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[RP- Ouvert à tous] Etre une femme japonaise, tout un art !

Ranoo
Avant tout de chose je tiens à préciser que ce rp a pour but de faire part d’un constat que je ne suis pas la seule à avoir eu et dont je ne tiens rigueur à personne. Moi-même parfois, dans mes rps, je ne suis pas très en accord avec l’époque.
Pourtant, mon personnage est très à cheval sur ses principes d’éducations et je trouve que cela est en parfait accord avec mon rp, avec qui est mon personnage que d’ouvrir une école d’éducation de bonnes manières à l’attention des jeunes filles, jeunes femmes et hommes qui le souhaitent du Daimyo d’Oda.
Il est vrai que jouer une femme qui ne peut exprimer ses idéaux, ses envies et ses aspirations n’est pas des plus intéressant, mais ce qui est intéressant dans l’idée de suivre les traditions médiévales japonaises est déjà d’être plus proche de la réalité et peut-être d’adapter, sans pour autant renier la réalité, ses pensées.
Je tiens à préciser que toutes pensées ou propos de mon personnage ne vise pas le joueur personnellement, n’attaque pas ses rp’s et sa manière de jouer. Tout reste entièrement rp, c’est un constat que j’ai cité dans plusieurs de mes rp’s déjà. C’est peut-être une idée de façon de jouer pour respecter l’époque et sa culture. Pour rendre, peut-être, de manière plus juste aux ancêtres des japonais de maintenant qui peut-être se retournent dans leur tombe en voyant des gens s’embrasser en taverne aux yeux de tous, se tutoyer entre inconnus voir même au sein de sa famille, des jeunes filles appartenant à des clans qui décident elle-même qui elles épouseront et j’en passe.
Aucun autre de mes posts ne sera HRP, il sera l’unique et pourra éventuellement être complété en cas de besoin.
Toutes les adaptations que je pourrais suggéré, que j’ai intégré dans les pensées et ma façon de rp’s avec mon personnage ne sont que suggestion et idée que vous pouvez bien sûr modifier et/ou amélioré. Je suis d’ailleurs ouverte à toutes suggestions par mp uniquement sur ma façon de jouer l’attitude d’une jeune fille de l’époque.
D’ailleurs si quelqu’un plus pointu que moi-même en coutume japonaise médiévale pour ce qui est des croyances et des habitudes en dehors de l’attitude correcte d’une jeune fille, d’une jeune femme, d’une épouse je suis aussi prête à discuter de tout cela par mp.
Je ne pense pas avoir les meilleures idées et la meilleure façon de faire ou de pensée. Mais au fil de mes rp’s en gargotte notamment, j’ai pu remarquer la façon de réagir de certains vis-à-vis de mon rp et j’ose à croire que je tende vers une proche réalité.
C’est donc par désir d’avoir le plaisir de jouer tous ensemble dans un japon médiéval, d’apprendre une autre façon de jouer avec son personnage féminin, de pouvoir éventuellement lui changer ses attitudes et ses réactions de manière rp en suivant un fil conducteur absolument pas établi que nous pourront probablement toutes et tous prendre plaisir à jouer des japonaises et japonais de cette époque. En effet, les hommes ne sont pas en reste même si à cette époque les remontrances d’une femme envers un homme surtout en public peuvent-être très mal pris. Une épouse envers son époux, cela peut passer mais c’est à peu près tout, sauf exception, j’avoue l’avoir fait envers le personnage de Saburo mais nos deux personnages sont très liés d’un rôle de protecteur à protégée et c’est donc pour rendre cette protection que Ranoo c’est permise une telle familiarité.
Petite précision quand à l’écoulement du temps que je veux donner à mon rp. Je pense qu’il est judiciable de faire durer une leçon du jeudi soir au mardi soir. Les nouvelles venues pourront donc s’inscrire le mercredi et jeudi voir durant la semaine et si la leçon est peu entamé la rejoindre si cela est possible. Disons que j’aime les rp’s fait au feeling mais avec un semblant de suivit tout de même et ne pas avoir des gens qui arrivent au bout de la troisième leçon comme si elles avaient déjà suivit les deux précédentes. Evidemment de manière rp un cours de rattrapage voir deux ou plus pourra être donné en parallèle si besoin est. Restons cohérent et rp dans tous cela et mettons fin aux leçons quand elles sont terminées. Je pense qu’en laissant le week-end pour y répondre cela permet de pouvoir poster, si jamais vous n’êtes pas d’accord ma messagerie privée du forum ou mon courrier ig vous etes ouvert évidemment !
Merci de m’avoir lu, merci de me lire encore après et merci à tous ceux qui oseront se lancer dans ce rp.

