement Dancetaria, sous les bras et par les jambes et la monta doucement à l'étage pour la coucher sur un lit douillé.

Il lui déboutonna les premier boutons de son corsage afin qu'elle respire le mieux possible la nuit, replia les draps sur elle et apporta un verre d'eau qu'il déposa sur la commode.

Descendit voir le tavernier,

Prenez soin de la dame svp, c'est un membre important du conseil comtal,
Ah oui, ne lui dites pas qui l'a couché !
voici les écus...


Kadfael sorti de la taverne et alla se promener sous cette lune resplendissante...
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Dancetaria
Elle se réveilla en sursaut, quelque chose n'allait pas. Elle n'était pas chez elle. Elle ouvrit les yeux, mit un moment avant de tout comprendre. Elle était dans une chambre de taverne, selon toute évidence. Elle se remémora, elle s'était endormie auprès du feu.
Son corsage était déboutonné, enfin, uniquement les premiers boutons. Il était encore tôt ...
Trop de questions ... fatiguée, elle se rendormit ...

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Bailli du Béarn, Ambassadrice et ... Gagnante du Combat au bâton, organisé lors des festivités de Lourdes par Guidonius
Kadfael
Kadfael retourna dans la taverne où Dancetaria se trouvait...
Il demanda au tavernier si tout se passait bien ?
et décida de monter, il voulait veiller sur Dancetaria,
ouvrit la porte légèrement sans faire de bruit, et découvrit un ange,
un ange d'une beauté incroyable, ses cheveux brillaient, la lune traversait les rideaux et venaient illuminer lit où dormait Dancetaria...

Kadfael s'assied sur l'un des fauteuils et observa la belle demoiselle sur le lit, il fini par s'endormir...en faisant de doux rêves...ça lui changerait des cauchemards auquels il était habitué depuis quelques temps...

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Dancetaria
Son sommeil avait été long, mais si reposant. En ouvrant les yeux, elle fut encore surprise de ne pas reconnaitre le lieu où elle était. Les choses lui revenaient, mais une surprise, une présence, non loin d'elle.

Il dormait, elle sourit. Elle s'étira doucement et garda son regard posé sur lui ... Il semblait apaisé, si paisible, ainsi endormi .. Elle profitait de ce moment, plongée dans ses pensées, l'admirant ... Lui qui la chamboulait depuis plusieurs jours ...

Elle se risqua, à l'appeler, doucement


Kadfael ?
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Bailli du Béarn, Ambassadrice et ... Gagnante du Combat au bâton, organisé lors des festivités de Lourdes par Guidonius
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