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[RP] L'auberge de Montauban : les Quatre Vents.

Melina
Sourit.

- Jonas, voici dame Emi, que je vous ai parler, et dame Emi, voici mon fiancé. Il aimerait vous parler....à propos d'un poste dans la police.

Mélina avait trouver le geste et le baisé de Jonas bien amusant. Il avait fait avec elle le même geste qu'elle-même faisait avec ses enfants.

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Sancte
Après avoir repeint la façade avec l'échelle de sa fille et en suivant les recommandations de Cyrinea, le Gouverneur se présenta tout cradingue dans la chambrée de la blessée, le souris aux lèvres.

On a demandé la police ?

Probablement, puisque les deux tourtereaux, nouveaux Montalbanais, se regardaient avec les yeux de ceux qui n'allaient pas tarder à s'écrire un poulet. Une fois débarqué dans la salle, il les laissa se faire des papouilles en laissant pisser le mérinos, mettant fin de fait à ses gesticulations d'abruti omettant de leur préciser qu'il s'agissait là d'une plaisanterie ... qui n'était pas de bon ton de faire à des étrangers.

Héhé.
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"Aux hommes la droiture et le devoir, et à Dieu seul la gloire !"
S.I. - Gouverneur de Montauban-la-Réformée.
Jonas
Jonas sourit à dame Emi, Prévôt des Maréchaux de Guyenne

En fait, j'aimerais avoir plus amples informations concernant la maréchaussée puisque c'est quelque chose qui m'intéresse dans un futur plus ou mois rapproché. J'ai rencontré Ricky qui m'a dit être un chef maréchal et allait bientôt être sergent. Il a répondu à quelques unes de mes questions,mais peut-être pouvez compléter.

Toujours aux côtés de son ange, il lui caresse les cheveux et chatouille ses bras du bout de ses doigts.
Melina
Mélina ne peut que sourire à l'arrivée de Sancte. Elle ne connaissait pas ce côté de lui. Elle réprima toutefois de rire, sachant que ce serait vraiment douloureux. Mélina restait ainsi , les écoutant échanger, et se laissant gagner doucement par le sommeil.. elle essayait de combattre celui ci, mais la douleur intense accompagner des grattouilles de Jonas, la rendait calme et relaxe. Elle plaça un oreiller sous son bras gauche pour aider à le garder en place et pour qu'il ne tombe pas sur ses côtes endolorie. Juste ce mouvement la fit atrocement souffrir, mais grimaçant fortement, elle y arriva sans aide.. oui l’orgueil de dépendre de quelqu'un.. Elle ferma doucement les yeux en les écoutant à nouveau.
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Sancte
Hé ouais. Le Mirifique Gouverneur était parfois comme qui dirait un sacré numéro. Seulement lorsqu'il constata que Mélina s'était effectivement fracturé quelques os, il décida derechef de la mettre durement en veilleuse, laissant ses oeillards contempler l'aménagement de la chambre puisque de toute façon, son attention ne pouvait que négliger l'intérêt des entretiens de la maréchaussée.
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"Aux hommes la droiture et le devoir, et à Dieu seul la gloire !"
S.I. - Gouverneur de Montauban-la-Réformée.
Emi4218
Je suis ravie de vous rencontrer, Messer Jonas.

Elle inclina la tête en guise de salut, puis se mit de retrait le temps que l'homme prenne connaissance de l'état de sa fiancée.
Il fallait quelques jours de repos à Mélina, c'était important pour sa santé. Les paroles sages de Jonas la firent sourire. Au moins un qui veillera sur elle à défaut qu'elle le fasse elle-même.


C'est alors qu'il se tourna vers l'apprentie médicastre pour lui parler... maréchaussée...
Elle réfléchit un instant avant de s'adresser à lui.


J'ai cru entendre que vous aviez envisagé d'entrer dans l'OST. Je tenais à préciser que l'OST et la prévôté ne peuvent être associés, vous ne pouvez donc pas postuler aux deux, il vous faut faire un choix.
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Melina
Ouvrant les yeux elle ne put réprimé ses pensées et les émit. Avec un gros sourire et un sens de l'humour malgré sa situation.

- J'envisagerais bien personnellement de postuler à la maréchaussée mais

Levant son bras blessé et le petit doigts en l'air elle poursuit.

- mon p'tit doigt me dit que je serais refuser derechef..


