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[RP] Un petit coin de Cheminée pour rêver et faire rêver[RP]

Kadfael
Toujours dans son rêve...Kadfael entendit qu'il était appelé...Oui mon amour ? répondit il à voix haute...puis sursauta, sachant que ce n'était qu'un rêve...

S'étira et regarda où il était un instant, AH Oui Dancetaria...
couchée dans le lit de la taverne...

Oui Dancetaria ?
tu as bien dormi ?
ça va mieux ?

Lui sourit...se leva...et lui déposa un baiser sur le front...
S'étira
, tu es toute belle comme ça le matin, les cheveux ébouriffés...

Tu ne m'en veux pas de t'avoir mise au lit ?
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Ivrel_samford
Des chuchotis amoureux dans la pièce d’à côté, chut on ne fait que passer...

Wamarine et Ivrel, sur le chemin d'Orthez à St Lizier.

Le matin de leur arrivée à Tarbes, la grande cheminée était éteinte, les braises noires recroquevillées dans un lit de cendres semblaient attendre une flammèche improbable pour les faire briller à nouveau. En avaient-elles envie, dehors le printemps était là avec toutes ses ivresses…

Sur le sofa creux, Samford rêvait d’un autre ailleurs et partait en vagabondage vers un illusoire indispensable à son esprit volage. La vie coulait en lui comme un grand fleuve impétueux emportant tout sur son passage, roulant ses « Hiers » sur un lit de galets rudes et découvrant à peine ses « Demains » soudains de plumes.

Il s’était réveillé, un matin, bien trop loin de sa belle, soulevé et jeté, innocent, dans un abîme sans mémoire, transporté en une nuit par-dessus les toits. On lui avait volé tous ses écrits, sa plumette était comme en suspend, éradiquée en un bref instant, une vie gommée… « J’ai perdu ma Wamette ».
Mais les rêves ont une force et une opiniâtreté, parfois on refuse de se réveiller. « Laissez-moi »…

Alors sur le bord de la table ovale, Ivrel, souvent fantasque, se calme enfin et se laisse porter par la douceur de cette flânerie. Plus tôt dans la ville et ses rues encore endormies une petite maison était restée introuvable, cachée dans la brume, perdue à jamais… « Ton lit de plumes s’est envolé avec tous ses draps froissés ».

Et puis les papillons seront encore bleus cet été, et les Fées danseront peut-être encore longtemps dans les blés.




Laissez-moi...

J'ai tracé sur ma table ovale,
Une parabole étrange et sucrée.
Une arabesque douce et létale,
Sur un papier de paille finement encré.

J’ai dessiné votre visage sur ce mur,
Griffé cette toile de soie trop fine.
Encore écouté en rêvant vos murmures.
Et puis j’ai roulé dans vos abîmes.

J'ai dansé sur ce bois de rose,
Virevolté dans le vert de vos yeux,
Pris votre main et puis zut, j’ose.
Vous dire enfin que je suis amoureux.

... rêver.

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Dancetaria

Mon amour ... Elle avait bien entendu ? Surprise, elle ne dit rien, il ne devait pas même avoir remarqué avoir prononcé ces mots à haute voix.


Bien dormi, oui, mais je vois que je ne suis pas la seule à m'être assoupie ..
.

Elle le regardait, il lui avait déposé un bisou sur le front... Elle souriait, elle était bien, pourtant dans une étrange situation, seule avec un homme, dans une chambre de taverne ...

C'est toi qui m'a mise au lit ? Oohh ... Oui, j'écrivais et ... mais, ma lettre, où est-elle ?


Un regard sur son décolleté un peu ouvert

Tu avais peur que j'ai trop chaud ?

Nouveau sourire, elle se leva du lit, essaya de se recoiffer comme elle pouvait ...
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Bailli du Béarn, Ambassadrice et ... Gagnante du Combat au bâton, organisé lors des festivités de Lourdes par Guidonius
Wamarine
Wamarine poussa la porte de ce lieu de poésie où elle était déjà venue par la passé. Elle entendit des amoureux et il lui sembla reconnaitre une voix. Une petit sourire sur le visage, mais oui ........ ce bon vieux, Kad toujours autant séducteur ! Elle resta dans la pièce à côté pour ne pas déranger. Sur la table, près de la cheminée un vélin semblait l'attendre, un vélin dont l'écriture n'avait plus de secrets pour elle. Wamarine lut le poème et un sourire plein de tendresse s'afficha sur son doux visage, son Ivrel l'avait précédée. Elle décida de l'accompagner dans ce lieu et déposa près du poème d'Ivrel, un texte qu'elle avait écrit il y a quelques temps, mais qui n'était resté qu'à St Liziers. Puis elle quitta la pièce, discrètement comme elle y était entrée.




Pour vous mon Ange

J'ai rêvé que je dormais dans les bras d'un ange
dont les sourires sur moi se posaient en douceur.
Les yeux pleins d'amour renvoyaient le mélange
De protection et d'affection né dans son cœur.