LJD Yamato Ranoo

P.S. : avant la suite, petite précision ne pouvant pas être faite en rp.
On donne toujours le nom de famille, lorsque l’on en a un, avant le prénom.
Ensuite lorsque l’on prononce que le prénom d’une personne on doit y adjoindre –San derrière, exemple : Ranoo-San. Sama est à utilisé à la place de San quand il s'agit d'une personne de haute importance.

EDIT (02-11-10) : Modification des dates de début et fin des leçons pour se recaller à ce qui se passe. J'allongerais si besoin est.

EDIT (17-11-10) : Au vue de l'irrégularité dans la continuité des leçons et l'ajout de pas mal de nouvelles élèves, nous irons dans l'idée que lorsque Ranoo donne le top départ pour la fin de la leçon, on attend deux jours pour enchaîner.

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Ranoo
Yamato Ranoo mûrissait dans sa tête un projet. Projet dont elle avait eu l’idée plusieurs semaines auparavant et qui peut-être avait même germé dans sa tête bien avant son départ pour Gero. La petite fleur de lotus de ses parents avaient bien grandit, elle connaissait sur le bout des doigts les préceptes d’une bonne éducation japonaise et savait parfaitement se comporter en public, ou en tout cas c’est ce qu’elle osait croire. En attendant, elle ne se souvenait pas avoir fait honte à Akuma Saburo devant des étrangers, elle ne se souvient pas l’avoir vu se plaindre de ses manières, ni son frère hésiter à l’idée de la voir quitter le domaine familial. Tout ceci fait donc, sans doute, partit des critères qui lui permettent de juger cela.
Il y a bien eu une fois en gargotte un homme de condition modeste qui l’interrogea, il fut surpris de voir la jeune fille répliqué. Or, il n’y avait ni parents, ni ami, ni personne de sexe opposé pouvant la représenté dans ce dialogue qui semblait être lancer à double sens. Elle se devait, donc, de répliquer, rendre la pareil même si cela déplait. Être femme japonaise, c’est tout un art.
Seulement, depuis déjà quelques mois, peut-être même année mais comment savoir lorsque l’on vit surtout enfermé ? Je disais donc, cela fait probablement déjà un moment que l’éducation traditionnelle japonaise semble abandonner. Pourtant, une femme de haute condition est toujours plus agréable à côtoyer lorsqu’elle connaît les us et coutumes. Il faut bien avouer que peu d’homme apprécie une femme à la langue bien pendu qui débite des inepties et ses idées aussi vite que son cœur bat. Et il bat fort vite le cœur parfois chez certaines. D’ailleurs, qu’elles soient de conditions paysannes ou de caste supérieures, l’éducation est à peu près la même.
Pourtant, force est de constater que la population masculine n’est pas en reste en mauvaise manière. Les gens de simple condition ne sont pas à considérer, après tout, tous n’ont pas nécessairement eut la chance d’avoir un parent pour exemple ou même eut le temps d’en apprendre les préceptes. Le travail au champ leur étant primordiale pour leur survit, pauvre d’eux. Par contre, les hommes de caste supérieur deviennent d’une vulgarité sans pareil ! Ils s’enamourachent de jeunes paysannes, quoique cela passe encore mais delà à se marier avec elle, il faut être totalement stupide ! Quelle épouse japonaise de bonne condition n’a jamais eu vent de murmure comme quoi son époux s’amuse parfois la nuit avec la servante ou bien qu’il a engrossé la fille du propriétaire de la gargotte proche de son campement lors d’un voyage ? Très peu à vrai dire car les rumeurs vont vite, surtout quand 1+1 = 3.
La force d’une femme réside dans sa capacité à fermer les yeux sur les frasques encore acceptable de son époux, de les ouvrir et d’ouvrir les siens lorsque cela atteint l’image de la famille. La femme est gardienne de l’éducation, de l’image de la famille et du culte des ancêtres. Elle se doit d’être irréprochable et de montrer une image positive et propre de la famille de son époux et de sa propre famille par la même occasion.
Pour être une bonne épouse il faut donc savoir garder sa langue et parler quand il le faut en tâchant de trouver les mots justes pour résumer rapidement le fond de sa pensée. Il faut aussi faire preuve de sagesse et de retenue. Il faut avoir une attitude docile et humble, ne jamais regarder droit devant soi et fixé dans les yeux un homme. Savoir correctement préparer le thé fait aussi partit des exigences, c’est là même quelque chose qui doit se manier bien avant 12ans âge acceptable pour être marié. Il faut, apprendre à ne pas écouter son cœur et ses sentiments, là est le point cruciale. D’ailleurs ne demander jamais à Ranoo si elle aime quelqu’un, elle vous demandera aussitôt qu’est-ce aimer ? Bien sûr elle aime son frère et a aimé ses parents mais cela est naturelle.

