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[RP]Allégeances à la Comtesse Antonia

Attila_caligula
Cataclop paresseux des sabots ferrés sur le pavé de Limoges, la rosse avance d'un pas lourd vers le dais, portant plus de quartiers de noblesse qu'il n y a de saints à Rome. Le voluptueux corps de sa cousine plaqué contre son dos donne au cavalier un peu de courage pour une tâche qui ne l'enchante guère. Ysengrin ne ment point et les allégeances n'y font pas exceptions.
- La poésie? Est ce que j'ai la gueule d'un poète ma belle cousine? A coup de hallebarde mes phillipiques, et mes sonnets je les envoie par trébuchet. Quand ce n'est pas à la bombarde, puisqu'il faut bien être moderne!

Sur ces considérations davantage grognées qu'articulées, la cavale arrive au pied du trône et s'immobilise. Le vicomte serre la bride et se retourne vers le visage de la vicomtesse d'Excideuil.


- Etes vous prête à présenter votre serment? C'est que je dois rendre le cheval... avant que cette carne ne crève.
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Vicomte de St Pardoux, Baron de La Roche Canilhac
Antonia
Après la rouquine, la brune, le blond. C'était Gabin qui s'avançait désormais et comme les deux femmes qui l'avaient précédé, il s'avançait lentement et semblait chercher quelqu'un.

La blondinette l'écouta prononcer son serment et répondit:


Gabin de Rien, pour les terres qui vous sont octroyées aujourd'hui, nous, Antonia de Rocheclaire, vous accordons Protection, Justice et Subsistance.

Se leva une nouvelle fois de son trône et aperçut la brune de Rien. La Comtesse fut alors tenter d'opter pour le baiser vassalique juste pour la faire enrager mais préféra l'accolade. Et un murmure:

Tu t'en sors bien, je t'épargne la colère de ta sœur.
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Nebisa
L'échange de serments conclu, la Malemort s'avance et donne de la gorge pour faire lecture du contreseing héraldique qu'elle remet en suite au jeune seigneur.


Citation:
Nous, Thomas de Clérel, magnanime Duc de Dun-le-Roy, Roy d'Armes & Pair de France,

A toutes et tous que la présente liront ou entendront,

Par la présente, conformément aux directives de la Comtesse Antoinette, nous validons l'octroi de la seigneurie de Segonzac à Messire Gabin.

Après recherches héraldiques dument entérinées, le fief de Segonzac est bien Seigneurie du comté du Limousin et de la Marche.

Après consultation d'armoriaux, l'écu se référant à ladicte Seigneurie est: «parti d'or et de gueules à la vergette de sinople brochant sur la partition, au chef bastillé coupé de gueules et d'azur sur le tout » , soit, après dessin :




Qu'afin que nul ne puisse contester la vigueur et l'autorité de la présente, apposons notre scel.

Faict le vingt et unième jour du mois de janvier de l'An de Grasce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf.




Toutes mes félicitations, Seigneur Gabin de Ségonzac, ne cessez jamais de servir et de faire la fierté de ce Comté qui vous reçoit, ce jour, comme l'un de ses nobles et premiers serviteurs..


Ginger1 a écrit:


Par la grâce d'Aristote,
nous, Ginger 1, Seigneur de Lubersac
à vous, Antonia, Comtesse du Limousin et de la Marche,

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Antonia, Comtesse du Limousin et de la Marche par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un un conflit venait vous opposer vous, Antonia, Comtesse du Limousin et de la Marche, notre suzeraine, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous sauf si celui-ci vous oppose à notre bon Roy Levan III de Normandie au quel cas nous prendrions cause pour notre Roy.

Nous resterons fidèle au Comté du Limousin et de la Marche, et à Sa Majesté, Lévan, Roy de France, et à notre suzeraine.
Pour que l'autorité de notre serment obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer.

nous, Ginger 1, Seigneur de Lubersac
a écrit et ratifié,

En l'enceinte de Osma, Royaume de Castille et du Leon, le vingt- neuvième jour du mois de janvier de l’an 1459.

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.



Les anoblissements étant achevés... la Malemort se tourne vers la noblesse présente.


