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[RP] Cathédrale - Baptême de Corbeaunoir

Desiderade
Pour des raisons pratiques, ce topic est ouvert séparément de la cathédrale, cependant il s'y déroule ! Donc peuvent intervenir tous les invités, mais aussi, toute personne désireuse de se joindre à la cérémonie. Merci !





Le grand moment était venu, enfin. Depuis le temps qu'ils se cherchaient, se croisaient, et pris par leurs obligations l'un et l'autre, ils avaient fini par se découvrir, et bien se connaître, finalement. Extrêmement différents l'un de l'autre, ils étaient pourtant un peu semblables, au fond. Et le moment était venu, enfin.

Elle avait fait les choses en grand, aidée par ses amis et quelques fidèles. L'autel était chargé de fleurs, des petits bouquets semblaient flotter un peu partout. L'odeur était chargée de leur parfum, c'était tout à fait charmant.







S'adressant à son ami Corbeaunoir, Désidérade lui demanda :
Alors, tu es prêt ?

Elle lui sourit en plissant un peu les yeux.
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Amie Lescurienne
Vicaire général de Narbonne, Abbesse d'Alais, Doyenne du séminaire de Narbonne
Galahadd
Galahadd, se présenta à la cathédrale pour assister au baptême de Corbeaunoir, il ne pouvait pas manquer l'occasion. L'autel était parsemé de fleurs et il y régnait une odeur agréable. Il pris place sur un banc, et attendit que sa sœur commence la cérémonie.
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Évêque de Nîmes
Curé de Lodève,Frère grégorien
Diplômé en Faculté Théologie Narbonne
Corbeaunoir
Corbeaunoir avait longtemps attendu ce jour. Mais il avait été très difficile de trouver un moment où chacun était disponible. D'ailleurs, la cérémonie commençait déjà avec 2 jours de retard. Néanmoins, Corbeaunoir était heureux de voir ce jour tant attendu arriver. Il remarqua non sans plaisir que Désidérade avait admirablement décorée la cathédrale pour l'occasion. De plus, une bonne odeur flottait dans l'air.

Pour la cérémonie, Corbeaunoir s'était habillé des plus beaux vêtements de sa garde-robe. C'était en effet en ce jour un jour exceptionnelle et très important dans la vie du jeune Seigneur.

Il sourit à son ami avant de lui répondre.


- Oh oui, plus que jamais.

La cérémonie n'allait maintenant pas tardé de commencer. Corbeaunoir attendait avec impatience de voir arriver les premiers invités.
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Spartan91
Le Sénéchal avait reçu une invitation pour le baptême de son beau-frère. Il pensa donc y aller, histoire de le changer de la paperasse habituelle, et pour faire une petite sortie en famille. Les trois petits anges qu'il avait conçu avec sa belle et douce pourront voir leur oncle réciter des choses devant plein de monde.

A sa maison, il s'était préparé, troquant les gling-gling de son armure officielle avec la souplesse de son uniforme de parade. Cela lui donnait un air moins agressif, mais peut-être toujours aussi sombre. Sa préparation de sortie fut assez rapide, comme à l'habitude. Mais toujours comme à l'habitude, le temps qui lui restait était toujours consacré à regarder sa belle se préparer. C'était toujours un plaisir à ces yeux.

Le couple étant prêt, il s'affaira à préparer leur trois petits loupiots avec sa belle.
Lorsque toute la famille fut prête, il entama le pas pour rejoindre une carriole de transport de passager, accompagnée d'une escorte de quatre de ses soldats montés, qu'il avait réquisitionné pour la peine.

Le trajet vers Montpellier passa relativement rapidement pour Spartan, bien occupé à discuter avec sa belle et à amuser les petits.

Arrivé devant la cathédrale. Il descendit le premier, aida les petiots à descendre ainsi que sa douce et tendre, avant d'ordonner aux soldats de les attendre un peu plus loin, leur autorisant à jouer aux dés pour passer le temps.

Il présenta son invitation à l'entrée, puis entra dans la grande pièce avec le petit dernier Roland dans un bras, le second Ugo tenant sa main libre et Illydra de l'autre bord.
Il remarqua alors les deux hommes en train de glander en attendant d'autres invités.