Entre femme, par contre, cela est tout autre, il faut rester humblement et respectueuse envers une femme de condition supérieure à la sienne et envers les plus âgé, par exemple une femme marié alors que l’on ne l’est pas. Mais regarder ses pieds seraient mal venu. Entre femme de même condition il est aisé de parler de tout et de rien, de sortit ses idées et ses inepties, de rire ensemble. A l’inverse, avec une femme de condition supérieure ou dont la sagesse n’est plus à démontrer, il faut rester humble un minimum comme nous l’avons dit avant, tout en relevant le regard sans pour autant la fixer droit dans les yeux.

Entre époux, cela dépend des relations qu’il y a entre eux. Si de l’amitié c’est installé, le regarder pour appuyer ses propos peut-être bienvenu mais il faut savoir le faire avec modération, sagesse et surtout respect.

Ranoo se stoppa, elle venait de tomber sur un bâtiment de taille modeste semblant abandonner. Ses idées, ses envies, ses désirs l’avaient porté jusqu’ici. Peut-être les ancêtres l’avaient-ils guider jusqu’ici pour l’aider dans son projet. Intérieurement Ranoo les en remercia. En attendant elle avait sa première leçon en tête, une leçon de mise en jambe qui résumait plutôt bien les points essentielles qui faudrait aborder dès les premières leçons.
La jeune fille chercha sur la façade une indication du prix pour ce local et éventuellement sur l’identité du vendeur ce qui en soit est plutôt utile. Une fois tout ceci repéré, elle le mis dans un coin de sa tête et alla trouver Akuma Saburo pour le lui montrer. Il n’apprécierait peut-être pas de savoir qu’elle s’était ainsi aller promener sans voir où elle allait. Espérons surtout qu’il ne lui demande pas de l’emmener voir la bâtisse, fallait-il déjà qu’elle retrouve sa route vers le domaine de ce dernier.
Elle tourna quelques fois en rond mais réussit rapidement à retrouver le domaine, finalement elle arriverait peut-être à l’y emmener. Ranoo alla trouver Goei pour s’enquérir du lieu où se trouvait son maître Saburo, ce dernier la guida jusqu’au bureau de celui-ci et la fit patienter un instant pour l’annoncer à son maître. Ranoo pénétra ensuite dans la pièce et après s’être humblement incliner, elle fit part de sa découverte au chef de la famille Akuma. Le prix était assez dérisoire et même Ranoo pourrait l’acheter mais ce dernier tenait à le lui offrir. Elle accepta sans trop tergiverser, juste un peu par politesse. Elle le guida ensuite dans les rues pour l’emmener au lieu de sa découverte. Le jeune homme en fit le tour et tata la bâtisse voulant probablement s’assurer de son bon état et de sa solidité.
Ils allèrent ensuite chez le propriétaire qui leur fit visiter l’intérieure. Les pièces étaient agréablement agencer et de taille correcte. L’entrée spacieuse et aérer serait parfaite ! Ranoo jeta un rapide coup d’œil à Saburo pour voir si ses pensées étaient les mêmes, mais celui-ci lui demanda son avis. Ranoo approuva d’un ou deux hochements de tête, l’accord fut donné et la vente effectuer dans l’instant.
