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[RP] Un tribunal s'ouvre pour un procés peu commun...

Rimaux
Rimaux avait entendu le long discours du malfrat mais n'y avait compris goutte. Dépité, il regarda autour de lui, il sentit que la tension était palpable, que tout le monde était nerveux mais il ne savait pas pourquoi. Quelque chose dans les paroles du gredin avait changé la donne. Il soupira et se massa les tempes, il avait mal à la tête. Mais qu'est-ce qu'il fichait ici ? Pourquoi n'était-il pas en taverne ?
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Secrétaire Ducal de Polignac.
Princesselaure
Décidément, ce procès était de loin le plus tumultueux qu'elle avait pu connaître dans sa carriére... En fait elle n'en revenait pas, il se permettait avec culot, dédain et de façon narcissique a inverser la teneur du procés... Les juges devenait accusés et vis versa... Elle aurait voulu se lever plus d'une fois pour lui coller un soufflet, plus d'une fois mais ne fit rien, la bienséance, la raison ou encore l'impartialité... Puis elle croisa le regard de Sakura... La main sur le fourreau... Elle était là... Veillant sur sa personne... Se sentant plus forte... Sure d'elle... Puis c'est Sonia qui reprit le flambeau... 10 jours de prison et 1 écu d'amende... Voilà la peine proposée par le procureur... Laure ne l'entendit pas de cette oreille... Soudain c'est l'accusé lui-même qui prit parole, comme si ce tribunal était sien, comme s'il avait déjà les pleins pouvoirs... Le Roy de la Basse Cour... Mais un mot de trop... Une mauvaise interprétation... Fatigue... Stresse... Perte de sang froid... Sueurs froides...

Pauvre de vous... Sachez que par le souhait de sa Grâce, le Duc Lanfeust a placer en moi l'entière souveraineté de ce tribunal... Je suis donc en mesure de faire ce que bon me semble sans pour autant violer mon serment à la couronne ducale, sans pour autant bafouer notre coutumier, sans pour autant trahir la charte des juges...

Laure se leva furtivement de son trône de bois et se dirigea vers l'accusé... Se plaçant devant lui... La main brûlante qui vient s'échouer sur sa joue ferme... Tout en entendant le "clac" caractéristique elle continua dans un élan de rogne et de rage...

Vous savez certes manier les mots mais sachez que vous restez simplement un enfant du sans nom, un trouble, une nuisance, une vermine... Qu'il faut anéantir coûte que coute...

Alors qu'elle retirait sa main de son visage, Les regards deviennent sombres... Les iris se mélangent une nouvelles fois... Ni l'un ni l'autre ne cédera... Laure le fixe puis reprend férocement à la manière d'un félin...

Que va t'il advenir maintenenant...

Léger basculement de tête pour chasser les boucles venues se loger sur le devant du visage de la Chamalières... Soulagée dans un sens mais endolorie de l'autre... Elle ne détourna pas le regard... Cet homme venu s'installer ici pour seul but de nuire encore a la stabilité fragile du BA... Son souhait de faire tomber la capitale... Sa soif de pouvoir malsin... Cet individu lui rappelait quelqu'un... Un souvenir d'antan... Son oncle... Le même air supérieur, le même charisme aussi... Sa soif de vengeance... Puis ce qui devait arriver... Arriva... Regardant Sakura et Sonia tour a tour voulant dire n'intervenez pas... Pas tout de suite... Patience... Sa place n'est pas en prison mais décapité ou pendu... Pour cela... Il fallait plus qu'une simple insulte... S'en prendre à Laure d'Orsenac valait bien plus... Laure la noble, Laure la juge et surtout... Laure d'Orsenac... Fiancée et Future épouse du Duc régnant... Un seul geste il est serait pendu haut et court dans les prochaines heures... Au fond elle espérait que celui ci bouillonne à son tour et que l'irréparable soit commis...
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Sonia80200
Ni une ni deux sur les assauts verbales de cet être méprisants. Laure se lève, elle ne voit pas son geste jusqu'au bruit qui en dit long.

Voyant que Laure, les regardent tour à tour pour ne pas intervenir, elle sait que le badaud n'en restera pas là, elle en été sur, il ne faut jamais faire confiance à ses vils personnes.

