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[RP] Chez Arnaut, Silanie et leur fils Bastan

Silanie


Sil lui sourit.

Je suis bien contente de te voir ma Cindou. Et euuuh oui j'étais avec euh mon euh bourrin.

Elle s'installa a table,et se servit une collation. Elle regarda autour d'elle, trouvant quelques chose de changer.

Ohhhhh mais mais, ou sont passé les affaires de Space et Pet!!

Elle espérait qu'ils ne soient pas reparti sur les routes. Elle se leva, s'excusa auprès de Cindou.

Je reviens, je n'en ai pour pas long.

Elle fila hors de la maison, a la recherche de Space et Pet.

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Cindouly


Je pris une dernière gorgée pour me rafraîchir un peu, avec étonnement je l’a voyait déjà repartir cherchant je ne sais quoi encore.

Mon dos commençait à être pétri restant un moment assise, j’avais besoin grandement de me dégourdir un peu les gambettes. Mais que devais-je faire, l’attendre patiemment ou aller lui piquer son bourrin pour faire une saillie avec le mien. Déjà que je n’arrive même pas à monter sur le mien, je n’ose pas imaginer ce que cela pourrait donner avec un autre bourrin qui ne me connait pas et surtout bien dressé par sa maîtresse. Cette idée saugrenue me plaisait. Quand à moi, je savais que je me relèverais toujours en cas de chute, étant un peu têtue aussi sur les bords.

Ben..aller…lèv’toi Marie…bouge ton fion…

Je me levais reposant le verre sur la table, puis m’étirais un peu avant d’emboîter mes pas vers la sortie. Au franchissement du pas de porte, je fermais quelque peu mes yeux face à la luminosité éblouissante du soleil.

Je fis quelque pas de plus en m’interrogeant. Bon qu’est ce que je fais là, je me tire avec l’un de ces bourrin sans son autorisation pour la voire crier un peu ou je file chez moi faire popote. Je lançais promptement.

Ho p’y flute popote attendra bien encore…..

Je m’engouffrais ardemment derrière la maison où se trouvait l’enclos à bestiaux en jetant des regards furtifs autour de moi. Je les regardais brouter et gambader, amusée de voire qu’ils étaient bien calme par rapport au mien. Ma confiance, d’en chopper un remonta soudainement. Ce n’est pas un bourrin qui va me faire peur quand même. Quoique, j’étais déjà un peu échaudé par le mien… J’avançais dans l’enclos en passant par en dessous d’un des petits troncs qui servait de barrière, pas trop fière quand même au fur et à mesure de mon approche.

Un des bourrins vient à moi calmement, certainement pour avoir une caresse. Je lui souris tout en approchant ma main sur le devant de sa tête en caressant son museau. Il était en train de malaxer de l’herbe et on entendait le claquement de ses dents.

Ca va mon gros….

Je le regardais fixement.

Bon…je t’explique vite fait comme ca entre nous hein….

Me voilà à parlementer avec un bourrin…sachant certainement qu’il ne comprendrait rien de ce que je pouvais dire mais cela me plaisait, au moins là c’est sûre il ne peut me contredire.

Je lui murmurais : bon je vais monter sur toi… si j’y arrive…tu ne bouges pas hein…t’es gentil….

Ne portant ni selle ni mors, je passais du côté droit de l’animal en m’agrippant à sa crinière et passa mon autre main sur son dos. Il était haut le bestiau, il allait falloir que je prenne un peu d’élan pour le monter. Je recommençais alors ma tentative avec plus d’entrain et en essayent de lever mes gambettes et surtout mon fessier qui s’était fait lourd depuis mon assise à attendre de Sili. Prenant tout mon élan en serrant les dents, je bondis depuis le sol et…
Cindouly


PAAAAAAAAAAFFFFFFFFFFFFFFFFF

Ben vui, comme vous vous en doutez, le foutu canasson s’est reculé. Me voilà étalée par terre, les fesses dans la boue…

Aïeeeeeeeeeeeeeeeuuuuuuuuuuuuuu p………….de…………BOURRINNNNNNNNNNNNNN

Mon fessier, mon dos me faisait un mal de chien. Je regardais la larme à l’œil le cheval partir plus loin.

