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[RP] Allégeances de la noblesse

Malkav
Malk était toujours autant épaté par le défilé de la noblesse Languedocienne. Il n'était pas encore habitué. Sa première cérémonie il l'avait faite en tant que coms. Là pour la deuxième il allait être anoblie. Le méritait-il? C'était encore la grande question. Mais prit dans le feu de l'action il pouvait à présent difficilement faire marche arrière. L'heure n'était plus au doute mais à l'action. Le grand jour était arrivé. D'autant plus lorsqu'il entendit la somptueuse comtesse prononcer son nom.

Alandrisse a écrit:
J'appelle Malkav de Vamperia, Coms sortant.


Malk s'avança tant bien que mal. Les regards étaient rivés sur lui et ce n'était pas ce qu'il préférait comme situation. Il eut beau se répéter que ce n'était pas le moment de se ridiculiser, sa maladresse légendaire repris le dessus. C'est en tentant d'accomplir une belle révérence qu'il s'emmêla les pieds et termina sur les deux genoux dans un grand "pouf". Au moins il était déjà en position, prêt à recevoir la couronne de Rochefort d'Oc et le fameux baiser de paix. Regardant Bbred bouillonner dans son coin, Malk était assez déçu qu'il n'y est pas plus de baisers que d'accolades.

Baissant la tête en signe de respect il dit à la régnante.


Vous ne me demandez pas votre Grandeur si je désire être tout à fait votre homme?

Nouveau regard en direction du comte de Pézénas. Il fallait dire que ce petit jeu l'amusait beaucoup. Autant faire durer le plaisir. Tous les moyens étaient bon pour taquiner son vieil ami.
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Alandrisse
Une liste dans sa caboche mélangeant son Anglois supra maitrisé. En usant du mot "check" à chaque allegeance faite. Maintenant c'était au tour de Malk, elle avait bien trouvé un cadeau, mais bon hum hum. D'ailleurs, l'Alouette observa son ami debarquer tout dans la delicatesse à ses pieds. Même son époux n'était jamais tombé ainsi devant sa personne. Retenir le rire qui lui chatouillait la gorge fut une épreuve des plus difficiles. C'est en croisant les mains devant elle, les torturant que la brunette reussit l'impossible.

Vous ne me demandez pas votre Grandeur si je désire être tout à fait votre homme?

Petite moue de la bouche, comme si elle allait crier à travers la pièce la fameuse question. Elle se rapprocha de Malk et lui murmura quelques mots.

A vrai dire je reflechis à la question si j'ai besoin d'un homme supplémentaire...

Petit sourire, avant de se rasseoir dans le fond de son siège.

Malkav de Vamperia, voules vous être tout à fait mon homme.....bis?
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Malkav
Bien évidemment la comtesse passa au rouge pour contenir son fou rire face à la maladresse de Malk. Une femme d'un tel rang et d'une telle éducation ne se serait jamais laisser aller à la moquerie. Toutefois, une chose était sure, Malk avait un précieux don. Même si sa maladresse le couvrait souvent de ridicule il avait l'avantage de faire rire les plus grandes dames du royaumes et même les autres d'ailleurs. Le futur vicomte tenta de se concentrer à nouveau. Mais les murmure de la belle ne l'aidèrent point.

Al a écrit:
A vrai dire je reflechis à la question si j'ai besoin d'un homme supplémentaire...


Avant qu'elle n'aille se réinstaller confortablement sur le trône comtal il lui murmura à son tour.

Il est vrai qu'il est difficile d'atteindre une complétude parfaite qu'avec un seul Bbred.

Malk n'osa pas imaginer ce qu'on son ami dirait s'il entendait de pareils choses. C'était d'ailleurs en cela que résidaient ces paroles.

D'un ton franc et assuré Malk répondit à la comtesse.

Assurément, oui je le veux.

Bbred n'avait toujours pas dégainé mais le baiser de paix arrivait au galop. Malk l'attendait avec impatience. Enfin il avait trouvé quelque chose pour taquiner comme il se devait celui contre qui il avait couru pendant des longues et interminables heures lorsqu'ils avaient travaillé ensemble.
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Morphee
Bon Sang! C'est qu'elle voulait en voir plus, notre petite demoiselle... Retenir sa respiration, rentrer le ventre... Pousser un mioche... Oui ce n'est pas gentil, mais ce n'était pas bien grave, paraît que le baptême efface les péchés, celui là sera vite oublié quand sa pastorale sera terminée.

