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[Rp fermé] Le déserteur

Linexiv
[Devant les geôles, un soldat réfractaire]


En voilà un qui ne comprenait apparemment plus les ordres après minuit. Peut-être manquait-il de sommeil vu qu'il était de garde, mais tout de même...
Son lieutenant en étouffa un long soupir. Discrétion et rapidité, telle était la clef du succès de l'opération. Ratée. Suffisait qu'elle l'engueule à nouveau pour que toute la caserne soit au courant.

Elle n'avait pas spécialement envie qu'il rameute toute la caserne. Plus vite le danois serait au trou, et plus simple à contrôler la situation serait.

Une seule solution donc. Par défaut.


Soldat, puisque vous êtes disponible, vous allez aider ce pauvre Roger à descendre le déserteur au trou. Loutte, tu nous précèdes avec une torche et je ferme la marche.

Bien évidemment, il ne sera toléré aucun acte autre que le respect des ordres. Suis-je bien claire?

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Paysans01
ses met au grade a vous

BIEN LIEUTANT LINE JE MAIS LE SOLDAT 2éme ETOILE DE LA COMPAGNIS DE CHINON ROBIN DANS UNE CAGE D'ORS paysans crie bien fors pour que tout les soldat des 4 compagnis entens l'injustis

instale une paisse dans la cage et coussin

prents le bras drois et la jambe droits du danois est atent que la recrus fase pareil

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Loutte1, incarné par Linexiv
[Devant les geôles]

Loutte observait Roger rejoindre Line quand BRAOUM.

Le vieux débris s'était entravé dans le corps du déserteur qui était à terre.

Voyant ses poignets dénoués de leurs liens, Loutte comprit rapidement que Line avait voulu faire avancer les choses mais son cheval n'ayant pas l'habitude du lieutenant, il avait dû bouger et le Rob avait dû choir lourdement aux côtés du lieutenant.

Triste spectacle qui s'offrait à ses yeux.

Paysans quant à lui s'était rapproché et les regardait d'un oeil mauvais. Il croyait sans doute que Loutte faisait ça de gaieté de coeur... ridicule! Tant elle avait la rage en elle

Line vit en lui l'aide espérée.


Soldat, puisque vous êtes disponible, vous allez aider Roger à descendre le déserteur au trou. Loutte, tu nous précèdes avec une torche et je ferme la marche.

A vos ordres lieutenant.


Sa voix était neutre, chose fort rare et jamais de très bonne augure.

Loutte partit chercher une torche plus loin et revint en silence, commençant à descendre en direction du futur trou du déserteur.


Escaliers noirs et humides, odeur de pourriture et de moisi se mêlant, c'est dans un profond dégoût que Loutte ouvrit la cellule pour enfin éclairer les chaînes fixées au mur.
Linexiv
[Descente au fond du trou]

Les cachots étaient encore plus macabres qu’à son souvenir. Il fallait en plus considérer que ces derniers n’avaient pas accueilli de nouvel occupant depuis un fort loin souvenir. Certes la rumeur voulait que quelques prisonniers y aient moisi pendant les dernières guerres, mais quant à accueillir des soldats mutins… Line n’avait guère de toute façon l’habitude de fréquenter de tels lieux et mise à part une visite un peu trop minutieuse du château de la Bourdaisière durant laquelle elle s’était quelque peu égarée du côté des souterrains, elle ne s’était jamais retrouvée à descendre des marches humides à la suite de Ballas et Paysan portant leur fardeau et de Loutte qui torche à la main éclairait la progression.

Le potentiel touristique des geôles était de toute manière fort limité mais Line ne pouvait s’empêcher de penser que la faible fréquentation des lieux n’avait rien arrangé. Quelques pas supplémentaires et elle en vint à douter que les éventuels derniers occupants aient le privilège d’en sortir un jour. Leurs cadavres seraient restés à se décomposer que l’odeur n’aurait pas été pire.