C’est ca.. va….Laisse moi agoniser…

Je me relevais difficilement en me tenant le dos et marchant en me penchant à l’avant..Il manquait plus qu’un bâton et là je vieillissais de 60 ans…

Je sortis de la demeure de Sili en grommelant tout les noms d’oiseaux insolites que je pouvais inventer à l’encontre du bestiau. Ne me retournant pas, je me hâtais en titubant quelque peu pour arriver à l’entrée de la ville.
Silanie


Depuis quelques jours, bien des chamboulement se passait dans la vie de la petite blondinette. Une vie de famille presque normal mais merveilleuse en tout point, un amour des plus charmant, des plus attentionné, même si querelle reste leur lot. Elle l'aime, c'est comme ça pis c'est tout, et ce depuis tellement longtemps. Un enfant, qui remplissait sa vie de joie, de bonheur, de sourire le matin au réveil, et de pur tendresse le soir pour le coucher. Dieu savait combien elle s'était attaché a lui, qu'elle l'aimait, comme si il avait là depuis toujours. Les nonnes le lui avaient pris, mais elle ne doutait pas qu'on le lui rendrais, il avait l'air tellement heureux ici.

Elle se levais tôt, laissant son ange encore dans les bras de Morphée, s'habillant rapidement pour ne pas le déranger trop longtemps. Mangeant sur le chemin de son travail. De nouvelles fonctions, de nouvelle proposition, mais surtout, un rêve qui allait devenir réalité. Oh c'est sur, beaucoup de sacrifice, surtout personnel, mais cela en valait la peine.

La journée se passait, au rythme des demande, courant a droite a gauche en fonction d'où on la demandais. Des journée épuisante qu'elle n'échangerai pour rien au monde. Elle était si contente de pouvoir donner son temps a ce duché qu'elle aime par dessus tout. Rendre service.

Elle rentra chez elle, retrouvant son amour dans le salon, venant s'asseoir près de lui, se blottissant dans ses bras. Elle ne dis riens, savourant seulement cet instant qu'elle avait tant attendu, celui ou plus rien ne les séparerait, celui ou il était a elle, et elle a lui.

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Silanie


En cette belle journée d'Aout, installer au bord de la rivière, une jeune blonde perdu en plein pensé, loin des chahut de la ville. Des disputes, toujours des disputes, a croire que cela resterai ainsi, jamais ne changerais. Une jalousie sans nom, Sil regardait l'eau couler tranquillement, réfléchissant.

Elle repensa a il y a un an, quand il avait débarqué a Bourg. Elle sourit légèrement en repensant qu'il avait essayer de la casée avec Rougeours. Elle avait rit, une belle amitié était né ce jour là. Cela lui avait couter cher a ce moment là, mais qu'importe, elle appréciait beaucoup cet homme. Plusieurs séjour a Bourg avait fini de la convaincre qu'il était un ami réel. Des semaines passèrent, ils s'écrivaient souvent. elle songea a la fois ou a Fribourg, ils avaient commencer a se faire mal.

L'eau coulais toujours, et elle restait là, bloqué par les souvenirs. Tant de douleurs, et pourtant, force était d'admettre qu'elle l'aimait. Leur séparation a Fri lui avait fait beaucoup de mal, elle avait tellement honte. Leur retrouvailles, froides a Chambéry ensuite, ne l'avais pas laisser sans mal. Malgré tout, ils s'échangeait des lettres, elle gardait précieusement cette fiole aux saveur de Sa Provence, patrie qu'elle aimait a travers lui. Elle rêvait un jour d'y mettre les pieds, qu'il lui fasse découvrir ses contré inconnu pour elle. Des semaines passèrent, elle ne pensait qu'a lui.

Un bruit pas très loin, chassa un instant ses pensées. Elle tourna la tête, et aperçut un lièvre se faufiler le long de la berge. Elle sourit, lui au moins, il avait la tête tranquille. Elle le regardait courir sur le talus, et soudain le souvenir de leur escapade sur les routes, marcher pieds nu sur les chemins. Ce sentiment de liberté qu'il lui donnait, de vivre pleinement. Elle soupira. Pourquoi pensé a tout cela, tout était fini désormais.