Quelques rangs de gagnés, c'est déjà ça... Certes cela ne sentait pas la rose, mais on s'en contenterait! La petite nymphe voyait bien mieux les visages, les expressions... Et le précédent Coms se vautrer au pieds de la nouvelle Comtessa. Les grands n'étaient eux aussi que des humains, qui pouvaient être maladroits... La main sur la bouche pour ne pas pouffer de rire, Morphée retrouva bien vite son sérieux. Manquerait plus qu'elle se fasse remarquer...

Son regard se perdit dans la contemplation des riches tentures qui ornaient les ouvertures de la salle, ainsi que le tissage de l'oriflamme languedocien qui lui paraissait bien fin... Déformation professionnelle d'une tisserande à l'oeil aussi aiguisé qu'une quenouille. Tiens d'ailleurs, est-ce que tous ces nobles gens portaient sur leurs habits de la dentelle du Puy? Hum?

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Un peu d'elle, et des autres
Alandrisse
Assurément, oui je le veux.

Bon le moment amusant allait se dérouler, elle observa un instant son cher et tendre. Petit sourire en coin, avant de s'avancer vers Malkav... proche pas proche, accolade ou baiser de la paix, bière ou tisane. Que choisir que prendre, la brune plissa le front alors qu'elle imaginait tous les cas de figure.

Petit 1: Si elle embrassait un autre homme en tout bien tout honneur, deux choix possibles soit Bb la poursuit avec une hache pour lui trancher sa charmante tête. Fort heureusement, il y avait du militaire dans le coin. Il manquait la Garde d'argent, cela aurait été fort utile sur ce coup là, enfin bientôt bientôt. Soit simplement Bb sortait l'arquebuse pour supprimer Malk et ensuite il la poursuivait avec la hache.

Petit 2: l'Accolade vassalique si elle était très proche revoir le petit 1, si normal, Bb aura son sourire de vainqueur.

Alors forcement, la brune était du genre à faire râler. On l'avait élevé dans ce sens et surtout elle appréciait fortement. Un mari jaloux ça prouvait une chose, qu'il aimait encore sa chieuse d'épouse. La jeune femme s'approcha du futur Vicomte et l'embrassa en tout amitié à la commissure des lèvres. Note à elle-même le dire à Sam avant qu'elle l'apprenne.

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Malkav
Petit sourire en coin lorsque la belle s'approcha. Agréable surprise au goût sucré des lèvres de la comtesse. Petit teint rosit par cette surprise. Non? Il ne sentait pas encore de flèche lui traverser le postérieur, c'est que Bbred n'avait pas encore réagit. Malk retint un rire. Après tout, ce n'était qu'une cérémonie, autant la rendre la plus agréable possible. Sam lui manquait. Son retrait chez les nonnes pour se remettre de l'accouchement commençait à se faire sentir. Il fallait bien qu'il trouve une occupation, et faire enrager Bbred était l'une de ses favorites.

Avec tout cela il en oublia presque que dans quelques minutes il allait devenir vicomte et qu'il aurait ainsi de lourdes responsabilités. L'heure était au serment, il mit une main sur son coeur et dit.


Comtessà, sachez en ce jour que je resterai fidèle comme je l'ai toujours été. Nul ne pourra jamais ôter l'amour que je porte à ce comté. Mes méninges et mon corps sont à vous et c'est ainsi que je n'hésiterai pas à vous apporter en tant que représentante du Languedoc et comme je l'ai toujours fait aide et conseil. Puisse mes conseils être les plus justes possibles pour vous aider comme il se doit.

Et oui, même pour les serments, Malk ne savait pas faire court. C'était plus fort que lui, il fallait qu'il parle et parle encore.
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Alandrisse
Elle aimait bien les serments originaux, même si c'était plutôt difficile vu que le fond c'était bien souvent le même. Enfin après Vanye, voilà que Malk arrivait à le mettre à sa sauce. Petit sourire, les conseils il lui en avait dejà donné pas mal.

