[RP] AllegEance de Finam, duc d'Anjou, malgré tout!

Il fallait être clair toutes les portes leur étaient fermées, pas possible d'aller à la salle du trône, pas possible non plus les autres lieux.
Elle pestait, Finam était un homme vil et peu recommandable mais être jugé avant d'être jugé elle n'aimait pas mais pas du tout.
La duchesse, Paire de France, virée elle aussi sans autre forme de procès parce que différente des autres, elle aussi, avait encore une idée. On lui avait demandé d'introduire Finam, elle le ferai.
C'est la porte de la Chapelle des Hérauts qu'elle poussa avec succès.

Ouiii, c'est ouvert, c'est ici qu'il est, je vous l'avez bien dit... entrez.

Elle le regarda beau et majestueux, lâchant un petit soupire nostalgique du temps où ils s'étaient aimé.
Quelques Gardes se mirent devant eux, avec l'assurance des grandes dames elle leur décocha:

Je suis sa seigneurie Kilia de Chandos Penthièvre tout est sous contrôle!

Pas bête la guêpe, elle avait revêtu son manteau bleu de Pairesque, un coup de tête vers son épaule, d'un air hautain voulant dire " vous savez reconnaitre un Pair de France quand vous en voyez un tout de même?", afin de ne laisser aucune réparti aux hommes devant-elle.
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Mère D'Anjou dict Lumière de l'Anjou,Paire de France.Note JNCP: "Peut mieux faire"

Aux grands maux les grands remèdes, l’ancienne Régente avait bien remarqué qu’on ne voulait plus laisser partir du conseil des Grands Feudataires, pas qu’elle s’y plaisait pas, les petits fours étaient plutôt pas mauvais. Le vin fallait avouer c’était loin d’être un grand cru Saumurois, mais elle s’y était habituée au picrate Bourguignon qu’on leur servait. Quoi qu’il en soit, sa place n’était plus là. Quoique certains puissent penser, Finam était régnant de l’Anjou, n’en déplaise à Paris, le peuple d’Anjou avait fait son choix.

A ce titre il avait droit à son allégeance ! On ne voulait lui ouvrir les portes… d’autres portes s’ouvriraient. Tout naturellement la Vicomtesse suivi le cortège des nobles et des conseillers Ducaux.

A peine entrée elle admira la magnifique statue, y’avait pas à dire elle rassemblait trait pour trait à … bah allez savoir à qui, elle l’avait jamais rencontré elle, le roy a qui pourtant par deux fois elle avait prêtait allégeance.

Grand sourire vers le Duc de Charney.

Magnifique, on s’y méprendrait !

Regard en coin vers les autres… petite grimace de la Vicomtesse, tout était presque parfait.
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Maitre de cérémonie, tu seras lui avait-on dit... Il avait pris un air dubitatif mais les arguments qui suivirent lui firent prendre conscience de l'importance de la mission. Il tenta de se remémorer les deux allégeances faites devant le Roy ....

Analyse de la topographie du site, typologie des participants...Il en tira une stratégie globale pour coordonner et superviser la cérémonie.

Bon, Dame Kilia, vous vous mettez a coté de la statue de notre Roy Levan, un peu en retrait....Les autres prenez un peu de recul…

Vicomte...Euh....Duc Finam, avancez et commencez votre allégeance...N'oubliez pas le genou au sol....Bon, je vais faire taire les bavards....


On se tait et en place, s'il vous plait!
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Penthiévres parce qu'il en faut bien!

Le Maje découvrait Paris. Clinquant , brillant...ca sentait l'hypocrisie à plein nez. On peut pas se montrer riche comme ca sans des squelettes dans ses placards. Il suivi donc la petite troupe, c'est qu'il y avait un évènement important auquel assister:

Oh c'est pas mal ca... humm joli... ca en impose en tous cas...

