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[RP] Atelier des Doigts d'Or - La mode se démode...*

Della
Le lendemain fut.

Et la Blonde apparut...trépidante, vrombissante comme une mouche...avec la hâte de toute femme qui vient de s'acheter deux robes !

Toc toc...porte ouverte...porte que les doigts fins poussent.
Emerveillement !
Les robes sont là, disposées sur les supports, n'attendant plus que la Renarde se glisse dedans pour les faire vivre.
Folie que ces dépenses !
Nenni...c'est pour être belle.
Belle, elle veut l'être, pas pour la galerie mais pour un Chambellan, son Prince Charmant.


Breiz ! Elles sont superbes...
La Blonde embrasse la Rouquine...bonjour et merci...elle bisouille le gamin et n'ose plus accaparer la petiote qui dort dans son couffin.
Je les essaye ?
Quelle question ! Evidemment qu'il faut les essayer.
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Breiz24
Nan. Je les ai mise là en fait, mais t'as pas le droit d'y toucher. C'est un nouveau concept. Je fais des robes pour des gens, et ils viennent juste chez moi les regarder.

La rouquine de faire un large sourire à son amie, avant d'envoyer Gauvain voir à l'étage si le chat y est. La porte est repoussée, et le paravent près du feu, là où ont lieu en général les ablutions de la rouquine, tiré. Ainsi Della pourra enfiler ses robes sans qu'aucun malappris ne puisse la reluquer depuis la fenêtre.

Allez viens donc là, espèce de dinde.

Et hop, la couturière se transforme en habilleuse, l'a l'habitude. Et puis ces robes sont si complexes que pour les revêtir sans aide, bonjour. Un sourire flottant sur les lèvres, elle reprend :

La rouge, tu ne pourras pas la porter avec le collier de ta mère, ça fera vilain comme tout, il y a déjà des bijoux d'or dessus. On trouvera un moyen de faire de ton collier un bracelet discret, sous ta manche. Il sera avec toi ainsi, même si on ne le voit pas. Pour la verte, il sera parfaitement assorti par contre. La perle, c'est si doux...

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Si toi aussi tu veux la clâsse d'une Nore au sommet de la gloire, c'est !
Della
Après avoir savouré un délicieux moment de rire, Della se glissa et/ou fut glissée dans ses robes. L'une après l'autre, bien entendu. Toutes deux étaient parfaites, mais cela, la Blonde s'en était doutée bien avant de les essayer.

Oui, tu as raison...le collier n'ira pas sur la rouge...Par contre, avec la verte, c'est un joli effet délicat.

La Blonde sourit à son amie, Breiz était devenue, au fil du temps, l'amie à qui elle se confiait. Breiz ne jugeait pas, elle avait très souvent un avis tranché mais tellement vrai.

T'ai-je déjà dit que tu avais des doigts de fée ?
La question est lancée, légère comme une bulle tandis que la robe est caressée, délicatement, presqu'avec tendresse.

Le Sévère ne t'a pas fait de misère, au moins ? Il me terrifie, moi, cet homme...

Della détacha son collier et l'enroula autour de son bras droit qu'elle tendit pour regarder l'effet obtenu, plutôt satisfaisant.
Ce sera parfait comme ça !
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Breiz24
Y'a vraiment pas de raisons d'avoir peur du Sévère, c'est juste un gros boulet inoffensif. Elles te plaisent les robes?

La rouquine sourit, puis appela son intendante, Berthe de son petit nom, pour qu'elle leur prépare une collation. Collation surtout pour les visiteurs, en l'occurrence, et la brave femme le savait, comme elle savait que la rouquine ne mangeait presque plus depuis qu'on lui avait appris la mort de son amie. Une noble, dont Berthe ne connaissait même pas le nom.

Les biscuits furent déposés sur un plateau, avec une tisane, dans laquelle elle ne manqua pas d'ajouter un peu de dent-de-lion, pour essaye d'ouvrir l'appétit de la rouquine.

Rouquine qui sourit, pas vraiment dupe, habituée depuis quelque jours à l'odeur un peu acre qu'à pris sa tisane.