Elle fait comme si elle avait rien dit, le grand sourire aux lèvres. Elle se connaissait, une semaine serait le maximum qu'elle arriverait à garder le lit. Toute action lui manquait déjà et elle sortait d'un duel, 4 à 5 semaines serait simplement impossible sans affecter sa santé mentale.
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Orandin
[Dans la rue du poste de Douane]

Orandin revenant tout juste du poste de douane, et il n’avait pas encore terminé. Il ne lui rester plus qu’a trouver un point pour dormir cette nuit du moins. Il fallait aller donc de bonne heure dans une auberge… quoi de mieux que l’Auberge d’une amie ? Malgré sa passion pour le sang, il était sur qu’elle ne lui volerait pas son sang sans son autorisation.
Malheureusement, un problème surgit : ‘’Où se trouve l’Auberge d’Ayanah ? ‘’ . Naturellement, il aurait demandé à un passant… mais il ne connaissait pas le nom de l’auberge. C’est chance de retrouver l’Auberge rapidement était moindre à moins d’un coup de chance…
Il pourrait demander à son père, le bourgmestre de Montauban, mais il était plus préoccupé que recevoir un étranger pas très futé.

Faisant un peu tourner ces méninges, une auberge était reconnaissable de part sa grandeur… bien qu’il en existe des petites… Ce qui ne devrait pas être le cas à Montauban.
Marchant de rues en rues… quartier en quartier, il tomba sur une auberge. Croisant les bras pour que ça soit bien elle… il décida d’entrer que pouvait t’il lui arriver ? Un aristotélicien dans une ville où beaucoup sont réformé…


[Dans l’auberge]

Main posée sur la porte la poussant pour pénétrer dans l’auberge, il y avait déjà du monde… il reconnut Emi et aussi le fameux Sancte, qui fait peur à plus d’une personne…

Cherchant discrètement du regard, la silhouette d’Ayanah. Il ne la trouva pas… il ne manquait plus que ça mais il ne devait pas oublier la courtoisie. D’un sourire aimable, il s’inclina légèrement tout en enlevant son chapeau en guise de salut.
Au moment, où il s’apprête à se relever. D’un ton sombre, il se présenta :

« Je suis Orandin, de Litneg, Bazadais depuis quelques années. »

D’un petit geste rapide, il poussa la porte pour qu’elle se referme derrière lui. S’avançant vers une chaise, la place réservée pour les ‘‘nobles’’. Son fessier était exigeant de la qualité… sinon celui-ci hurler de douleurs… d’ailleurs son gosier aussi était exigeant, s’il n’avait pas ce fameux breuvage à base de raisin qu’on appelle du vin, il devenait très rapidement sec. Son corps tout entier était exigeant… sa bourse remplit s’ouvrait régulièrement pour remplir leurs désirs.
Sortant une bonne bouteille de vin, ainsi qu’une seule et unique coupe pour lui seul. Son caractère d’égoïste était désormais dévoilé mais il s’en fou de ce que penser les autres… il avait comprit que les autres n’était que des personnes qui se servent de la bourse de autres pour protéger la sienne des dépenses… et accéder à des denrées couteuses sans déposé un écu sur la table…

Dans son coin, il commença à remplir soigneusement sa coupe du liquide rouge foncé, la bouteille toujours penchée il la releva légèrement pour la pivoter afin ne pas laisser de goûtes sur le goulot.
La posant doucement, il prit sa coupe avec finesse et y déposa ces lèvres. Pendant qu’il dégustait, il écouta les personnes présentes dans l’auberge.

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Ayanah
Agen, où comment apprendre à parler avec des pruneaux, faute d'habitants. Sur qu'on tourne facilement dingue d'un monologue avec un fruit séché. "'Eh bonjour monsieur du pruneau, que vous êtes moche, que vous me semblez ridé ! ". Pas de réponse.
Bien heureusement, elle ne s'y était pas arrêté plus d'une journée. La pruneauïte aigue ne l'avait pas atteinte... Elle comprenait mieux la blondinette qui criait à tout va que c'était horrible Agen. Une évidence.

Montauban.
Un petit sourire amer apparut sur ses lèvres. Elle y était plus tôt que prévu finalement, mais peu importait après tout... Elle s'y sentait bien, son voyage attendrait encore un peu. Ou plus.
Direction l'auberge. Elle espérait que les clients n'avaient pas tout détruit pendant son absence et que l'auberge ne serait pas le terrain de jeu de squateurs. Dans le dernier cas, la sanguinaire aurait utilisé son nouveau joujou : son bel arc noir. Une chance sur deux.

Devant l'auberge.
Tout était intacte, la vieille bâtisse sentait même la vie. Elle remarqua que son père en avait terminé avec la peinture de la façade et l'échelle était posée contre un mur. La porte était entrouverte et Ayanah y pointa le bout de son nez. Elle sourit en voyant Orandin se présenter dans l'vide. P'tètre qu'il voyait des fantômes...


