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[RP/IG] Il faut sauver la Blonde Volvent

--La_citrouille
Plates scuses aux modos, je commence par du HRP.
J'ouvre ce thread avec l'autorisation de la joueuse de Della.
Le principe est simple.
J'ai lancé les dès, j'ai un nombre de prières à atteindre.
Si le nombre est atteint, Della ressuscite.
Sinon, elle meurt.
Une prière par jour par personne, en RP.
48 heures, top chrono.


9 juillet :
30 prières !!!
Le lancé de dé avait indiqué 28.
Ristote va nous renvoyer Della !!




Elle est morteeeeeeeeeeeeee !!!

Oui, elle venait d'apprendre la mort de son idole, de son amie, de sa passion secrète, de Della.

NOOOOOOOOOOOOOON !



Quelques heures plus tard, dans une chapelle.


Dans le dogme ou dans le livre des vertus ou dans un autre livre de religion, il y avait écrit quelque part que les morts pouvaient ressusciter.
Alors, Lacit, elle était venue dans une chapelle, pour prier, demander à Ristote de ressusciter sa passion secrète.

    Ô toi, Ristote, laisse revenir Della sur terre.
    T'as pas le droit de la garder, elle est trop jeune pour mourir.

Mais il semblait pas entendre.

Alors, Lacit sortit de la chapelle et elle se posta dans l'entrée et elle appela.


Venez ! Venez tous prier pour que Ristote laisse revenir Della, plus on sera et plus il entendra.

Elle attendit, espérant très fort qu'ils allaient tous venir.




Bonjour, merci de ces précisions, mais nous désirons du rp conforme aux règles des arpenteurs, pas un simple copier-coller de prières, bien entendu.
Bon jeu, mots d'amour par mp.
Pluie, modo.
Un nonyme, incarné par Eilinn_melani
Il baguenaudait devant la chapelle, comme d'autres jours. Que pouvait-on dire de lui, si ce n'était qu'il était d'un commun, sans signe distinctif, pas plus intelligent que d'autres.
Mais au jour de l'éveil de l'hérésie dans le Royaume de France, il était aristotélicien, ce qui ce jour-là, s'avérait relativement notable.

Une jeune femme sortit, et réclama des prières pour son amie. Un instant interloqué, "il" décida d'aider la dévote dans son chagrin. Il s'approcha d'elle, et lui répondit.


Tout comme Saint Ysupso qui visita la Lune et le Soleil, et qui revint grâce aux prières de ses proches, je dirai une prière pour votre amie.

Il entra dans la chapelle, et commença ses dévotions.

Je crois au Trés-Haut le Créateur tout puissant,
Qu’ a fabriqué avec rien le Ciel et la Terre,
Le Soleil, et tous les petits oiseaux de Lausanne,
Il est le Juge de notre âme ici et à la toute fin.

Je crois en Aristote, son prophète,
Un Grec, fils de Nicomaque et de Phaetis,
Expédié pour étaler sa sagesse
Et les lois divines de l'Univers sur les hommes chahuteurs.

Je crois aussi en Christos, un autre gars mystérieux,
Né de Maria et de Giosep, un couple pas ordinaire.
Il a voué sa courte vie à nous parler du Paradis, du chemin qu’on voyait pas pour s’y rendre.
C’est ce qui lui a coûté la vie par le martyr sous Ponce,
Mais il s’en fichait, c’est ce qu’il voulait pour nous sauver,
Et pour rejoindre la vraie Lumière où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Nous demandons en cet instant que vous renvoyez sur Terre la dénommé Della,
Afin qu'elle achève son oeuvre !

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Que la fulgurance d'Aristote nous accompagne !
Que l'extase de Christos nous transcende!
Que le Très-Haut nous garde !

AMEN !
Keridil


Triste jour pour le Royaume , triste jour pour la Bourgogne, triste jour pour Keridil.
Della, Sa Blondeur, son homologue adorée. Ah diantre ! Satanés angevins l'ayant poutrée ! Pourtant il a déjà été confronté à la perte de ses proches, de sa famille...mais cette fois, c'est une amie un peu plus que chère qu'il perd. Et c'est le coeur lourd et le visage plein de larme qu'il se rend dans une chapelle où prier. Prier pour son salut ? Elle si vertueuse, comment aurait-elle besoin de demander le salut qu'on lui accordait déjà de son vivant.
Prier pour qu'elle revienne, pour sa vie, pour que son âme rejoigne son corps à nouveau.
A genou devant le Très Haut, c'est en toute humilité et le coeur lourd que le jeune homme se mit à prier.