Le Sévère par contre, il va vouloir que je ramène des écus à l'Atelier à la place des robes. J'espère que tu vas pas m'en vouloir quand je vais dire combien. Prend des gâteaux.

On sait jamais, la bouche pleine de sucreries, la note sera plus facile à avaler?

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Si toi aussi tu veux la clâsse d'une Nore au sommet de la gloire, c'est !
Della
L'odeur de la tisane envahit la pièce et Della, ne voulant pas vexer autant Breiz que Berthe, se fit un devoir de fondre sur les biscuits...avec retenue quand même. On a de l'éduc ou on en a pas !

Hmmm...délicieux...Commenta-t-elle après avoir avaler une première bouchée. On ne parle pas la bouche pleine.
Tu féliciteras Berthe.
Et hop, une dernière miette fut essuyée au coin de la bouche.

Bien sûr, c'est normal que je te paye ces robes.
Dis-moi donc le prix, et je te ferais apporter l'argent tantôt.

Là-dessus, une petite gorgée de tisane.
Ouche, c'est chaud !
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Breiz24
Léger sourire de la rouquine, qui picore des miettes du gâteau du bout du doigt, avant de boire une petite gorgée brûlante.

Oui, c'est chaud. Pour tes robes, le Sévère demande cinq cent écus pour la verte, huit cent pour la rouge. Mille trois cent donc.
J'ai pas pu négocier à moins, désolée.


Nouveau petit sourire, comme pour s'excuser.

Ne te presse pas pour l'argent, je ne retourne pas à l'atelier avant quelques jours. J'ai encore quelques affaires à aller chercher à Mâcon. De la paperasse à régler aussi. Fin bref, rien de très palpitant. Je suis contente que les robes te plaisent. Elles sont de facture un peu plus simple que ta robe de mariée, mais elles sont assez jolies aussi. Enfin, je trouve. Je crois.

Elle n'aime pas parler de son travail, évidemment.
Nouvelle gorgée de tisane est bue, observant Della par dessus le rebord de sa tasse.

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Si toi aussi tu veux la clâsse d'une Nore au sommet de la gloire, c'est !
Sorane
[Couches - la date qui conviendra pour ne pas contrecarrer le rp en cours]

Sorane venait de recevoir un courrier de sa soeur et subitement, elle se mit à courir partout et à donner des ordres pour qu'on prépare son attelage au plus vite.
Pas une minute à perdre... il y avait urgence... Elle n'avait plus rien à se mettre !


[Au sublime atelier de la plus créatrice de ses amies - Quelques heures plus tard ]

Elle frappa et entra, suivie par deux bras et une montagne de croquis et d'échantillons de tissus sur pieds. Elle lança, alors qu'elle n'était même pas encore tout à fait entrée.

"Breiz, c'est moi, Sorane. Pardonnes-moi d'arriver ainsi à l'improviste mais il y a urgence !"
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Breiz24
Hiii!

Oui, ça sursaute une rousse, quand c'est surprise par une autre rouquine. Et ça lâche sa tasse de tisane brulante sur ses jupons aussi.

Han, merde Sorane bordel, préviens, bonjour, ou au moins frappe! Instant de flottement... ah, oui, on lui doit tout, on vit chez elle. Dracy, fief de Couches, pour les non initiés. Gauvain, petit Seigneur de Dracy. Breiz, intendante du domaine de son rejeton. Si elle a les moyens de se louer une maison en ville, c'est parce que Sorane lui a fait l'honneur de donner la seigneurie du Pi à son fils.

Pardon, vicomtesse, bienvenue dans mon modeste atelier, et Berthe, venez m'aider à changer de robe, c'est chaud!

Le tissu trempé est tenu entre deux doigt, pour l'éloigner de sa fragile peau - d'ordinaire d'albâtre, aujourd'hui écrevisse - de sa cuisse. La gauche, encore. Pas de bol. Notez, la chaleur apaise la douleur lancinante qui pulse autour de son ancienne fracture, quand la pluie ou le froid sont trop intense. Comme quoi, à chaque chose malheur est bon.