Loutte marqua un arrêt une fois dans le couloir. Et oui, maintenant s’imposait le choix de la chambre du danois. Et ledit choix imputait forcément au plus gradé, autrement dit, elle. Bon… Aller jusqu’au bout. Ce n’était pas le moment de se défiler même si la seule chose qu’elle désirait encore était de remonter au plus vite à la surface et de stopper nette cette farce sinistre. Qui n’en était pas une. Une tragédie plutôt. Elle inspira un grand coup, retint un haut le cœur souhaitant qu’aucun n’ait l’idée de préciser qu’au moins ici l’odeur du danois n’indisposerait aucun nez sensible. Puis son regard se portant sur les lourdes portes de bois ferrées, impossible d’entrevoir ne serait-ce qu’une quelconque distinction. Au hasard ? En tirant à pile ou face ? Regard lourd sur ses épaules. Choisir et vite. La torche ne durerait pas indéfiniment en plus. Bientôt les ténèbres retomberaient. Elle dissimula un frisson. Dans le noir, ça serait atroce. Bon ça l’était déjà, mais Line n’était guère partisante de la maxime « au moins il ne verra pas son malheur ».

Sauf que dans ce cas, il n’aurait pas fallu que cette situation se produise. Putain aussi, pourquoi avait-il fallu qu’il revienne, il ne pouvait pas rester dans les bras de sa mercenaire ? Quoique cela aurait obligatoirement impliqué à un moment ou à un autre qu’ils se retrouvent face à face. Ce qui n’aurait pas été mieux. Ne pas dériver. Se concentrer. Que la lumière vienne. Avec le point du jour. Jour… Oui, c’était ça, vu l’orientation du bâtiment, la cellule du bout devait disposer d’un soupirail contrairement aux autres. C’était une solution. Un pis-aller de plus. Mais elle n’en avait pas d’autres. Louchant sur son trousseau de clefs pour trouver la bonne, ce qui ne se produisit qu’après l’essai méticuleux de la dizaine présente, Line parvint à déverrouiller la porte de la cellule. Ne restait qu’à enlever la lourde barre. Elle fit signe à Loutte de l’aider et peu après dans un grincement adéquat, elles poussèrent la porte.

Lumière blafarde en provenance du soupirail, lueur fantoche et oscillante de la torche, rien de suffisant pour transformer une cellule en palace. Bien au contraire, cela permettait de faire ressortir les murs suintants, la paille moisie et les chaînes. Accrochées au mur.

Les deux soldats déposèrent leur paquet. Le reste de paille étant des plus misérables, Line ordonna à Paysan de remonter prestement en chercher de la nouvelle le temps qu’elle s’attaque aux fers. Le boulot devait être complet. Complet. Les fers grincèrent alors qu’elle effectuait la charmante besogne le plus délicatement possible pour éviter de l’écorcher. D’abord les poignets puis les chevilles en veillant à lui laisser une allonge suffisante…

Line ferma les yeux, espérant se convaincre une fois de plus de la nécessité des actions commises, et surtout de celles qui allaient suivre. Fin de l’étape un, début de l’étape deux…

Heureusement, ses pensées moroses furent chassées au retour de Paysan qui trouva le moyen d’emporter un coussin en plus de la paille. C’était certain que ça ne ferait pas tâche, les rats, les chaînes et un oreiller. C’était… Elle ne trouvait même pas le mot. Aussi, elle se contenta de ramasser le coussin d’un geste brusque et se dirigea vers la porte, obligeant d’un signe le reste du comité à la précéder.

La porte claqua. La barre retomba. Le danois était désormais abandonné à son sort. Ils remontèrent.

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Robin_de_locksley
[Aux fers...]

Oulah, c'est qu'il fait noir ! Georges, tu veux pas nous régler le contraste un peu ?

C'est mieux, Steven ?

Ouais, mais c'est flou. Essaie de trifouiller la mise au point!

Comme ça ?

Nickel! Eeeeeeeeeeeeet action !


Lorsque votre danois préféré ouvrit les yeux, il faisait jour. Enfin d'après la lueur qui filtrait par le soupirail. Rob' avait atrocement mal au crâne, un peu comme si on avait utilisé sa tête comme bélier ou qu'il s'était fait passé dessus par un bataillon de Trolls armés jusqu'aux dents.
Le Lochois tenta de bouger un bras. Chose étrange, le mouvement s'accompagna d'un bruit métallique avant que le membre ne soit retenu. Même réaction pour l'autre bras et les deux chevilles. Il était enchaîné...
Robin agita la tête pour se remettre les idées en place. Elles mirent un peu de temps avant de se réorganiser mais au final, il réussit à se rappeler son arrestation. Comment les Trolls n'avait en fait été que 4: Line, Loutte, Mumbly et Ellana. Encore que les deux derniers aient été aussi utiles qu'une verrue sur le nez d'une vieille bique. Les traîtres... Ils paieraient, si il arrivait un jour à s'en sortir évidemment. Quoique il demanderait surement la permission à Hel de pouvoir hanter les nuits de ces quatre personnes si il finissait la corde au cou et les pieds dans le vide.

