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[RP - Festivité] Quand la Royauté se fait tirer le portrait.

Stephandra
La jovente surveillait chaque personne, observait les endroits potentiels où on pouvait cacher les armes, puis elle aperçu un hochement de tête et un clin d'oeil très compréhensibles de son homologue.

Steph inclina la tête discrètement en signe de compréhension,Rose était un très bon garde et la jovente avait entière confiance en elle, ne regardant pas dans les mêmes directions, elle semblait avoir vu une personne suspecte que la lieutenant n'avait point remarqué.

Doucement Stephandra fit comprendre d'un regard entendu qu'elle avançait quelque peu, ainsi elle pu suivre du regard Rose, parfois deux n'étaient pas de trop.

Rose semblait s'approcher d'un homme que Stéph avait trouvé un peu étrange et seul à son entrée, avant d'être auprès d'une femme, ensuite son homologue s'adressa à une femme, la jovente sourit et scruta l'homme.

La femme semblait connaître Rose, leur conversation paraissait calme mais assez ferme, son homologue était très professionnel et cela ravi la jovente qui ne manquerait pas de l'en féliciter à l'issu de la cérémonie.

La femme s'adressa à l'homme, Stéphandra comprit que ça se déroulait correctement et fit un clin d'oeil à Rose. Le Roy n'était pas encore présent, peut être ne viendrait il pas aussi pour le moment son Altesse Armoria ne devait courir aucun risque, lentement la main disposée à entreprendre n'importe qu'elle action, elle s'approcha un peu plus de la Princesse.

Petits regards vers Rose, puis à ses homologues masculins, l'homme était surveillé par plusieurs paires d'yeux il valait mieux qu'il ne tenta rien ici comme ailleurs, la vigilance était de rigueur et la jovente se concentra au mieux sur celle ci.

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Nennya
Le chef parlait d'assassinat, ouïe ouïe pour les parties intimes du mestre des logis et de son collègue mâle, après tout, ils l'avaient mérité. Elles les présenta au Duc de Champagne, magnifique révérence, il était certain qu'elle ferait moins bien, se contentant d'une signe de tête gracieux, sans courbette des jambes car son sens de l'équilibre était amoindri. Et sans prévenir garde, la Grande partit annoncer les festivités d'un simple "hum hum", si elle avait été ailleurs, la Blackney aurait mis à l'épreuve son cor de chasse pour les faire taire et écouter sa douce voix. Avec quelques fautes protocolaires, mais surtout avec grande élégance, elle fit demander son Altesse pour se mettre face à son portrait. Ouhh dur, imaginez que le portait ne soit pas à la hauteur des attentes, ou qu'elle dise "c'est moi ça?", la pression était à son comble. Les gardes étaient sur le qui vive, eux par contre, faudraient qu'ils relâchent un peu la pression, enfin pas trop quand même. La petite princesse venait de faire son entrée, à présent Dame de la Chambre, elle lui fit signe de venir à ses côtés. Elle posa sa main sur son ventre, espérant attendre aussi une jolie princesse...Bon on le voit ce portrait se dit la Duchesse, mais qu'est-ce qui lui arrivait, voilà que sa main ne cessait de la démanger, elle leva son minois pour en voir l'origine.
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melior
Melior haussa un sourcil en voyant les toiles recouvrant des tableaux. Fichtre ce ne seraient donc point des robes qui seraient présentées...pourtant, il faudrait pas bien qu'elle y songeât un jour...oui, mais après les sabots rouges.
Ceci dit, de nature curieuse, une autre chose suscitait son intérêt, voir ce que recouvraient les toiles.
A la révérence d'Alatariel, elle répondit de belle et courtoise manière, révérence protocolaire à la Princesse lorsqu'elle se présenta dans la salle.
Les invités continuaient d'arriver, et parmi ceux-ci la brune reconnaisait quelques personnes, dont Valric, elle s'apprêtait à aller le saluer lorsqu'elle vit qu'une gente demoiselle l'avait rejoint. Elle jugea donc inutile de troubler le couple en imposant sa présence. Un autre couple, Flex et la jolie Comtesse toulousaine qu'elle avait eu le loisir de rencontrer brièvement à Montauban. Elle les salua de loin...là aussi, même configuration, inutile de s'incruster au milieu. Peut-être un jour devrait-elle songer également à se faire accompagner à ce genre de festivités...sauf que...le temps passait et le problème restait le même, personne ne voulait l'épouser, en dépit de ses remarquables talents de cuisinière, son infinie patience, et le fait qu'elle ne soit jamais, mais absolument jamais de mauvaise foi.
Que lui restait-il ?
Peut-être était-ce le moment opportun pour aller questionner les gardes au sujet des sabots rouges. Raté. Nebisa signifia que les tableaux allaient être découverts.
Alors, Melior attendit.