Assieds toi, Vicomtesse, prend une tisane. Mange des biscuits, j'arrive.

Et avec un sourire aux copines, la rousse se faufile derrière le paravent et à l'aide de sa gouvernante, change de robe. Ni trop simple, ni trop complexe, la rousse n'a pas les moyens de la soie ni du noir au quotidien, mais de belle facture, tout droit sortie de l'atelier des Doigts d'Or of course.
Et de ressortir de là tout sourire, réajustant sa coiffure.


Alors, dis moi tout. Qu'est-ce qui urge à ce point?

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Si toi aussi tu veux la clâsse d'une Nore au sommet de la gloire, c'est !
Sorane
Elle sursauta à peine entrée et heureusement qu'elle ne portait aucun croquis car tout aurait été jeté au sol. Hector n'avait pas bronché, il se tenait juste sur le qui-vive, le visage penché afin de ne plus avoir son champs de vision bloqué par la pile de documents qu'il trimballait.

Mais rien de grave, sauf des jupons qui ont eu chaud et les peau de pêche en-dessous aussi.


"Heu oui, pardonne-moi, je ne m'annoncerais plus au lieu de frapper, je ferai les deux !"

Sorane n'eut pas le temps de réagir et de proposer ses services pour soulager la douleur éventuelle causée par la brulure que Breiz avait déjà disparue avec une autre.


Tisane... Biscuit... ma foi. Et c'est en recherchant les biscuits qu'elle aperçut Della.


"Bonjour Della, comment vas-tu ?"


Et elle n'eut même pas l'occasion d'entamer une discussion, ni un biscuit, que Breiz était déjà de retour et la questionnait.

"Ma chère Breiz, ma soeur va se marier. Elle devait se marier bien plus tard, mais finalement elle se marrie le 11 novembre !
Toute le monde se marie en ce moment, quelle idée ! Cela ne va pas louper, je vais louper un ou deux mariages, je m'y retrouves plus avec toutes ces invitations !"


Et subitement elle se souvint que Della aussi avait un projet de mariage, elle en avait entendu parlé. Elle lui sourit donc comme pour s'excuser.

Elle reprit ensuite vers Breiz :


"Donc en plus du mariage, il y aura aussi la cérémonie d'octroi, puisque je la prend pour vassale et cela aura lieu le 13 novembre. Mais je n'ai plus rien à me mettre.
Circelia m'a taché toutes mes robes ! Et il faut que je sois présentable, pour les autres cérémonies de mariage aussi auxquelles je suis conviée.
Ma belle, j'ai besoin de tes talents fantastiques ! Il me faut une robe en urgence et peut-être même une deuxième. Mais déjà au moins une."

D'un signe elle fit signe à Hector de s'approcher, qui commença aussitôt à déplier les vélins et croquis. Elle désigna des croquis tout en les commentant :



"Pour celle-ci, les ornements sur le bustier, les manches ou le jupon ne sont pas indispensables. Si tu as des idées de décorations, de broderies ou d'ajouts de pierres précieuses, ou une autre manière de finir les manches, je te laisses libre. Je fais confiance à ton goût très sur. Peut-être des ornements plus Bourguignons ou Couches, mais ce n'est pas indispensable du tout."



"Pour celle-ci, c'est la couleur qui ne convient pas. Un beau bleu ou un beau vert, qui conviendra avec la couleur de mes yeux et de de cheveux ! Et la ceinture en hermine nouée qui n'est pas indispensable. La coiffe non plus, je pense que je porterai un chignon plutôt."


Elle leva le regard des dessins vers la créatrice :

"Et donc tu choisis celle qui t'inspire le plus et je suis ouverte à toute suggestion de modifications !"
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Breiz24
La rouquine, changée, observe les croquis en écoutant son amie.

La première, j'essayerais de la réaliser avant le mariage de ta soeur.
Pour la seconde en revanche je te demanderais un peu de patience : j'ai beaucoup de commandes en attente, et pour ta première robe, je vais te la faire en priorité dès que j'ai fini celle sur laquelle je travaille. Tu devrais avoir la tienne pile à temps, mais je fais ça en dépit de la liste d'attente, en doublant des gens.