Rappelé à l'ordre, le petit bonhomme laissa la statue du Roy pour venir se rassembler avec les autres. Il se redressa, se tue - il fallait en profiter - et regarda avec attention le début de la cérémonie d'allégeance de son nouveau Duc.
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Bordel... un laché d'angevins... Oulà... et personne qu'à pensé à planquer les chandeliers...

Avec une folle bravoure, et parce que visiblement les pauvres ont confondu St Antoyne avec le Louvre, la Malemort, qui de toute façon devait réceptionner le présumé futur Duc d'Anjou en Salle du Trone balance derriére la statut d'un Saint le trognon de pomme qu'elle machouillait en glandant en douce le temps de son quatre heures pour s'avancer...

C'est gentil d'être passé mais primo, ici c'est pas le lieu, votre chauffeur a du vous escroquer, le Louvre c'est aprés le carrefour du joyeux pendu, pas avant, pis faut prendre la premiére à droite aprés le pont presque neuf, de deux, quelque soit votre envie, on choisit pas sa famille, on choisit pas ses parents, on choisit pas non plus le caniveau de Rennes, de Paris ou d'Angers pour apprendre à marcher, par conséquent, vous êtes sujets du Roy Levan, urbi et orbi et veni, vidi, vici, sine qua non et tu coque filii, ament, de trois, les visites c'est uniquement le matin, l'aprés midi y en a qui on coutume de bosser ici.

Des guides pour visiter Saint Antoyne sont à votre disposition dans les absides Ouest et Est, Champagne assure les visites des alcoves pour les mâles fringants... euh là c'est pas le cas, mais faites passer le mot, c'est pour rénover la voute du bureau du Roy d'Armes... repassez pour la prochaine visite, un scel offert par entrée et si vous êtes borgne, c'est demi tarif...

Rabattant stratégiquement le petit monde vers la sortie, en une démonstration de stratégie militiaire aussi fine et indécelable que celle dont use les stratége du PPPPonant que même personne il a comprit depuis huit mois qu'ils veulent tout faire péter, la prodigieuse Comtesse affiche un large sourire innoncent.

Merci et au revoir... Et non, la statue de Sainte Rolande n'est pas à vendre, pas la peine de vous prosterner devant ! Par contre vous trouverez des reproductions des défunts Roy d'Armes en miniature à la boutique souvenir pour rammener chez vous... il nous reste tout un stock de LeGueux, personne n'en veut et quelques Morgwen, attention, piéces de collection, elles sont trés rares, d'ici quelques années, ça va valoir cher !
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Tonitruante, fulminante Estampe qui a tout entendu depuis son alcôve.
Tonne la blonde maritorne qui se crispe sur son burin avec l'énergie des harpies en furie, le rouge aux joues, la veine du front mignon qui claque et qui menace de céder sous le trop grand afflux de sang.

Ouais c'est ça la vieille carne Limousine ! Et droit de cuissage sur la Malemort décrépie pour chaque visiteur de notre honorable institution aussi !!!

15 écus et une fougasse ?!!! GARCE !
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Le diable était très ému par la cérémonie. Voir Finam un genou en terre c'est un fait rarissime. Et il pestait le nabot...devoir sautiller pour apercevoir quelque chose.
La dessus et toujours coincé au fond, il vit arrivé une drôle de bonne femme mâchouillant un reste de quelque chose. Il écouta son drôle de discours puis intervint:

Bien l'bonjour!
On s'en fiche d'vot'baratin on vient pas visiter.
Et on veut rien acheter non plus!
T'nez prenez c'te pièce et allez mendier ailleurs et en silence.

Il revint à la cérémonie quand une autre folldingue arriva en gueulant comme une vache.
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Qu’Est-ce que c’était qu’encore ce bordel? A croire qu’on ne pouvait pas travailler tranquillement dans ce lieu! Reconnaissant la douce voix de crécelle de la Malemort, la Wagner di Favara, mit le nez en dehors de son alcôve. De mauvais poil pour ne pas changer, depuis qu’elle avait « perdu » son amant du moment, c’est la mine fermée qu’elle alla dans la direction de tout ce remue ménage.

