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[RP] Une Hydre et un Jargor , ça se marie

Sofio
Taverne de l'amour

Sont beaux les futurs, yeux dans les yeux, main qui n'osent pas, font même express de se lancer des petites phrase piquantes pour ne pas montrer leur trop grand attachement, quand soudain, un pigeon entre en trombe s'affale sur la table, toutes griffes dehors, il git ventre a l'air, tenant en son bec une missive, elle envoit la main, retire le pli et le déroule






salut toi

a un mec a Rodez nommé amael se dit de Toulouse, il affirme arriver sur Millau pour vous poutrer, il a envie de se faire de l'hydre, il m'a raconté sa vie, sont venus de Toulouse une vingtaine, ils ont les crocs méfiez vous

Harry qui vous veut du bien



Elle tend le pli aux mariés et leur dit

p'tin aura du monde au mariage, va falloir nourrir Toulouse maintenant, ca reviens cher toutes ces bouches a nourrir.
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Azoura
Assez basse somme toute l'entrée de la taverne...
Le géant du baisser la tête pour ne pas se fracasser le crâne en entrant...

De toute sa hauteur ,il jeta un oeil rapide sur les visages présents ,ça roucoulait,jacassait,chopinait...
tiens..ça se dit ça "chopinait"..ça fait tafiotte ce mot!!

B'SOIR VOUS TOUS

D'un pas franc,il s'engouffra dans la pièce en saluant de la tête ses connaissances...soudain son visage s'éclaircit à la vue de celle pour qui son coeur battait...
Il lui décocha un sourire des plus charmeur pour compléter sa trogne de beau gosse...fit glisser ses mains sur ses cuisses,s'affalant presque de tout son long sur elle pour lui aspirer la bouche et coller ses lèvres aux siennes en l'embrassant goulument,l'envahissant d'une langue très entreprenante .

hummm...toiii...!!!
C'est en la toisant qu'il se faufila à ses cotés la ceinturant par la taille..marque d'affection qu'il aimait lui donner...la toucher..la toucher...ses mains son corps l'a réclamait sans cesse!


TAVERNIER!!!...tournée générale....
parait qu'on va pendre deux gibiers potences


Sourire en coin en direction du Mestre Jargore et de sa futur Hydresse,levant sa chope d'un geste ferme il cria

QU'ON LES PENDENT HAUT ET COURT...les salopiaux!!!!

Ramenant la chope à sa bouche ,englouti le liquide en deux secondes avant de claquer le cul du verre sur la table.

Regard vers sa charmante...
Sinon chérie...t'as pas envie d'fair d'la couture ..hein?!
Histoire d'approfondir ce fameux point de croix!
Garance
Ce qu'il y avait de bien avec un mariage, c'est que toutes sortes d'invités, attirés par la promesse de mangeaille, d'alcool et de parties de bras en l'air ou de jambes, selon le caractère de chacun, bref des invités arrivaient de toutes parts.

Ah! Sofio! Des invités surprise, tu pourrais leur dire de ne pas ramener de fayots à la fête? Ce sera au grand air mais quand même!

A chaque tour en taverne, elle en en rencontrait de nouveaux avec mille questions.

Vous faites ça à l'église?
Non.. pas de curé, pas de diacre, pas de Très haut pour descendre sur nous.
A la mairie alors?
Mmmm.. la Mairie est un epu occupée ces temps-ci et je doute que la future mairesse nous prête les locaux pour la repeindre
J'ai rien à me mettre
Tant mieux, vous ne risquerez pas de le perdre.
Ca se passera où?
Aux abords du campement, en pleine nature.
On mangera quoi?
La Fouine prépare le banquet. Il en a organisé un au Château de Chambéry. Croyez-moi.. ce sera .. Inf... Ahem.. délicieux.
Garance, tu auras un bouquet?


Cette question-là, c'est le chéri de Sofio qui la lui posa et la réponse de Sofio fusa:
Les fleurs, ça se mange.

La fébrilité gagnait quelques uns et unes d'entre eux. Des filles peinaient à trouver cavalier ou montaient leurs exigences très haut.

