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[Rp]Sur la place de Rodez: tribunal public -prise du chateau

Aldyr
[Le Rouergue c’était POUET !]

Oui, Pouet il l’était, mais surtout ils l’étaient. Après le Limousin, le Rouergue…Il fallait faire un concours du royaum’vision si cela allait continuer. Le Rouergue, Espalion surtout, avait déjà sa midinette décérébrée pour brailler et trémousser son popotin devant un parvis de tanches surexcités et dégoulinant de baves…Voir d’autre chose.

Procès n’inique, procès de pacotille, procès on ne nous prendrait pas pour des buses finies des fois ?! Procès à la noix, procès rouergats ?!

Le vagabond tout crotté avait été sauf de la mascarade ambiante. Pourtant, oui pourtant, il avait participé à la prise de Millau et de celle de Villefranche de Rouergue…Et non ! Pas de celle de Rodez ! Il était en retraite le pépère (Je précise hein ! Au cas où on ne sait jamais…Par contre il était en Normandie lors de la chute de ce duché ! Si ! Si ! Trop fort le bestiau !). Il avait même eu une certaine part active sur les prises de ces mairies. En effet, il avait été par deux fois un tribun à la tâche assidue, penchée de tout le long de sa bombarde sur le métier. Et quel métier !! Oui ! Le jeune, cette force vive de ce Comté sclérosé, aux fonctionnaires et aux nantis à la haine tenace, pire qu’un bataillon de taties Danielle !
Et lui, rien ! Le vagabond tout crotté en aurait même été vexé, pas la moindre reconnaissance de son travail accomplie pour la jeunesse sans futur et trop triste la vie. Ses compagnons se faisaient épinglés par la justice façon maître Collard de ce Comté. Il s’attendait même à ce que le juge ou le procureur brandissent à un moment ou à un autre une grosse enveloppe, en vociférant sur la place publique : « OUI !! Lysalore est la fille de Messire Montand ! Nous en avons la preuve ! »

Des procès multiples et sans procureur ni juge, des procès, ensuite avec présence sur ses chaises, un procès unique et n’inique pour tout le monde, genre de paquet cadeau pochette surprise, on bradait tout ! Moins quarante pourcent sur les condamnations pour trouble à l’ordre public ! Et une condamnation pour haute trahison achetée, la deuxième était offerte !

Il suivait cela de loin, récolté les minutes des procès, avait même témoigné une petite fois. Il aimait cela le délire des autres.

Enfin ! Oui enfin ! On s’était souvenu de lui ! Un pigeon ! Cela faisait longtemps. Une lettre d’amour ?!...De sa promise d’Espalion ?! Un courrier coquin parfumé de ses sous-vêtements pré-pubères ?! Quoi ? Un avis d’expulsion ?! Mais il n’avait pas de logement, juste un trou !! Quitter le Rouergue incessamment sous peu ?! Et ses services rendus ?! Et ses comparses en procès ou alités ?!

C’était déjà la porte ouverte à toutes les fenêtres mais ils rajoutaient aussi les courants d’airs nauséeux. La marée montait même dans le Rouergue ?!

Décidé, Aldyr se rendit sur la place publique. Petit croché au palais de justice, le procès collectif, façon charrette à bœufs n’était même pas achevé que des sentences tombaient, et on pouvait ajouter à cela leurs remerciements et l’indication vers la porte de sortie de leur Comté. Il fallait mieux en rire que dans s’en fichait !

Sur les lieux de la pièce dramatico-comico-vaudevilesque écrite par un metteur en scène aphasique, le vagabond tout crotté reconnu quelques têtes. Les concernées étaient présent, bonne poire qu’ils étaient. Mais, ils étaient comme cela, et il était temps qu’Aldyr arrête de suivre cela de loin.

La représentation était en cours mais la fin était déjà annoncée. L’acte il s’en fichait. Il entendit YanSolo demander des explications sur le fameux pigeon que lui aussi avait reçu durant sa matinée dominicale. Se fichant des règles de la procèdure, de toute façon il n’y en avait pas, à la bonne franquette non ?! Aldyr s’approcha de lui et regarda par-dessus son épaule le courrier qu’il avait en main :


-Toi aussi…


Le vagabond fit une moue, observa le par terre de guignols en robe de justice, repensa à ce qu’il avait pu faire pour ces engourdis, les sentences qui étaient déjà tombées et celles qui s’annonçaient. Il ne put s’empêcher de faire son numéro au milieu de la place, excédé par tant de foutage de trombinette assaisonné de fientes sur cette dernière. Il se mit à vociférer à l’écoutille de tout à chacun :


-Non ! Je ne veux plus jamaaaiiis êt’expulsééé !! Plutôt creveeerrr !!! Non ! Je n’irai plus jamaaaiiis au marchééé !! Plutôt creveeerrr !!!