D'abord un credo...


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Puis une prière, une requête.

Très-Haut, Souverain des âmes,
Je te prie de ramener Della,
Sa foy fut sans faille et son honneur sans heurt,
Sa vertu admirable et sa personne aimable.
Fais lui don de la vie Seigneur, qu'elle puisse achever son oeuvre,
Sa tache parmi nous n'est pas finie,
Ne nous l'ôte pas, ne me l'arrache pas.
AMEN


Et Keridil de s'effondrer, comme il le ferait à la perte de n'importe lequel de ses amis...

_________________
Elsaria
La nouvelle n'eut pas de mal à faire le tour des terres de Bourgogne. Qui ne connaissait pas Della, Dame De Railly, La Blonde, la belle, la douce, l'aimante. Qui de surcroit ne pourrait pas être attristée par pareilles nouvelles.

Elsaria, cousine de Della avait ouï dire de l'état de santé de sa cousine. Décimée par la nouvelle, elle avait été prise de panique. Partagée entre la tristesse et la colère c'est dans son appartement privé qu'Elsaria fut soumise pour la première fois à la haine en son coeur. D'un geste violent elle renversa tout sur son passage et s'agenouilla de chagrin sa tête dans ses mains, ses larmes ne cessant de couler.

Puis reprenant ses esprits, son regard devint plus dur. Sans doute avait elle comprit que cela ne servait à rien de s'apitoyer ainsi. Elle déposa ses armes et se rendit vers la chapelle familiale. Elle s'approcha silencieusement du premier banc, s'agenouilla, joignit ses mains, ferma les yeux et commença sa prière :

Ô Aristote, Vous qui décidez de la vie ou de la mort,
Je me tourne vers vous en ce dernier essort,
Pour ma cousine Della,
Je vous en prie épargnez là !

Elle si aimante, qui a donné son coeur,
Tant pour ses frères que pour ses soeurs,
Elle, qui vous a défendu par son coeur et par ses armes,
Ne lui prenez pas son âme.

Je vous en prie, aillez pitié,
Loin de mes yeux je ne puis l'aider
C'est vers vous que je me suis tournée,
Elle est trop jeune pour cette destinée.

Je vous en prie sauvez là
Elle ne mérite pas celà.


Trop peinée par le chagrin, les larmes ne cessant de couler, Elsaria arrêta ici sa prière. Et entama après une profonde inspiration le Credo qu'elle avait appris lors de son baptême.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


_________________
Blanche_
[Je ne sais pas si mon intervention est vraiment justifiée, mais j'avais trop grande envie de participer ! En espérant ne pas être trop incohérente...]

Elle avait été ambassadrice, et donc au fait des personnalités en vogue en Bourgogne. En l'occurrence, la multi-porte parole Della, de Bourgogne justement n'avait pas manqué le radar de la blonde Blanche.
Bon, elle l'avait ratée. Mais soyez sûrs que si Blanche en avait entendu parler, Blanche aurait a-do-ré Della. Della était blonde. Della était belle. Della était noble. Fin de l'argumentation.


[Dans une autre chapelle, dans un autre pays]

- C'est qui cette Della de Volvent ?
- Une noble qui a souvent passé commande aux Doigts d'Or, il parait.
- Oh ? Je ne m'en souviens guère,
souffla t'elle dans son mouchoir, caressant du bout des doigts le chapelet dans sa paume.
- Elle était blonde.
- Oh, ciel, est elle morte ?
le visage s'assombrit.
- Non pas, Madame. Mais il parait qu'elle ne va pas bien.
- Le choléra sans doute. Ou un accouchement qui tourne mal. Un accident de poney ?
- Il parait qu'elle est sur le point de trépasser, avouez que c'est triste pour l'Atelier, pour la Bourgo
- Je ne laisserai point chose pareille arriver ! grogna t'elle à haute voix.

D'un geste de la main, elle renvoya la suivante, lui ordonnant de rester seule ; puis, se taisant pour que le lieu saint s'emplisse à nouveau d'un silence rédempteur, elle songea.