Saburo lui dit de rester là, il rentra et pendant ce temps Ranoo fit le tour de nouveau de la batisse, les yeux relevés pouvant mieux apprécier les pièces. Quelques portes coulissantes avaient leur panneau de déchirer, mais cela était égale. Certains seraient probablement enlever, au moins un pour la salle d’attente, peut-être la salle de leçon principale aurait aussi le papier de riz d’enlever laissant la juste le montant de la porte comme pour inviter les gens à entrer sans pour autant se dévoiler. Montrer juste ce qu’il faut tout en restant docile envers les limites de notre société un peu à l’image des femmes japonaises.
Rapidement, Ranoo entendit du bruit à la porte d’entrée et des voix qui l’appelait, elle virevolta rapidement contrairement à son habitude et alla d’un pas plus doux à l’entrée, elle sourit en reconnaissant deux servantes du domaine, Saburo les lui avait envoyé pour qu’elles nettoient la bâtisse. Ranoo se décida à relever les manches de son kimono et toutes trois se mirent au travail, déjà il allait falloir nettoyer tout cela ! Le bâtiment était de taille convenable, le ménage fut donc fini à la tomber de la nuit. Akuma Saburo vint d’ailleurs voir le travail des jeunes femmes et malgré qu’il se douta probablement que la jeune fille eut aidé les servantes dans leur tâche, ces derniers cachèrent rapidement Ranoo qu’elle puisse redescendre les manches de son kimono et rattacher rapidement ses cheveux dans son chignon pour ne pas dévoiler ses bras et ne point se montrer de manière outrancière aux yeux d’un homme de condition légèrement supérieure à la sienne.
Il ramena tout le monde au domaine, ils soupèrent rapidement et Ranoo alla trouver sa couche pour dormir d’un profond sommeil calme et paisible.

Le lendemain matin, toutes se levèrent de bonne heure et filèrent, après un rapide petit-déjeuner, à la bâtisse pour mettre en place les aménagements. Dans la nuit, Ranoo avait eu une idée de panneau pouvant résumé l'idée générale, mais il allait lui falloir un peu de temps avant de pouvoir le faire et l'école ne pouvait attendre. Cela serait donc pour dans quelques jours.
En attendant, tout fut installé, quelques coussins pour patienter dans la salle d'attente, des tables basses avec des vases contenant une orchidée, la pancarte en hauteur dessiné rapidement à la main et ainsi de suite. Tout ceci dura tout de même la journée, mais dès le lendemain Ranoo allait pouvoir ouvrir les portes aux gens désireux de s'informer qui avait pu être attiré par tout ce remue ménage.

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Ranoo
Le lendemain matin, Ranoo se rendit de bonne heure à l'école qui ouvrait pour la première fois ses portes. Elle avait demandé à une des servante du domaine de la suivre pour éventuellement servir d'hôtesse d'accueil si jamais elle-même n'était pas disponible.

Deux salles d'attentes avait été crée, elle se trouvait l'une à côté de l'autre mais les teintes qui les composaient étaient suffisamment différente pour que tout à chacun comprenne que l'un était pour les hommes et l'autre pour les femmes. Deux salles de leçons avaient été aménagé pour pouvoir donner des leçons privé ou autre. La plus grande servirait aux leçons en cours.
Des latrines se trouvaient dans le fond à droite.