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Duchesse de Castelmoron d'Albret, Vicomtesse de Beaumont en Périgord
Lily-jane


La jeune comtesse était encore légèrement troublé par la marque d'affection de Flex avant leur entrée dans la salle. Marque d'affection du borgne ? Etait-il souffrant ? Ou alors il avait une idée derrière la tête... Ou bien cet enlèvement dont il avait été victime avait laissé plus de trace que l'on pouvait penser... Ou bien....
Lui jette encore un regard légèrement intrigué qu'elle masque de son sourire mutin, chasse ses pensées puis reporte son regard sur la petite foule réunie.

Un des tableaux allait être dévoilé et l'on voyait tout les yeux braqués sur celui ci encore camouflé de son lourd tissu.
Les secondes semblaient des minutes, histoire sûrement d'ajouter au suspens du moment.

Patience.... Patience ? Oula... C'était jouer avec les nerfs de la brune là. Mais si si, elle s'était promit de faire quelques efforts à ce sujet.
En attendant elle continua son observation, afin d'être sure que chaque convive restait sage et correct.
Froncement de sourcil léger quand elle en vit boire discrètement au goulot d'une flasque.
Ah non hein ! On s'calme là, ou on partage naméhoo... On partage... Non mais ça va plus là...
Elle tenta de croiser le regard de l'individu qu'elle ne connaissait pas, essayant d'exprimer la négation de ce geste.
Pas que ça la dérangeait qu'il boive, mais fallait qu'il reste avec modération et qu'il évite de fréquenter excès qui avait mauvaise réputation dans ce lieu.

Bon tour d'horizon à nouveau et croise encore le regard de Mélior. Lui adresse un sourire n'osant s'avancer pour la saluer, de peur de se faire sauter dessus par un des gardes par erreur.

Puis regarde encore le Vicomte qui à l'air de s'amuser autant que s'il était en présence de trente politiciens vieux et gonflants.
Retient un sourire amusé puis fait comme tout le monde, et patiente, tout en restant vigilante...

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Valric
Pourquoi avait-il ce sentiment que quelque chose n'allait pas?! Sa coiffure? Nah il était "peigné" comme d'habitude... D'ailleur il passa une main dans ses cheveux en bataille lorsque la Grande Consul prit place à ses côtés ne se gênant nullement pour y aller de quelques boutardes justes bonnes à lui faire déclencher ce qu'elle avait déjà anticipé...

Norf!

Norf après norf il les laissait filler d'entre ses lèvres et rapidement sans trop sans rendre compte il avait attiré bien plus l'attention sur lui qu'il ne l'aurait voulu. Pourtant le Gambiani n'avait pas amener ses armes... Il était là, sans armure, arborant fierment une belle chemise et n'ayant que ses grosses pattes qui avait envie de saisir le goulot d'une petite bouteille... Et elle était là... La boutarde passée il s'était retenu de commenter! Le lieux ne s'y prêtait pas... Malheureusement! C'était bien connu que la Dame était maintenant habituée à son caractère parfois volatile et c'est ironique mais dans un sens c'est ce qui avait fait qu'ils avaient su faire naître une belle amitié entre eux deux. Mais ça clochait tout de même... Il regardait autours... Ses sens l'appellait... C'était d'autant plus ironique que la dernière fois que ça lui avait arrivé il était avec sa belle, sa fiancée, et que ce soir là bien qu'armée un homme avait trouvé la mort des pattes nues du Gambiani...

Elle parla de son envie de voir les tableaux... C'est surprise que lui le Seigneur du Plaix n'y voyait aucun intérêt outre un moyen de passer le temps en bonne compagnie avant de s'attaquer aux dossiers qui l'avaient conduit à Paris. Il regardait autours... Le regard vague tentant de comprendre ce que ses sens voulaient lui faire entendre... L'ancien Commandeur du Renseignement Royal avait bien survécu dans des situations délicates en se remettant complètement à son instinct et à ses sens qui auxquel il pouvait toujours se porter garant.