Non mais laissez-moooiii ! Non mais laissez-moooiii !! Manger mon goujon !!! Non mais laissez-moooiii ! Non mais laissez-moooiii !! Manger mon goujon tout nu sur Espalion !!!

Non ! Je ne veux plus jamaaaiiis m’habilleeerrr !! Plutôt creveeerrr !!! Plutôt crever que de me casser parce que vous me le demandeeerrr !! Plutôt creveeerrr !!!

Non mais laissez-moooiii ! Non mais laissez-moooiii !! Manger mon goujon !!! Non mais laissez-moooiii ! Non mais laissez-moooiii !! Manger mon goujon tout nu sur Espalion !!!


Il se retourna vers ce qui ressemblait au juge !


-Oui monsieur je sais que ce sont vos forces vives, mais quand ils me voient ils rigolent tout le temps…Alors…Laissez-moi ! Laissez-moi !! Laissez-moi !!! Laissez-moi !!!! Laissez-moi !!!!!


Dans son élan, oubliant où il se trouvait presque, le feu sacré en lui pendant que d’autres avaient des diables, il reprit à tue tête sa complainte en essayant de faire scander le public hagard, avec lui :


Non mais laissez-moooiii ! MOI !! Non Laissez-moooiii ! MOI !! Manger mon goujon !!! Non mais laissez-moooiii ! MOI !! Non Laissez-moooiii ! MOI !! Manger mon goujon !!! Non mais laissez-moooiii ! MOI !! Non Laissez-moooiii ! MOI !! Manger mon goujon !!! Non mais laissez-moooiii ! MOI !! Non Laissez-moooiii ! MOI !! Plutôt crever que de ne pas finir mon goujon…


Hystérie passée, le vagabond tout crotté regarda l’assistance à l’apparence incrédule. Il se retourna avec les pantins de justice et leur lança :


-Vous devriez en manger du goujon bande de tanches !!


Le Limousin y avait eu droit, le Rouergue se faisait demander même. Aldyr prit sa banan…Sa bombarde pour ses compagnons, pour lui :


PPPPPPPPPPOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUEEEEEEEEEETTTTTTTTTT


En guise de dernière intervention façon grosse louche :

-Crevez-moi aussi pendant que vous y êtes ! Balancez-moi un procès pour haute trahison parce que je pêche plus le goujon que le rouget !!

[Copyright Messire Katherine : http://www.youtube.com/watch?v=XuOSwppg8rc
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Vagabond professionnel

"Plus con qu'un trépané, deux trépanés" Parole d'un trépané avant sa naissance.
Charlyelle
Tiens ,v'la une écossaise hydrique qui s'pointe sur la place. Elle tient dans ses mains un vélin froissé et fait la trogne des mauvais jours. Mais fait vraiment la trogne des mauvais jours. Celle que le Sapineux il sait lui que s'il l'approche de trop quand elle est dans cet état, c'est transperçé qu'il peut se retrouver et jamais il s'est avisé à y essayer d'ailleurs !!!

N'empêche qu'elle aperçoit du coin de l'oeil Nenu, Gwennie et Sis mais l'est tellement sur la colère qu'elle ira les retrouver après. Comme elle est polie, elle écoute l'homme juste avant elle qui a reçu un pigeon lui aussi.

Ahhhhhaaaaa très drôle l'ami ton pigeon mais j'crois que moi là, j'viens de r'cevoir le gros lot!!!! et puis qu'voilà l'comparse hydrique qui s'pointe....Toi aussssssssssssssssssssi!!!!!!

Et de placarder le chiffon qu'elle tient entre les mains.

Citation:


Expéditeur : Crysania de Villefranche-De-Panat
Date d'envoi : 2010-07-18 05:31:06

Bonjour, Bonsoir,

Par la présente lettre, nous vous informons que les frontières du Rouergue ont été fermées le 17 Juillet 1458.

De ce fait, vous avez jusqu'à Lundi le 19 Juillet 1458 à l'aube pour quitté le Rouergue sans quoi vous pourriez être poursuivie pour trouble à l'Ordre public par la justice Rouergate.

Cependant, des dérogations pourront vous êtres émis à la discrétion du Prévôt des Maréchaux, Messire Jacquescoeur2, si vous lui en faites la demande.

Cordialement,

La Prévôté



Alors ma pauv'dame, vous êtes bigleuse ou quoi ? Parce que j'ai beau être hydrique et écossaise de surcroît , je sais encore pertinemment que j'suis arrivée ici le 15 JUILLET AU MATIN et pour le cas où vous affirmeriez le contraire ben manque de bol ma roulotte a été vue en place publique par de nombreux témoins!!!!
La prévôté surveille pas les entrées dans l'village ? Parce que c'est bien beau d'me dire que les frontières sont fermées depuis le 17 JUILLET et qu'on veut m'placarder un procès pour trouble public dès lundi mais encore faudrait-il savoir compter!!!! Parce que j'étais là 2 jours avant que les frontières ne ferment.