Toi là-haut, je sais que tu m'entends. Je vais être claire : je te promets de prier quotidiennement pendant deux semaines si tu la fais revenir, d'offrir aux nécessiteux un goûter tout l'hiver, de financer l'achat d'un nouveau cierge dans mon église.
Je rajoute une nouvelle aube pour le curé si tu la ressuscites sur le champ.


Après une petite pause.
Déconne pas, je suis pressée. Prends n'importe qui, quelqu'un d'autre, un petit serf si tu veux, pour ce que j'en ai à faire. Raaaah, je vais être en retard !
Je sais pas, hein, mais la moindre des choses avant de m'enlever une cliente c'est de prévenir ! Vous auriez pu faire un effort, les mecs!
Oui, bah tiens, hein !
Elle se lève, enjambe le banc et s'avance, en colère, devant la statue du saint qui lui fait face.

Y'a qu'à se servir alors on se sert, c'est ça hein ?! Nan ! NAN !
De toute façon, elle a un mot du médecin, elle supporte pas la mort.
Nan !
Elle donne un coup de pied dans la colonne.
Nan, nan. Alors s'il te plait tu te.... débrouilles.
S'il te plait tu la ressuscites, maintenant. J'ai déjà assez de clients qui partent comme ça !


Comment ça, tu l'as jamais fait ?
Oh, wow ! Au moins une fois !
Hein....? Exceptionnel ? Peuh. Piston et compagnie, hein ! C'est surtout parce que c'était le fiston !

Pas contente, pas contente ! Re-ssu-sci-tez la ! Re-ssu-sci-tez la !


Elle s'assoit près de l'auréole, lui sourit hypocritement.
Il faut la faire revenir, c'est une fille bien. Ah non, je la connais pas, mais elle est bieeeeen !
Croyante ? Ah mais carrément, et même très douée, elle a eu son baptême à quelques mois.

Elle plisse les yeux, semble entendre une voix lointaine qui lui répond. A moins que le cureton caché derrière l'autel y soit pour quelque chose.
Elle sourit, dépose un baiser sur la joue de pierre.
Marché conclus.

[Adaptation d'un texte d'Albert Dupontel]
_________________

Un jour, les bretons dirigeront le monde.
Mais pas demain, y'a grève.
Watelse
Watelse était à Paris pour préparer son mariage lorsque Mathusin, son valet, lui avait annoncé la fin proche de la Dinde de Bourgogne. La garce qui lui avait brisé sa canne, et bien... elle allait casser sa pipe.

Un sourire se dessina sur le visage de Watelse, plaisir de la revanche assouvie, mais se mua bien vite en une grimace et un grincement de dents:


La chienne! Cette misérable a trouvé le moyen de partir sans rembourser ma précieuse canne, sans payer en retour des dommages faits à Ma Personne!!

La voix se vit hurlante dans sa demeure parisienne:

La vile loutre! La renarde galeuse! La grognasse canine! Je vais lui arracher la langue! Non! Pas la langue, elle en aura besoin pour demander pardon à Ma Personne! Le Grand Watelse aura sa nouvelle femme... euh canne!

Une tourmente. Une angoisse. Un coeur qui se serre et se sent de nouveau vivant. Mais interprétait-il bien ses sentiments? Rien n'était moins sûr, car le voilà qui s'élance vers son équipage, murmurant entre ses dents:

Au Grand Tout, comprenez ce qui m'anime,
Faites que cette chose ne finisse point dans le néant
Tant que de sa bouche je n'ai obtenu le serment
Qu'un précieux bâton tienne de nouveau dans ma mimine
Et que ses lèvres ne prononcent la requête d'une grand pardon


Et il poursuivit entre ses dents:

Sinon je l'aiderai à rejoindre son Dieu plus tôt que prévu.

Une journée suffirait à atteindre la Bourgogne pour lui arracher un pardon. Son mariage parisien attendrait bien.
_________________
Kaikhan
Il avait reçu la missive, quelques heures plus tôt. Elle avait eu l'effet d'une dague que l'on reçoit en pleine poitrine. Jamais Gabriel n'avait ressenti d'émotions si fortes en un laps de temps si court. Morte. Della était morte.
On dit que l'être humain passe par 5 étapes durant le deuil d'un être cher.