Involontairement, elle repensa a ces derniers jours. Le jour qu'elle avait toujours attendu, rêver, souhaiter, ce jour tant désiré était arrivé. Elle était devenu sienne, celle qui partagerai sa vie. Elle porterai son nom. Ce jour là, malgré la énième dispute qui avait eu lieu, son cœur avait bondi d'une joie indescriptible. Mais elle découvrit sa jalousie, celle qui l'avait mener a s'en prendre a ses proches. Elle lui en voulais, et en même temps, en était flatté. On lui avait reprocher de l'aimer, mais c'était ainsi, personne n'y pouvait rien.

Et ce fameux soir, ou elle n'avais pas supporter énième critique, elle avait tout détruit. Le bonheur avait laisser place au vide en l'espace de quelques seconde. Il était parti, elle s'en voulait. Pourquoi, pourquoi jamais ne pourront il s'aimer comme tout le monde. Pourquoi toujours la destructions, Sil en pouvait plus. Avait il seulement compris qu'elle en pouvait plus, surement pas, mais tan pis, c'était ainsi. Il fallait qu'elle se fasse une raison.

Elle regarda l'eau couler, une autre coula le long de ses joues. Comment devait elle traduire tout ça, elle ne l'avais ressenti qu'une fois. Une seule fois, et le drame était survenu. Elle toucha son ventre, et craqua. Pourquoi ça devait finir comme ça. Elle resta là prostré, pleurant en silence, comme elle avait toujours quand ça le concernait, laissant la journée défilée sans s'en soucier.

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Silanie


Parti...il était parti. Assumer elle devait faire, se débrouiller aussi. Eh bien soit, elle le ferait. Installer au rebords de la fenêtre de l'Auberge du Village, Sil regardait la nuit si calme enveloppé la ville. Bonne route était la dernière chose qu'elle avait sut lui dire, bonne nuit était les siens. Elle l'avait regarder s'enfoncer dans la nuit, se contenant pour ne pas verser a nouveau des larmes. Mains sur le ventre, le berçant doucement, elle reportait son regard sur le ciel noir.

Après un moment dans ses pensées, elle avait rejoins sa maison. Maison vide de l'absence joyeuse de son fils, dont elle espérait le retour rapidement. Dieu ce qu'il lui manquait. Serait il heureux lui, d'avoir dans quelques mois un petit frère ou une petite sœur. Elle l'espérait de tout son cœur. A eux trois, elle essaierait de formé une famille. Elle et ses deux enfants. Elle alla s'installer dans le salon, préférant ne pas penser au pourquoi il l'avait ainsi traiter. Est ce si mal que d'avoir peur. Apparemment. Elle soupira. Elle repensa a cet ami qui lui avait dit qu'elle devait se battre. Oui elle se battrai, pour ses enfant, et seulement pour eux. Ils en valaient cette peine, même plus.

Sil était lasse, fatiguée, baigné entre tristesse, honte, et remords. Triste de l'avoir perdu, honte d'être aussi stupide d'avoir cru un instant qu'il pouvait l'aimer, remords de tout cela. Elle se leva, et monta a l'étage. Passant devant la chambre de Bastan, elle s'y attarda, ouvrant la porte légèrement, regardant la pièce vide de sa présence. Pourvu qu'il revienne bientôt. Elle referma la porte doucement, peut être par habitude de la fermer ainsi quand il y est.

Elle passa devant une des chambre d'ami, continua son chemin avant de le rebrousser jusqu'à la pièce. Elle ouvrit la porte, et inspecta les lieux. Elle alla a la fenêtre, regardant dehors. La chambre était exposé du coté ou le soleil n'entrai jamais directement. Parfaite pour le repos d'un nourrisson. sil décida que ce serait la chambre de l'enfant a venir. Il allait lui falloir du temps, dans son état, pour modifier la pièce, mais se débrouiller, c'était ce qu'elle avait a faire. Et elle devait le faire vite, avant que son ventre ne l'en empêche. Elle sourit légèrement, avant de sortir de la chambre et de se rendre dans la sienne.

Elle dénoua les lien de sa robe, la laissant tomber au sol. Passa un pied par dessus, puis l'autre. Elle alla prendre sa légère robe de nuit, l'enfila, avant d'aller se glisser sous les drap froid du lit. Sa main se posa sur son ventre, protectrice, câline. Elle savait que la grossesse allait être difficile, surtout seule, mais elle tiendrais, elle mettrai cet enfant au monde, Son enfant.