Une garde... Puis deux... Le manège... L'approche substil vers lui pendant qu'inconsciament sa main glissait vers sa cuisse où normalement une rapière s'y aurait trouvé mais là ce n'était qu'une fillette de très bon vin qui reposait... Leello lui passa un commentaire qui le fit sourire et il lui ouvrit en guise de réponse... Il se sentait un peu basin d'ainsi se perdre dans ses pensées alors qu'elle était venu à sa demande... Mais ça tiltait! Il y avait quelque chose d'anormal... Cette garde trop près, l'autre qui le mattait et ce n'était certe pas pour sa belle gueule.. Elles en avaient vu d'autres les fillettes!

Son oeil capta tout ce dont il avait besoin pour comprendre... Une main subtil vers la garde d'une épée... Était-ce l'histoire de Provence qui n'était pas terminée!? La Prévôté et les SSR en avaient-ils toujours après lui sans raisons?! Il n'avait pas d'arme... Il chercha le moyen... La garde s'approche de Leello allant lui parler et c'est là qu'il bondit attrapant le devant de la tunique de la garde, bondissant usant de la force de l'homme de guerre bâti pour les champs de bataille pour lui bloquer la garde de son épée et lui-même dans une torsion de poignet l'empoigner pour faire face à ce deuxième garde qui approchait!


"Mon cher Valric vous avez failli être défrisé!"

Il sortie de ses pensées à se moment... La garde était toujours penchée tout près et lui avait toujours sa main caressant une bouteille prometteuse... C'était pas la peine de faire des éclats dans le Louvre... nul besoin d'engager le combat il n'avait rien à se reprocher... Il croisa le regard de la garde comme pour lui dire "n'oubliez jamais ce visage si l'on vient qu'à se recroiser!" Foutue caractère de Berrichon parfois! Quand ça veut jouer au coqs le Gambiani ne reculait jamais... Quand ça voulait faire joujou des armes il répondait présent... La baffe facile, l'humeur après bien tranquille... Les comptes en souffrance ce n'était pas pour lui... Il était Noble et avait bien les moyens de les rêglers dès lors!

La montée de testostéones diminuait peu à peu... Le calme en lui revenait et fallait dire que ça l'avait pratiquement amusé... Plus moyen de se promener en Paris pour que le bâtard Valrose ne se fasse remarquer... En bien comme en mal... Il posa une main sur celle de Leello lui montrant que tout allait bien puis montra ses deux mains à la garde...


Je suis Valentin Ricclot Gambiani de Valrose, Seigneur-Vigneron de Saint-Hilaire en Lignières... Gardez-bien le joujou qui vous sert d'arme ranger... Ce soir je ne viens pas pour ça mais pour des tableaux n'est-ce pas? Comme c'est intéressant... Vous pouvez faire votre travail en paix, mes mains resteront bien sages tout comme moi...

Il sourit ironique... Le murmure avait sonné tout aussi ironique et amusé... Vraiment tant d'attention devenait intéressant au Louvre! Comme si c'était le moment d'enligner les scandales avant son mariage... Elle était bonne celle-là... Il se retourna vers son amie et haussant les épaules signifiant que pour une fois il n'y était pour rien il lui glissa quelques mots...

Je sais bien que votre fillote m'a à l'oeil mais vous pouvez lui dire... Je suis déjà fiancé hein! Pas la peine de s'essayer et vraiment... Je vous dois tout un chandellier! Qu'aurais-je fait dites donc avec quelques gardes sur le dos!?

La comédie faussement appeuré le faisait rigoler... Il espéra que ce soit de même pour la Grande Consul... Elle le connaissait suffisament et connaissait assez des histoires du Gambiani pour savoir qu'il n'était pas inquiet le moindre du monde... Puis un tableau allait être dévoillé et profitant du fait que la garde était encore à portée il ne pu s'empêcher la boutarde...

Oh mais Dame Leello, c'est mon ami "George" que voilà sur la peinture?