Donc, soit vous surveillez pas vos entrées et pour une prévôté qui se dit efficace et j'en passe ça la fout très mal ou alors vous avez senti mes effluves hydriques et vous vous êtes dit, celle là on va l'entourlouper ni une ni deux. Yep bah nooon ma pauv'dame j'suis pas née de la dernière pluie et moi j'sais lire et compter parfaitement.
Mais moi j'étais pas là quand mes amis ont pris le château donc pas la peine d'essayer, la sauce elle prendra pas non plus.

J'peux vous certifier une chose, c'est que lundi je serais encore là parce que mon chef adoré m'a donné l'ordre de l'attendre ici . Ouep a promis de me montrer son fessier alors v'pensez bien qu'j'vais pas rater cette aubaine. J'ai même emménagé ici c'matin c'est pour vous dire combien vous allez devoir me supporter.
Mais j'peux aussi vous assurer que si lundi je me retrouve en procès c'est moi qui vous en colle un pour vice de procédure et emprisonnement abusif sans compter que j'vous fous un trouble à l'ordre public dont foi d'écossaise vos esgourdes vont se rappeller!!!!!

Sur ce j'vous laisse méditer ma pauv'dame sur votre niaiserie et surtout votre incompétence flagrante. Avec un peu d'chance j'aurai des excuses mais j'n'attends rien de plus.

Et maintenant que les Rouergats peuvent voir combien leur comté est géré par des incompétents notoires, je retourne auprès de mes amis.

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Ecossaise en mon coeur à jamais...âme qui vient de se trouver...














Chatoyant
Chatoyant s'était absenté deux trois minutes histoire de ramener du ravitaillement, et à vrai dire, il avait de quoi tenir : Pas mal de pigeons fumés à la broche. Six bonnes centaines pour être exact. Ahlala, ce Chatoyant, un récupérateur dans l'âme. Tout de même il fallait que ces pigeons devenus sacrés soient honorés jusqu'au bout. Ainsi il les avait égorgés et cramés avec amour, histoire de les remercier d'avoir fait pleuvoir autre chose que de la fiente. Cha leur apprendra à saloper tout mon parquet...

C'est ainsi qu'il revint au tribunal, un panier rempli de piafs grillés, le genre de truc qu'on bouffe sans réfléchir et qui rend pas plus con qu'on ne l'est déjà. Il aperçu Gwen, taquinant ces bons vieux représentants de l'ordre Rouergat. Des types bien à n'en pas douter, faudra qu'il vienne leur offrir un peu de viande en sortant...humm, quoique non, c'était ses piafs nanmého

Chat, soit un chou, tu me files à grailler un peu là j'ai faim...

Mais bien sûr chère amie ! Au menu ce jour, Pigeons à la Broche...

Il arracha deux trois touffes d'herbe et en posa délicatement sur la bectance, avec tout son savoir-faire de restaurateur acquis depuis maintenant

...et aux Herbes de Rouergue.

Il lui tendit la volaille

Tu montes sur l'arbre ? On a une vue magnifique sur toute la Scène et je pense qu'on pourra mieux t'entendre gu...parlementer de là-haut
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Calis
Le jeune Maire revint faire un tour sur la place de Rodez, écouter quelques réponses de ses gens... Puis ils passèrent a autre chose, il ne put que commenter :

Enfaite, c'est toujours la même chose, brigands! Vous vous posez toujours en victime... Oh il est vrais que c'est une position facile, on préfère pleurnicher plutôt que d'assumer !

La comédie a assez durer... Mes pauvres enfants, vous êtes bloqués en Rouergue c'est ça ?! Vous avez des blessées, des procès, et vous avez peur ? Peur de qui ? A oui, nos voisins. C'est vrais qu'ils font peur, bouh mes pauvres chéris, vous êtes vraiment fichu... Alala, si j'avais su hein... Et sinon, vous ne savez plus quoi faire, a part critiquer notre Comté ? Vous vous ennuyer peut être ?

Et bien je vais vous dire une chose... Soyez courageux, allez au moiuns une fois dans votre vie !prenez vos affaires... Enfin, les notres, enfin votre butin... Et partez d'ici, on vous a assez vu ! Ca vous changera d'être courageux, vous verrez ! Allez maintenant grandissez et arrêter de pleurnicher en gargotte, ça nous changera !
Zazzera
Après la réception d'une lettre fort amicale, bien que écrite à la chaine visiblement, obligé de casser sa 3e sieste de suite, Zazzera prend sa plume pour répondre, quoi de plus poli. Après réponse faite et envoyée, à la chaine également, il en écrit une seconde, mot à mot identique, avec destinataire le tribunal publique.