Elle se mit a l'aise sous les couverture, allongé sur le coté, jambe un peu replié. Elle regardait dans le vide, repensant a la dernière discussion qu'ils avaient eu. Il n'avais aucune idée des prénoms que pourrait porter cet enfant, il lui avait dit de se débrouiller. Elle soupira, avant de fermer les yeux.

Demain est un autre jour, un jour ou elle se laissera pas abattre.

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Silanie


Le réveil fut assez secouant. Sil se réveilla d'un bon avec la pressante envie de.....enfin vous voyez. Elle couru près de la fenêtre, une sorte de bassine était posé sur le petit meuble. Une fois calmer, elle ouvrit la fenêtre, un grand besoin d'air frais. Elle respira l'air frais a grande bouffé. Elle avait cette sensation d'avoir chaud, de manquer d'air. Elle regarda le ciel, l'aurore n'était pas encore a la vu. Elle retourne se blottir sous ses draps, legerement refroidi par son absence, mais ne réussi pas a refermer les yeux.

Elle fini par se lever, toujours nauséeuse, quelques heures plus tard. Elle se fit une toilette, s'habilla, et alla dans la cuisine. Étrangement, envie de rien. De Rien!! Si, elle avait envie de viennoiserie toute chaude sortant d'un four. Hannnnnnnn y'en a pas. Elle fit une moue, pourtant, elle voulais ça, et rien d'autre. Elle avala un bol de lait, avant d'aller a un fournil. Une fois sur place, elle demanda si des viennoiserie, le boulanger en faisait. Non. Non! Hannnnnnnn mais elle allait en trouver où? Elle avait faim! Elle fit plusieurs fournils, sans succès. Seul solution, en faire elle même. Elle passa au marché, se fournir de quoi en faire.

Une fois les emplette terminé, elle rentra chez elle. Elle alla dans la cuisine, et commença a préparer un gâteau. En plein milieu, elle s'arrêta. Des barbouillis au ventre, elle alla s'allonger dans le canapé. Elle câlina son ventre, doucement, comme pour calmer le tout, partant dans ses pensées.

Elle avait croisé un ami, qui lui avait dit l'avoir vu. Elle en avait manquer un souffle. Pourquoi restait il, pour quel motif. Décidément, elle ne le comprendrais pas. Surement pas pour elle, il n'en avait que faire. Un peu plus loin, elle avait croisée une amie, ses propos l'avait un peu dérouter. Qu'il reste, de toute façon, elle se ferais pas d'illusion. Regardant vaguement par la fenêtre, elle repensa a tout ces voyages, mais surtout a ce voyage. Celui qui avait tout bouleversé. Un enfant, un seul. Un homme, une pourriture du Sans Nom. Seule était elle aussi, dans cette taverne. Lui avait préférer la laisser repartir, préférant la compagnie d'une autre. Tout avait basculé, des coups, vêtement déchirer, ce jour là, elle avait sombré. Honte, colère, désarroi, plus l'envie de vivre. C'était ce qu'elle était devenu, quand elle avait sut qu'elle saignait pour la perte d'un enfant. Elle versa une larme, tellement de chose qui revenait a une allure si rapide. Et lui, incapable de comprendre cela. Elle lui avait dit qu'elle avait peur, il s'était levé, la faisant tomber de ses genoux, partant sans un regard, lui disant seulement, Advienne ce qui adviendra. Elle avait eu mal au cœur, moins que rien elle était pour lui, elle aurait surement mieux fait d'écouter les autres que son cœur. Depuis ce jour là, elle entendais de vague chose, qu'il courrait, eh bien qu'il cours jupon, Sil en pouvait plus. Yeux baigné de larmes, elle s'endormit a nouveau, dans son canapé, au moins, quand on dors, on ne pense pas.

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Silanie


Quel surprise que de le croisé en taverne. Sil avait garder contenance, elle cèderai pas, surtout pas après ce qu'elle avait entendu.

Elle, égoïste, qui ne pense qu'a elle. C'est vrai que jamais elle n 'a penser a lui. Un an et demi qu'elle le regarde, passant d'une femme a une autre. Un an et demi qu'elle ne prends que ce qu'il lui donne. Un an et demi a l'aimer, et se cacher quand sa fiancé venait. Un an et demi a le savoir sur les routes avec une autre, jamais la même. Un an et demi a espérer qu'un jour il la regarde. Un an et demi a vivre sottement, croyant qu'il l'aime. Un an et demi, a accepter sans broncher. S'occuper de sa dernière, enceinte de lui, par gentillesse. Et lui, il la disait égoïste, qui ne pense pas a lui, qu'elle ne l'aime pas. Que devait elle en comprendre. Dans l'histoire, était ce vraiment elle qui n'avait rien donné.