Ranoo alla ensuite afficher un message à l'entrée.


Citation:
Être une femme japonaise, tout un art!

Tel est la réalité des choses et pour aider tout à chacun de se perfectionner dans cette art, nous vous proposons une école dite de bonnes manières à de ne pas confondre avec une école de Geisha assez différentes tout de même.
N'hésitez pas à entrer pour poser vos questions ou vous inscrire à la première leçon qui démarrera dès qu'il y a aura suffisamment de monde.

Merci de votre attention.

Yamato Ranoo


Puis elle planta sur le mur la liste pour la première leçon.


Citation:
Leçon Une : "Être une femme japonaise, tout un art! Ou Ce que l'on attend de vous."

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Saburo


Saburo assis dans son bureau après le calcul de ses fonds, pour la plus part bloqués dans des entreprises commerciales et l'autre moitié dilapidée par ses soins dans l'opium et le sake. Une fois qu'il eu fini de répartir équitablement ses dépenses et que sa fortune fut a nouveau gerer correctement, il décida de s'offrir un petit extra. Cependant il disposait de vraiment peu de fond, à peine de quoi payer L'opium de qualité.
Alors qu'il allait valider sa décision d'achat Ranoo vint lui demander une faveur.
Son cerveau lui proposa deux choix, mais présenté sous différentes formes : L'opium ou la fille. Un moment de détente extrême ou la prude avec qui il ne pourrai pas prendre de bon temps charnel. La solution était toute trouvée.
Son honneur, l'emmerda au plus au points, à ce moment la il regretta presque d'avoir dit qu'il s'occuperai pleinement de la jeune fille. Il était pas encore en manque donc il accepta avoir joie de quoi fournir le moyen financier pour que la jeune fille s'occupe, Ranoo avait même ajouté que la dépense financière était tres modique, ce qui arrangeait Saburo qui pourrait du coup se payer son opium.


Prenant au sérieux son rôle de gardien il alla même voir à quoi ressemblait la bâtisse, enfin plutôt l'épave qui portait le nom de bâtisse. Apres une vérification discrète de la solidité du lieu, une certaine inquiétude le prit. Il y'aurait des réparations a faire, il esperait que le montant ne serait pas trop élevé.
Apres avoir discuté avec le vieux gérant qui se montrait fort gentil, Saburo le trouva moins sympathique quand il annonça la bouche en cœur le prix du bâtiment. Alors que Ranoo gambadait en examinant le bâtiment, Saburo prit gentiment à part le vieux en le soulevant par le col de son kimono.

Tu te moques de moi ? Osez demander une telle somme pour ce vieux truc délabré ! Je te laisse une chance papy, si quand la dame revient tu n'as pas modifié ton offre parce qu'elle a de beau yeux, demain j'irai racheter cette chose a ton héritier et en plus il m'offrira les frais de réparation. J'ai été clair ?

Reposant le vieux prit de cours, Saburo senti qu'il commencait a trembler un peu aussi,l'énervement lui avait fait comprendre une chose, il était en manque...

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Ranoo
Ranoo avait vu passer des têtes curieuses qui s'était un peu arrêté sur le bord de la route pour observer la bâtisse qui revenait à la vie. Certains avaient lu son petit mot, mais personne ne s'était inscrit, personne n'avait posé de question.
Cela était quelque peu décevant mais elle n'abandonnerait pas pour autant.
Elle continuait donc de sourire aux gens qui passent espérant en voir enfin s'arrêter pour parler. Un père pour sa fille, un époux pour sa femme, une jeune femme pour elle même qu'importe.


Citation:
Être une femme japonaise, tout un art!

Tel est la réalité des choses et pour aider tout à chacun de se perfectionner dans cette art, nous vous proposons une école dite de bonnes manières à de ne pas confondre avec une école de Geisha assez différentes tout de même.
N'hésitez pas à entrer pour poser vos questions ou vous inscrire à la première leçon qui démarrera dès qu'il y a aura suffisamment de monde.

Merci de votre attention.