Citation:
Bonjour,
Cettre lettre a pour but de servir d'accusé de réception au torchon illégal que vous m'avez fournit.
Aussi, par la présente lettre, je rappele à la troupe d'écervellés qui tentent de gouverner le Rouergue qu'il est interdit, selon la Charte des Juges, de déposer un acte d'expulsion sans avoir été reconnu coupable de haute trahison, et ce pour un délait maximum de 3mois. Avec aucune obligation de vente de fief, bien sûr.
Également, par la présente lettre, je vous signale que n'importe quel juge de la Cour d'Appel cassera tout jugement d'un procès lancé pour non-respect d'un acte d'expulsion invalide.
C'est ce qu'on appele les vices de procédures, et il serait fâcheux de gâcher votre unique chance désespérée de nous voir partir.
Vous avez jusqu'à lundi matin pour trouver un cerveau, fouillez le fond du lac de Millau, ou dans une poubelle, ce n'est pas grande qualité, mais il sera surement plus en état de marche que les débris qui se logent dans votre crâne.
Amicalement, et bien sûr respectueusement,
Moi-même.


Fiou, fatigué de tant d'épuisement, ça fait travailler la cervelle, de ré-écrire mot à mot, il s'recouche dans sa roulotte, attendant patiement que la justice illégale arrive.Il aime bien ça, c'est son "trip", d'emmerder les procureurs et juges qui ne connaissent pas les lois.
Rix
Rix était arrivé à la bourre et avait juste eu le temps d’écouter la comtesse, enfin la régente, euh.. L’irlandaise… bref la vilaine qui prenait des airs outragés en lisant la missive privée de Sofio. Décidemment, tout était possible en Rouergue. Bientôt, on allait avoir comme pièce à conviction les pensées des gens. Ce qui était bien quand on arrivait à l’extrême de la débilité, c’est que ça permettait de relâcher les chevaux, de chasser les quelques nuages qui pouvaient assombrir l’humeur et donner envie d’aller se faire voir ailleurs.

Donc, Rix finalement avait décidé de remettre les pieds au tribunal. Non pas pour se défendre, il allait être condamné à mort comme ses camarades, c’était entendu, pas la peine d’user sa salive pour si peu, ou autant, c’est comme on veut, il n’accepterait jamais la mort tout en l’affrontant avec conviction. Non plus pour défendre son ami de cœur, elle n’avait pas besoin de lui pour ça. Se défendait-elle, elle-même ? Elle leur chiait sur la gueule, oui, et elle avait bien raison. Non, il était là parce que comme toujours, dans les moments graves, les moments difficiles, il voulait être à côté d’elle, montrer qu’à eux deux, ils étaient roc, ils étaient pierre, ils étaient volcan, éruptifs et incontrôlables.

Alors il la regarda avec toute l'affection qu’il avait pour elle et s’avança vers la barre. Puis il dévisagea tour à tour Toni-Montana et Harpège avant de commencer, d’une voix posée:


-Salut le porte-cigare, salut l’irlandaise, je jure de ne rien dire de vrai puisque ça vient de moi-même, homme sans foi ni loi et bientôt gibier de potence, amené par des gardes qui n’auraient aucunement la capacité de lui résister, à lui et ses comparses, quelle drôle d’histoire, sans doute une intervention divine qui vous permet l’absurde, enfin bref, passons. Donc je suis là pour témoigner, témoigner que Sofio, ma belle amie, est aussi folle que moi, sans doute beaucoup plus puisqu’elle m’a presque tout appris. Oui, folle d’imaginer un monde différent, un monde où chacun pourrait s’aimer ou se détester avec courtoisie, en y mettant les formes adéquates. Et quand je dis avec courtoisie, comprenez-moi bien, je parle d’accepter l’autre pour ce qu’il est, accepter qu’un méchant soit de la pire espèce, qu’il n’y ait rien à attendre, rien à espérer de lui. De même, accepter qu’une comtesse brille d’éloquence et de langue de bois, tout en rajustant le manche planté dans ses fesses, pour peu qu’elle est une certaine maîtrise de la langue et de l’orthographe. Ce monde n’existe pas, et n’existera jamais. Les gens de pouvoir préféreront toujours éradiquer la vermine par tous les moyens, y compris les plus obscurs, les plus démoniaques, à faire rougir le diable lui-même, quitte à laisser la place à l’ennui le plus profond. Ils ne voudront jamais voir que le petit peuple nous réclame, plébiscite nos différentes représentations et en redemande, préférant largement nos numéros sous grand chapiteau à vos bals de fin d’année, vos kermesses et vos repas au bord du lac.