Dans ces entrées et claquements de portes et la veille, Sofio partit comme Cendrillon à minuit tapant, laissant derrière elle une chausse. La ramassant, Garance fronça les sourcils.


Dis Ahl, c'ets du combien ça?
47 fillette Garance, je dirais.

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Pas de réponse HRP à du RP. "Rôlistes restez. On viendra à bout du "clic"! (Breiz24)
--Raymonde


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Elle était belle, grande, des jambes puissantes et le bassin qui allait avec.
Sa tenue semblait chic mais les tissus étaient pauvres et usés, plume de pigeon écrasé par un carrosse pour l'écharpe, écaille de poisson pour les paillettes de la robe, bijoux volés à une ivrogne trainant dans un caniveau, un petit manche de vingt centimètre d'acier pur, ça seule richesse pour sur.

Les manouches n'avaient pas les moyens de payer des catins de luxe, enfin surout si ce n'était pas pour eux...
La glotte prononcée, la voie d'une féminité forcée.
Barbe rasée surement la veille, heureusement son le système pileu avait l'air développé.

La dame, prit place au milieu de la bande de gars, en cette veille de fête...rassemblement de garçon enterrant celle de l'un d'entre eux.
Elle ne se trompa pas, elle était de la ville, y connaissait quasiment tous les hommes, de vue, en rêve voir en chaire!
Surtout ceux, pavanant au bras des moults femmes...
La seule erreur qui aurait pu avoir lieu, fut que ces jours là, il allait souvent se coucher seul.
Elle traversa la pièce, les regards ne la troublant guère, elle savait qu'elle attirait les regards des plus aventuriers de l'équipe...
A un mètre de Rix, elle se stoppe, le regarde droit dans les yeux d'un regard de cerf voir serf, ouais la biche il a du mal à le faire...Et lui adresse d'une voie virilement féminine.


J'suis la cerise sur ton gateau...Tu viens mon minou? Me montrer ta grosse Baiteuh! J'vais te gater...

Elle attend les main sur les hanches, le voyant figé surement de bonheur, enfin c'est ce qu'elle se dit!
Rix
Rix ne pouvait pas mettre un pied en taverne sans qu’on le questionne sur son mariage. Il y avait ceux, jargorois pour la plupart, qui arboraient des têtes livides, des dos voûtés, se préparant au pire, s’imaginant sans doute que le ciel allait leur tomber sur la tête en ce samedi de noces, retrouvant là des réflexes ancestraux de types dressés comme des I sur un bouclier. Il y en avait d’autres envahis par le stress, cherchant fébrilement un partenaire pour la soirée, une tenue adéquate ou un cadeau original pour les mariés et qui erraient de taverne en taverne, de marché en échoppe, dans l’espoir de résoudre ce dilemme qui leur rongeait les sangs. Il y avait celles aussi, excitées comme des puces, qui reluquaient le Rix de la tête aux pieds, jaugeant la marchandise, et prêtes à donner de leur personne pour aider le barbu à enterrer sa vie de garçon.

Finalement, les deux seuls à aborder cette grande journée avec sérénité n’étaient autres que les deux futurs époux eux-mêmes, à un détail près, depuis trois jours qu’ils avaient décidé le pire, ils n’en pouvaient plus d’attendre le meilleur, s’échauffant à longueur de temps par des baisers goulus et devant avoir recours à de l’eau bien glacée pour calmer des ardeurs qui n’avaient rien de sentimentales.

Rix avait déjà reçu un premier cadeau, par l’entremise de Dulin, avec un message qui ne laissait aucun doute sur son origine.

De la part d’une lapine pour son panpinou.

-Euh… merci, Nem.

Aphrodisiaques, les carottes ? C’est du moins ce qu’affirma Dulin, et bien que dans l’état où il se trouvait, il n’avait guère besoin d’en rajouter, Rix en croqua quelques unes comme d’autre l’avait fait avec le fruit défendu.

Vivement la nuit de noce !!

D’ailleurs, à ce propos, Sofio lui avait appris qu’il devait absolument respecter une tradition toute Rouerguaise, sous peine de rester Grosjean comme devant.