Yamato Ranoo


Citation:
Leçon Une : "Être une femme japonaise, tout un art! Ou Ce que l'on attend de vous."

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Eona
Après maintes discussions avec le chef du clan des Usagi à Géro, la jeune japonaise se nommant Eona avait décidé de parfaire son éducation en tant que femme. Cette dernière avait soif d'apprendre et l'art de devenir une femme japonaise en apprenant les uses et coutumes était une excellente idée.

On lui avait indiqué alors une école pour apprendre cet art. Celui de Ranoo-sama. Sans hésité et parce qu'on lui avait beaucoup parlé de cette femme, le tribun de Géro décida alors de s'y rendre et de rencontrer cette dame avec qui elle ferait son apprentissage.

Bon Eona, n'étant pas encore un paysan, n'ayant pas encore un champ pour subsister à ses besoins, enfin étant encore une vagabonde, n'était pas vraiment très présentable pour cette école. Elle avait un peu peur de se que dirait Ranoo-sama à propos de sa. Elle n'était pas une noble dame en effet et cela la génait de se présenter ainsi... mais bon elle prit son courage à deux mains.

Ses pas la menèrent alors devant l'école, la bâtisse était impressionnante. Il y avait à l'entrée une pancarte avec une affiche dessus le message de Ranoo. Son cœur battait fort dans sa poitrine, la jeune japonaise n'était pas inquiète mais appréhendait le moment où elle se retrouverai devant son senpai. Elle n'avait pas peur loin de là mais bon s'était dans le caractère d'Eona d'être ainsi. Avec le temps elle arrivera sans doute à s'endurcir peut-être.

Pénétrant alors dans la bâtisse. Eona fut accueillit par une hotesse. Eona lui expliqua le pourquoi de sa venue, alors la dame l'accompagna dans une salle d'attente et l'invita à attendre Ranoo. La jeune tribun s'inclina et la remercia pour ensuite s'installer et patienter

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Ranoo
Ranoo peaufinait les détails de la décoration et avait commencé à peindre un grand panneau de bois avec son expression fétiche quand on vint lui faire part de l'arrivé d'une jeune femme. Ranoo posa son pinceau, se releva délicatement et déplia son éventail au cas où une autre personne.
Elle arriva à petit pas pesé dans le hall et de ce même pas alla dans la salle d'attente. Elle releva la tête et baissa son éventail étant dans la zone réservé aux femmes. Après s'être incliné elle regarda la jeune femme et lui sourit pour la mettre en confiance.


- Konnichi Wa,
Je suis Yamato Ranoo et je vous souhaite la bienvenue dans cette école.

Que puis-je pour vous?

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Eona
Eona observait la salle d'attente rustique réservé aux femmes en attendant que la maitresse des lieux vienne à elle. Et elle n'attendit pas trop longtemps, une femme pénétra dans la salle avec son éventail lui cachant la moitié de son visage, laissant visible que les yeux mais qu'elle s'empressa de retirer une fois la porte fermé pour enfin s'incliner devant la jeune japonaise et se présenter

La tribun s'inclina à son tour devant la dame


Konnichi wa,
Je suis Eona, je viens de Géro. J'ai entendu parler de votre école par Oktakup-dono. Il m'a dit que vous enseignez l'art d'être une dame


Elle sourit un peu confuse de ses paroles, ne sachant si c'est comme ça qu'elle devait mentionner la chose
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Ranoo
Ranoo observa la jeune femme s'incliner devant elle et lui répondre.
Elle lui sourit et approuva d'un hochement de tête.


- En effet, cette établissement a été ouvert pour me permettre de faire part de ce que je sais dans l'art d'être une femme.

Ranoo entrouvrit la porte et une feuille de riz glissa avec un pinceau.

- Tenez je vous en prie, inscrivez votre nom ici.


Citation:
Leçon Une : "Être une femme japonaise, tout un art! Ou Ce que l'on attend de vous."

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Elle regarda faire la jeune femme et enchaîna.