Bon dieu mais qu'allait il faire pour pouvoir occuper ses journées ? Aux fers, sa mobilité était plus que restreinte. Il allait quand même pas se mettre à dialoguer avec les rats... Un sourire mauvais éclaira sa face. Autant emmerder le planton qui devait se trouver en faction devant la porte. Aussi Robin se mit à faire la chose qu'il faisait le plus mal après la cuisine, (Tout le monde connaît les talents culinaires de nos amis nordiques...) chanter!


Et on lui pèleraaaaaaa le jonc

Comme au bailliiiii du Limousin

Qu'on a pendu un bon matin

Qu'on a penduuuuuuuuuuuuuuuuuuuu avec ses tripeeeeeeeeeeeees!


Première chanson achevée et pas de bruits à l'extérieur. Peut être que cette vieille rosse de Line avait assigné un sourd. Aussi entreprit il d'en chanter une autre. Y aurait bien quelqu'un dehors qui se radinerait pour mettre fin au carnage.

Mon cooeur était un gros ours

Il est dans les chaîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîînes

Et par le monde, j'irai chantant ma peiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiine.

Siiii j'finis pas pendu haut et couuuuuuuuuuuuuurt.

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Paysans01
paysans apret avoirs mi le robin dans la cellu le va cherge sous l'orde de line une palaisse et ses tout mais le paysans né qu'un soldat qui prent isinative il prent un coussin pour le danois et le donne au lieutant cella lui arrache des mient comme un vulguere mouchoirs pas prepre et remonte sous les orde du lieutant le lieutant va dans son baraquement ou son bureau sa regrade pas les soldat paysans fait sanblan daller fairs son tours de grade mais il va voirs le robin en fesans atention de pas se fair chopé par la lieutant line avec une belle aseitte de charcutris et les fruits qui avias cuelli au verge de tours et la charcuteris ses qui reste des banquer de la duchesse val de loirs pierre de val de loirs ne lui dira rien si pour le danois

lui donne la seitte
mange viite ci je fait chopé ses la corde qui matan bon ta fait quoi depuits mais 1458??
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Robin_de_locksley
[Dans la cage du rossignol danois]

Le 'chant du Robin' avait au moins eu le mérite d'attirer quelqu'un... Pas forcément la personne qu'il pensait voir débouler mais bon... Y aurait pu avoir pire que Paysan avec une assiette de pleine de choses à manger.

Bordel. qu'est ce que tu fiches ici ?
C'est Line qui t'envoie pour me faire parler hein ?
Elle fait la mauvaise lieutenante pour me pousser à me confier à toi, le gentil soldat qui me nourrit ?


Robin était furieux. Comment pouvaient ils penser qu'il tomberait dans un piège pareil. Le danois se débattit dans l'espoir d'atteindre Paysan. Sans succès.

Si j'étais pas attaché, je te referai le portrait.. Et comme il faut.

Maintenant tires toi et vas dire au lieutenant démoniaque qu'elle peut toujours se levé de bonne heure pour que j'parle.


La dessus, Robin ignora complètement Paysans.
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Linexiv
[Retour aux geôles]

Soleil provençal aux oubliettes, cachot sous le morne lever tourangeau. Haut-le-cœur en prime. L’alcool pour combattre la nausée n’ayant jamais été conseillé. Line se traina place d’armes, histoire de prendre l’air. Ressasser les vieux souvenirs n’avait fait qu’accentuer son malaise et même si elle avait tenté au mieux de le masquer, Loutte n’avait pas été dupe. Le pendre. Le pendre. Le pendre…. Line retint un frisson. La caserne s’éveillait. Bientôt, la rumeur grandirait, Robin était apprécié. Loin du soldat modèle, rarement impeccable, plus prompt à vider une choppe qu’à se mettre au garde à vous.
Incapable de reculer. Champ de bataille ou potence, même combat.