La Négation

Morte? Non, c'était impossible, c'était une erreur. Il ne pouvait y croire. Gabriel lisait, relisait, lisait encore une fois la missive qu'il avait reçu. "Nous avons l'extrême tristesse de vous annoncer le décès de votre tante, Della de Volvent..." Une mauvaise farce. Un rêve. Un cauchemar. Il allait se réveiller dans quelques instants, et rire de sa propre bêtise... Le jeune homme tournait en rond dans son bureau, hagard, l'esprit vide. D'un geste lent, il s'assit derrière son fauteuil, cacha son visage dans ses main. Et là, une larme dévala sa joue creusée par le chagrin.


La Colère

Soudain, il envoya valser les feuillets soigneusement déposés sur la table. Les plumes, l'encre, les blasons, les patentes, en quelque instants, tout se retrouva sur le sol. Le vase vola en éclat, les caducées virent rejoindre le tapis taché. Après les objets, son corps devint le jouet de sa furie. Le héraut abattis ses poings sur les murs, ses phalanges étaient en sang, mais la douleur physique n'était rien.


Le Marchandage

Cathédrale Bx-Morgann de Sauvigny d'Auch. Un murmure se faisait entendre. Le Seigneur de Cadeilhan était agenouillé devant une fresque, ne sachant pas vraiment ce qu'elle représentait, mais croyant à la force du symbole. Un ange auréolé faisait mine de rejoindre le sol, où des villageois l'attendait les bras levés au ciel.

Ô Aristote, toi qui est capable de miracles
Ô Saints, je vous en supplie
Ramenez nous Della, ramenez nous notre tante
Nous avons besoin d'elle ici bas, elle nous est indispensable
Elle est le pilier de notre famille, sans elle nous ne somme rien
Je vous en supplie, ramenez nous Della...

Je promet de devenir fervent Aristotélicien
Je promet de me soumettre à votre volonté
Je promet d'être assidu, de ne plus manquer aucune Messe

Mais s'il vous plait, ramenez nous Della...


_________________
Gabriel de Volvent, Seigneur de Cadeilhan
Filsdhelios


Devant la Cathédrale de Rouen. Qu'est ce qu'il faisait là, lui, aller prier... C'était pour Della, mais tout de même ! Personne en vue dans l'église. Parfait. Il s'avance au pas de course, et s'assoit sur un banc. Ni vu ni connu.

Fermant les yeux, il récita le crédo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Puis, une prière, un souhait... Pis merde, quoi, un ordre !

Très Haut...
Je ne suis pas doué pour les prières.
Et toi, tu n'es doué pour rien... La preuve, tu ne vas pas la ramener, crétin !
S'il vous plait, pour moi... Non, pas pour moi, crétin, pour Della.
Rendez à Della la vie, rend à ses joues le rose qu'elle a perdu.
Je me ferai eunuque...
Nan ?!?!
Mais, pitié... Ramenez Della. Prenez moi, en échange. Enfin, si t'es pas obligé, le fait pas...



En bleu, les pensées de mon Blond.

_________________
Mimmome

La blondasse, je t'aime pas !

Les entrées scéniques avaient été toujours été une particularité de Mimmome. Il aimait en faire. Il aimait aussi parler en vers. Cela l'amusait follement. Ce désir et cet habitude des entrées peine de pathos s'étaient manifestés au plus jeune age chez le Florentin-Venitien-Parisien-Bourguignon. A 7 ans, dans la demeure de son oncle, il avait fait quasiment évanouir sa tante en sautant du toit habillé comme feu le père de celle ci ( sans bien sur se faire mal, cela va se soi ), et en se mettant à chanter une chanson (avec orchestre, bien sur ) la maudissant. La pauvre sicilienne était devenue bleu avant de s'évanouir. Son oncle, qui détestait son décédé beau père vit tout de suite l'imposture, qui était par ailleurs trop évidente, et se mit à rire comme il n'avait jamais rit. C'était bien évidemment quelque chose de ridicule, mais l'homme, à l'époque enfant le savait. Il n'était pas sot.

La deuxième fois qu'il avait fait de telles blagues, c'était à l'anniversaire de son frère Emmomi. Avec la complicité son frère Mommime, il avait fait éteindre toutes les lumières en même temps et était entré avec une chanson ( toujours avec orchestre symphonique ), en faisant semblant d'être un fantôme . Cette foi, la blague avait fait devenir son père Bleu (le chapeau )- Blanc - Rouge ( ses vêtements ) . Heureusement que Emmomi avait bien rit.