Ô surprise, y avait des people, bon un peu trop de femmes à son gout, ça il fallait bien l’avouer. C’est alors qu’elle entendit qu’on parlait d’elle.

Hey oh la chieuse, déjà faut oublier cette visite d’alcôve, je suis désolé mais si ces deux là... * désigne les deux seuls « males » de l’assemblée* sont fringuant… je préfère me faire bonne sœur de suite.
Et c’est qui d’abord ceux là?

Posant son regard sur le manteau de la dame qui se tenait près de la statue.

Joli manteau, mais un peu trop élimé à mon gout, faudrait songer à le changer, ou de le jeter, parce que c’est une faute de gout impardonnable que de porter ce vieux chiffon. Je sais que les temps sont durs mais tout de même! Regardez la Malemort, le sien est superbe, bon c’est sure, je le porterai bien mieux qu’elle mais bon… c’est la vie.

La duchesse déposa son regard sur un des hommes puis sur l’autre et haussa les épaules…. C’est pas encore aujourd’hui qu’elle trouverait un amant fougueux… faudrait vraiment qu’elle se réconcilie avec sa déesse, mais elle était trop fière pour ça.

Et pourquoi elle hurle ainsi Estampe? L'a trouvé un jouvenceau à pigeonner? Envahi? mais par qui? je vois rien à part un ptit groupe de... euh... de ... j'sais pas quoi, je doute qu'ils viennent à bout de vous deux.
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Imaginez-vous en train de faire pour la cinquième fois le blason d'une fiche généalogique, parce que la première fois un imbécile à brisé un vase juste devant votre porte, vous faisant déraper, la seconde fois un gentil collègue vous fait une surprise et vous crie « Bouh » en entrant comme une fleur, la troisième fois parce que vous êtes trop énervé pour le réussir et la quatrième fois pour la raison que vous vous êtes endormi. Vous comprendrez la rage que ressentit Felian en échouant une cinquième fois à cause des cris émis dans la chapelle dut fait de l'invasion angevine. Le placide, le flegmatique, le lymphatique Félix Barrauld de frapper des deux poings sur la table, s'éclaboussant le visage et le tabart de pigment, lui donnant une jolie teinte mouchetée. Enragé, il se leva et se dirigea vers le groupe d'où provenait le vacarme.

Bordel ! mais vous vous croyez où ? Dans une criée sur le quai de grève ? On n'est pas en Berry ici ! SI vous voulez un bordel vous n'avez qu'à y aller, ils le font très bien !
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A quoi reconnait-on qu'on est dans les hautes sphères du Royaume? Au langage de charretier hurlé dans les institutions royales. Parce que le bordel n'était pas tant mené par les angevins, finalement relativement sages et concentrés sur leur duc, que par les justement garants de l'ordre.

L'avocate en était restée abasourdie. Pourtant la noblesse angevine l'avait habituée à un langage tout sauf châtié, particulièrement Fitz qui les rejoignait et allait visiblement mieux, à entendre ses brèves paroles. La jeune femme se fit néanmoins la réflexion qu'on causait mieux sur les marchés angevins, et que la maire Gwen avait finalement tout le vocabulaire nécessaire pour être intronisée direct baronne.

Des gens continuaient à venir admirer la cérémonie, Linon reconnut son jeune confrère du Dragon auquel elle envoya un gentil petit coucou du bout des doigts. Elle nota mentalement de l'inviter à sa prochaine conférence sur la définition du terme impartialité dans le contexte d'un poste comme celui de directeur de l'AAP.

Mais la rumeur savamment répandue l'air de rien arriva jusqu'à la brune. Les gardes de la salle du trône avaient enfin été rabroués (et pendus espérait-elle) et le duc y était attendu.

Ah ben oui, mais on a commencé, là...

Rhaa... il allait encore falloir aller traîner ses jupes dans les rues boueuses de la capitale.