Qui a la comtesse chante chanson
aura un mariage rempli de copulation


Vla autre chose. Se pointer sous la fenêtre de la comtesse, cette illettrée, et lui faire la sérénade. Comme s’il n’avait que ça à foutre ! Mais bon, il décida de contredire son nom et de ne prendre aucun risque, ce serait trop bête d’avoir mis genou à terre trois fois pour en arriver à un mariage blanc, et partit dans l’idée d’écrire une ritournelle à sa façon. C’est ainsi qu’il rencontra en taverne autour d’une chopine Drunk et Labaiteuh, deux joyeux compagnons qui mirent un point d’honneur à lui rédiger la chose, à grand renfort de rimes lourdingues en « n ».

Le texte terminé se révéla une catastrophe. Difficile de faire pire. Et en fait de copulation, la nuit de noce menaçait de tourner à l’exécution, bûcher ou écartèlement, encore une tradition du comté qu’il ne connaissait pas et qu’il n’était pas pressé de connaître, on verrait ça plus tard. Mais comme il en avait vu d’autres, il alla retrouver tout son monde, rameuta les troupes, parchemin en main, montrant la direction du château.


-Eh, mes cocos, j’ai besoin de vous ! Me faut un chœur de pas vierges pour donner du coffre à cette affaire ! Vous verrez, c’est pas difficile, ça finit toujours pareil…

En fait de pas vierge, il en vit une sortir des rangs, sourire engageant, posture voluptueuse, et s’offrant comme une cerise, encore une qui le prenait pour une pomme, enfin, une, c’était à voir, la mâchoire trop carrée, les épaules à l’équerre, ça sentait la contrefaçon, et puis le Rix n’avait rien à enterrer du tout, au contraire, pour une fois qu’il pouvait faire abstinence ! Il n’avait qu’une seule chose en tête, passer sans encombre cette drôle de journée et coucher le soir la Garance sur un lit de pétales de rose pour lui conter fleurettes.

Alors, il plissa les yeux d’un air malin, s’avança vers la créature et lui mit la main au panier, empoignant ce qu’il trouva et faisant un tour et demi pour lui redonner voix plus féminine.
Aenore
Elle courait aussi vite qu'elle le pouvait.
Aénore était arrivée de bonne heure à Rodez ce matin là, avait fait un saut rapide en taverne pour se nourrir, mais ne put avaler qu'une bouchée, le poids à l'estomac l'empêchant d'en prendre plus.
Elle s'était versé trois ou quatre verres dans le gosier pour se donner du courage et avait repris la route directement.
Un ou deux villageois avaient bien tentés de lui faire la conversation, mais elle était d'une humeur massacrante et les pauvres gens, qui ne demandaient rien, en prirent plein les oreilles.

Sur les chemins entre Rodez et Villefranche, elle courait toujours, n'avait jamais été aussi pressée de quitter un comté.
Elle avait l'impression d'entendre les échos de la fête, de l'union qui se faisait à Millau, et que tant qu'elle resterait là, elle entendrait ces sons.
Elle se bouchait les oreilles, ne voulant plus les entendre, accélérait sa course, mais ses jambes ne la tenait plus.

Il parait qu'avec le temps, la douleur passe et s'efface, elle n'y croyait pas, plus les jours passaient et plus elle s'enfonçait dans le noir, elle voulait voir le bout du tunnel, mais avec ces voix qui ne s'arrêtaient plus , comment y arriverait-elle ?
Elle avait l'impression de devenir folle !

Elle s'effondra, s'écroula au sol, tel un corps sans vie. Ses membres ne lui répondaient plus, et pourtant, elle n'avait qu'une envie, se lever et courir, courir, courir toujours plus vite.
En larmes, elle les voyait, le regard plongé l'un dans l'autre, les futurs, face à face, main dans la main, en train de se dire oui et de s'échanger des voeux qui n'en étaient pas réellement.

Elle ne s'était jamais senti aussi seule, comble du comble, pour une personne qui aimait la solitude et qui avait toujours voyagé en solo.
Et pourtant, les pigeons virevoltaient autour d'elle, des amis qui avaient appris la nouvelle et qui s'essayaient à des mots réconfortants. Pauvres pigeons, elle les envoyaient tous ballader d'un revers de main, à croire que ce qui arrivait était leurs fautes.