Oui, elle était sotte, tout ce qu'on voulais. Qu'il dise ce qu'il veut, comment le croire désormais. Il était pas capable de partir, bah qu'il reste, elle, elle allais continuer comme alla avait toujours fait, seule, se foutant de ce qu'on dit. Et puis, apparemment, il courais de nouveau jupon, alors qui était vraiment celui ou celle qui avait le moins de respect. Humilié, qu'il disait, c'était elle oui qui l'était.

Elle pris de quoi écrire, laissa filer sa plume, écrivant au Duc pour confirmer sa présence.

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Silanie





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Silanie


Plusieurs jours s'étaient écouler, séjour a Annecy qui avait réserver pas mal de surprise. Sil était enfin rentré, retrouver sa petite maison, rien de tel. Un peu fatigué du voyage, elle monta dans sa chambre se changer. Retirant sa robe qui commençait a être vraiment juste, elle enfila une tenu moins serrer, plus décontracter. Elle redescendit s'installer dans le canapé, grignotant un petit encas, laissant ses pensé faire le bilan.

Durant son séjour, on était venu la voir, lui parler de quand elle était PPS. Cela lui avait fait bizarre, bien longtemps qu'elle n'avais pas parler de ce parti autrement que comme un concurrent politique. Sil, curieuse de savoir ce qu'on avait a lui dire, avait écouter.

Février 1458. Elle était entré dans ce parti, elle n'avais jamais penser en faire mais on lui avait donner envie d'apprendre. Deux semaines plus tard, jeter comme une saloperie dehors, sans prévenir, sans explication. Elle cherchera a comprendre, il lui faudra se contenter de "quand on parle, on assume". Elle n'aura jamais compris jusqu'à ce jour ce qu'elle avait bien put dire. Surtout que cela était apparemment une décision du parti, mais les différents membre rencontré par la suite lui diront "on a sut après, on était pas d'accords, elle a dit qu'elle avait décider et assumait". Sil espérait bien qu'elle assumait, mais laissa couler.

Ce jour là, elle eu une explication, une personne qu'elle aimait bien avait été dire qu'elle dévoilait le programme du PPS. On l'avais donc jeter pour ça. Déjà, il aurait été difficile d'en parler, puisqu'il était même pas écris.

Sil avait sourit en coin, alors c'etait ça, fallait pas écouter les rumeurs, par contre, quand c'est sur elle, on les écoute attentivement. Sil se dit qu'elle chercherai a avoir plus d'info qui confirmerait cette histoire, pour le plaisir de comprendre.

Surtout qu'on lui expliqua que si elle avait poiroté plusieurs semaine a l'entré d'un autre parti, c'etait parce que ces deux gentilles personne avait décider qu'elle n'y entrerai pas. La seconde en faisant partie, avant été bavasser sur son compte, ce qui avait laisser en réflexion les autres membre. Sil avait sourit a cela, décidément, on s'était donné du mal pour une jeune femme qui a l'époque ne connaissait rien a rien a ce milieu. Sil n'avais put s'empêcher de rire, faut vraiment être taré pour en arriver là. Elle avait écouter, mais on lui parla aussi de ses candidature a la mairie. Sil avait hausser un sourcil, ne comprenant pas le rapport. On lui expliqua que cette même personne ne voulais surtout pas la voir maire. Sil se rappela qu'a sa première candidature, le maire sortant n'avais pas l'air de se réjouir de son passage, mais cela n'avais pas de rapport. Par contre, savoir que l'autre personne avait décider de tout faire pour qu'elle passe pas, cela l'avait amusé a écouter.

Elle avait rencontré d'autre personne, avait qui a l'époque, elle avait deja discuter de son éviction du PPS. Elle leur parla de ce qu'on lui avait dit, et force était de constater qu'ils étaient d'accords avec cette histoire. Décidément, plusieurs personne, c'est plus qu'une rumeur, elle ne pouvait plus douter, plusieurs personne du même lieu ne pouvait pas mentir. En additionnant cette éviction a son éviction du conseil municipale, une question lui viens a l'esprit.

