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[RP - Festivité] Quand la Royauté se fait tirer le portrait.

Flex
Flex substitua son rôle de huissier à celui d'homme de compagnie. Il soutenu Agnes, à savoir que des artistes venus du royaume présentaient leurs œuvres. Le jeune vicomte croisa du regard la duchesse Melior, seule. Il abaissa son visage mutilé et, resserrant son étreinte sur sa cavalière, il songeait à lui faire la conversation. Or, rien ne réussissait à le faire patienter, surtout que certaines peintures seraient certainement des amas de croutes superposées les unes aux autres. Il grommelait quelques jurons à voix basse, sans guetter les personnes présentes. Flex avait remarqué la présence de la garde royale, des déserteurs lilliputiens, qui pouvaient très bien s'occuper des gens - et ainsi le laisser divaguer où bon lui semble. Comme la seule manière de pouvoir parler avec sa cavalière se situait sous la couette, le borgne devait par conséquent converser avec Agnes, la cousine de Nahysse dite l'édentée. Qui plus est, son égo fut vexé de ne pas avoir reçu de compliment des vers précédents, alors quand on lui demanda de s'en occuper, c'est à contre-cœur qu'il accepta.

« - Assurément, et gratis. Il regardait la jeune demoiselle prendre le large dans un désespoir total. Il souffla offusqué de sa place inattendue. Cependant, lorsque Nahysse affirmait avoir soif, c'était comme si le destin rebondissait pour lui donner une seconde chance - de vengeance. Passer pour un pirate ça lui allait bien deux minutes ; il tendit à la demoiselle sa gourdasse dans laquelle ruisselait de la goute de fraise issue de la seigneurie vassale de Montcaret. Tenez, ceci vous rafraichira. C'est très bon. »
90° d'alcool pour une si petite fille dont le langage n'avait pas été encore élaboré.. Quel spectacle. En fait, ce retournement de situation lui remplissait l'œil de joie, et le sourire devint mesquin - tantôt il surveilla Agnes au cas où. Flex demeurait apaisé.
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Nahysse
Les azurs se posèrent sur une étrange bouteille plate que le pirate semblait vouloir garder à l’abri des regards. Un coup d’œil à droite puis à gauche lui confirma qu’en effet, la boisson semblait être une denrée rare dans cette pièce. Ses azurs se levèrent vers l’œil qui les guettait.
Froncement de sourcils.
La gamine n’arrivait pas à déterminer ce que cette lueur signifiait. Se moquait-il d’elle encore une fois ? Il croyait sans doute qu’elle n’oserait pas accepter un présent de sa part.
Elle se saisit de la drôle de bouteille. Une moue se dessina sur son visage. Une odeur forte se dégageait du goulot.
Pouah ! Il ne devait pas la nettoyer souvent !
Mais elle décela derrière une odeur fruitée qu’elle sut apprécier. Un dernier regard au borgne l’informa de toute l’attention qu’il portait à ses gestes.
Qu’est-ce qu’il croyait ? Qu’elle était lâche ? Qu’elle n’oserait jamais boire à sa bouteille ? Ben tiens !
D’un geste décidé, la gamine porta le goulot de la flasque à ses petites lèvres gourmandes. Le liquide chaud et sirupeux glissa dans sa petite gorge qui s’enflamma sous l’alcool.
Une bonne rasade qu’elle venait d’engloutir qui lui valut certainement ensuite le titre de la meilleure grimace de l’année.


Pouah ! Mais il est dépassé ton sirop de fraise ! Hip !

Surprise par son hoquet, ses petits doigts minces vinrent couvrir ses lèvres encore humides et rougies par l’alcool. Ses azurs s’agrandirent de plus belle.

Pa… Hip !

Nouveau mouvement de surprise.
Ah voilà que sa boisson douteuse venait de la rendre malade ! Ne jamais faire confiance à un pirate !
Un regard circulaire lui permit de percevoir quelques regards réprobateurs se poser sur ses petites épaules. Le rouge lui monta au visage et une bouffée de chaleur l’enveloppa, non la submergea littéralement. Elle étouffait.
Ah les yeux de morues ! Parce qu’elles avaient toutes l’air de vieilles morues outrées !
Et la gamine pouffa de rire à cette pensée, dévoilant son sourire en dentelle. Mais rire ainsi fit naître une nouvelle envie, une envie qui lui vrilla le bas-ventre.
Se mouvant d’un pied sur l’autre, et se tordant légèrement d’avant en arrière, flexion, extension des jambes, elle finit par craquer et recourir à nouveau aux services du pirate. De toute façon, ça ne pouvait pas être pire. Il ne la forcerait plus à boire cet immonde sirop.
Petite mimine à la trajectoire moins certaine, se tendit et finit par réussir à agripper, non sans une claire hésitation, la manche du borgne et tira dessus, un peu plus violemment que souhaité.