Elle fini par se relever, tant bien que mal, et reprit la route à pas lents, les pleurs l'avait épuisée, vidée de toutes ses forces, mais il fallait qu'elle quitte le comté, qu'elle s'éloigne pour oublier un peu, le temps de refermer la blessure, si cela était possible, bien qu'elle ne croyait pas que ça se produirait.
Elle allait devoir vivre avec cette déchirure, cette image de lui qui lui brouillait la vue, mais elle ne pouvait et ne voulait pas l'effacer.
Elle ne cessait de repenser à tout ce qu'elle avait vécu avec lui durant ces longs mois, et n'aurait jamais pu croire un jour que ça se serait terminé de cette manière. Elle ne pouvait se résoudre à tourner la page...
--Maitre_blablatus.


[3 ou 4 jours plus tôt à Bordeaux..]

L’extase la plus totale habitait Maitre Blablatus en ce jour de Printemps ensoleillé à Bordeaux.

Ses doigts boudinés caressaient une chausse de velours fin. Les yeux presque embués :

N’est-ce pas une merveille de mignonnerie exquise. ?
« Hum.. «
La dernière maitresse en date leva un œil distrait sur le nabot. Elle était habituée aux divers caprices de Blablatus et avait appris à répondre le plus souvent par un « Hum… aux questions de l’avocaillon.
Tactique imparable avec un homme qui n’écoutait que lui-même. Elle lui devait sa longévité dans l’appartement luxueux du nabot à Bordeaux.

Un jour, j’ai observé le galbe de son pied sous la Table du Tribunal Guyennais. Un moment d’intense révélation
Hum….
La courbe de sa cheville aux doigts de pieds est parfaite..

L’émotion le gagnait en centimètres à une vitesse nanesque.
5000 «écus, j’ai payé pour avoir une de ses chausses . Et un jour je les tiendrais entre mes mains.. Un jour..
5.000 écus pour cette godasse ?


Le naturel de la rue revenait au galop chez la gueuse montée trop vite en « Nièce de Blablatus..

Le Nain, t’es là ?

Une voix grave et sans appel traversait la porte d’entrée. La Maitresse souffla .. sauvée par le gong.

Balablatus, en pleine divagations pédicuriennes sursauta et lâcha l’objet de son désir.
Pestant intérieurement contre ces moqueries incessantes sur sa taille , il vait appris à masquer le profond mépris et la colère pour ces personnes qui se disaient « normales ».


Va ouvrir.. tu te rendras utile
Hum.. ?

Claquant sa main contre le fessier opulent de la gueuse.

File ! tu engraisses.

Maugréant, elle ouvrit la porte à un homme goguenard qui lui passa sans autre forme de politesse.

Alors fripouille, t’as tout dépensé ?

Le nabot, regardant les ongles de ses mains manucurées avait parfaitement reconnu la voix . Répondant du tac au tac :

Tu arrives à temps.. Mes clients ne me paient pas..

Narquois, le brigand le toisa :

Cache ta graisse sous une cape et rejoins-moi, nous partons à Millau.

Ah mais c’est loin Millau.. Le trajet, les auberges , mon confort. C’est que je n’ai plus le sou moi. Ils ont fait quoi encore ?

Bien pire que tu n’imagines.
Ils n’ont pas enlevé l’Armoire aux rats quand même ?
Pire
Le Roy ?
Pire ! Y a la Garance qui se marie et tu dois être là pour entendre le oui.
Le oui de qui ?
Du marié . Dès fois qu’il se rétracterait. ..Et alors là..

Fit un signe de la main en travers de la gorge.
Je vois.

[Là où ça doit se passer. ]

Et c’est empoussiéré, suant et dégoulinant que le nabot se présenta sur le lieu de la cérémonie.
Un peu à l'écart du campement.
Les invités se pressaient et poussé par son garde du corps, même pas le temps de se rafraîchir le gosier, l'avocaillon de l'Hydre se trouva face aux futurs.
Un parchemin posé sur une table. Deux plumes.
Le strict minimum et l’essentiel pour un homme de loi.
Sofio
C'était l'heure le moment, enfin....vêtue de sa magnifique cape jaune et verte; magnifique pas si sure d'elle, a voir ce que azou allait en penser quoi que non il n'était pas objectif aussi, même en culotte dentelée il serait encore capable de la dire bien drapée.