Est ce que cette même personne a dans l'idée de la virer au prochain conseil ducal?

Sil y réfléchi longuement, avant d'aller ranger ses affaire de voyages. Décidément, les voyage, y'a rien de tel.

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Silanie


Hors de Bourg depuis quelques jours, c'est trépignant qu'elle était rentrée. Elle avait profité des jours passé au calme, loin de langue de vipère qui avait encore frappé, loin de l'agitation, elle avait put enfin faire un croix sur tout ce qui n'allait pas. Elle avait enfin ouvert les yeux, bien grand, et tiré un trait. Elle s'était rendu compte du mal causé, et avait décider de tout cesser. Oui, de l'ordre dans sa vie elle avait mis. Les mauvaise langue pouvait cracher sur son dos, ça glissait comme l'eau glisse sur le toit de la maison. Si ça les occupe, grand bien leur face.

Elle riait d'entendre ce qui se disait, les gens décidément n'avait pas mieux a faire, et surtout manquait cruellement de cran pour le faire en face, dommage pour eux. Sil était contente de rentré, le retrouvé, lui dire que oui, elle était a lui, que oui, ils allaient pouvoir être heureux sans ombre.

Elle alla vite le rejoindre, avant de rentré s'occuper de chez elle. Dans quelques jours, son ti ange d'amour de fils revenait. Tellement longtemps, ils avaient hâte d'être réunis. Sil rentra donc chez elle, le cœur léger, au moins, ici, il n'y avait pas les Madame Propre, et les Monsieur Parfait.

En arrivant moult courrier, elle les tria, déchirant les inutiles, gardant deux. La première de son père, elle eu chaud au cœur, la seconde pour son travail, elle reprit donc le chemin du château, pensant a lui sur la route.

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Silanie


Nuit horrible, Sil était effondré. Plus rien n'avais de gout, comment se relever. Elle s'en sentais incapable. Elle restait là, assise dans son salon, ne bougeant pas de son canapé, pleurant jusqu'à ne plus pouvoir. Parti, il n'était plus là. Elle se demandais ce qu'Aristote avait contre elle pour lui infligé tout ça. Elle avait passé la nuit là, incapable de mouvement. Elle ne remarqua qu'a peine le pigeon qui s'était poser près d'elle et qui réclamait du grain. Il lui fallu du temps pour sortir de son mutisme, trouver la force de prendre le parchemin, clarifié sa vue, ses yeux bouffie.

Elle commença a lire, et s'effondra a nouveau. Comment pouvait il, apres ce qu'elle avait fait.
Citation:

Pour Toi Mon Amour Éternel

Ma belle, tu es mon trésor,
Je n'aime que toi,
Ton amour est précieux comme l'or,
Je pense sans cesse à toi.

Partout ou je me trouve,
Tu es présente dans mon esprit,
Et toutes les choses que j'éprouve,
Ne sont que pour toi ma chérie.

Mon amour pour toi est si grand,
Que les mots ne suffisent pas,
Un amour si envoûtant,
Que même "Je t'aime" paraît bien plat.

Je t'aime à la folie,
Comme j'ai jamais aimé personne,
Je t'aime pour la vie,
Et mon amour, je te le donne.

Je t'aime et je t'aimerai toujours,
Je suis dingue de toi,
Tu es mon plus bel amour,
Je ne peux plus me passer de toi.

Si on venait à nous séparer,
Jamais je ne m'en remettrais,
Il fait si bon être à tes cotés,
Que plus rien ne semble mauvais.

Tu es ma joie de vivre,
Mon seul et unique bonheur,
Ton amour m'enivre,
Et fait chavirer mon coeur.

Mon amour pour toi est éternel,
Je t'aimerai toujours,
Tu es pour moi la plus belle,
Tu es mon tendre amour.


Sil resta prostré dans son canapé, larme coulant a flot, plus rien ne valais peine.