Nous, Alandrisse de Montbazon-Navailles de Lortz, Comtesse légitime du Languedoc de par les urnes et devant sa Majesté, vous promets Malkav de Vamperia, Vicomte de Rochefort d'Oc. Tant que vos paroles seront respectées, protection, justice et subsistance.

La brune se pencha.

Par contre, je me dois de refuser ton corps pour respect envers nos conjoints respectifs on va encore croire des choses.

Petite rire amusé, avant de se tourner vers son scribe qui était revenu. Il fallait bien récuperer le cadeau par Toutatix.

Afin de symboliser votre premier serment, Vicomte, voici une chope aux armes du Languedoc. Si nos sources sont exactes, il y a sur votre fief, un oratoire très ancien. Esperons que vous irez célebrer avec vos amis et vos gens votre titre dans ce lieu, il vous fallait le récipient adequat. Qu'il ne soit pas dit qu'au Languedoc on ne boit que de l'eau. Occitania Per Totjorn, levez vous Vicomte.

Un regard vers Cristol qui s'occupait déjà du contreseing. La jeune femme laissa Languedoc officier, avant que l'ours ne se pointe.
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Pénélope., incarné par Alandrisse
Citation:


Depuis qu'elle s'était débarassée de Mathilde pour la refiler au Vicomte de Savines, tout allait pour le mieux. Clothilde elle, était parfaite, discrète, pas fainéante pour deux sous, efficace et pas trop bête, mais surtout elle avait un don inégalable pour ne pas contrarier la Baronne ce qui rendrait la situation idéale fallait bien l'avouer.

Une fois enfermée dans un corset serré par sa camériste elle s'enroula dans ses tissus, rubans et autres jupons avant de s'emmitoufler sous sa cape


Par chance il n'était pas utile de chevaucher jusqu'à Montpellier, un coche l'attendait au pied du château. Béni soit l'inventeur de la voiture !


Avance ultra rapide


Pénélope avait montré patte blanche au Page qui plantait là.


Montbazon-Navailles ça devrait suffire pour que vous me laissiez entrer n'est-ce pas ?

Plissement de nez envers le Page toujours aussi stoïque avant de se faufiler dans la grande Salle discrètement.
Tout en gardant un oeil sur sa cousinette adorée à qui elle lança un clin d'oeil navaillesque, elle suivait les génuflexions de chacun, en écoutant d'une oreille les mêmes refrains et autres sempiternels auxilium; alors que, perdue dans des raisonnements abscons et des pensées lyriques. elle tentait de déployer des trésors de concentration pour rester immobile.


Adriendesage
Les montants de la porte d'entrée furent brutalement secoués, alors qu'il y avait un blanc au milieu de la cérémonie... De nombreuses têtes curieuses se tournèrent vers l'entrée de l'immense salle. Les gardes ouvrirent et dans le large corridor, l'on distingua une forme dégoulinante. Ceux qui eurent assez de curiosité pour se frotter les yeux, reconnurent un homme. C'était à mieux y regarder un homme solide, qui devait avoir les cheveux bouclés car ci-présent ils ondulaient seulement, mais ils étaient gorgés d'eau. Enfin, peut-être y en aurait-il quelques-uns pour reconnaître le visage du baron de Crussol, derrière la barbe de la semaine.
Il était trempé, crotté des semelles jusqu'en haut des bottes, ses gants étaient blanchis, ainsi que sa chemise qui devait être noire d'origine. Il portait sur l'avant-bras droit, une cape trempée, elle aussi, dont la capuche était à moitié déchirée. A son autre main, il tenait son épée, qui était dans son fourreau, qui lui même était noircit de la poite à la garde. Ceux qui étaient portés sur la chose militaire remarquèrent alors que ce n'était pas une épée de cérémonie.
A cet instant, on eu dît une apparition damnée, quelque envoyé du Sans-Nom, venu tenter la cour du Roy Arthur, celui des légendes celtes.
Mais à s'y approcher encore, on trouvait dans ce visage hirsute deux yeux d'azur, dont l'expression dominante était l'effarement.