Il les montra du doigt :

- Vous êtes gens de pouvoir, le porte-cigare et l’irlandaise, et vous allez sans doute gagner. Il vous suffira de nous laisser pendre assez longtemps au bout d’une corde pour passer l’envie à quiconque dorénavant de venir faire les quatre-cents coups ici ou ailleurs dans le Royaume. Vous avez gagné, congratulez-vous. A moins que….Ils nous restent une dernière carte à jouer. Espérer que ces cordes cèdent sous notre poids de gros lourds-dingues. Et alors là… Je vous promets le régime de la terreur, je vous promets les cris et les larmes, je vous promets les chairs et les viscères, je vous promets l’urine et le sang, je vous promets le sperme et les mauvaises humeurs, je vous promets le viol et la torture, je vous promets le feu et la ruine, je vous promets la faim et la soif, je vous promets la souffrance et le désespoir, je vous promets le saccage et la démesure, je vous promets le ras de marée et l’avalanche, je vous promets le rien après nous.

Coup d’œil circulaire dans la salle :

-Après nous, oui, aucun juge n’osera plus jamais condamner à mort une ordure, de peur de le voir se réveiller et de mettre à sac son comté. En attendant, parce que je l’aime ma Sofio, je confirme, et je surenchérie, je vous chie sur la gueule Madame l’irlandaise, comme je vous chie sur la gueule Monsieur le porte-cigare, et je vous donne rendez-vous avec mon fantôme devant le château.
Akaedia
Lasse et squelettique, la gamine s'était trainée jusque là. Pourquoi là ? Sans doute parce que c'était l'endroit le plus bruyant de tout le Rouergue, ou encore parce qu'elle espérait y trouver un début de réponse. Alors elle se glissa dans un coin, cernes bleues marquées lui dévorant le visage tandis que son front était toujours enserré de bandages de fortune.

Les voix s'entrechoquaient, c'était à qui crierait le plus fort. Comme si le volume sonore avait une chance d'être preuve de vérité. Si c'était le cas, elle était effectivement très mal barrée la pauvre pucelle.

Alors qu'un type croisé en taverne d'Espalion finissait de déclarer son amour du Rouergue et son futur intestinal, elle relisait le courrier reçu de la Prévôté, se mordant la lèvre à s'en faire saigner pour ne pas pleurer de dépit.

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Les mots mentent... Mais un jour je reparlerai... En attendant, j'en pense pas moins !
Nenuphar
- Ça pue!

Le jeune garçon repartit en courant vers le tribunal. Nénu lui avait promis quelques écus en échange d'un récit détaillé des verdicts prononcés là-bas. Elle lui proposa en plus un brochet, mais après un rapide coup d'œil à la marchandise le gamin prit ses jambes à son cou.

Elle avait décidé d'envoyer un coursier au tribunal parce que le Juge se faisait désirer sur la place publique, et que la rumeur disait que des peines de mort étaient déjà tombées. Elle était encore sous le choc des faits rapportés pas le garçon :

Gwennie de Kermaedic – accusée par le Maire de Millau et condamnée à mort sans preuve!
Jeni... - accusée et condamnée à mort avec pour seule preuve une brève de comptoir rapportée par un arsouille!
Allfears - accusé par le Maire de Rodez, un maire qui reconnaît lui même qu'il n'a pas pris le temps de préparer correctement l'accusation. Dans cette affaire, le Grand Tony_montana est juge ET partie, puisqu'il a été appelé comme témoin! Verdict : condamnation à mort sans preuve.
Dulin - accusé et condamné à mort sans preuve.

Quatre condamnations à mort sans preuve après des procès iniques!
Bel exemple de justice : abus de pouvoir du juge et partialité...
Quel plaisir pouvait bien trouver cet homme à incarner une justice aussi expéditive et à condamner sans preuve?
Trop de frustrations surement. Dommage que Sœur Tréponème, la tante de Nénu, soit si loin. Elle en avait détendu plus d'un! Et ce juge avait assurément besoin de se dérider un peu.

Nénu se leva et s'adressa aux Dames de l'autre coté de la table, l'ex-nouvelle Comtesse et le procureur.


- Mais où est le grand absent de ce tribunal? Où donc est le juge?
C'est quand même bien lui, le représentant de cette mascarade de justice qui se tient en vos murs, non?
Compte-t-il venir enfin annoncer publiquement ses décisions ou bien la frustration le ronge-t-elle au point qu'il n'a pas le courage d'affronter la foule? On peu décemment se poser la question, vous ne trouvez pas?
Il brille ici par son absence!


Tout en disant cela, Nénu regardait le seau rempli des poissons invendus qu'elle avait pêchés depuis des semaines à Millau.

- Il a raison le gamin! Ça pue!
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Gwennie
[Somewhere, over the voices...]

Deux silhouettes penchées sur un corps. Une main sur les hanches, l’autre fumant une pipe bizarrement courbée.

Alors ?

Elle va s’réveiller va. Elle a toujours aimé le demi sommeil…

GWENNNNNNN !!!!!

Hein ????????

Elle ouvre un œil et contemple un ciel blanc comme neige, à moins que ce ne soit un plafond. Allongée bien à plat, elle sent le sol comme jamais, à croire qu’elle n’est plus qu’os.

P’pa ?