Bonjorn messieurs. Cela fait longtemps que je ne vous avais croisé tout les deux. Il semblerait que nous soyons les premiers arrivés visiblement.

Il se concentra sur ses enfants.

Allez dire bonjour à votre oncle.
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Christina64
Christina avait délaissé son uniforme de Lieutenant, que dis-je son uniforme d'accusée en cour martiale qui n'en finissait pas et pour cause, la comtesse, après l'avoir mis en procès pour avoir négligemment refuser un ordre qui avait tout de même pu mettre l'armée DTC en vadrouille, n'arrivait plus à reprendre la parole pour donner son verdict. Que cela ne tienne, des évènements bien plus importants se déroulaient en Languedoc.

Courte vêtue à en faire pâlir tous les curés à la langue pendante, la lodèvoise, suivit son amoureux et sa progéniture merveilleuse, sa fille et ses deux garçons, aussi beaux que leur père.

Dans sa besace elle avait mis quelques friandises, de quoi les réjouir et les faire patienter pendant ces cérémonies si ennuyeuses pour les enfants et pour les a....mais non, Christina était ravie d'assister au baptême de son frère adoré.

Et elle était surtout ravie car après le baptême viendrait le mariage et enfin....seulement enfin, il pourrait consommer. La lodèvoise se demandait bien comment ils avaient fait jusqu'à présent. Elle, dès qu'elle avait vu son amour....pas le premier soir, oh, non, ça ne se fait pas, elle avait quand même attendu minuit pour passer au lendemain et neuf mois après....une délicieuse Illydra.

L'avantage ensuite, c'est qu'il n'y a plus de retenue....la poésie est là à chaque instant, à chaque regard.

Christina prit la main de son amour, descendit de la carriole, embrassa son amour d'un baiser que seuls les amoureux peuvent comprendre et se jeta dans les bras de son frère.

Elle le serra très fort, ferma les yeux en pensant au temps où ils s'étaient aventurés tous les deux en Catalogne, un si beau voyage et que de souvenirs...


Alors, mon Corbi, c'est le grand jour, tu vas enfin devenir un homme ?...enfin, bientôt ?

Elle lui fit un tendre baiser sur la joue.

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Maman de la jolie Illydra, du charmant Ugo et de l'adorable Roland
Bentich
Ben arriva dans la cathédrale avec un léger retard, du moins il le croyait, car à son arrivée seul quelques personnes étaient la.

Il salua Tina et Spartan ainsi que les autres personnes présente.

Puis 'adressant à Corbeau.


Alors mon cher ami, le premier grand jour est arrivé, celui qui te permettra de rendre heureuse le petit chaton que tu as choisi pour devenir ta femme. D'ailleurs ou se trouve notre mairesse, que je puisse la saluer comme elle le mérite

Ben savait qu'Aeris allait arrivé mais vu qu'elle reprenait de nouvelles fonctions elle arriverait surement plus tard
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Corbeaunoir
Corbeaunoir fût heureux de voir les premiers invités arriver. De plus, c'était sa famille qui arrivait la première, Spartan, Christina et leurs enfants.

- Bonjour Spartan, content de te voir, ça faisait longtemps ! Éh bien il semblerait que oui, vous êtes les premiers arrivés, pour mon plus grand plaisir.

Il sourit aux 3 enfants.

- Allez allez, venez dire bonjour à votre oncle qui est content de vous voir !

Puis Christina le serra dans ses bras. Corbeaunoir se sentait bien dans les bras de sa soeur, et lui déposa à son tour un baiser sur la joue.

- Devenir un homme... officiellement Aristotélicien, oui ! Je suis content de te voir ma chère soeur.

Il lui sourit, puis arriva alors son ami Bentich, qui serait par ailleurs son parrain pour la cérémonie qui allait suivre.

- Salut Ben ! Content de te voir. Éh oui, le grand jour est arrivé ! Et je suis très heureux que tu y sois mon parrain. J'ignore où est notre mairesse, mais elle ne devrait surement pas tarder, enfin je l'espère.