Petit sourire de la rousse, qui ajoute :

D'ailleurs, je suis sure que le Sévère te fera payer un supplément rien que pour ça, le vieux corbeau!

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Si toi aussi tu veux la clâsse d'une Nore au sommet de la gloire, c'est !
Della
Mille trois cents écus...Une belle somme.
Mais pas grand chose sur la fortune de la Blonde.
Genre de choses qu'elle ne dira pas, évidemment.
Della ne faisant pas étalage de ses biens mais ne se privant de rien, il fallait bien le dire, les robes étaient devenues une de ses passions.

Ne te tracasse pas, Breiz, je te ferais porter l'argent demain.

Oh, une visiteuse !
Pas n'importe laquelle...Sorane !
Souvenir de ce qui fut une belle collaboration, au Conseil, souvenir aussi d'une amitié et même d'une complicité débouchant sur un secret partagé.
Elles restaient les deux seules dans ce secret puisque Poup était morte.
D'ailleurs, il fut un temps où Della pensa que l'assassinat de Poup avait été commandité par Sorane...Du coup, la Blonde avait été sur ses gardes un moment. Mais cette petite suspicion n'existait plus, aujourd'hui.

Bonjour Sorane !
La Rouquine s'intéressa aux commandes, fort belles d'ailleurs.
Sorane, j'espère ta présence à mon mariage aussi ! Souligna Della, en insistant sur le aussi...Et Circelia est la bienvenue également.
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Attia.
*Quelques temps plus tôt... *

Hue Dada, c'est ce que répétait la gitane alors qu'elle flanquait de coups de bottes les flancs d'un cheval tout nouvellement acquis.
La Lorraine ça devient chiant quand on a retrouvé un teint aussi blanc qu'une plume d'oie et la santé relative d'une personne saine.
Oui la gitane avait du se remettre des blessures dues a ses betises. Eh ouais elle ne fait que des bêtises, des bêtises quand elle s'emm*rde.
Alors elle a pris la route, marre d'etre seule, et marre des pommes et surtout marre d'avoir pour interlocuteur privilégié son alterego de l'ombre. Enfin je vais pas vous faire le resultat de son bilan psychologique.

La Bourgogne, elle etait deja venue vite fait. Elle avait eu de la famille la, et en avait encore en la personne de la brune farouche, celle qui avait eu le reflexe de se barrer de Lorraine avant elle.

Enfin... il fallait qu'elle revienne au monde.
Et puis la Bourgogne c'est la qu'il y avait l'Atelier. C'est pas comme si elle en était loin, le Sévère se débrouillait toujours pour qu'elle s'y croie en permanence, mettant inlassablement a jour cette foutue liste de commandes.
Et puis elle était arrivée, avait repris ses activités. Oui vaut mieux ça que l'ennui, ça brassait autant voire plus d'argent qu'un pillage et au moins c'était honnête. Les pairs et autres nobles du royaume pouvaient il un jour se douter que la tete de la gitane avait un jour été mise a pris dans plusieurs duchés? Mais ça c'est du passé n'est ce pas ?


* Quelques jours apres un sordide Malentendu... *

Une gitane mal lunée, un geant bourrin et une rousse beaucoup trop sensible ça vous donne un coktel détonnant et tres peu courtois.

La gitane bien que calmée avait conservée de sa rencontre avec Milo un souvenir plutot acide et non amer. Et elle n'avait plus vu la rouquine maigrichonne et devait bien avouer que cela était regrettable.
Alors elle prend l'initiative de se rendre a la succursale Breizienne de l'atelier sis a Semur chez elle meme. Il faut au moins ça non...

Et puis comme fierté oblige elle a besoin d'une excuse particulière, elle a dans sa poche le pretexte tout choisi. Elle avait besoin de quelqu'un pour l'accompagner a Paris pour le défilé que la grande maitre de la garde robe royale preparait au Louvre. Voila au moins ça pour se faire pardonner non ?
Et puis tant qu'a faire elle a rapporté une paire de bottes en cuir de Cordoue, l'ibère qui lui avait fait oublier un moment sa solitude. Alors qu'elle les cousait il lui racontait de son accent chantant la beauté des femmes de cordoue... Ah l'ibère...