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Silanie


Sil avait passé la nuit a pleuré, le jour se levait, des taches a remplir. Elle se leva, alla se faire une vague toilette, et parti. En ville, les rumeurs allaient bon trains, on parlais aussi de ce qui s'était passé. Un ami aussi avait été emmener, Sil désespérait. On lui avais retiré son amour. Une rumeur l'interpella, un homme aurait réussi a s'échapper, il aura sut prendre la fuite. Elle pris espoir que ce soit lui. La journée défila, Sil restait toujours dans ses pensées. Elle travaillait machinalement, effectuant les geste de chaque jours, ses pensées toujours tournée vers lui. Elle rentra chez elle, demain son fils était là, elle se devait de tenir sa promesse. Tenir bon. Il lui avais fait promettre, elle l'attendrais, elle tiendrais bon pour eux. Elle monta faire un peu de ménage dans la chambre de Bastan, il lui tardait de le retrouver. Une fois fini, elle alla se coucher, essayer de dormir un peu, priant le ciel qu'Arnaut lui revienne. Priant le ciel qu'ils puissent exaucer leur vœux. Sil joua avec la bague a son doigts, gage de leur promesse, essayant de trouver le calme pour dormir.

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Silanie


[Quand le malheur se transforme en pur rêve éveillé]


[à Bourg]
Dur de s'occuper avec gout quand l'être aimer n'est plus là. Elle ruminait ce fameux soir, soir où on est venu le chercher. Elle se souviendra toujours de la promesse faites. La rumeur se confirmait, un homme s'était vraiment enfui. Dieu elle priait que ce soit lui et qu'il revienne vite. Elle devait se rendre a Chambery, elle espérait le voir a son retour, elle se languissait.

[à Chambery]

Les remparts se profilaient, accompagné de Val et de son fils, Sil respirait, Arnaut lui avait écrit, il serait bientôt là. Sil avait eu le cœur battant, bientôt elle le verrait. Les jours passait, elle s'occupait de son armée, raison de son déplacement. Elle en profitait pour voir ses amis, sirotant une tisane par ci par là, rencontrant de nouvelle personne, dont le frère d'Isa.

Alors qu'elle était tranquillement installer sur une chaise, plaisantant avec Lexa et DDL, un homme encapuchonné entra, trempé. Quand il parla, Sil se sentit toute chose. Avait elle rêver? Était ce la manque qui lui donnait cette illusion, était ce sa pesante absence qui lui faisait entendre sa voie a ce moment. Sil regardait l'homme, essayant de garder contenance. La discussion suivait, Sil avait le cœur qui battait. Capuche qui tombe, Sil qui reste coi. Bras qui se tende, Sil qui y court, larme de joie baignant son visage. Il était là, elle ne rêvait pas. Elle l'embrassa longuement, le serrant contre elle pour être sur qu'il était bien là. Petit nuage de bonheur chassait enfin celui sombre qui obscurcissait ses derniers jours. Les heures défilèrent, les jours, le bonheur restait intact. Elle l'aimait et c'est avec la plus grande des joie, qu'elle accepta de devenir sa femme. Un bonheur n'arrivant jamais seul, la rencontre de Bastan et d'Arnaut fut un des moment les plus émouvants. Désormais famille a trois ils étaient, offrant la jolie promotion de Mamina a Tia. Le nuage de bonheur s'agrandissait chaque jour. Elle comptais déjà les jours, mi-novembre et elle serait sa femme devant Dieu. Le temps filait et déjà il fallait rentré.

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Silanie


[Petit matin]

Le jour se levait a peine, l'aurore pointait son nez lentement sur l'horizon. Non loin de la route de Belley, au 26, la maison était encore endormie. Un léger rayon de lumière éclairait doucement la pièce. Sil dormait a point fermer, blottie sous le draps. Elle pouvait percevoir le bruit de la respiration de celui qui partageait sa vie. Un léger sourire s'afficha, laissant le draps glisser elle se retourna vers lui, son bras venant l'entouré a la taille, se blottissant comme son ventre le lui permettait. Elle profitait de ce rêve merveilleux, hésitant a ouvrir les yeux. Elle enfouis son visage contre lui, respirant son odeur, savourant le contact de son corps chaud.

Un petit soubresaut la sortie de sa torpeur, sa main quittant a regret les hanches de son amour pour aller se poser sur son ventre, le berçant doucement, un sourire d'émotion a chaque fois. Elle ouvrit les yeux, et regarda celui qui faisait battre son cœur. Il était tellement beau, merveilleux. Une bouffée d'amour l'envahie d'un coup, elle aurait voulu le réveiller, l'embrasser, profiter de sa presence, mais elle resta a la contempler, un sourire amoureux, sa main poser sur son ventre.

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