J'vois que tu t'mets à l'aise. Mais t'as bien raison. Besoin d'une chambre j'suppose ?

Elle ne lui laissa pas le temps de répondre et monta à l'étage. Elle sursauta en voyant un attroupement devant une chambre. Elle arqua un sourcil et s'avança.

Bonjour...
Oh, monsieur mon père ! Comment allez vous ?


Elle lui sourit et entra dans la chambre non sans étonnement.

Emi, messire Jonas...
Que vous est-il arrivé Melina ?


Quelle attitude montrer ? Sourire de compassion peut-être ? Non, ce n'était pas son genre.
Melina
Mélina sourit amusé malgré la douleur.

- Ha qu'un petit duel au sommet! J'avoue que mon adversaire avait de la poigne!


Mélina espérait tout de même qu'il n'était pas trop blessé.
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Aikiko59
[Devant l'auberge]
Essouflé par ces journées à marche il arriva enfin à Montauban et s'arrêta devant une belle auberge, il était bien obligé car durant son absence son pommier c'est fait abattre par de rustre Bûcheron sans scrupule rah...
Donc il décida de pousser la porte de l'auberge et de demander une belle chambre...


[A l'intérieur de l'auberge]
Dès qu'il entra il vit que l'endroit était magnifique et qu'il fait bon vivre ici , Il chercha du regard la propriétaire et de loin vit un panneau où était ecrit "Bienvenu dans L'auberge Les Quatres Vents qui appartient à Ayanah" il se réjouit que Dame Aya tiennet une si belle auberge mais hélas personne...
Il commença à crié:


Il y a quelqu'un?Aya?
Aucune réponse? bon pas le choix je vais devoir utiliser mon appat héhé.
Aya j'ai dû sang frais pour toi si tu le veux il faut que tu vienne me voir et peut être tu pourra me torturer


Il attendit et pendant ce temps il se permit de se mettre à l'aise et s'assit confortablement dans une belle chaise près de l'entrée attendant que Aya fasse son apparition et prie "Pourvu qu'elle ne me tue pas..."
Gnia
Montauban, c'était un peu comme la terre promise. La Saint Just, le jeune Dongenan-Dénéré et Kirika faisaient office d'Abraham, Isaac et Jacob. Dans l'ordre ou le désordre. Le tiercé rapportait tout autant. C'est-à-dire pas grand chose.
La route avait été longue, fastidieuse, truffées de retards, d'attentes et de détours, parsemée d'étrangetés et de bizarreries, de compagnons perdus en cours de route et d'autres trouvés au détour d'une halte. Et ça, ça vous fatiguait la plus volontaire des compagnies de pèlerins.

Mais ils l'avaient atteint leur Paradis perdu et sa grande pêcheresse, leur Avallon, ses pommiers (là aussi, pas originaux pour deux deniers) et ses femmes, leur Walhalla et ses vierges guerrières, leur Jardin d'Eden et ses vierges éternelles (là aussi, ça radote), à croire que le foutu paradis n'était finalement destiné qu'aux hommes. 'Fin cela dit, si on avait eu des puceaux en lieu et place des grognasses réservées aux hommes et qui se refaisaient une virginité après chaque passage, on aurait été bien emmerdées...

Bref, tout ça pour dire que cette foutue ville qui s'éloignait à mesure qu'on s'en approchait, pire qu'un mirage, on avait finit par en passer le poste de garde où la Saint Just trouva une petite bafouille d'accueil de sa vassale nouvellement douanière. Cette dernière lui éclaira le visage d'un fin sourire et lui occupa l'esprit tandis que les montures se laissaient porter par le flux de la foule au travers des méandres des ruelles vers l'auberge des Quatre Vents.

Les cheveux furent dessellés, étrillés, garés dans l'étable avec leur dose d'avoine. Les voyageurs se démoulèrent comme des flambys sur les bancs de la salle commune, pichet de vin, miche de pain, fromage de pays sur la table et l'accueil chaleureux de Melina en dessert.

Et comme y'a rien de mieux après une activité physique soutenue (ouais, le cul vissé sur un ch'val pendant 12h c'est une activité physique et soutenue, garanti) suivie d'un bon gueuleton qu'une bonne sieste, la Saint Just, sans plus de cérémonie, quitta la table où elle avait à peine touché à la bouffe et même au vin, pour aller s'écrouler sur le plumard de sa chambre.

Bizarre... Elle avait à peine touché au vin...
Nan, étrange, vraiment...