- Nous pourrons commencer d'ici peu si vous le souhaitez, vous êtes la seule à avoir eu le courage de pousser la porte et je ne pense pas vous faire attendre longtemps dans ce cas.
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Eona
La jeune japonaise offrit un sourire à la maitresse de maison et prit la feuille de riz et le pinceau pour inscrire son nom sur le registre

Citation:
Leçon Une : "Être une femme japonaise, tout un art! Ou Ce que l'on attend de vous."

- Eona
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Elle redonna la feuille et le pinceau puis s'inclina

Arigatoo, Ranoo-sama. J'ai hâte de pouvoir commencer la leçon
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Ranoo
Ranoo ressortit son éventail le déplia et avant de le placer de nouveau devant son visage annonca à la jeune femme.

- Si vous voulez bien me suivre.

Elle la guida tranquillement dans l'unique couloir vers la salle aménagé pour les leçons. En faite, il s'agit de la pièce juste en face de l'entrée, il suffit de traverser l'entrée pour y etre.
Elle s'agenouilla le long de la parois et l'ouvrit doucement.


- Entrez.

Ranoo se releva et s'agenouilla de l'autre côté de la porte dans la salle de leçon de nouveau le long de la porte pour la refermer.
Une fois cela fait, elle se releva et aller se placer au milieu de la pièce invitant Eona à venir prendre place.


- Bien, cette première leçon n'aura probablement pas de mise en pratique. Elle sert surtout à comprendre le principe de ce que je souhaite enseigner ici. En quoi consiste le fait d'être une femme.
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Eona
Sourire aux lèvres et contente de pouvoir enfin commencer la leçon, Eona suivit Ranoo jusque la salle de cours qui se trouvait en réalité pas très loin du hall. Cette dernière l'invita a entrer dans la salle après avoir préalablement ouvert la paroi. La jeune japonaise y pénétra alors puis admira la pièce sobre et simple, pas besoin de trop d'artifice pour ce genre de chose. Rien qui pourrait détourner l'intention d'une élève.

- Bien, cette première leçon n'aura probablement pas de mise en pratique. Elle sert surtout à comprendre le principe de ce que je souhaite enseigner ici. En quoi consiste le fait d'être une femme.

Eona tourna ses yeux aux reflets rouge sang vers la dame et répondit


- Je vous écoute alors.

Elle s'installa puis écouta attentivement son senpai
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Kinchan
Kinchan ,arrivée depuis peu au village ,avait attendue patiemment de pourvoir pénétrer
dans la gargotte du daimyo Oda..
Eona rencontré le jour de son arrivée ,lui avait indiqué une école ou ,
Kinchan désireuse d'apprendre les coutumes ,se dirigea en direction de celle ci..
Arrivée devant les lieux ,elle y pénétra timidement ne sachant comment se comporter
qu'elle en avait méme oublié les premiers rudiment dicté par Eona..
Kinchan ,bien sagement atttendi dans ce hall ,
la maitresse des lieux ..
recherchant dans sa mémoire la façon de se présenter ...
--Ming


Ming attendait à l'accueil que d'éventuelle autres élèves viennent faire l'entrée. Et justement en voici une nouvelle.
Ming la salue poliment en s'inclinant et lance d'un ton joyeux.


Konnichi Wa,
je suis Ming, que puis-je faire pour vous?
Kinchan
Se sentant un peu perdu ,Kinchan n'avait pas vue la personne qui était à l'accueil ,elle s'avança
puis la salua en sinclinant ,puis se souvenant de ce qu'Eona lui avait dit elle su qu'on lui disait bonjour, Kinchan en fit autant souhaitant ne pas dire de bétise ...


Konnichi Wa,
je suis Kinchan , arrivée dans le
village de Géro depuis quatre jours
ou j'y est
rencontré le tribun du village
qui se nomme Eona,et comme je ne connais rien
encore de vos coutumes ,elle m'as donc guidée
vers vous ,ou je souhaite apprendre ...


espérant c'être bien fait comprendre
souriante ,Kinchan se tu pour laisser la parole ..
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