Comme ancienne maréchale qu'elle ait, elle fit tous de même un pas pour ne pas être trop loin d'eux. Sentant que son épée ne sera d'aucune utilité, elle posa sa main à son dos, là ou il y a toujours un couteau, son couteau offert par son père avant qu'il ne meurt.

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Rimaux
Rimaux qui commençait à somnoler, vit soudain Laure se lever, s'approcher du type et le gifler. Il en était tellement surpris qu'il resta un moment la bouche ouverte à cligner des yeux. Est-ce un rêve ? Laure, la sainte nitouche avait-elle bien frapper ce type ?
Il n'arrivait pas à y croire! Il ne pouvait même pas bouger, se contentant d'observer la scène surréelle qui se passait devant lui comme s'il était au théatre... sauf que là c'était vrai.

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Secrétaire Ducal de Polignac.
--M.cupide
Cupide, stupéfait, observa la scène du soufflet. Voilà que la juge s'en prenait physiquement à l'accusé! C'était bien la première fois qu'il voyait ça. La blonde était en train de craquer et c'était sans nul doute une grosse erreur: comment l'Oesophage allait il réagir?

Cupide faisait néanmoins parti des rares spectateurs à avoir pu observer la scène, et c'était là bien la chance du Roy des canards. Quelques murmures traversaient la pièce, les gens se demandaient mutuellement quelle était la cause de ce bruit aussi soudain que violent.
Saisissant sa chance Cupide se retourna vers les autres spectateurs prononça d'un ton scandalisé mais convaincant


- Un garde a frappé un spectateur! Mais quelle est donc cette mascarade!

La rumeur se répandit petit à petit dans les rangs de spectateurs, laissant peu à peu place à une agitation grandissante. Les uns et les autres, convaincus de l'outrage commis par le garde en faction, commencèrent à douter de l'issue du procès, au vue de la folie de l'accusé et de la perte de sang froid des officiels.
Cupide satisfait de son coup, se leva et entraîna ses plus proches voisins à faire de même, créant les prémices d'une vilaine cohue.
Oesophage
Une claque. Son sang ne fit qu'un tour, duquel ses yeux se gorgèrent.
Puis des secondes. Un court laps de temps, qui lui paru être une éternité, durant lequel il resta figé, la tête suspendue dans le prolongement du coup, à méditer sur la portée de l'acte. L'Œsophage, c'était le choléra, une calamité sans nom qu'il ne valait mieux pas approcher. Alors en général, on ne le frappait pas. On osait pas, au moins: la peur, ça se gagne. Y en a qui traînent un roquet, lui, il traînait partout cette violence écarlate, comme il y a de ces pommes, avec des hanches de sac à brosse, et l'air mauvais. Alors cette claque, ce coup. Cette Juge était pétrie d'inconscience, en oubliait aussi son assermentation. Vous pensez bien que les choses n'allaient pas en rester là.

La respiration se fit plus forte à mesure que les secondes passaient, les pupilles du brun vacillaient de plus en plus.

La douce rumeur d'un soupir lui parvint aux oreilles, comme si d'un million de poitrines s'était exhalé le souffle simultanément. Puis des cris, des insultes, du mouvement. Le public, visiblement, prenait lui aussi les choses à cœur. Il faut dire qu'une Juge frappant un accusé, c'était à en roter des ronds de chapeau, c'était inexplicable et intolérable.

Il se redresse enfin, la gueule des mauvais jours, de larges veines lui striant tout le visage.

-Il faut être idiot pour donner une raison pareille de s'faire battre quand le monde pullule de gens qui brûlent de vous suppléer dans cette besogne, catin!
Sa main surgit alors, qui, tel un piège à loup, emprisonne si brutalement le cou de la Juge qu'elle n'en pu sans doute pas avaler une bile de stupéfaction. Puis, avec une roideur de fer, ses doigts s'enfoncent plus avant dans le cou, pressant les carotides de mettre fin à leur flot impur.
J'vais t'en donner moi, de la nuisance..
Oh, elle essaya bien de se rejeter en arrière, mais elle avait beau se ruer, se débattre, démener sa tête en tous sens, loin de se relâcher, la prise, -et avec quelle poigne!- s'accentuait, et à la sensation que l'air ne parvenait plus, se mêla inextricablement la saveur saumâtre du poing d'Œsophage dans son visage.
"Celui qui attise la colère, sera le premier à périr dans ses flammes." Le coup était parti de loin, fort, lourd, un coup rageur. Oh, il l'avait prévenu, la garce. Il lui avait intimé de lui rendre grâce, rappelez-vous, ce qu'elle s'était empressé de faire, mais guère au goût d'Œsophage. Car effectivement, c'était de sa place dont il était question.