Il sourit à Bentich, puis attendit que de nouveaux invités arrivent.
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Benjamim
Benjamim arriva aussitôt après la réception du faire-part , il ne fallait pas être en retard !
La cathédrale rassemblait déjà quelques personnes qu'il s'empressa de saluer comme il se doit !
Mais Benjamim était principalement là pour Corbeau :


Le grand jour est arrivé et ce n'est qu'un début des bonnes choses qui vont arriver par la suite !
Je vous souhaite vraiment tout ce que je peux vous souhaitez , c'est à dire du bonheur , de l'amour et bien sur , une croyance exemplaire !
Il sourit !

Benjamim lui tendit également un petit message , quelque chose qu'il pourrait garder longuement :

Citation:
Aujourd'hui est un grand jour pour toi ,
Et je suis de tout cœur avec toi ,
Ta famille , tes proches seront là ,
Et seront , sans nul doutes , fier de toi ,
Toi qui à soigneusement préparé cette aventure,
Tu vas pouvoir la savourée , j'en suis sur.

Exposer tes œuvres , tu en à eu l'audace ,
Et pour ce geste , tu mérites des dédicaces ,
Sur ce livre d'or , il restera des traces,
Dans ce jour , j'en suis sur .

Tu seras heureux ce soir ,
Je partagerai ces instant près de toi ,
Je ressens déjà en moi plein d'émoi ,
Déjà en moi mes larmes sont là.
Car je suis fière de toi ,
Un jour peut être , j'aurai la même audace.
Merci à toi pour cette évènement inoubliable !

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Sir Benjamim de Lodève

Le coeur a ses raisons que la raison ne connaît point.

Allez faire un tour dans ce domaine et inscrivez vous pour organiser un futur meilleur sur le Languedoc :
http://coalition-languedoci.forum-actif.net/forum.htm
Desiderade
Désidérade regardait, silencieuse, les invités arriver un à un. Elle était heureuse pour Corbeaunoir, aussi elle lui sourit. Il lui ferait signe quand tout le monde serait arrivé, enfin, elle l'espérait.
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Amie Lescurienne
Vicaire général de Narbonne, Abbesse d'Alais, Doyenne du séminaire de Narbonne
Cristòl
Le Héraut et Chevalier des Pyrénées, qui était sur la route de Montpellier, où des affaires héraldiques l'attendaient, s'était arrêté ce jour-là dans le Narbonnais pour faire des relevés de bornes frontalières des fiefs environnants.

Apprenant qu'il se déroulait un baptême en la Cathédrale, et ne manquant jamais une occasion d'honorer le Très Haut de sa bonté et de sa miséricorde, il s'y rendit, saluant discrètement les quelques personnes qu'il y connaissait et appréciait.

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Ma seule étoile est morte,& mon luth, constellé - Porte le soleil noir de la Mélancolie.
Jorocket
Joro qui avait reçu une invitation de Corbeau arrivât dans la Cathédrale.
Il salua silencieusement les différentes personnes présentes avant de s'installer sur un banc et d'assister à la cérémonie.
Adriendesage
[Chez les Desage...]

La mesnie Desage était en branle. Partout dans la demeure montpelliéraine, l'on s'afférait. Père et fille étaient de sortie ce jour là: baron et baronne, hibou et fouine. Les domestiques s'afféraient comme des fourmis à préparer la tenue de Liloïe. En vérité tout tournait autour de la jeune femme, car vouloir préparer le père était cause perdue.
Pour autant, Adrien se préoccupait tout de même de sa toilette et s'était lui-même vêtu. Des vêtements simples mais faits de beaux tissus, au cou sa croix militaire, et au poignet un bracelet d'or incrusté d'une belle émeraude. Il avait déjà à la taille son épée de cérémonie, et au front sa couronne de baron.