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Melina
Mélina avait tout fait pour caché sa fatigue à sa suzeraine. Souriante, elle avait bien remarquer que celle-ci n'avait pas toucher à quoi que ce soit, oui, valait aussi bien dire que la Saint-Just avait rien bu au peu qu'elle avait toucher. Mélina était troubler. Plus d'un mois qu'elle avait vu sa suzeraine... Et tant de chose la tracassait, et la voir ainsi n'aidait pas... Mélina prit congé de la tabler et se dirigea avec un thé, quelques biscuits..vers la chambre de Gnia. Elle toqua et attendit patiemment que celle ci veulent bien la laisser entrée.

Mélina était si heureuse de la voir enfin présente... et en même temps, son devoir envers elle lui rappelait ceux ci. Mélina était tirailler par tout les derniers événements. Comment annoncer sa situation sans forcé la main de sa suzeraine... Elle n'en savait que trop rien. Elle finirait bien par trouver comment. Partis dans ses pensées, le plateau en main, elle poursuivait ses pensées en attendant.

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Gnia
Evidemment.
Comment avait-elle pu croire un instant qu'elle ne manquerait pas d'inquiéter Melina ? Parce que qui d'autre pouvait toquer à l'huis en cet instant sinon celle qui tentait de faire office d'ange gardien, de veiller sur elle, sans jamais vraiment y parvenir ? Comment avait-elle pu penser qu'elle pouvait se réfugier dans une solitude salvatrice alors qu'elle s'était attachée tant de monde qui avait décidé de tout quitter juste pour la suivre ? Pauvres fous, guidés par une folle.

Elle s'était allongée de tout son long sur le lit, sans même prendre le temps d'ôter ses habits de voyage. Elle prit une profonde inspiration avant de se laisser rouler sur le dos et d'enfin s'asseoir sur le bord du lit, avant de lâcher un "Entrez" sans conviction aucune.

Un regard bienveillant accueillit l'entrée de la Dame de Croisilles dans la chambrée. Elle avait tant de fois vécu cette scène. Aux heures les plus sombres de la nuit, quand Agnès se laissait ronger par l'habile et délicat exercice du pouvoir jusqu'à en oublier de se nourrir, sa dame de compagnie était toujours entrée discrètement, les bras chargés d'un plateau comme celui qu'elle portait en cet instant.

Agnès se leva et se laissa retomber lourdement dans un siège qui lui tendait les bras. Tirant un tabouret qui trainait non loin, elle allongea ses jambes et posa dessus ses bottes poussiéreuses. Elle invita ensuite Melina à déposer son fardeau sur un guéridon et à s'asseoir dans le meuble jumeau qui faisait face au sien.


J'imagine que vous vouliez que nous parlions de ce dont vous m'avez entretenu dans vos missives ? Je vous écoute.
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--Opalescente


[Devant l'Auberge]

Un rythme lent, quelques battements d’un tambour de peau, le bruissement de jupons colorés et la voici.

Opalescente, une illusion parfaite, l’image d’une femme tout en ruban et en or, frappa de nouveaux coups. Les regards s’arrêtaient, curieux, intéressés, intrigués. Le sourire de la belle s’étira, doux et charmeur alors qu’elle tournoyait. Lascive et mystérieuse, elle se figea plongeant ses yeux sombres sur la petite foule qui s’était rassemblée devant l’Auberge où elle avait décidé d’opérer. Quoi de mieux que l’endroit le plus fréquenté de Montauban pour faire découvrir à tous, la nouvelle antre de sa patronne ?


« A vous nobles habitants de la Réformée ! »

La voix était suave comme issu d’un monde d’illusion, un paradis perdu. Tout dans son attitude transpirait la beauté étrange, un charme terrible et vénéneux. D’un certain coté, elle ressemblait beaucoup à sa maitresse. N’était ce pas elle qui l’avait trouvé et relevé du ruisseau dans lequel elle errait ? La brunette secoua la tête chassant ses pensées pour mieux se concentrer sur les Montalbanais qui la scrutait désormais.

« N’en avez-vous pas assez de souffrir ? Ne souhaitez vous pas que vos douleurs s’évanouissent ? Mal du corps ou de l’esprit ? Problème d’humeur ? Douleur des sentiments ? Besoin de fuite ? Suivez les effluves délicates qui depuis peu hantent vos rues, approchez vous et écoutez moi. L’Antre Verte et sa maitresse vous accueillera avec délice, vous offrant la douceur que vous désespérez d’avoir. Vous oublierez tout dans le paradis de l’Antre ! »

Opalescente eut un sourire étrange et fit éclater au sol une boule de poudre qui éclata en une fleur de lumière et répandit des petits morceaux de parchemins. Etrangement, elle, elle avait disparu.

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