Il ricolla encore sans faire trop de bruit pour ne pas déranger les autres et il se radossa doucement dans sa chaise attendant la suite...
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Agnes.carpadant
Tant d’heures passées par les artistes pour enfin être présenté au Louvres et pas avec n’importe quelle œuvre. Non point. Le Roy puis la princesse douairière. Elle s’imaginait l’était d’esprit dans lequel ils devaient se trouver. L’attente de la découverte des toiles, la crainte des regards, des commentaires, des critiques qu’il pourrait y avoir. Et si un grand artiste se révélait devant cet attroupement noble ? Et est-ce que Mère serait ravie d’un tel présent de ça part ? L’idée trottait dans sa tête blonde depuis longtemps déjà, depuis qu’elle avait admiré sa première toile… Elle quitta ses pensées pour voir l’instant tant attendu. C’est nennya qu’elle vit à la place lui faisant signe de venir.

Nahysse je vais voir la Duchesse de Mortain un instant, ne t’éloigne pas. Puis de son regard se relevant sur le borgne qui la fascinait autant qu’il l’intimidait. Pouvez vous veillez qu’elle ne quitte pas la pièce ?

Et d’un pas discret, genre un chat semblait être un éléphant dans une galerie de porcelaine, elle rejoint la chef et la cheffe faisant de même une révérence discrète à la Princesse.
Missrose
Alors que sa marraine lui répondait, d'un signe de tète Rose avait fait comprendre a Steph que tout était sous contrôle. Elle l'avait vu s'approcher de la Princesse et su qu'elle pouvait relâcher son attention quelques instants. Moment qu'elle utilisa pour accompagner les dires de sa marraine et donc appuyer son regard sur l'homme.
Ainsi donc cet Adonis échevelé était un Gambiani ... Gambiani de Valrose ... Ce nom n'était pas inconnu a Rose, elle avait déjà croisé des membres de la famille mais cet homme là non ... elle s'en serait souvenu.
Elle ôta sa main du pommeau de son épée, geste somme toute banal en d'autres circonstances mais qui pour Rose signifiait la fin des hostilités.

Elle croisa son regard, se forçant a garder son sérieux devant le comique de la situation. Sa marraine venait de sauver la vie d'un homme sans même y prendre garde. Un seul geste de Rose aurait en effet provoqué la ruée de tous les Gardes présents dans la salle.
En y réfléchissant bien, Rose se dit qu'elle aurait été peiné d'abimer si beau visage. Alors qu'il se présentait, elle remarqua alors cette légère ressemblance avec l'Homme qui avait une si grande importance dans sa vie ...


Seigneur ... je laisse le soin a ma marraine de vous déclamer mes titres, je ne suis point ici pour faire causette ... mon joujou comme vous dites restera au fourreau tant que cette cérémonie se déroulera comme elle le doit.

Prenant le temps d'une respiration et affublant ses lèvres d'un léger sourire en coin, elle rajouta

Mais j'escompte bien vous recroiser en de meilleures circonstances ...

N'attendant pas réponse, après un clin d'oeil a sa marraine, Rose retrouva sa concentration et repris sa surveillance. Steph étant du côté de la Princesse, elle se dirigea donc à l'opposé de cette position afin d'avoir une vue d'ensemble sur la cérémonie
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Leello
Voyant la réaction de son ami face aux gardes Leello leva les yeux au ciel se demandant quel tour il allait bien pourvoir lui jouer.
Elle était ici à sa demande, se sentait très peu à l'aise mais lui avait promis de venir discuter avec lui d'une affaire qui lui tenait à coeur.

Il ne put s'empêcher de provoquer un peu plus sa fillote, et Leello sourit à cette idée malgré un brin d'inquiétude.
Mais Rose connaissait bien sa marraine et elle avait lu en elle que celui qui l'accompagnait était digne de confiance.
Elle espérait tout de même que les autres membres de la garde royale ne décident pas de lui tailler les braies plus courtes que prévue.

Un regard vers son ami, lui faisant comprendre son ressenti sur la situation. Il la connaissait suffisamment pour avoir compris que sa petite provocation l'avait franchement inquiété et eut un geste rassurant envers elle avant de se décider à se présenter faisant ainsi retomber la pression.


Valric a écrit:
Je sais bien que votre fillote m'a à l'oeil mais vous pouvez lui dire... Je suis déjà fiancé hein! Pas la peine de s'essayer et vraiment... Je vous dois tout un chandellier! Qu'aurais-je fait dites donc avec quelques gardes sur le dos!?


Leello fronça le nez en entendant la boutade de Valric .. il se moquait !!
Ce n'était pas le lieu pour se venger mais cela arriverait tôt ou tard. Ceci dit elle avait un peu cherché en le taquinant à peine arrivée.