Il ne s’amenderait pas. Preuve en était les timbres discordants qui venaient ponctuellement mourir à ses oreilles au gré du vent. Il chantait aussi bien à jeune que bourré. Le vacarme s’estompa. Déjà vaincu ? Improbable.

Pestant contre elle-même, elle se dirigea à pas lents vers le cachot, de manière à ce que le prisonnier ne puisse se douter qu’elle s’inquiétait. Un grincement l’accueillit. Entrebâillée, la porte tressautait à chaque courant d’air. Line laissa échapper un soupir d’exaspération, attention dames et sieurs, aujourd’hui c’était journée portes-ouvertes. Elle entra, nausée balayée par la colère qui montait. Seul le capitaine, l’aide de camp et le lieutenant Jacq détenaient un double des clefs. Et tous terminaient leur service à cette heure-ci.

De l’identité du voleur, elle n’en avait cure mais il allait payer. Quelques marches plus loin, Line tomba sur ce qui ressemblait à un pique-nique improvisé. Et de la viande en plus, et des beaux morceaux ! On ne se refusait rien ! Que le danois soupçonne un plan machiavélique vu l’identité de son visiteur, cela ne vint même pas à l’esprit de Line, bien trop agacée.



Punaise ! Vous avez bien fait de prévoir du ravitaillement, soldat Paysan. Cela risque effectivement d’être long.


Et sans jeter un coup d’œil à Robin de peur de perdre sa détermination si elle venait à croiser son regard, elle ressortit, profitant du courant d’air pour refermer la lourde porte qui claqua violemment. Puis elle abaissa la barre afin d’être sûr que personne ne puisse sortir.
En avant pour la cohabitation.

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Paysans01
[avent la tervartion de line]

paysans nen crois pas les parole du robin il est devenus foux il l'acusse de derte avec line

quoi la tu m'acusse derte un espion envoillé par line ci je me fait chaupé je risque la péne capital la corde si tu préfere pour trahison a la touraine donc revise ton cod militaiirs mon petit avent de caussé

Si j'étais pas attaché, je te referai le portrait.. Et comme il faut.

Maintenant tires toi et vas dire au lieutenant démoniaque qu'elle peut toujours se levé de bonne heure pour que j'parle.


quoi tu va me refairs le potrai et bien dacors allonsi

prent une bar a mine et fait sauté la serure de la cage mais dans coup il arrete et entent des parole

Encore un coup monté ! il nous a bien eut la dernière fois avec ce combat de coq ! ils vont loin quand même, avec les geôles...

et défection et regrade robin entant je nai pas fini avec toi

monte et vois le soldat Johuv paysans sort son épées et menase le soladt devant lui tire toi et pas un mots qui que se soit aussinon sa va bardé pour toi

bon a nous 2 robin il casse les chaine avec son épées

alors tu veux me casse la figure alors tu commense quant et tu trompe je peux aussi devenirs méchant comme un fauve en manque de nouriture

[HRP] j'ai changé parque le soldat a pas fait le rp que j'ai faits[HRP]
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Paysans01
paysans avant pas vu la lietant arivé elle ferme la porte de cage en laissanse robin et le paysans complent foux dans méme cage


Citation:
Punaise ! Vous avez bien fait de prévoir du ravitaillement, soldat Paysan. Cela risque effectivement d’être long.


bien lieutant j'ai fauté donc moi auusi j'ai le droits a méme paine que robin!!!!

ses met fase a robin alors tu dit quelle chose tu vois j'ai méme sort que toi et tu prents enemis
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Donotach
Donotach faisait sa tournée, il passa devant les geôles et il vit que la lourde porte était ouverte, il s'approcha donc pour voir ce qu'il en retournait.

Malgré les senteurs du cachot il descendit voir pourquoi la porte était ouverte que qu'aucun garde la surveillait.

Il tomba nez à nez avec le soldat Johuv.Soldat que faite vous ici?

Celui-ci lui montra le spectacle.Soldat que faites vous ici

Ha! je crois que je ne suis pas tout seul....

Dono écouta à son tour.

Lieutenant, lieutenant Line, que faite vous ici c'est pas un endroit pour vous! Allez tout les deux on laisse le prisonnier à sa place et on sort vite faite de ce trou.
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