Drôles de jours et de minutes que venait de vivre l'ancien général. Il y avait eu successivement le mariage de sa fille, puis l'escapade secrète au Tournel. Puis le baron était rentré en Vivarais. Il n'était pas monté jusqu'au rocher de Crussol cependant, et était resté dans la vallée du Rhône. Le chateau de Charmes avait eu besoin de sa présence. Un paysan avait été foudroyé un dimanche et le même soir, c'était un pin qui se renversait et qui culbutait la croix devant la petite chapelle du chateau. Adrien s'en fût à se demander si quelque malédiction n'avait pas frappé les églises de ses terres, qui en une semaine avaient perdu leurs cloches pour celle de Crussol et la croix pour celle de Charmes.
Le chateau de Charmes - du reste - était bien plus confortable que celui de Crussol et c'était ainsi de bon gré que le baron s'y rendait. Il mit rapidement de l'ordre dans toutes ces petites affaires: le paysan fût mis en terre et sa femme reçu une bourse de cinquante écus pour nourrir les deux fils laissés orphelins. Quand au pin il fût débité en bois de cheminée et la croix fût rapidement ressoudée à son socle. Comme tout ceci était passé et que les peurs étaient appaisées, Adrien fît tenir un banquet afin de dissiper toute germe de pessimisme. C'est durant ce même banquet que le sort décida malheureusement de s'acharner...
Un troubadour avait été convié. Il venait de Valence, en Dauphiné et il passait par Charmes car il descendait jusqu'à Privas et qu'il fallait bien passer le Rhône quelque part, et donc avait-il choisi de le passer à Charmes. Cela tombait bien car le banquet était donné le soir-même. Ce que ce bougre n'avait point conté, c'était qu'il avait larciné quelque chandellier en or à un groupe de voleurs, pour qui il avait chanté en chemin. Un troubadour chante et joue de la musique pour qui le paye, ou pour qui le menace...
Et voici donc que le lendemain de ce banquet, le village de Charmes se fait rapiner par une dizaine de bougres, qui pensaient là trouver celui qui les avait dérobé. Charmes n'était pas une place forte, mais Adrien Desage avait taillé sa réputation au fil de l'épée et il avait toujours avec lui quelques gens d'armes. Les brigands furent déboutés et renvoyés vers Valence pour les vivants, en fosse commune pour les trois qui y avaient laissé leur vie. Mais le troubadour s'était tiré en douce...
Fâché, Adrien s'était fait armé, et s'était mis en tête de retrouver ce coquin. Après tout, Privas, c'était le domaine de Zaknafien et Russocarine, des vieux amis. Il n'y aurait dû y avoir nul mal à s'y faire dénicher le voleur de chandelier. Le baron avait ainsi chevauché pendant une journée, et s'était arrêté à La Voulte, où il avait trouvé repos et logis chez sa fille et son gendre, qui lui apprirent que la date de la cérémonie d'allégeance était arrêtée et qu'elle aurait lieue dans quatre jours.


"Peste!" avait lancé l'Hibou, parmi quelques autres jurons qu'il convient de tenir en discrétion pour les jeunes lecteurs.

Le lendemain soir, Adrien était à Privas. La ville n'avait pas vu ses seigneurs depuis des lustres et personne n'avait entendu parler d'un troubadour. De plus en plus contrarié, le baron de Crussol poursuivit sans même prendre de gîte et passa la nuit dans un bois sur la route l'Alais. Comme c'était presque l'hiver, qu'il y avait de la neige, il se pela les miches comme rarement il se les était pelées auparavant. Adrien Desage, malgré ses trentes printemps, avait gardé quelques côtés insousciants...
Il erra ensuite durant deux jours, passa à Alais, où on lui parla de trois troubadours qui n'étaient pas celui qu'il recherchait, avant qu'enfin, à Nîmes, il retrouva la trace du bougre. C'est un cordonnier que le baron rencontra dans une taverne, qui lui fît une description correspondante. Le troubadour en question se nommait Silvère Doublecorde, car il possédait un luth à deux cordes, et était d'ordinaire un petit escroc. Ce joueur de luth était passé par Nîmes la veille. Il s'y était pinté la tronche à coup de brocs de bière, et avait ainsi clamé à la compagnie qu'il allait voir son cousin à Montpellier, et que ce cousin était boulanger...
C'est ainsi qu'Adrien Desage continua vers la capitale à bride abattue. Cela tombait à propos bien, puisque la cérémonie d'allégeance devait se tenir le lendemain.