Oh défection……….M’man !!! t’avais dit « non » ! que j’mourrai pas… J’suis où
?

Elle se redresse péniblement…

« M’maaaaaaaaaaaaaaaaannnnnnnn, t’es où ?????????? T’as mangé tous les kinder ????????????????????? »


Hein ??????????


Ahurie.Stupeur et tremblements.

J’suis où ?

Au paradis,
dit le père.

En enfer, dit la mère disparaissant soudain en marmonnant qu’elle bouffe TOUS les kinders si elle veut d’abord.

C’est quoi des Kinders ????

Laisse va, une lubie de ta mère quand ça tourne pas rond.

Bon…J’suis morte ?

Oui.

Ah. Bon. J’pensais que non tu vois. J’ai dit au revoir à personne. En meme temps, personne m’a dit au revoir non plus.Va peut être falloir que j'en tire des conclusions.Trop tard en même temps...


Elle se lève et s’époussette le kilt par réflexe.

J’fais quoi maintenant ?

ben ma fille t’y retournes !!!

Nan, t’y retournes pas !!! ça suffit comme ça. C’est pas une vie en bas. C’est le monde à l’envers…Pas moyen que ça tourne rond…Ici on a des kinders, une boite à con avec des Gendarmes et Angélique marquises des Anges…Reste donc…

Euh…Serieux j’fais quoi ?P’pa ?

Il sourit, son visage buriné plus doux que dans le passé.

As tu fini tout ce que tu avais à faire ?

nan…Mais j’suis pas sure de pouvoir le faire…ça devient n’importe quoi …

Han !!La chienlit ma fille , la chienlit !!!!reste avec nous….

Tain m’man…pfffff…arrete les kinder un peu, ça te monte au ciboulot…Euh, t'en as sur toi que j'essaie??????


Haussement de sourcils à la Kermaëdic….Mere contre fille..La mère baisse les bras et grommelle en breton « plus têtue que celle là, y a pas »…Mauvaise foi… Une bretonne fait pas une normande. Parait il du moins.

Gwen regarde en bas au-delà des voix.

Pourquoi j’y retournerai c’est surtout ça…

Parce que quelque part tu es morte pour eux. Et que tu recommenceras…Parce que tu les aimes. Plus certains que d’autres d’ailleurs…

P’pa !!!!!!!


Quoi, on a des yeux pour voir…

P’paaaaaaaa !!!!!!!!!!!!!!!!!

A ce propos, la prochaine fois que tu te laisses cogner et que tu dis merci, c’est moi qui t’en colle deux…

Elle frise du nez et se masse la mâchoire, en grimaçant.

C'est pas ça dont je parle Gwen!


Hmpf...

Ma fille…La mère s’avance pour l’embrasser. Dégage d’ici…Retourne t’amuser. Nous on a qu’une vie, toi tu peux en avoir plein. Profites en ! Tu sais faire ça et bien !

Ma fille…Tu diras à ta sœur que sa nouvelle couleur lui va très bien au teint.

Notre fille…DEHORS !!!


A deux ils la poussèrent au-delà des voix.


Alors qu'elle les quitte sans même sans rendre compte, la mère murmure au père de la bretonne.

J'espère qu'elle va se réveiller.

Tirage de pipe appuyé.

Ouaip...c'est pas parce que c'est ma fille...Mais y a de bons coups de pied aux fesses qui se perdent...Elle mérite mieux notre petite Gwen...
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Rix
Rix arriva dans une civière portée par deux noirs africains, ou deux vikings, ou deux asiatiques, difficile à savoir, d'une part il n'attachait aucune importance à la physionomie des gens, au contraire de la régente spécialiste du délit de sale gueule et qui listait à tout va, d'autre part les frontières étaient fermées et pourtant on circulait dans ce comté comme dans un moulin, l'essentiel pour les autorités étant de brasser du vent, des procédures en l'air et des pigeons dans la tempête.

Donc, pour cette fois, vu son état, il ne se présenta pas devant la barre mais préféra qu'on le dépose sur l'espèce de comptoir où tout juge derrière s'estimait en sécurité pour abuser à loisir de son pouvoir.

C'est ainsi qu'il se retrouva à portée de main des vilains de la cour, épuisés sans doute par tous les procès qu'ils instruisaient et qui n'avaient pas fini d'en baver avec toutes les procédures d'appel qui se préparaient en coulisse.


-Mon juge, ma proc et tous les autres, me vla devant vous, mourant, ce qui est assez marrant pour un type qui refuse d'être pendu ! Donc, on me demande ce que j'ai à dire pour ma défense, que répondre, mes camarades ont tout essayé pour vous faire entendre raison, tel un Zazzera vous prouvant par x et y que vous étiez dans l'illégalité la plus totale, mais rien à faire, en Rouergue, c'est le tribunal de l'absurde, il y a bien longtemps que vous avez renoncé à faire respecter le droit, tout ici n'est que rancœur, vengeance, mesquinerie... Je pourrais vous expliquer que j'ai été poutré cette nuit et que je suis dans l'incapacité de bouger, mais vous seriez capables d'exiger que je sorte du Comté en rampant et traînant Espalion derrière moi!