Elle murmura à ses compères

Finam n'a qu'à y aller avec ses gosses, ça suffira comme escorte. Rentrons en Anjou, on a quand même des armées blindées de DB aux frontières.... encore des qui veulent nous sauver de nous-mêmes. C'te manie quand même !

Elle glissa son bras sous celui de son époux au chapeau rouge, lança un regard mauvais à celle qui osait le toucher et ne manqua pas de lui écraser un pied en la contournant. Tout en se dirigeant vers la sortie, elle entama une petite scène de ménage à l'oreille de Titi.

C'est fini de distribuer l'argent du ménage à n'importe qui? Qu'est-ce qui t'prend? allez hop ! donne-moi tes sous, c'est moi qui gère...
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Cherche joueur pour reprendre un PNJ en PJ (garçon de 11/12 ans). Gros BG mais le futur du perso n'est pas défini.

Que c'était beau, que c'était grand, que c'était bon. La Malmort qui à force de côtoyer les angevins arriva juste pour faire monter la sauce de cette fête organisée au pied levé. Et comme une Malmort ça à besoin de se faire remarquer, voilà qu'elle se met à gueuler. Et que de partout elle sentait une certaine ébullition comme s'ils étaient venue avec des torches.
Elle resta rêveuse, pourquoi ne se déplaçaient tous t-ils pas aussi souvent à Paris, cela avait l'air de faire sortir les gens de chez eux. Et voilà hurlement qui part d'une fenêtre. Eux qui avaient à peine chuchoté, se trouvait devant un spectacle des plus attrayant. Une femme se mit à beugler de sa fenêtre pas contre eux... étonnant... mais contre la grande Chieuse. Et voilà que la cour s'anime, et on va encore dire que c'est les angevins qui foutent le bordel.
Une perruche sortie de son alcôve piaille-piaillant comme elle le pouvait critiquant même son manteau de pair. Elle la regarda, robe de cher Tatis de la marre pas possible autrement, aucun goût assurément. Elle eu un sourire, elle se mit à rit et éclata de rire.

Oh, vous avez vu il y a des perruches un peu partout ici. On a bien fait de venir. Nous qui avions envie de faire cela entre nous, en fait, là c'est encore mieux. On n'a pas pensé aux invitations mais faut croire qu'on est si populaire qu'on nous file le train comme le Reine d'Angleterre (pour la rime).

Et après le bal des dames l'arrivée des Sieurs, évidement comme partout les hommes laissaient passer les femmes en premier.

Garde royal Nicolas de Firenze, ces héré... frond... gens vous importunent ?

Trop près de la Malmor, elle ne peut qu'entendre. Protestant avec véhémence.

Non, non, non nous on ne faisait pas de bruit c'est elles qui se sont mises à crier comme si elles étaient en manque d'orgasme vocal.

Et d'un autre de renchérir:

Bordel ! mais vous vous croyez où ? Dans une criée sur le quai de grève ? On n'est pas en Berry ici ! SI vous voulez un bordel vous n'avez qu'à y aller, ils le font très bien !

Sage parole, mes dames de la cour il y a des places bien plus payantes pour exposer vos charmes, vous n'allez pas vous crêper le chinions ici. Quoique si vous voulez Le Duc Ficus 1er est selon pas mal de dire un homme espère en galipette, Le baron de Gennes par contre... désolée mais pas une femme n'a évoqué ses talents...

La Duchesse comblée de puis peu savait comme cela était important et dans sa grande compréhension, son empathie incontournable aurait même plaider la cause des trois femmes aux nobles angevins ici présent, même si elle savait bien qu'elles ne devaient pas être à leur goût.
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Mère D'Anjou dict Lumière de l'Anjou,Paire de France.Note JNCP: "Peut mieux faire"

Tel un papillon de nuit attiré par la lumière, Astrée se dirigea vers les éclats de voix qui résonnaient jusqu'aux coins privés de la chapelle, dans les alcôves..
Et oui, que voulez-vous, c'était un homme, donc un grand gamin qui aimait les embrouilles. Il n'était pas le seul dans son cas, selon les statistiques, un mâle sur deux avait son cerveau qui cessait de se développer passer 14 ans et qui passait donc le restant de ses jours avec la même mentalité.