Nobles Dames, Preux Sires... Vous pouvez, à présent, vous avancer, l'un après l'autre, pour présenter votre allégeance à la Comtesse.
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Zeinar
En retrait, debout, bras croisés, le brun suivait le déroulement de la cérémonie d'un œil circonspect.

Combien de lopins de terre et de noms à rallonge accordés à des cossards, galapiats, imposteurs? Bien assez pour ternir l'image de l'annoblissement que se faisait le juge resté longtemps naïf. Jusqu'à ce qu'il s'éveille un beau matin pour constater, ahuri, qu'on pouvait anoblir l'incompétence et la fainéantise. Il suffisait pour cela qu'elle présente un joli sourire, des yeux de biche et des formes galbées à souhait.

L'expérience de ce genre de spectacles l'avait amené à déconsidérer progressivement la chose. L'anoblissement se déclinait de plus en plus souvent comme une vaste fumisterie bien camouflée par un protocole aux annonces grandiloquentes lui donnant un contour incontestablement sérieux et solennel.

Ce fut donc d'un rire franc qu'il avait accueilli quelques semaines plus tôt la nouvelle concernant l'anoblissement de Seleina. Et pourtant c'était encore pour elle qu'il était là. Travaillant quotidiennement à ses côtés, ou plus surement la regardant s'échiner à la tâche car elle abattait dix fois plus de travail que lui il fallait le reconnaitre, il trouvait logique qu'elle soit enfin récompensée. Puisqu'il fallait percevoir cette cérémonie ainsi.

Malgré les réticences de l'humble brune à accepter la reconnaissance qu'elle méritait, il était heureux de la voir ici. Discrète elle n'avait évoqué que furtivement la célébration, laissant sous silence la date à laquelle elle aurait lieu.

Se faufilant entre les invités il contournant la proc' à la robe blanche, seule survivante de la fonte des neiges. Un franc sourire aux lèvres, l'accosta:

Sincères félicitations Seleina de Neuville. C'est mérité.

Alors qu'il plongeait une main dans sa poche, refermant les doigts autour de son maillet de bois dur, ajouta:

Tu vas pouvoir agrandir l'élevage de cochons avec ton nouveau morceau de terre. A moins que tu optes pour les escargots.


Vif, Zeinar sortit son instrument de torture pour lui assener un léger coup sur la tête, puis le replaça à l'abri des regards, concluant, l'air faussement grave.

Coutume respectée. Tu es sauvée. Ne me remercie pas, elle subsistera, de Neuville ou non..
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Gabin
Une accolade sans sourire extérieur, sa lèvre lui faisait trop mal, ou plutôt sa soeur au coeur.
A reculons il hocha la tête après les promesses de la Comtesse envers ses terres toutes fraîches.


- J'en ferais tout mon possible Marquise.

La tête basse, le regard vers le sol, il rentre dans la foule
Il a accepté,
Seul elle l'a laissé,
Au moins elles sont là.
Rien. Las...

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Aldaaregonde
Elle n'entend pas perdue dans la contemplation de Rien, son coeur manquant de se déchirer, le regard jaune foudroyant la scène la Comtesse va-t-elle oser ? Le regard ne se fait pas plus doux, même si seule une accolade est donnée, elle se laisse glisser à terre, lance un regard à Attila en lui demandant de patienter un instant puis se dirige vers son frère pour aller le féliciter.
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Sindanarie
Acquiesçant légèrement aux propos de Neti, Sindanarie comprenait de mieux en mieux sa réaction. Présenté comme ça, oui, on avait peu de chances de deviner que le blond de Rien allait y passer à son tour... Arthaud reçut son fief. Sourire sur les traits de la brune. Il était temps... Depuis des années qu'elle s'activait, dans l'ombre surtout, il était grand temps qu'elle reçoive la récompense qu'elle méritait. A la lecture de la patente, cependant, la jeune femme tiqua. Refus d'une baronnie... Pourtant, à ses yeux, son amie ne méritait pas moins. De loin pas. Ah, curieux aléas de l'Hérauderie. Elle n'y comprenait pas grand chose, après tout. Et peut-être était-elle trop subjective. Une phrase de la rousse la fit sortir de ses pensées, et la Carsenac murmura dans un sourire :

Il me faudrait trois corps pour être dans mon domaine, ici... Un pour la bâtarde qui n'aurait jamais dû sortir de la foule, un pour la gardienne en défense, un pour la noble.