Il éclata d’un rire qui se transforma tout de suite après en un rictus épouvantable, à cause de la douleur atroce dans son ventre, souvenir des épées pourfendeuses de la veille.

-Donc, rien d'autre à dire que cela: dorénavant, nous ne nous défendrons plus, ou si peu, nous ferons suivre en cours d'appel tous ces procès sans queue ni tête, avec l'assurance de vous ridiculiser. Ridiculiser, oui ! Un exemple parmi d'autres : vous rendez-vous vous compte que vous avez condamné à mort un homme accusé de trouble à l'ordre public ?? Sans rire, nous avons presque honte d'aller présenter ce dossier devant la cour d'appel !!

-Mais je vais profiter d'avoir la parole ici pour évoquer autre chose: cette nuit, un ami à moi a été tué par l'armée d'Harpège, c'est donc qu'il était listé en ennemi puisqu'il voyageait seul. Or, je vous défie de prouver qu'il ait un jour ou l'autre participer à un pillage ou à une révolte en Rouergue, et même ailleurs, alors, est-ce là le respect des personnes dans ce comté??

-Evidemment, on ne me répondra pas, on me dira que ce n’est pas le lieu, ça tombe bien, y'en a pas d'autres ! Je m'en moque, c'est juste pour que tout le monde sache qui se cache derrière la grande dame, si prompte à parler au nom de la justice et du droit !

Il se rallongea sur sa civière, cherchant une position confortable.

-Bon ben je vais rester là, moi, faire un petit roupillon… Réveillez-moi s'il se passe enfin quelque chose de marrant ici.
Azoura
Azoura avait accompagné un dénommé Rix,une personne qu'il aimait entendre faire aller sa bouche,un ami,hooo même plus que cela,considéré comme "frêre " de sa douce et azou,la famille tu touches pas!!!
Ce "frêre" quand il l'ouvrait c'était pas pour que des mouches en sortent s'échappant d'une pourriture quelconque...non...ces paroles devaient être écoutées,pleines de bon sens,souvent avec une pointes d'humour...oui de l'humour fallait en avoir ici tant la situation était a chier.....du vrai n'importe quoi.

Donc ,le beau gosse veillait en cette instant au bon rétablissement du Maître Jargor ,celui qu'on avait lâchement frappé et les bourres pifs allaient pleuvoir si on troublait la sieste du rix!!!

Le premier qui vient me le réveiller, je lui promet que pour se moucher devra mettre ses mains dans sa bouche ..c'est clair!!...

Un regard noir,des plus noir...le géant ne pouvais plus rester dans l'ombre,fallait qu'il se montre à la lumière,qu'il montre son appartenance.
Depuis tant d'année il n'a su trop comment repousser son coté obscure, et la , c'est en fait ce coté qui le tente depuis tant qu'il laisse surgir de lui, enfin le voila au grand jour et barrez vous , azou n'est pas un tendre, surnommé la brute dans la mémento,c'est pas pour rien ...ne tomber pas entre ses mains jour de colère vous en seriez broyé!!!!

Se plaçant entre les deux bronzé porteurs,il posa sa main sur le torse du somnolent en espérant que celui-ci ne pense pas que ce soit une de ses amourettes qui vient le caresser!!!!
{Sam_hain}
Encore un petit rappel :

{Cerbere} a écrit:
2 pas de post en Anglais (ou d'autres langues d'ailleurs) sans traduction en français. Tout le monde n'a pas forcement envie de se taper l'outil linguistique pour comprendre ce que vous racontez.


Ceci est également valable pour les didascalies

Bon jeu =)

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Pas de HRP dans le RP ! Pour les mots doux et autres demandes, pensez MP
--Les_enfants_terribles
Les enfants avaient pris quelques jours pour se remettre de leurs émotions avec le mangeur d'enfant et la sorcière aux pets infâmes, mais l'ennui les avait rattraper. Il leur fallait de la nouveauté, un peu d'action, des choses à apprendre.

L'un d'entre eux suggéra d'aller en place publique écouter les brigands être jugés. L'idée fut retenue et la joyeuse bande se rendit sur les lieux, toujours armée de lance pierres. Ils espéraient secrètement pouvoir prendre leur revanche sur la vieille sorcière qui les avait privé d'un lavage sans précédent ! Cette fois-ci, ils avait même des mouchoirs parfumés de lavande, au cas où.

A leur arrivée, ils ne virent que des gens parler, parler et encore parler. Rien de particulièrement intéressant ici. Rien sauf un type qui s'était auto-endormi avec son discours et un autre qui criait fort pour qu'on ne réveille pas le dormeur. Ce fut le moteur de leur nouvelle action.