Bref, le Vicomte débarqua et découvrit le spectacle qui s'offrait, Marche, Champagne et Mnemo versus les Angevins.
Un soupir de satisfaction s'échappa de ses lèvres alors qu'il constatait qu'il arrivait juste à temps.
Le ton montait, et surement que bientôt, Nebisa et Maltéa allaient passer à la phase deux. Cela signifiait que les discussions se concluraient par du crêpage de chignon, des attaques d'ongles acérés et des coups de seins pour casser des dents.
D'ailleurs, par prudence, il recula d'un pas, n'ayant pas envie d'avoir la mâchoire brisée parce que la Duchesse de Brienne en aurait profité pour lancer un nichon dans sa trogne histoire de se venger de lui par la même occasion..

Phelim s'enquit auprès d'un page de quoi il était question, tout en prêtant une oreille aux échanges et finalement, il s'assit ennuyé. Cette histoire ne les concernait pas vraiment, s'il ne se trompait pas, c'était le PSE qui se chargeait des clés aux feudataires. Mais bien sur, les angevines avaient craint que le cheptel venu d'Anjou ne se disperse à la vue des secrétaires d'Argael qui avaient toutes la même plastique que la Champenoise et avaient donc jugé plus prudent de le lacher ici.

Un sourire amusé aux lèvres, il attendait impatiemment la suite quand un gargouillement venu des tréfonds de son ventre se fit entendre. Avisant l'ancienne régente d'Anjou, il lui demanda :


Tiss, on va pêcher après? Comme d'habitude, je mets le ver puis tu surveilles la ligne?
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On était envahi et l’autre là, la déesse de Saint-Antoine qui pactisait avec l’ennemi, à moins que ce ne soit un code…. Oui voilà, c’était lui qui avait du dire qu’à cette heure, les hérauts ne voyaient strictement rien passer. Oh le fourbe! Si Marche n’avait pas rameuté du monde, ils se seraient barrés avec la statue… Petit regard à la statue, légère grimace… ils auraient du…brrr mais qu’elle était moche!

Alors que la Malemort prenait les opérations en main, La Wagner di Favara tiqua… c’est qu’en plus, elle lui donnait des ordres, ben ça alors on aurait tout vu. Ceci dit d’un autre côté fallait vite les faire dégager. Si le Roy d’Armes se ramenait à tous les coups, c’est eux qui prendraient et pas les visiteurs.
Comme d’habitude, en fait. Elle était certaine qu’il penserait qu’ils avaient été invité pour une petite sauterie privée chez Marche ou elle-même, alors que non, du tout, elle était des plus sages en ce moment. C’est sur qu’il pourrait pas penser à Phylogène… l’était aussi coincée que lui, du moins aux caducées. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, Champagne s’exécuta, brandissant ses caducées, par contre ne put s’empêcher de zieuter dans son décolleté puis celui de la Malemort…

Certes j’ai un peu moins de coffre, mais moi au moins ils ne pendent comme les vôtres, Marche… ils sont hauts et fermes… oui je sais, vous en êtes jalouse, mais on ne peut pas tout avoir dans la vie… vous avez le volume, j’ai la fermeté, je remporte la manche!

Petit sourire mordant en direction de sa brune rivale alors qu’au même moment, une idée pointa le bout de son nez dans le pauvre cervelet de la blonde. Si mêlée il y avait, pourquoi ne profiterait elle pas de celle-ci pour éclater un de ses caducées sur le crâne d’Astrée, il ne pourrait lui en vouloir et ils seraient quitte… jamais il n’aurait l’idée que cet acte aurait été délibéré et surtout prémédité…
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