Y… Hip ! Y faut que… Hip ! Je m… Hip ! Me soul… Hip ! Soulageuh !

Nahysse avait eut la sensation de parler tout bas mais sa petite voix de crécelle raisonna bien haut, dans des tons un peu trop haut-perchés pour certaines oreilles délicates.
Zut alors ! Ces morues n’allaient pas la lâcher !

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Flex
Il riait machiavélique de voir Nahysse attraper la nausée de l'alcool. Il lui reprit sa gourde, alors qu'elle s'étouffait. Un sirop, ça ? Peuchère ! Lui qui pensait avoir atteint le summum du pire, il s'engouffrait encore plus dans son rôle de dame de compagnie. Mais qu'avait-il fait de mal si ce n'était que de chanter quelques vers pour une jeune demoiselle et lui offrir de quoi se rassasier ? Il fallait le dire, elle l'emmerdait vraiment. Pour éviter de voir un caprice de gamine gâtée, la forte présence féminine en profiterait, sans doute, pour lui - à Flex - faire la moral, il accepta de l'y emmener. Afin de s'épargner un tel supplice, il prit son mal en patience, et accorda de nouveau du temps à Nahysse.

« - Oui oui c'est bon, parlez moins fort. Venez avec moy..

S'il l'avait rendu saoule, le jeune Mirandole craignait le pire. Il fallait penser à prendre le temps de la faire décuver, c'était la meilleure des choses à faire. Il invita l'édentée à le suivre jusqu'aux toilettes, après avoir glissé un murmure au creux de l'oreille de Lily-Jane lui signifiant qu'il reviendrait très vite.

Enguerrand avait déjà fait les frais au bal du roi, d'une chiasse terrible dû à sa gourmandise de confiserie. Il avait ingurgité, par distinction, un paquet entier de pruneaux pendant le voyage qui ralliait le Périgord au Louvres. Maintenant, le borgne souffla à la jeune demoiselle un conseil, où il devint spectateur des envies anatomiques de Nahysse.


Ca va commencer, alors essayez de presser le pas.. »
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Nebisa
Aprés avoir pris sa respiration, oui faut tout ce temps pour ça, la Malemort s'approche de la premiére série de toiles qu'elle dévoile avec précaution.





Dans les deux premiéres toiles, vous reconaitrez aisément Sa Majesté le Roy Levan, en tenue de Cour puis en armure et dans la troisiéme, Son Altesse la Princesse d'Etampes. Je vous laisse apprécier la finesse du travail et l'excellente représentation du Roy et du Grand Maistre de France, sa brue.

Se reculant d'un pas, elle laisse quelques minutes avant de dévoiler les oeuvres suivantes.

(promis ça ne sera pas aussi long que la premiére série !)
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Alexandre*
Alexandre, qui contemplait les personnes qui discutaient et qui commençait à avoir une faim de leu, reluquait les victuailles qui avaient été disposés là pour la cour.

Il se serait bien pris une tite cochonaille bien Françoise et un bon verre de vin. Mais non il se devait de se tenir là comme un crétin à devoir annoncer des personnes qui ne viendraient surement pu. Son estomac criait famine pourtant il n'avait pas dansé tout l'été...

Soudain son attention attiré par le déplacement si léger et féminin de Nébisa et se rend compte que le Roy est auprès d'elle. Mon dieu il ne l'avait pas vu arriver...

Il s'empressa donc de l'annoncer


Dames et Messires de la cour, Sa Majesté Levan III de Normandie, Roy de France

Tout le monde se retourna vers lui, comme si il avait annoncé l'arrivée du père Noël, puis regardant en direction du Roy il s'aperçut qu' en fait il s'agissait de son portrait dont la ressemblance était si frappante qu'il aurait juré qu'il était là. Bravo l'artiste...

Penaud , il essaya de se rattraper


Oui le portrait du Roy de France, Levan III et de la Grand Maistre de France la Princesse Armoria de Mortain.