J'ai rêvé que je dormais dans les bras d'un ange,
Que ses mots susurrés berçaient mon sommeil
Et que mes yeux clos dans ce songe étrange
refusaient de s'ouvrir et fuyaient le réveil.

J'ai rêvé que je dormais dans les bras d'un ange,
Révélant la beauté fade de l'Archer des Dieux,
Qui m'offrait cet instant en échange
Du bonheur d'une vie à deux.

J'ai rêvé de toi, j'ai rêvé de moi, j'ai rêvé de nous ......

Wamarine

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http://forum2.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=24407&postdays=0&postorder=asc&start=0
Kadfael
Ta lettre Dancetaria ?
je l'ai laissé en bas sur la table avec la plume à côté dans son encrié

Oui bien sur que c'est moi, je t'ai pris dans mes bras doucement, tu es aussi légère qu'une plume, j'ai apprécié de porter et te déposer sur le lit.
Il était mieux pour toi de dormir dans un lit que dans un fauteuil affalé !

Oui il faut pour bien dormir ouvrir au moins les deux premiers boutons, ne t'inquiète pas, je n'ai pas profité de toi, tu as un corps de rêve, des formes à ton avantage, très agréable à regarder d'ailleurs,
sourit...

et puis je t'ai veillé toute la nuit et endormi par la force des choses, j'ai pensé me mettre à tes cotés pour dormir, mais je ne pense que ça semblait galant de ma part. et puis les ragots auraient été bon train !!!
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Kadfael
Dancetaria toujours allongée sur le lit, se rendormie comme un ange,
Kadfael décida de partir et referma la porte derrière lui...A tout jamais...

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Orlagh
orly entra de nouveau dans la piece et y laissa un petit mot
aujourd'hui est jour de fete
mais je n'ai point envie de boulasser
le printemps est là
avec dans sa besace
les fleches de cupidon.
il ya un an une fleche a toucher mon coeur
et il y a peu elle c'est briser.
le soleil sera mon futur aimé
celui qui rechauffera mon coeur
celui qui caressera mon visage
celui qui sera toujours là sans jamais rien dire
une presence a l'infini.
Dancetaria
Elle s'était rendormie, il était parti ...
Où était il ... Ma lettre, restée en bas.
Elle descendit remit ses habits en place et descendit rejoindre la cheminée ... Reprendre sa lettre.

Elle la trouva rapidement, elle la prit et la mit dans sa sacoche.

Elle s'en alla ... Se promettant de revenir ...

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Bailli du Béarn, Ambassadrice et ... Gagnante du Combat au bâton, organisé lors des festivités de Lourdes par Guidonius
Erel
Erel entra. Le coin de cheminée de Fey la fée. Celle-ci lui avait demandé de ranimer, ce lieu autrefois de poésies et de rêves, plutôt à l'abandon aujourd'hui.
Quelques bûches dans le feu presqu'éteint, se caler sur un coussin, puis d'un geste fluide laisser les mots s'échapper sur un bout de parchemin trouvé.


Citation:
Ma Terre, mes Racines


Toi qui m'a accueillit en ton sein,
Moi qui autrefois fut ce bambin,
Et aujourd'hui je te retrouve,
Sans honte te le dis, te redécouvre.

Terre éternelle de nos rêves de vie,
Comment ai-je pu vivre hors de ton coeur
Toi qui sans crainte, fais mon bonheur?
Je n'en sais, mais tu m'as ramené ici.

Ma vie, mon coeur, mon âme, mon esprit,
Béarn, tout simplement ma vie.
Tarbes, tu es mon âme et mon esprit.
Pyrénées, vous êtes le coeur, la folie.

Comment poser mes mots maladroits?
Je suis tellement troublé dans ces ondes,
Car je le sais, je le sens dans ce monde,
En ce jour tant attendu, j'ai retrouvé ma Foy.

Et à l'aube du chêne de l'univers,
Je me suis épris, pour toujours, de mes racines.

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Erel
Après sa petite escapade au vieux moulin de la ville, Erel passa, vérifiant que la cheminée avait toujours le feu qui ronflait dans son entre.

Une fois cela fait, il déposa son poème qu'il avait écrit là-bas, et repartit.


Citation:
~ Quand je m'éloigne de Toi... ~

Tourbillon de la lumière funeste,
Annonciateur de la terrible peste.
Toi, dont le nom effraie même les Roys,
Je t'éloigne, j'ai retrouvé la Foy.

Mon coeur aujourd'hui renaît,
Tel l'immortel phénix, de ses cendres.
Car de ma Terre, à nouveau retrouvée,
J'ai su quitté tes noirs méandres.

Alors viens, viens, viens me défier.
Toi, dont le ténébreux culte est déifié.
Ma Vie s'est à nouveau enrobée d'or,
Et je n'ai plus peur de toi, terrible Mort.

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