Alors c'est l'heure?
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Ahlatete
Ralant, pestant, rageant, contre les éléments qui, comme à l'habitude se sont ligués contre elle, ahla se rend au mariage de sa chef préféré.

La veille, elle a trop bue. Fin non, pas vraiment trop bue meme moins que d'habitude, seulement, elle sort de prison, elle a la dalle, et il a suffit de deux verres pour qu'elle essaie de danser le sirtaki en équilibre sur un tabouret. Tabouret qui n'a pas résisté aux assauts de la pourtant famélique ahla......
Se relevant péniblement, elle a décidé d'arreter les frais et de rentrer se coucher.... Chose qui aurait du etre simple, mais qui, pour le coup ne l'a pas été du tout... Incapable de trouver la porte de la taverne, n'ayant reçu de secours de personne, elle a finit par se manger une poutre, qu'elle a copieusement insultée de tous les noms d'oiseaux qui lui sont passé par la tete....
Tout de meme un peu assomée, elle a fini par s'allonger tant bien que mal sur un comptoir nettement trop haut pour elle...
La nuit ayant été entrecoupée de chutes, de relevage, de nouveaux retombages, il est donc tout à fait sérieux d'envisager qu'elle a été courte....

A l'aube, elle ouvre un oeil de lapin albinos, le referme, espérant atténuer la douleur qui lui vrille le crane.... Sans succés aucun bien entendu....

C'est à se moment qu'elle sort de la taverne en ralant, pestant, j'en passe et des meilleures....

La chef se marie, et ahla ressemble a rien.... Non pas que d'habitude, elle ressemble a quelque chose, mais la, elle ressemble définitivement à rien... Il reste tout de meme un peu de temps poru se préparer...

Elle plonge dans le lac de millau, en ressort, pour constater qu'aucune amélioration visible ne s'est produite....

Tant pis, elle se dirige vers la roulotte de lab, esperant y trouver de quoi se vétir. Une pensée pour ça soeur qui lui manque réellement, qui l'aiderait à comprendre pourquoi tant de betise.... Pas le temps de s'apesantir sur ce genre de détail totalement improductifs....

Elle dégotte une robe, l'enfile en quatrieme vitesse, ressort de la roulotte en courant. Et se dirige vers le lieux du mariage de sa chef....

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Jeni...
{L’après midi du mariage}

All et moi avions eu une idée pour le mariage de Garance et Rix…. C’était, et ça devait être un mariage pas comme les autres… Bien soit, nous allions leur faire voir que nous savons nous amuser.

En plus d’être un très bon archet, All était très bon peintre... Et ça tombé bien il nous resté de la peinture de la mairie de Lectoure. Et nous avions le choix de la couleur en plus..

Nous nous étions levé tôt pour pouvoir être beaux..

Un peu à l’écart, quelque part dans la foret bordant le lac, J’étais nue et servait de toile pour que l’artiste laisse sont art s’exprimer.

Je vous passe les détails hein….

Apres avoir fini, il me recouvrit d’un peignoir de soie qu’il avait pensé à emmener. Avant de le refermer, il contempla son chef d’œuvre puis me fis signe qu’il était temps d’y aller.

Fier de notre « connerie », nous allions en direction de la fête.

{Lieu de la fiesta}

Juste deux personnes étaient là… QUE DEUX !!!!

Bonsoir Sofio, dis moi c’est qui le gros là bas ? j’le connais pas moi..
Dis moi ils sont déjà tous parti où alors ils sont tous tellement dépité par ce mariage qu’ils vont bouder toute la soirée ?


Elle ne reponda pas à mes questions visiblement beaucoup plus intéressée par ce que je cachais dessous mon peignoir.

Tu caches quoi là dessous ? J’serai bien curieuse d’le savoir moi…

Bon je te fais voir mais tu dis rien a personne hein.. Quoique ils vont bien tous le voir de toute façon c’est ma tenue de soirée fait par All lui même.

Je regarde All toujours à mes cotés en souriant, puis enlève ma seconde peau d’un soir pour montrer ma tenue à Sofio



Alors Alors t’en penses quoi ???