Il sauta le barreau, pour se ruer sur sa victime, alors que la plupart des gardes semblaient débordés..

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Princesselaure
Alors que l'accusé eut pris sa gifle, un son se leva sur le côté de l'assistance... Le regard sauvage qui lâche sa proie... Erreur Fatale...

- Un garde a frappé un spectateur! Mais quelle est donc cette mascarade!

Moment d'incompréhension... Pourquoi avoir dit cela alors qu'il peut jouir aisément du spectacle que lui offre la juge en personne... Puis Laure comprend alors la supercherie, provoquer une émeute voilà le but... Empêcher la garde de venir à elle... Assaillie par les villageois et "complices"... Laps de temps très court qui se passe... Elle n'entend plus rien autour d'elle... Ni le bruit des gens qui hurlent, ni le son des bancs et chaises tombant à la renverse, ni le bruit des portes que l'on condamne pour éviter la fuite... Les yeux bleus plongés dans l'onyx de l'accusé... La haine se laissant lire... Pour sur... Elle allait déguster... La vie fait que des blessures du coeur sont parfois plus rudes que celle du corps...

Il faut être idiot pour donner une raison pareille de s'faire battre quand le monde pullule de gens qui brûlent de vous suppléer dans cette besogne, catin!

Dernière grosse respiration... Les yeux stupéfiés, limite sortis de leurs orbites... Sa main vient encercler sa gorge... Jamais elle n'avait senti de main si grande se poser sur son corps de femme... Des mains immenses... Dures... Etranglantes... Ettoufantes... Elle sent brutalement l'air lui manquer... Le sadique enfonce des doigts si indélicats... Elle voudrait crier mais rien ne sort... Hurler sa rage... Crier sa douleur... Mais rien ne sort... Elle est enfermée... Seule... Priant que Sonia ou Sakura aient gardé l'oeil sur elle... Sur lui... Sur eux... Les mâchoires qui se crispent... Elle commence a trembler de tout son corps... Encore quelques minutes et elle ne fera plus partie de ce monde... Son monde... Alors que son enveloppe est en émoi... Elle pense à ses enfants... Clément et Constance... Arthur... Et Lanfeust... Son Duc... Celui qu'elle doit épouser dans moins d'une semaine... Sa vie réduit a néant par cet homme devant elle... Qu'elle ne connaît pas... Qu'elle n'aurait jamais voulu rencontrer... Pas même devant cette cour... Une phrase balbutiée qu'elle ne parvint pas a comprendre... Les tympans bouchés par la pression... Dernier essai pour s'échapper rien n'y fait... Elle est prise comme un biche par une flèche, une truite par un hameçon... Un criminel par la corde... Le voilà à présent prendre appui sur ce corps en effervescence pour se retrouver plaqués au sol... La tenant aussi violemment que tantot... Espérant au fond mourir pour ne plus souffrir... Les paupières qui se ferment doucement... Un ultime acte de bravoure... Elle parvint a remonter sa main au niveau de la sienne, et plante ses ongles dans la chair... Faisant glisser pour que celui ci sente la douleur mais rien... Il ne lâche pas... Pas encore... Elle se force à le fixer... Qu'il garde son regard bien en mémoire pour le jour de la vengeance...
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--Les_six_veuves
Le bruit familier d'une main qui s'écrase sur une joue, un "vermine" placé grossièrement dans la phrase qui s'en suivit, et malgré les têtes à poux qui se dressaient devant elle, elle comprit en l'espace d'un instant fugace que la limite venait d'être franchie et que notre bon Roy n'allait pas tardé à riposter. Elle avait eu du mal à contenir son calme jusque là, prête à sauter sur quiconque au moindre faux mouvements. L'occasion se présenta alors sur un plateau d'argent, trop belle pour ne pas la saisir, elle n'hésita pas le temps d'une réflexion lorsque déjà l'un des piques détournait l'attention de la foule.