Il redevint aussi droit qu'un "I" et le regard flou de tout bon huissier

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Brann
La chaleur lui monta à la tête, son visage s'empourpra.
Enfin ! Il avait l'insigne honneur d'être montré en la Cours. Lui petit noble de province avait son petit quart d'heure de prestige...
Il avait envie de crier, "oui c'est bien moi l'auteur" !! Mais la voix et le courage lui manquait et puis il valait mieux la discrétion, sait on jamais, on pouvait ne pas apprécier sa touche.
Aussi il préféra rester en arrière à écouter les commentaires.

Quand on annonça la venue du Roy, Brann sentit ses jambes se dérober sous lui. Il s'accrocha à ce qu'il pu et pris une nouvelle lampé de Whishy Irlandais.

Gloup gloup

Passé l'émoi, tremblant encore, il chercha du regard son Altesse mais ne le vit point, juste de belles Dames en somptueuse toilettes et des hommes au port fort noble,.

La Princesse Armoria était là lui semble t il, il s'en voulait, elle était bien plus belle en réalité que sur son tableau - "rageur" - pas facile de travailler d'après livres et images...

La Noble Dame qui avait dévoilé les tableaux était fort attrayante, un caractère fort, semble t il, sous des traits doux et fins...

Et Brann, ainsi distrait, se perdit dans quelques rêves en contemplant ces Dames...

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Medso
Medso qui etait présent depuis le début de ce "défilé" de personnage de haut rang, esquissa un sourire quand enfin on dévoila quelques tableaux.
Il avait bien reconnu quelques personnes mais n'osait il sans doute pas faire un le moindre pas, de peur que les gardes présents ne lui fasse trépasser... lui le simple vagabond.

Il regarda donc ces toiles... sa peinture etait au milieu d'un peintre talentueux du nom de Brann, comme l'indiqué la signature.

Il attendit la suite... comme à son habitude, tres discrétement mais tres alerte.

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Nennya
Non, Nennya ne dormait pas en pleine cérémonie!Elle avait les yeux ouverts, et se demandait si à force de fixer les tissus qui recouvraient les tableaux, ils glisseront par sa volonté. Tous devaient plier sous sa volonté, alors pourquoi pas ces foutus tissus? Finalement, la cheffe déclencha le miracle, et releva les tentures pour laisser découvrir les tableaux. Les portraits étaient ressemblants, elle lança le top départ en s'approchant d'une peinture, on aurait dict que le tableau le suivait du regard. Elle se demandait ce qu'elle donnerait en portrait Alcalnn en avait faict faire un d'elle et de ses deux fils, le chaos le plus total pour que Enzo reste en place, le tout ressemblait à pas grand chose, c'est l'intention qui compte, et la rémunération du peintre. Chouinement de ventre, la Duchesse avait faim...vite, attraper une mignardise, petit signe de la main, un valet s'avance, sournoisement, elle s'empare d'un espèce de pain grillé et croque. Il manquait quelques troubadours à cette festivité, le mestre des logis n'était même pas là...quelle désertion. Deuxième tableau en vue, d'un oeil peu expert elle observa la finesse du dessin. Elle faisait partie du jury, devait-elle s'exclamer "oh mais quelle merveille", ou devait-elle faire la réservée? Tout ce dont elle avait besoin c'était d'une chaise, car ses jambes pesaient lourds...
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Stephandra
Stéph était en service malgré tout elle scruta les tableaux, un d'entre eux était légèrement différent, elle cru reconnaître l'artiste. Ses azurs balayèrent la pièce était il passé inaperçu à ce point, se trompait elle sur l'auteur?

Son regard stoppa sur Medso, c'était donc bien lui, elle repensa au mariage de Lady et Julien en souriant, cet artiste avait vraiment un don elle espéra que ça soit reconnu de tous.
Elle étouffa un léger rire aux dires d'Alexandre puis reprit sa surveillance tout comme à son habitude.

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Armoria
Songeuse ? Pour ça, oui, elle était songeuse. Comme souvent quand elle se trouvait au Louvre, elle sentait comme une cape de plomb sur ses épaules. Et on la voudrait ici tout au long de l'année, elle qui n'avait de cesse de voyager par monts et par vaux ? Brrr.

"... tesse Armoria de Mortain".

Zut, encore une bourde. Décidément, se dit-elle en fronçant le nez. Elle regarda alentour, tentant de savoir discrètement pourquoi on la citait. Elle était supposée présenter les tableaux ? Elle accorda tout d'abord un regards aux premiers présentés, ces tableaux représentant le roy et...