Mais cette fois, il ne riait pas du tout. Non, il était vert de rage. Ou mieux, rouge. Il était tellement énervé qu'il allait presque ruer de coup ses valets. Oui, il aimait pas cet femme, il allait se venger, il l'avait promis. Il la voulait vivante, oui vivante. VIVANTE, je vous dit, pour se venger. Diantre, il voulait se venger!

L'athée, au summum de la colère, commença à pester de plus belle. Si bien que le plancher quasiment se cassa. Il criait de haine. Il la voulait vivante.


Mais faite la vivre , m***** . Je veux me venger!

Hrp retiré par mes soins, explication par mp. ModoUlrich
_________________
Moine exalté, incarné par Uriel
Un moine un peu exalté arriva sur place. Considérant tout ce remue-ménage ou méninges, il ne sut pas trop comment se positionner par rapport à tout cela.

Bref, c'était pas tout ça, Y paraissait qu'il fallait prier puisque tout le monde s'y mettait.
Bon bhen qu'à cela ne tienne, on allait réciter sa bonne vieille version du credo :

    Je crois au Très-Haut le Créateur tout puissant,
    Qu’a créé la parole qui bouscule les silences infinis de la bêtise,
    Avec ses syllabes poétiques et douces qui font s’amouracher les âmes les plus ingrates,
    Qu’a aussi fabriqué les mots dégoulinant de fiel,
    Pour que les plus aventureux et les plus curieux d’entre les hommes, et les femmes aussi,
    Puissent s’essayer, parfois à la méchanceté, le plus ordinairement à la médiocrité et à la bassesse,
    Et en revenir, la larme au groin et le sourire en coin.

    Je crois en Aristote, son prophète,
    Un sacré Grec, un adepte de la parlotte, qui donnait de belles leçons,
    D’abord à ses géniteurs Nicomaque et Phaetis,
    Puis à tous les passants qui passaient sans savoir par ses chemins,
    Et qui reçurent pêle-mêle, sagesse et révélations sur les lois divines de l'Univers.

    Je crois aussi en Christos, un autre bavard,
    Né de Maria et de Giosep, un couple plutôt taiseux.
    Il a voué sa courte vie à nous raconter le Soleil et la Lune,
    Comment qu’il fallait faire pour se dorer la pilule grâce au premier,
    et éviter les froides caresses, parfois bien tentantes, de l’autre.

    Je crois en l'Action Divine;
    En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
    En la communion des Saints;
    En la rémission des péchés
    En la Vie Eternelle.

    Que la fulgurance d'Aristote nous accompagne !
    Que l'extase de Christos nous transcende!
    Que le Très-Haut nous garde !

    Amen


Sur ces bonnes paroles, et pour ne pas défrayer à la tradition, il alla s'enfiler une bonne chopine de bière à la mémoire de la dame pour qui on priait, en espérait qu'une certaine personne de sa connaissance reverrait un jour la renarde ... style ... un blond qui avait un jour donné un pain à une vagabonde sur le parvis de l'église de Toul ...
Breiz24
[Bourganeuf]

C’est la main fermée sur un parchemin froissé qu’elle poussa la porte de l’église, avec force. Peu importait qui s’y trouvait. L’indignation la portait. La porte claqua. La voix de la rouquine aussi.

Dieu ! J’aurais quatre ou cinq mots à te dire ! *

Elle pleure, la rousse. Personne ne l’a vu pleurer depuis son veuvage, plus d’un an plus tôt. Hormis, peut être, son époux, celui qui lui a rendu la vie, et l’accoucheuse, quand elle avait donné la vie à Elin, ce bébé si étrange auquel elle avait du mal à s’attacher.
Elle pleure, et les yeux de son fils se lèvent vers elle, lorsqu’elle s’agenouille au pied de l’autel. Le petit garçon touche les joues humides de sa mère, incompréhension visible dans les opales.


Pourquoi tpleures Maman ?

Pour Della, mon renard. Elle est très malade.

Les petits bras se passèrent autour de son cou, un baiser fut déposé sur sa joue, faisant redoubler les larmes.
Elle ébouriffa la tignasse rousse, souriant à travers ses larmes à l’enfant.


On va faire une prière Gauvain, d’accord ? Il faut demander au Très Haut de laisser Della revenir avec nous.