Enfin bref voila notre gitane limite honteuse mais qui n'en montrera rien qui se pointe a la filiale semuroise.
Elle se laisse glisser de la monture et prit soin de ne pas oublier le petit coffret que Donatello avait specialement sculpté. Et elle pénètre dans l'atelier.


- Ahem... Il y a quelqu'un ?


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Breiz24
Elle cousait, studieusement, à la fenêtre, pour avoir la meilleure lumière possible, envahie de soie verte. Les amies étaient parties, et la rouquine s’était attelée à la tâche. Une commande pour une vicomtesse, même amie, ça en jette, et ça fait un bon coup de pub. Elle n’envisageait pas de ne pas présenter son travail à son maitre, évidemment.
Mais les derniers évènements à l’Atelier lui donnaient plus envie de se terrer dans sa petite échoppe, de travailler à s’en faire saigner les doigts, pour présenter à la divine Attia un travail parfait, qui la rendrait fière de son apprentie.

La rousse et son maitre, c’est une grande histoire. Si vous voulez voir Breiz fermer son grand clapet et écouter religieusement quelqu’un, c’est pas à la messe qu’il faut aller. C’est à l’Atelier des Doigts d’Or.
Sauf que. Sauf qu’il y avait eu ZE incident. Un fritage dans les règles entre celui qu’elle aime le plus au monde et celle qu’elle admire le plus au monde. Entre les deux seuls entre qui elle ne peut pas choisir. Merci, bravo, bonsoir.
Elle se planquait, donc. Elle faisait profil bas, et elle espérait que son maitre n’allait pas la virer de l’Atelier.
Pour Attia, elle avait chassé le blond de l’Atelier, elle avait cloisonné sa vie alors qu’elle aurait voulu impliquer son mari dans son bonheur de travailler dans cet antre de froufrou et de luxe.

Aussi c’est dans ses petits souliers qu’elle accueillit la gitane.


Maitre… Bonjour, bienvenue chez moi. Ida, montez avec les enfants.

Un sourire vers la gironde nourrice et les mouflets qui s’éclipsaient, et de nouveau, les petits souliers, et le regard vers le maitre.

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Si toi aussi tu veux la clâsse d'une Nore au sommet de la gloire, c'est !
Sorane
[Quelques jour plus tôt, le jour qui a convenu précédemment, et avat l'arrivée du Maître... pour ceux qui suivent pas, c'est parfaitement normal, ne vous inquiétez pas !]

Pendant que Breiz consulte les croquis, elle en profite pour saisir un biscuit et répondre à Della.

"Oui je serais ravie de venir, avec Circelia.
D'ailleurs, quand tu auras un peu de temps, je serais ravie que tu nous rendes visite à Couches pour discuter de cette faveur que j'ai déjà évoquée dans un courrier.
Envoie-moi un courrier avec la date qui te conviendra. Je me doutes bien que ces temps-ci tu as de quoi t'occuper et peu de temps libre. Il n'y a aucune urgence."


Elle remarqua que la créatrice était très absorbée, et elle se souvint qu'elle était attendue. Elle se leva donc à peine le biscuit terminé.


"Mes dames, je vais rentrer au plus vite, je suis attendue. Ce fut un plaisir Della de te revoir. Breiz, si tu as un souci sur ma commande, tu sais où me trouver. Bon courage !
"


Et elle sortit, Hector sur ses talons, débarrassé de son fardeau.
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Della
[Le même jour que celui d'avant. Idem !]

Bien sûr, Sorane, je viendrai dès après les noces, si cela te convient.
Je n'oublie pas.

A bientôt.


La tisane était très bonne, tellement bonne que la Blonde en but une deuxième tasse, tout en papotant avec la Rouquine et en grignotant les délicieux biscuits.
Mais toutes les bonnes choses ayant une fin, les deux femmes se saluèrent chaleureusement.


Au revoir, Breiz. Au revoir, les enfants !
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