Aussitôt la blonde se détacha prestement du mur où elle était fondue et détailla le garde le plus proche d'un air mauvais, pointant un doigts accusateur vers lui avant de se mettre à gueuler de manière à surpasser le bruit de l'émeute qui se formait, et d'en pousser quelques marauds à réagir.

C'est lui l'scélérat ! C'bas de poil a frappé une jeune fille ! C'est un coup monté ! Attrapez le !

Le col d'un gamin innocent qui lui passait d'entre les jambes fut saisi discrètement d'une poigne ferme tandis qu'elle s'approchait d'un air faussement affolé vers le garde qu'elle venait d'accuser. Un élan, et le gamin se retrouva balancé vulgairement dans les bras du garde tel un sac à patate. L'enfant s'était mis à hurler, provoquant l'attention des autres sentinelles.

C'n'est pas un garde ! Il enlève un gamin ! A l'enlèv'ment !

Son action eu l'effet attendu, la foule tourna le dos au Juge et à l'Oesophage, le laissant ainsi régler l'affaire de la claque
On sourit moins, hein ?



Rimaux
Une émeute! Rimaux avait encore plus de mal à y croire, il vit tout le monde se lever et dans un même mouvement, se leva aussi. Certains couraient, d'autres montraient du doigts un garde avec un enfant dans les bras. Il ne comprenait pas ce qui se passait, il y avait trop de bruits, les gardes essayaient de faire régner le calme en vain.
Dans le brouhaha de la salle, il entendit cependant une dame parler d'enlèvement.
Il leva un sourcil intrigué, qui tenterait d'enlever un enfant dans une salle de tribunal pleine de gardes, en présence du prévôt, du juge et du procureur ? Il y avait d'autres endroits plus propices pour ce genre de méfaits, mais les salles de tribunals...
C'était louche.
Soudain inquiet, pris d'un mauvais pressentiment, il se tourna vers le suspect ...
Ce qu'il vit le stupéfia, le suspect étranglait Laure d'Orsenac. La foule en colère, tournait vers le garde ne s'était aperçue de rien. Il cria:


La juge, la juge! Elle se fait étrangler!
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Secrétaire Ducal de Polignac.
Cirano
le sergent chef cirano avait reçut l ordre de se rendre au tribunal ,apparament il y avait un serieux probleme et plus il approchait plus le bruit lui prouvait qu effectivement la situation était grave ,c est accompagné de plusieurs de ses soldats ,la main prete a sortir l épée qu il entra dans la salle soumise a une forte agitation ,on ne voyait pas grand chose ,les gardes semblait plus que debordé et la juge introuvable ,sans oublier qu on ne pouvait decerner que des bruit inaudible dans la cacophonie ambiante ,rapidement il rassembla ses hommes arriver derriere lui pour tenter de calmer la situation

avec moi soldat ,eparpiller les civil rapidement avant que la situation ne degenere trop et qu il y ait des mort ,ah et rappelez vous malgrés les apparences ce ne sont pas des brigands ,je ne veut pas voir de sang couler ,c est compris ?
Jiao
Une journée comme une autre qui démarrait…ou presque.

Les soldats clermontois vaquaient à leurs occupations diverses au sein de la COBA..
Lorsque de tout part, des messages leurs vint.

Un procès, une attaque, une émeute, une agression sur la juge…Laure…

Laure…Laure…Laure…oui Laure…non…Lanfeust, oui…
Ca y est...Laure !
Comment ça....Agressée ?!?

Cirano les avait rapidement rassemblés.
Et les soldats se rendirent d'un pas plutôt rapide jusqu'au Tribunal.
Il fallait calmer les choses, virer ceux qui n'avaient rien à faire là...

Lorsqu'ils arrivèrent en vue du tribunal, des cris de haine et des bruits d'une bagarre intense se firent entendre.
Il fallait agir vite !

Ils entrèrent dans le bâtiment censé être de Justice où régnait une vraie bataille civile. Une véritable émeute.

Cirano donna ses ordres, et aussi rapidement, les soldats vinrent prêter main forte aux gardes, qui semblaient débordés de tous les côtés...
Il fallait faire sortir ceux qui n'avaient rien à faire là, et maitrîser les fauteurs de troubles.