Ce qu'il se passa dans cette boulangerie à Montpellier, fût assez violent pour que l'on puisse passer outre. Tout ce qui peut-être dévoilà à cette heure, c'est que depuis le matin, pendant qu'au chateau on préparait la salle du trône, sur le marché de Montpellier on racontait que trois hommes étaient tombés dans une cuve à pétrin, que l'un s'y était noyé et que les deux autres avaient trébuché dans un four et qu'un seul en était sorti avec le manteau en feu et qu'il s'était jeté dans un abreuvoir à moutons...

C'est ainsi qu'à cette heure, Adrien Desage était dans l'embrasure de la porte et murmurait avec une honte non dissimulée:


"Euh... Bonjorn..."
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Morphee
" Mordieu!! Par la barbe de Zeus! "

Elle se fige, retient son souffle... C'était un coup à se le tordre... le cou. Morphée tourna la tête si vivement, étonnée mais aussi apeurée par le grand capharnaüm qui avait lieu à quelques pieds de là qu'elle sentit une vive douleur au creux de la nuque.
Forcément elle ne voyait pas grand chose, sauf, peut-être un cavalier de la mort. Un envoyé de la Créature sans Nom pour nous damner tous? Manquerait plus qu'il ait une cohorte de lutins démoniaques qui leur boufferaient la cervelle.
D'un geste vif elle baissa la tête pour mirer ses bottes. Douleur...Par les Ouilles de Saint Barnabé! Satané cou!

Puis la relève en maugréant. Bon Sang! C'est qu'il portait l'épée bin haute! Y v'nait tous nous décapiter! Je le savais qu'il fallait pas que j'vienne, j'le savais!

Devant ses yeux se succédaient des images certes effrayantes, mais elle ne rendit vite compte que personne ne bougeait dans l'assemblée.

Étonnement? Charme magique pour les immobiliser? bien simplement qu'il sont trop couillons pour comprendre?

Déjà, elle pouvait bouger ses guibolles, donc c'était pas une affaire de sorcellerie. Encore qu'il y ait ptet bien un gars de l'inquisition dans l'coin pour vérifier... Deuxième proposition rejetée.
Pour la connerie, certes la piétaille n'était pas éduquée, mais ça voulait pas dire qu'elle était stupide... Troisième proposition rejetée.
Tout le monde était donc resté sans réaction, sans voix, devant l'apparition plus que tonitruante -oh bon dieu ça fait un bail que j'ai pas utilisé ce mot - de l'inconnu.


"Euh... Bonjorn..."

La chose parlait... Pi d'une voix normale en plus... C'était bien connu que les suppôts de la créature sans nom parlaient tous d'une grosse voix gutturale. Personne n'aurait jamais osé remettre ça en cause. Alors c'était un humain, à première vue. Mais dans un sacré état.
Gros soupir de soulagement... La mort, c'etait pas pour maintenant!

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Un peu d'elle, et des autres
Cristòl
Le Héraut alors s'avança et fit lecture des lettres élevant à la noblesse Malkav Vampéria.

Citation:
Nous, Thomas de Clérel, magnanime Duc de Dun-le-Roy, Roy d'Armes & Pair de France,

A toutes et tous que la présente liront ou entendront,

Par la présente, après consultation du collège héraldique, faisons acte de la demande de Messire Malkav Vampéria , quant à l'octroi d'un fief de retraite de qualité Vicomté pour lui-même comme les lois héraldiques l'y autorisent, sis au fief nommé Rochefort d'Oc en Languedoc.

Après recherches héraldiques dument entérinées, le Fief de Rochefort d'Oc est bien fief du Comte de Languedoc.