Mon cher Valric ma fillote pensait à tout autre chose croyez moi ... d'où ma réaction. Je me doute bien que cela ne vous fait point sourciller mais j'aimerai franchement pouvoir vous féliciter après vos épousailles.


Leello lui sourit puis regarda vers le tableau quand ....


Valric a écrit:
Oh mais Dame Leello, c'est mon ami "George" que voilà sur la peinture?


Elle se tourna alors vers lui et pris un air faussement offusqué.

Mais rhoo .. Valric !!

Il riait dans sa barbe se réinstallant tout a fait détendu et Leello se retint de rire évitant de croiser son regard, sans quoi cela aurait été mission impossible.
Peu à peu elle aussi se détendit et avait hâte de découvrir la toile.

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Valric
Il y était peut-être aller un peu fort avec son arrogance ou sa fierté mal placée... Toute la scène, quoi que bien amusante selon-lui, l'avait un peu mise sur les nerfs... Oh elle s'y ferait et elle était capable d'en prendre... Bizarrement, le Gambiani lui préférait conserver une bonne figure à la Cours... Les projets à venir allaient faire en sorte d'en côtoyer plusieurs et fallait que sa réputation soit juste à point sans être plus amplifié qu'elle ne l'était déjà...

Bref il s'était calmé visiblement... L'envie de boire et de partager le nectar du Plaix lui aurait fait honneur avec la compagnie qu'il avait en ce jour. Le bon vin se dit des meilleurs lorsque celui-ci est bu avec des êtres chères. Voilà bien qui était le cas après-tout. La Grande Consul était une de ses amies les plus chère et sa présence était destiné à souligner un être encore plus chère à savoir sa fiancée...

M'enfin revenons-en à ses tableaux que personne ne voulait découvrir... Fallait-il qu'il se lève lui-même pour aller tirer le drap recouvrant la fresque de son Altesse? Bon sang... Au moins il était d'humeur à la blague... Même elle s'en retenait de rire... C'était charmant à voir! Il se devait de faire attention... Lui il s'en foutait bien qu'à Paris on le considère comme un de ces Nobles juste bon à veillé sur les terres... Qu'on le voit comme un rustre Seigneur-Vigneron n'était pas trop pour lui déplaire... Mais elle n'avait pas à subir la foudre des commères... Elle eu bon de se retenir de son commentaire sur George... Prendre un félon du Roi pour le Roi et trouver ça drôle... Y'avait bien que lui pour trouver ça drôle et en ricanner sans gêne....

Se croyait-il tout permit? Loin de là... Il avait quand même les connaissances, l'élégance et la conscience pour se trouver au Louvre... Il devait bien être le moins bien titré de l'endroit mais bien que des gens le reconnaissaient comme un vague souvenir du passé, lui pouvait en dire bien plus sur eux qu'eux sur lui... C'était ça être l'ancien commandeur du renseignement royal... Travaillez tellement loin dans l'ombre que tout le monde vous oublie... On vous croise souvent se demandant ce que vous foutez là mais on vous salue tout de même car la courtoisie dans ces soirées imposent. Y'avait bien que Snell pour être connu et reconnu dans le domaine du renseignement... Était-ce parce qu'il était trop souvent aux flancs de la Princesse?

Ça l'avait jamais intéressé de toute manière... Ni même cette soirée m'enfin... Il resta attentif pour le dévoillement mais ne pu retenir un autre commentaire à l'attention de son amie.


Vous croyez que j'pourrais forcer le peintre du plus beau tableau à me peindre en échange d'une ou deux bouteilles de bons vins? Ma fille souhaitait un portrait de moi... Pour sa chambre quoi, pour la rassurer vous savez...

Il fronça un sourcil devinant lui-même que ça ne serait pas une bonne idée... Oh ça allait être dévoillé et il leva les mains pour applaudir ... Ah mais non... Pas encore... Il roula les yeux vers Leello lui témoignant de la longeur atroce du dévoillement...
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Nennya
Lever ou ne pas lever les tableaux? Le cadre penchait à dextre, et cela irritait la follasse du protocole. Non mais Nennya une vraie maniaque bree van dekampesque. Enfin, elle détourna son jolie minois de cette atrocité. Ce n'était pas sa fête, ce n'était pas sa fête, combien de fois, il fallait qu'elle se le répète. La petite princesse s'approchait, elle ne put s'empêcher (encore une fois) de faire ses commentaires dans un chuchotement:

-Agnès, si vous ne reconnaissez pas un des convives, dîtes le moi, je vous ferais un plan détaillé, trois parties, bien évidemment


Le professeur reprenait le dessus, bien que la jeune fille à côté d'elle, était d'âge mur, la Duchesse ne pouvait se restreindre, surement ses années à enseigner à l'Ostel Dieu, puis au Collège.