Et d'un coup, Jiao entendit une voix résonner


La juge, la juge! Elle se fait étrangler!

Ses deux émeraudes balayèrent la pièce.
La Juge...la juge....Mais où était-elle, la juge ?!?

La foule se faisant dense...trop dense dans cette salle qui semblait trop petite.
Jiao posa sa main sur le pommeau de son épée, mais les paroles de cirano et son...je ne veux pas voir de sang couler... la ramenèrent à la réalité.

Certains n'étaient que des civils innocents, alors que d'autres étaient des traîtres.

Sans hésiter, la brune s'avança, tantôt séparant une bagarre, tantôt évitant des coups...
Il fallait retrouver la Juge dans toute cette mêlée violente..

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Sett
Le Jeune Sett, défonça la porte d'un coup de Pied !

Hé Ho Les Vieu !
Faites donc moins de bruit !
Les travailleur font la sieste épuisée par cette canicule !
Kes k'on s'en fout de ce traitre ! K'on lui coupe la tete, a fra une bouche de moins a nourrir dans nos prison 7étoiles qu'il ne mérite même pas a en écouter ces propos !


Il prit son baton, Made in Bois de Clermont, en Main et s'approcha de la foule qui s'excitait

Ho comme tu est marrante jeune Lache sous ta capuche ! Dit-il a une femme qui criait n'importe quoi sur un brave gardes . Surement une complice de ce traite, elle aussi très courageuse ...
Sonia80200
Tous se passa au plus vite, son regard c'était porté sur l'assemblée qui s'agitait, des mots parcourant la salle d'audiance. Un garde qui frappe un spectateur, puis une méler qui se fait plus dense, de personne debout.

Elle ne voyait plus Saku, qui était là pour aussi la sécurité du juge. Trop de monde. Tournant la tête en tous sens, ne sachant que faire...

Un seul bruit parvint à ses oreilles n'ayant pas bougé de sa place pour être au plus prêt de sa marraine, elle voit cet pourriture se jetant sur elle, ses gros doigts qui encercle son cou. Tournant la tête en tous sens pour voir s'il y a du monde pour l'aider mais personne, la foule est dense même les soldats n'arriveront pas à temps.

Sortant son couteau de derrière son dos, sautant sur le dos de cet homme tous en essayant de lui attraper sa chevelure pleine de poux suite à son séjour en prison, il put le porc !!!!
Son coeur s'emballe, faire comme si c'était ses cochons qu'elle égorgé, elle claque sa lame son cou faisant son possible pour l'appuyé à son maximum, le sentant se débattre pour y échapper mais par dessus tous, il faut qu'il lache Laure...marmonnant des mots d'une vois roque sous l'effet de l'enervement.


Lâche la raclure ou je te saigne comme un porc !!!
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Lord_dylan
Dylan avait appris que le procès était très agité. Il décidât donc s'y aller au pas de course. Il entrât dans la salle, épée à la main, quand il vit la cohue qui régnait. Il aperçut un Chef dont il avait oublié le nom et il décidât d'aller le voir. Il glissât au Sergent-Chef :

Première classe Lord_Dylan, présent Chef.

Avant de se placer à ses cotés.
Vanessa22
Vaness arrivait après avoir été prévenue du foutoir qui se passait
au procès, elle entra dans la salle et regarda ce qu'il s'y passait elle
fut bien surprise de voir cela, non mais on n'est ou ici ? se dit-elle
la guerre est déclaré ou quoi ?

Dans toute la foule Vaness ne voyait pas grand chose et pourtant elle
aperçus Sonnia qui se trouvais dans une posture étrange, elle traversa la
salle au plus vite, elle bousculait des personnes elle ne savait pas trop qui et s'en foutait totalement elle se dépêchait d'arriver auprès de Sonnia au plus vite.

Arriver auprès de Sonnia elle vit mieux se qu'il s'y passait sans une hésitation elle attrapa les bras de la raclure pour le forcer a lâché prise.


Lâche la !

Vaness apperçu dylan et lui cria :

DYLAN fait sortir du monde ! FOU LES DEHORS !!!!!!!!!!!
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