Elle ? Mais comm... ? Elle se sentit rougir. Prise dans sa multitudes de dossiers et affaires en cours, elle n'avait pas réalisé qu'il était question de la famille royale, et pas seulement du roi.


La robe est presque bordeaux, murmura-t-elle avec ravissement avant de se diriger vers les toiles suivantes.



   Prince Morgennes    





[Désolée pour le délai, j'avais du mal à m'y remettre.]
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Brann
A la vue des nouveaux tableaux, Brann reprit vie et chassa les "fourmis" qui l'envahissaient.

Il ne put s’empêcher d’apercevoir la princesse Armoria. Il ragea car son tableau était loin d'avoir retranscrit la véritable beauté de la Dame. Il trouva sa représentation terne et il trouvait qu'il n'avait pas réussit à retranscrire l'élégance et la légèreté. Trop tassé, oui, bougonnait -il.
Il rougit un moment de s’apercevoir fixer avec son air pas aimable la Princesse. Elle risquait d'en prendre ombrage et de le faire chasser.

Pouf, changeons, comme si rien n'était, de sujet et de regard.
Brann admira les autres toiles. Toutes de bonne qualité et certaines originales...
Il avait oublié si il y aurait récompense mais il sentit que celle ci lui échapperait.
Il fut pris d'un monumentale bourdon, adieu la petite boutique qu'il voulait ouvrir en la capitale, adieu la vie à la cours...


Gloups

Une petite rasade de Whiskey et il alla pres d'une fenêtre prendre l'air, au moins pour profiter du panorama...
Toni_montana
Il était bien rare que Toni se déplace a Paris. Il avait bien peu de bons souvenir dans la capitale. Ses divers mandats de comte lui avaient donné une profonde aversion pour sa grisaille.

Cependant il se devait de venir assister au vernissage de son vassal. il se rend donc au Louvre, lieu que brann lui avait indiqué par missive .

Il arrive devant l'entrée et décline son identité au garde


Bonjorn! je suis Toni Montana, coms d'Eysena, dict Lo Sorn.
Jje viens assister à l'exposition de peinture. j'ai été convié par l'un des artiste , Lo senher Brann de Broquiès, il doit m'attendre... ainsi que sa compagne, je présume ...

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Sturn
Sturn vit arrivé le nouveau venu vers lui. L'huissier avança d'un pas et l'annonça à la cour.

Dames et Messires de la Cour, Sir Montana, coms d'Eysena, dict Lo Sorn

Puis ayant fait son annonce Sturn recula et reprit sa place.
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Maewenn
Première rencontre ... No stresssssssssss. Et beh si, elle est toute stressée la peste, tremblante et tout le toutim. Mais bon comme elle a trop la classe, meme pas ca se voit. Petits pas timides jusqu'au lieu du vernissage. Gast que c'est grand. Et pis comment j'vais le reconnaitre moi le comte hein ? Pis j'suis bretonne, vais encore me faire repérer hein. Grimace sur sa bouille d'ange. 2 hommes non loin, elle écoute attentivement.

Sir Montana, coms d'Eysena, dict Lo Sorn

Méninges qui se mettent en route, elle réfléchit la tiote. Ahhhhh c'est lui. Elle l'observe, le dévisageant presque. Tss Mae ca se fait pas ca. Le temps qu'elle revienne à la réalité, le voila qui disparait dans une salle. Sa respiration se coupe et v'la une tiote qui relève ses jupons pour activer le pas. Groumph trop tard ... Et la voila devant l'huissier l'air penaude. Moue adorablement gênée.

Dites euh m'sieur. J'suis avec le comte la bas. Si si j'vous jure.

Bon ... vous voulez que j'me présente ptete. Alors soit. Maewenn de Guérande, Dame de Ploërmel. J'peux rentrer dites maintenant ziouplait ?


Petite révérence. Si si il va dire oui, c'est obligé.
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Toni_montana
hochement de la tête au garde , il reprend sa route. Alors qu'il entre dans la salle , il entend que ca s'agite derrière lui. Une nouvelle arrivée semble t'il. Il entend alors

Dites euh m'sieur. J'suis avec le comte la bas. Si si j'vous jure.

Intrigué, il revient sur ses pas. il ne semble pas vraiment connaître la demoiselle mais elle est charmante, difficile de résister. il revient alors vers le garde

Excusez moi, messer! la donà est avec moi .

il se tourne vers la demoiselle lui offrant son bras

Vous m'accompagnez?

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