Au loin j’aperçois le petit gros qui passe par toutes les couleurs, ce qui me fait rire aux eclats.

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Garance
Ah! le gredin de Blablatus était là. Avocaillon de l'Hydre en Guyenne et à la Cour d'Appel, le nabot s'était enrichi sur leur couenne mais leur avait rendu grands services.

Bon, le moment était venu. les invités et amis arrivaient. Et Rix à ses côtés, sorti de taverne.

Blablatus!

Montrant Rix de la tête..

C'est lui qui doit dire oui..
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Pas de réponse HRP à du RP. "Rôlistes restez. On viendra à bout du "clic"! (Breiz24)
Sofio
Ouvre de grands yeux quand le peignoir s'ouvre, bouche qui s'ouvre grande, prête a gober mouches et tout ce qui passe...peinturlurée turluturéee emballée ...

Original!!!! fin pas banal pas trop cher comme tenue, all est un artiste??

En revient toujours pas aura vraiment du mal a détourner le regard jamais vue ca, sur que les gens du Rouergue vont les trouver bizarre, peut être qu'elle tenterait ca un jour, cela devrait plaire a quelqu'un...

Bon,ils se sont dit oui ca y est? on peut boire?
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Rix
Rix traînait plus qu’il ne suivait derrière Garance. Il n’en menait pas large. Lui qui ne disait jamais non, il avait cette fois-ci une peur bleue de dire oui. Allez savoir pourquoi. Pourtant, Garance, elle lui bottait de plus en plus, sans rire, justement parce qu’ils se marraient bien ensemble. Et puis elle avait du chien, et rien d’un caniche, sauf qu’elle avait tendance à mordre, fallait voir si elle s’arrêterait au nez.

Donc, le oui avant de devoir être prononcé était déjà coincé dans la gorge, sans doute une éducation à refaire, la frousse des conventions, des us et institutions, comme d’autres ont peur des maréchaux, pas lui, hein, l’en aurait bien reçu un comme cadeau de mariage pour lui taper dessus et passer ses nerfs.

Garance lui présenta un nain, Bla quelque chose, pourquoi pas, ça le changeait des géants, et il lui serra la pince avec une vigueur exagérée, toujours les nerfs, ce qui secoua le petit homme de bas en haut, lui donnant de nouvelles sueurs, mais il sembla avoir du métier puisqu’il resta stoïque, rajusta son costume et lui sourit :


-Vi, c’est moi, Rix, le promis.
Aenore
Elle regardait le soleil qui n'était plus là, la lune avait pris place...
C'est sur, cette fois, ils s'étaient unis !

Elle ne pouvait y croire, ne pouvait définitivement s'y résoudre, ce n'était pas possible, et pourtant, elle n'avait rien fait pour s'y opposer et le regretterait surement pour le restant de sa vie. Elle était prête à faire demi tour, lui dire plus que jamais qu'elle l'aimait, qu'elle avait besoin de lui, prête à le partager avec d'autres s'il le fallait, mais prête à tout pour le garder prés d'elle.
Mais pourtant c'était elle qui avait décidé de rompre, encore une chose qu'elle regretterait toute sa vie.
Elle continuait d'avancer...Que faire d'autre ?

IL avait décidé
IL avait choisi
IL allait vivre sans elle
IL allait vivre avec une autre

Aénore était au plus mal, personne ne pourrait lui faire vivre ce qu'elle avait vécu avec lui.
Personne ne pourrait plus jamais la faire vibrer comme elle avait vibrer avec lui !

Elle était effondrée, elle était incapable de se relever d'une telle épreuve, elle ne s'en sentait pas capable...
--Maitre_blablatus.


Ils voulaient sa mort.. Lui avocat et nain devait endurer la vision d'un géant barbu qui le secouait comme un prunier.
Dégageant sa main parfaitement manucurée de la poigne de fer, il eut peine à articuler.

Eh bien dites juste oui, ça suffira .

En son for intérieur, le nabot compatissait du haut de ses un mètre 50 à ce brave homme qui nouait une bribe de vie à une Hydre appelée avec affection par Fernand "le dragon invivable".
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