En fait, Adrien était déjà prêt et faisait les cents pas sur le perron de l'Hotel. La voiture était déjà attelée et prête à emmener ses deux illustres voyageurs. Il y avait dans la rue quelque agitation, celle du jour qui se faisait vivace et qui soufflait son vent chaud et quotidien de frénésie humaine. Commerce, amourettes, vols de rue, escroqueries, livraisons, charettes brisées, rues encombrées... Montpellier était une cité vivante.
Adrien Desage se fondait ainsi dans cette masse grouillante et énergique, en perpétuel mouvement.
Il ne fallut qu'un astre pour éteindre son impatience. Sa fille sortait enfin. Elle était radieuse, belle et fraîche comme la rosée du matin. Avec une grande fierté, le père tendit son bras à la fille en s'exclamant:


"Mordious, j'ai l'impression de revoir ta mère avant notre mariage!"
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Cosmopolitain
Cosmo arriva..., un peut en retard peut etre ? il entra dans la cathédrale et put voir beaucoup de personnalité de la ville il s'avanca lentement et prit place a coter d'eux... il remarque que la cérémonie est en cour il se dit que heureusement qu'il n'etait pas en retard, sinon il se serai senti mal face a ses nombreux amis ici pressent
Actarius


[Un mas solitaire sur les flancs du Mont Lozère]

Quelle idée, mais quelle idée il avait eu de faire venir un troubadour d'origine espagnole. Enrique, ainsi s'appelait cet énergumène qui agrémentait le repas du Vicomte dans son mas, sa retraite bâtie à flanc de l'impressionnante montagne gévaudanaise. Incrédule, les yeux plissés sur un néant qui pouvait au mieux lever un sourire de compassion, le feudataire dégustait de la volaille avec un appétit aussi féroce qu'il aurait pu le devenir avec l'artiste qui déjà recommençait son chant improbable. Précisons qu'un deuxième larron, pour rythmer "l'oeuvre", frappait deux morceaux de bois imitant une espèce de cavalcade.

Là-haut, là-haut Très loin dans le nord,
Entre Tournel et Florac
Le ciel garde encore la trace
Du bel Actarius

Il rêvait de notre terre
Le Languedoc
Dont on voyait la lumière
A cent mille lieues

Là-haut, là-haut loin dans le conseil
La Grande Guerre éclata
Et ce fut l'assaut final
De la Noumerchat

Actarius alors s'enfuit
Vaincu, solitaire
A travers les chemins
De notre Comté

Sur son merveilleux cheval
De guerre et de paix
Ce chevalier des temps nouveaux
Se bat pour l'humanité

Actarius au bord du désespoir
Voici la légende
Que l'on va vous raconter

Là-haut, là-haut Loin dans le conseil
La Grande Guerre éclata
Et ce fut l'assaut final
De la Noumerchat

Actarius alors s'enfuit
Vaincu, solitaire
A travers les chemins
De notre terre.
*

De ses doigts, le Vicomte retira l'os de sa bouche et le déposa dans son assiette. Une rasade d'hypocras, non un pichet pour essayer d'atteindre le même état frénétique du troubadour et de son musicien ou du moins le comprendre.

Accours vers nous, Vicomte d'Euphor
Viens vite, viens nous aider
Viens défendre notre Terre
Elle est en danger

L'ennemi héréditaire
Veut nous écraser
L'avenir des Languedociens
Tu l'as dans tes mains

Viens défendre notre Terre
De justice et d'amour
Toi le Chevalier solitaire
Nous t'appelons au secours

Nous voulons sauver la liberté
De notre comté
C'est la seule vérité

Accours vers nous, Vicomte d'Euphor
Viens vite, viens nous protéger
Sur ton merveilleux destrier
Tu te bas encore

Repousses tous les assauts
Deviens le plus fort
La terre a besoin de toi
Face à la Noumerchat

Viens défendre notre Terre
De justice et d'amour
Toi le Chevalier solitaire
Nous t'appelons au secours

Oui nous voulons sauver la liberté
De notre planète
C'est la seule vérité

Viens défendre notre Terre
De justice et d'amour
Toi le Chevalier solitaire
Nous t'appelons au secours

Oui nous voulons sauver la liberté
De notre planète
C'est la seule vérité
**

Le silence... incroyable. Ils en avaient fini de lui gâcher son repas. Encore un couplet pour le plateau de fruits peut-être ? Heureusement, ce ne fut pas le cas. Car à l'évidence, le Vicomte goûtait fort peu à ces élans lyriques tissés d'orgueil et d'héroïsme, sans compter les incohérences. Enfin, il esquissa un sourire de politesse.