-Il y a un voile qui penche, celui qui recouvre le tableau de dextre, ca m'énerve profondément


Là, c'était clair, que si elle avait encore le souhait de travailler avec Nennya, c'est qu'elle était assurément courageuse la petite princesse. A croire que c'est la Duchesse qui fallait enfermer, enfin, non c'est l'angevin qui fallait enfermer surtout.

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Aleanore
Si elle ne l’a pas entendue, elle l’a vue ! Alors les mains gantées viennent attraper celles de la Commingeoise, coup de coude à Clarisse pour qu’elle rédige l’inconditionnel parchemin d’explication.

*Bonjour, je m’appelle Aléanore*
*Bonjour Aléanore !*
*Aujourd’hui, j’ai rien fait de stupide ! C’est pas comme la dernière fois à Cauvisson où parce que j’suis trop débile pour m’en rendre compte avant, je me suis rendue sourde.*
*C’est bien Aléanore ! Et n’oubliez pas ! Les arquebuses sont nos amies, il faut les aimer aussi !*

Bah tu parles Charles d’une mission pratique, alors du coin de l’œil, l’Etincelle surveille qui les tableaux pour qu’ils restent voilés jusqu’à ce que la Cheffe le décide ainsi, qui Clarisse qui explique silencieusement à base de quelques mots le pourquoi du comment pour éviter à sa blonde amie quelques réactions sinon déplacées au moins gênantes pour elle.
Leello
Leello attendait toujours que l’on découvre enfin ce fameux portrait. Il est vrai qu’elle avait un peu trainé la patte pour se rendre sur les lieux car elle n’avait pas l’habitude de s’y sentir très à l’aise. A sa grande surprise la compagnie de son ami Valric lui faisait apprécier l’instant. D’ailleurs sans lui elle ne serait peut être pas venue jusque là.

Elle le découvrait un peu plus et leurs conversations chaque fois assez passionnées mais toujours très intéressantes n’avait jamais fait ressortir ce petit côté protecteur. En effet elle savait qu’il excellait dans la provocation des esprits, parfois trop étroits pour entrevoir sa vraie personnalité, et s’en amusait, or cette fois il se contenait un minimum afin de ne pas l’indisposer. C’était charmant, et Leello appréciait cette attention.

Ceci dit, Le Gambiani, n’avait pas besoin de faire tant d’effort, depuis leur première rencontre Leello avait su voir ce qu’il était, et malgré une négociation assez musclée elle avait trouvé « l’homme » admirable et respectable. Aujourd’hui elle savait qu’elle ne s’était pas trompée et il comptait parmi ses amis.

Elle le sentait s’impatienter légèrement et craignait qu’il ne se lève afin de dévoiler l’ouvrage. Croisant les doigts discrètement pour que l’on ôte le voilage rapidement elle tourna la tête vers lui souriant légèrement quand il eut une idée … quelque peu amusante.


Citation:
Vous croyez que j'pourrais forcer le peintre du plus beau tableau à me peindre en échange d'une ou deux bouteilles de bons vins? Ma fille souhaitait un portrait de moi... Pour sa chambre quoi, pour la rassurer vous savez...


Mon ami on ne force pas un artiste à faire une œuvre et j’avoue avoir un peu de mal à vous imaginer poser pendant des heures afin que l’on vous peigne. Faites moi prévenir si vous vous décidez … j’aimerai beaucoup vous voir prendre la pause !
Ceci dit … en effet les filles aiment avoir le portrait de leur père quand celui-ci s’absente pour se rassurer comme vous dites.


Elle appréciait de le taquiner de la sorte et imaginait déjà sa réaction ce qui avait tendance à la faire sourire de plus belle.

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Alexandre*
Et un nouvel huissier de plus...

Faut dire que cette salle comportait de nombreuses portes, mais il y aurait bientôt autant d'huissiers que d'invités.