- Vous croyez que s'il réveille lui-même le type qui pionce, il mettra ses menaces a exécution contre lui-même ?


- C'est possible c'est un brigand après tout.

- Mais les brigands ça ne respecte pas sa parole, c'est pour ça que se sont des brigands.

- Ah oui, c'est pas faux.

- C'est brigand que t'as pas compris ?

- Hein ?

- Non rien laisse tomber. Bon le nouveau plan, c'est de continuer à faire crier le type qui est plus blanc que blanc et que nous appellerons donc Blanchette, afin qu'il réveille lui-même le dormeur, que nous appellerons Ronflette, et de vérifier s'il mettra sa menace a exécution en se frappant lui-même.

Pour cela, les petits vous allez lui faire les grimaces les plus immondes que vous pouvez. Pendant ce temps, nous allons préparer un piège spécial "Ouille, aille, Ouille, zut, crotte, fichus gosses", ça devrait suffire à le réveiller.
Si ça ne fonctionne pas, on avisera. Maintenant, tous en position !
Sofio
la place des grands hommes......

Rix mourant,lui avait t'on dit, un rix couché et mal en point et pourtant il arrivait encore a brailler, pas paradoxal non du tout, la ou le corps et l'esprit de dissocient, puis aussi parce que ....

Parce que!!comme dirait le vince d'antan , parce que c'est mon pays!!!alors elle avait tenu a venir voir de plus prêt,pas elle qui lui ferait le baiser du beau endormi,manquerait plus qu'il se transforme en gren...non en rat! et puis c'était pas le moment, vraiment pas de la jouer au guerrier en sommeil, fallait t'il qu'elle le recouse et le retape, il existait des méthodes que seul les bas fonds de la cour des miracles en avaient le secret.

a peine arrivé, elle se figea net le spectacle la surprit et la tétanisa, un grand vide dans sa tête, elle ferma les yeux un instant, en soupirant , avant de les rouvrir tout grand, accompagné de sa bouche qu'elle exprima en rond.

Sang de bonsoir, ainsi donc le Rix, celui que le tout Rouergue nommait l'homme a femme envie de vomir qui monte monte monte mais mais mais.....

On ne cesse pas le progrès et le cœur a parfois des raisons que la raison ignore, elle doit passer outre, sa vision, passer outre le fait que son promis amant amoureux qui encore la veille, la couchait sur sa paillasse et son ami de toujours qui avait ruiné plus de cœurs que de mairies soient...

Ça remonte dans son estomac tel un projectile non désirable, d'un coup plus rapide que le cheval au galop quand il est poursuivit par l'armée de la comtesse au cul nu, elle met sa main devant sa bouche mais il est déjà trop tard, son repas de pain maïs, relevé d'un petit godet de taverne, vient de finir au sol, a quelques mètres de la civière , ou le couple le ......



haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa


Elle les regarde, croise le regard de azou, sa main!!! sur le torse de Rix, la main de l'amour, la main des caresses, celle de tous les désirs, m'enfin c'est degueu!!!!!!

pas montrer la jalousie surtout, car être jaloux c'est avilissant, c'est le retour a l'état primaire des animaux qui ruent dans les civières, en montrant les crocs et en se tapant sur le torse,non elle joue le regard détaché de la femme délaissée qui vient de comprendre que son mari se barre avec la femme du voisin, parce que il le vaut bien, en l'occurence elle s'attend a tout moment a ce que azou lui dise d'une voix simple

"chéri , j'ai trouvé l'homme de ma vie, il est beau, il est fort c'est un risque a prendre c'est Rix"


m'enfin


comme toujours, dans ces cas la, elle trouve pas son vocabulaire, les mots lui manquent, elle s'approche d'eux, regarde encore la main sur le torse, le visage de Azou, et l'air béat du Rix endormi, elle soupire un grand coup et murmure a son ... a son??? a son amant qui la délaisse.

Embrasse le, et tu pourras le réveiller j'ai lu ca dans un livre
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--Les_enfants_terribles
Les enfants avaient vu une rousse se diriger vers Ronflette et Blanchette. L'idée leur vint tout d'abord de la baptiser Roussie, mais leur doyen étant roux, il risquait de s'offusquer.
La rousse avait prononcé une phrase qui stoppa net leurs grimaces, "Embrasse le, et tu pourras le réveiller j'ai lu ca dans un livre". Une fille qui savait lire, c'était nouveau, à moins qu'elle ne mente !
Quoi qu'il en soit, les gamins étaient fort intrigués à l'idée qu'un baiser puisse réveiller quelqu'un.
Alors, tout en respectant le plan initial de faire crier Blanchette, ces derniers se mirent a applaudir en rythme avec une petite rengaine, ma foi, fort sympathique...


Le bisou ! Le bisou ! Le bisou ! Le bisou.....
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