- Merci. Rassurez-moi, c'était juste pour moi, vous ne comptez pas aller chanter cela partout ?

- Ma bien sour qué si ! Cé notre plou belle ouvre.


Aïe... Là ça devenait compliqué ! Les tuer pour éviter qu'ils allassent entacher une réputation jusque là plutôt honorable ? Le Vicomte frémit, car cette idée-là lui semblait bien la meilleure.

- Bon écoutez votre performance est novatrice et le Languedoc n'est pas encore prêt à accueillir un tel art. Et vous savez, il y a sans doute de meilleurs sujets, celui-ci pourrait nous attirer de très gros ennuis.


Un ange passa, car les deux bougres ne semblaient pas avoir bien compris ce qui n'échappa pas au Mendois devant les quatre yeux de cabillaud qu'ils lui offraient.

- Plus chanter cela, sinon vous mourir ! Actarius accompagna ces paroles d'un geste sans équivoque. Celui-ci fut nettement plus compréhensible pour les deux Espagnols qui secouèrent la tête en guise d'assentiment. Autre avantage d'un tel expédient, les amuseurs n'insistèrent pour interpréter un autre chef d'oeuvre et ne furent pas long à s'éclipser. Les deux nuits du Vicomte qui suivirent furent agitées d'étranges rêves où des espèces de grandes structures d'acier à forme animale, voire humaine, se battaient à coup de lumière brûlante. Loin du sommeil réparateur escompté qui lui aurait permis de se présenter frais et dispo après un voyage même éreintant jusqu'à Montpellier.

[La cathédrale, deux jours plus tard]

Les yeux cernés de fatigue, le teint pâle, le Vicomte se présenta comme une ombre sur le parvis de la cathédrale. Il inspira profondément et pénétra dans l'enceinte sacrée. Il aperçut plusieurs visages connus, dont celui du futur baptisé, et ne manqua pas de les saluer d'un signe de tête avant de prendre place au fond dans l'ombre d'un pilier. A l'évidence, il n'avait aucune envie de devoir venir faire une lecture devant l'assistance, pas dans son état.



* Paroles adaptées d'un des génériques de Goldorak (La Légende d'Actarus).

** Paroles adaptées d'un autre des génériques de Goldorak (Accours vers nous).

C'est osé, mais en même temps, c'est la première fois que j'utilise la presque homonymie de mon personnage et du prince d'Euphor^^.

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Liloie
Cette nuit là, la jeune baronne avait très peu dormi. Impatiente et anxieuse à la fois d'être enfin au baptême de l'homme qui avait prit son coeur. Elle avait fait les cent pas dans la chambre, en se posant mille et une question sur l'avenir. Elle avait relu plusieurs fois les courriers qu'ils s'étaient échangés autrefois. Et en ce jour particulier, les domestiques avaient préparé un bain, avant de l'aider à mettre une tenue appropriée. Sa robe rouge était lacée de noir et ses cheveux avaient été réunis pour former une longue natte. Et, sur cette chevelure, reposait sa couronne de baronne. Enfin prête, elle rejoignit son père sur le parvis de la demeure, où le carrosse les attendait.

Mère était une belle dame, elle devait être fière de vous avoir.

Ils montèrent dans la voiture et prirent la direction de l'édifice religieux. Arrivés sur ledit lieu, les hommes de mains restèrent à l'extérieur, tandis que les deux nobles entrèrent de la cathédrale. En apercevant l'élu du jour, le coeur de la baronne se mit à bondir, et même la fraîcheur de la cathédrale ne réussit pas à faire baisser sa température corporelle. Elle lâcha le bras de son père, et, perturbée, elle lui chuchota.

Je reviens dans un instant mon père.

Elle s'approcha timidement auprès du Seigneur du Chambonnet et lui offrit un chaleureux sourire.

Bonjorn Senher d'Oktharloc de Carguignan. Contente de vous voir en ce jour si particulier, et je tiens à vous remercier pour l'invitation.
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