Elle guetta un bref instant l’acquiescement de son fils, puis ferma les yeux, un bras passé autour du corps de l’enfant, murmurant une prière, facile, presque futile, pour elle-même.

____
* Xavier Deutsch, Les Garçons
_________________

C'est vous qui choisissez la déco à L'atelier des Doigts d'Or !
--Gauvain.


Elle était bizarre, Maman, depuis qu’elle avait reçu la lettre. Elle avait beaucoup écrit, comme avant quand elle travaillait avec les râleurs au château pendant qu’il jouait avec ses copains et les moutons bébés. Et puis après elle avant envoyé tout plein de pigeons en allant à la volière municipale, et elle avait dir plein de gros mots, même qu’il y avait un qu’il connaissait pas avant, « Anjou » c’était. Il devait être vraiment vilain pour qu’elle ne l’ait jamais dit avant. N’empêche lui il allait s’en souvenir pour le dire à des méchants un jour.
Ensuite, elle avait pris sa main et ils avaient été à l’église. C’était trop nul, la messe, à chaque fois lui il avait pas le droit de boire le vin, alors que le curé lui il pouvait. Ca servait vraiment à rien !

Mais Maman avait vraiment l’air de pas rigoler, alors il n’avait même pas chouiné. Alors que pourtant, il aurait préféré rester jouer avec le Milo lui, comme la petite sœur !
Et puis dans l’église, les joues de Maman étaient mouillées, elle pleurait ! Comme lui quand il s’était fait son bobo au genou ! Elle avait mal ?
Ah, non, l’était triste paske sa copine l’était malade. Fallait faire une quoi ? Une prière. Demander à Dieu des trucs ? Que la copine l’aille mieux ? Bin d’accord, si ça pouvait aider Maman a plus pleurer il allait lui demander à Dieu nomého ! On fait pas pleurer sa Maman d’abord ! Ni une, ni deux, il se dégagea du bras qui l’entourait et dégainé son épée, la brandissant vers la grosse table en pière où le curé planquait toujours son vin.


Eh, Dieu ! Faut que la Della è est pu malade hein ! ‘Gade comme Maman l’est triste ! Allez ! Guéris Della !

C’était sur, ça, ça allait marcher !
_____________
Elisabeth_stilton
Lettre reçue sur les routes d'Alençon. Elle pensait qu'Heineken ne reviendrait jamais, en même temps la chouette était âgée, ça vit combien de temps une chouette d'ailleurs ? Et surtout l'animal carburait qu'à la bière. Mais pourquoi Mère avait gardé cet animal ? Surement en souvenir de son mari Greenoasis. Bref ...

Ulrich nous allons nous arrêter pour prier pour Della. Elle a été blessé en Anjou et a besoin de notre aide.
Au fait c'est non négociable.


Eli chercha une église accompagnée de son boulet de service, oui elle le trainait mais il n'aurait pas le choix il viendrait prier avec elle. Elle fit signe aux porteurs -les neveux de sa servante Lucette, resté à Cosne- de la suivre avec son fardeau.
Une petite chapelle se trouvait sur leur chemin, aussi elle entra dans la bâtisse au moins elle serait en paix pour prier. Doucement elle s'installa sur un prit-Dieu et commença à prier.


Très Haut, merci de sauver Della d'une mort atroce.
Elle n'a fait que te servir, depuis toujours.
Il n'est pas temps de la garder auprès de toi.
Renvoie là, elle manque à beaucoup de monde.
Amen.

_________________

Université du dragon
--Poupounet


Au lieu de Dieu c'est Poup qui répondit. Ah ouais vous en doutez et pourtant elle a pour mission de surveiller la rouquine. Forcément quand une rouquine prie ba c'est une brune qui débarque dans sa tête. Un peut fantomatique la brune mais que voulez vous mes bonnes gens, on peut pas être fringuant après la mort non plus.

Breizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz

C'est moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Faut qu'on cause.
--La_citrouille
Déjà un jour entier de passé et les prières continuaient pour que là-haut, Ristote laisse partir Della.

Pas question de faiblir, Lacit alluma un nouveau cierge.


    Ristote, regarde tous les gens qui prient pour que Della revienne.
    Fais un effort, lâche la.
    Elle me manque trop.


[Un petit effort pour la prochaine fois siouplait en quantité ? Merci !
Modo Rodrielle]
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