Après consultation d'armoriaux, l'écu se référant au dicte fief est de gueules à la cotice d'argent, accosté à senestre d'un rocher d'or issant de la pointe, surmonté d'un lion du même, et semé à dextre de croisettes alésées, vidées, cléchées et pommetées d'or , soit, après dessin :



Qu'afin que nul ne puisse contester la vigueur et l'autorité de la présente, apposons notre scel.

Faict le seizième jour du mois de décembre de l'An de Grasce Mil Quatre Cent Cinquante Huit.


-"Vicomte, je me tiens à votre disposition pour la réalisation de votre blason et pour toute autre question relative à la noblesse."

Et d'autres bricoles comme un certificat de mariage, un blason familial bien complexe, des recherches de seigneuries... Etre héraut, ce n'est pas de tout repos !
Le Héraut fit signe à la Comtesse qu'elle pouvait poursuivre.

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Alandrisse
Elle aurait agi comme dans le temps, la brunette aurait certainement dit en voyant le blason...

Nom de djiou il est cro beau son blason.

Et là les yeux brillants, ses doigts recroquevillés sous son menton, la jeune femme aurait presque versée une petite larme. La brune aimait les lions, le nombre d'heures que la Montbazon avait passé devant l'oriflamme de sa mère. Un lion de gueule, qui faisait rrrr, avec un fond d'argent c'était bien le plus beau blason que ses mirettes avaient vu. Celui là était beau, il rappellait le Languedoc et un peu celui de sa mère aussi... La jeune femme secoua sa tête, heureusement que Cristôl l'avait sorti de sa fixation. Un regard vers les gens qui soufflaient des "ohh" et des "ahh". Plissement des sourcils...étrange on aurait dit un baron qui s'était battu contre un sac de farine. Elle entendit son scribe l'à rappeller à l'ordre, la brune se remit en place.

J'appelle Guilhem de Tréviers, Comte de Castries, Baron de Tréviers et d'Auterive, Chevalier de la Licorne.
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Bbred
Bbred avait quitté le trône du Consort sous ordre de sa femme.
Il resta quelque temps dans la salle quand viens le Tour de Roquefort d'OC, heu Rochefort d'Oc

baiser de paix.

Longue respiration.
Petit plissement des yeux.
Petit grincement de dents.
Grand sourire jaune.

Écoutant le petit commentaire de Al'.

Allez rajoute en une couche chérie ... le Dauphin piscénois est moche peut être.

Reste humble, reste humble ... Pas de sam ici non plus.
Voilà Bb en position de faiblesse.

Il se retourne et sort de la salle. Juste devant en sortant il aperçoit Pénéloppe. Bousculant le page,


Tire toi de là c'est bon.

Adieussatz Pénélope.


petit révérence à la dauphinoise tout en continuant son chemin.
prendre l'air, vite, prendre l'air. A ce demandé si sa femme l'aimait encore un tout petit peu pour le torturait ainsi.
Contenir sa jalousie était difficile, mais Al n'avait jamais été vraiment expressive non plus sur ses sentiments. Pas facile de faire confiance à une femme qui ne dit jamais "je t'aime".
Il arriva plus loin dans la petite cour pour respirer un grand coup et s'éloigna dans le fraicheur hivernale.

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en construction
Guilhem
J'appelle Guilhem de Tréviers, Comte de Castries, Baron de Tréviers et d'Auterive, Chevalier de la Licorne.

A l'appel de son nom Guilhem approcha à son tour.

Arrivant devant le trône comtal, il dégaina son épée de cérémonie, la fit virevolter pour finalement la tenir des deux mains, lame verticale, pointée vers le bas.
Guilhem s'agenouilla, la lame se planta dans le sol puis il attendit la question rituelle dans cette position.

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Alandrisse
Forcement, la Montbazon n'avait pas loupé la sortie de son cher et tendre. Aucun sens de l'humour, elle était pas sadique à ce point la brunette...juste un peu faite. Mais au moins, elle avait le coeur net sur le fait que son époux l'aimait. Retour sur la cérémonie, un petit sourire en voyant arriver Guilhem. La fameuse question, tous les Coms avaient du y passer, d'ailleurs elle s'était encore tout frais. La jeune femme croisa les mains sur ses jambes et déclara sérieusement...

Coms, voulez-vous être tout à fait mon homme?
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