Alexandre se posta à l'une des portes prêt à annoncer la première personne qui oserait entrer par celle ci en espérant passer inaperçu, soit qu'il ne fut pas invité ou soit qui serait en retard.

Il jetta un regard vers chaque personne qui était déjà présente, reconnaissant certaine pour les avoir déjà croisé, et puis essayant de mettre un nom sur celle qu'il ne connaissait pas.

Le pire pour un huissier était de reconnaitre les personnes de hautes noblesses et de ne pas oublier un de leur titre ce qui pour sur ne leur plairait qu' à moitié.

Il aurait eu plaisir à aller saluer la Comtesse Nébisa, la Duchesse Nennya mais cela n'aurait pas été convenable. Il se contenta de saluer de la tête ses collegues.

Il regarda les tableaux encore recouvert d'un voile se demandant le portrait de qui pouvait bien se cacher sous ceux là. Tout en espérant que la personne ne soit pas trop défiguré et que si c'était le cas cela ne soit pas le Roy lui même qui surement se mettrait dans une colère noire

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Sturn
Sturn arriva en même temps que son collègue.
Il fut quelque peu perdu dans les dédales du palais mais en suivant Alexandre qui avait l'air de savoir ou il allait il s'était retrouvé au bon endroit.
Il salua lui aussi les autres huissiers déjà présent d'un discret signe de tête et prit sa place près d'une porte de la salle. Il se posta droit, le torse pas trop bombé pour évité de ressembler à un militaire au garde à vous, et leva la tête. Il respirait profondément pour faire passer la nervosité des premiers jours.

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Nahysse
« Vous avez déjà du, sans doute, avoir entendu parler de moy mademoiselle de Plantagenet, mais je suis un homme affable. Tenez, par exemple, votre sourire ferait plier n'importe quel chêne. Entre nous, vous avez bien de la chance d'être aussi délicate. Un jour, votre prétendant profitera de cette aubaine ; votre chair deviendra saine, et vos yeux des agates. »

Nahysse se répétait la phrase tant qu’elle pouvait encore retenir tous les mots. Dur dur ! Elle n’y comprenait rien. Comment un sourire pouvait plier un chêne ? Ou était-ce d’une chaîne dont il parlait ? Mais dans ce cas ce n’était de toute manière pas rigide… Pis la suite avait encore moins de sens pour elle. Pfffff ! Voilà pourquoi il était ennuyeux de fréquenter les adultes.
La gamine se répéta encore les mots en boucle dans sa tête, espérant encore avoir une illumination sur leur sens. Car ils en avaient un à n’en pas douter sinon sa cousine et l’autre femme n’auraient pas eut ce regard.
L’esprit ailleurs, Nahysse fit des révérences bancales quand sa cousine la tirait pour le faire, lui soufflant des noms qu’il lui importait peu de retenir…
La gamine finit par se résigner, elle ne comprendrait jamais ce qu’avait voulu lui dire le pirate. Elle n’en ressentie que plus de méfiance envers ce personnage. Il lui parlait en langage codé pour la faire passer pour une idiote ! Elle ! Nan mais oh !
Elle sentit le rouge lui monter aux oreilles.
Mais les dernières paroles de sa cousine eurent vite fait de battre froid sa colère qui retomba aussitôt et son visage devint livide.


Agnès…

Trop tard, elle était partie. Disparue derrière tout un tas de jupes et de chignons.
Ses azurs s’agrandirent de surprise.
Nooooonnnnn ! Elle n’avait pas osé ???? La laissée là, à la merci de ce vil pirate ???
Tout son frêle petit corps se raidit et elle lança un regard noir au borgne. Sa main chercha celle de Manon, sa nourrice mais ne trouva rien.
Haussement de sourcils. La petite tête blonde s’agite de gauche à droite. Pas de Manon.
La femme était restée en retrait sans doute, à l’entrée de la pièce, comme à son habitude lorsque la gamine assistait à ce genre d’événements.
Sans réfléchir plus, Nahysse se retourna pour enfin trouver le regard rassurant de Manon.
Un instant trop bref, elle sembla hésiter.
Un large sourire espiègle apparut alors illuminant son visage d’ange.
Elle se tourna vers le pirate qui avait sa responsabilité d’après ce qu’elle avait compris.
La gamine, légèrement édentée, tira sur la manche du pirate.


Hey ! Messi’e le pi’ate, vous ne zau’iez pas où je pou’ais boi’e ?
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