Les anoblissements se poursuivaient. Du coin de l'oeil, Sindanarie surveillait les agissements d'Elric, quand elle parvenait à l'apercevoir. Il avait l'air de s'en sortir avec les musiciens*... Au tour de Seleina. Et en entendant quel fief serait attribué à la Proc', son coeur se serra. Ainsi, la rumeur disait vrai, il était bel et bien mort... Celui qui avait été un Procureur hors pair, un juriste méticuleux, qui avait aidé à refondre le Coutumier, l'ancien Capitaine aussi, l'Ecuyer de la Licorne, le fiancé de Valériane. Lui aussi avait passé. Un souffle franchit les lèvres de Sindanarie, probablement guère audible dans les bruissements de la foule.

Paix à ton âme, Baron. Elle prendra soin de tes terres...

Un de plus ou, plus exactement, un de moins... Les anciens temps s'éloignaient de plus en plus. Bientôt son projet deviendrait empêché si pareilles mémoires devaient encore s'éteindre. Mais le coup de grâce venait... Elle ne trouvait plus de bonne raison de ne pas regarder ce qui se passait du côté du trône. Elle savait aussi que, quelque part dans le fourmillement des nobles et des curieux, une soeur de Rien devait bouillir. Furieusement. Peut-être même plus que la veille au soir. L'air le plus neutre possible, la jeune femme croisa les bras, assistant avec autant de calme que possible à la scène qui se jouait devant eux. Puis, quand ce fut achevé et quand la Marquise appela les nobles à présenter leur allégeance à Antonia, elle se détendit légèrement et souffla à Neti :

Je reviens...

Et la Carsenac s'avança, saluant au passage Plum d'un sourire, Arestel d'un signe de la main, Arthaud d'un clin d'oeil, Seleina d'un signe de tête, d'autres encore peut-être. Et sur une révérence (deux en une journée, elle devait être malade ou couver quelque chose), elle se présenta devant le Héraut et la Comtesse et souffla à l'attention de cette dernière :

Vous savez qui je suis, même si je n'ai pas jugé utile que mon épée vienne le rappeler jusqu'ici... Pardonnez cette entorse au protocole que vous m'avez pourtant si bien rappelé hier.

Et, sans autre forme de cérémonie, elle mit un genou à terre pour prêter, une nouvelle fois, le serment qui la liait à son Comté :

Moi, Sindanarie Carsenac, humble Dame de Viam, je vous reconnais vous, Antonia de Rocheclaire, Comtesse régnante du Limousin et de la Marche, comme ma suzeraine légitime. A ce titre, je vous promets aide, conseil, fidélité et respect. Si un conflit venait vous opposer vous, Antonia de Rocheclaire, Comtesse du Limousin et de la Marche, ma suzeraine, à un tiers, je jure que je prendrais parti pour vous. Mais si un conflit venait à vous opposer vous, Antonia de Rocheclaire, Comtesse du Limousin et de la Marche, ma suzeraine, à Sa Majesté Béatrice de Castelmaure, notre Souveraine, je jure que je prendrais parti pour elle.

Au moins cela n'allait pas contre son autre serment, celui qu'elle avait prononcé en toute connaissance de cause, pas comme lorsqu'elle avait reçu et accepté Viam. Défendre la Reyne et défendre son peuple allait exactement dans le sens à la fois du serment d'allégeance et du serment de Cavalier, prêté à peine un mois et demi plus tôt. Prunelles émeraude relevées vers la Comtesse, la jeune femme esquissa un léger sourire alors qu'une réflexion incongrue lui venait à l'esprit. Bon sang, ce que ce pavé était froid !

* Sujet "Bal post-allégeances - Que la fête commence !" ouvert à tous.

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Nebisa
Juliette a écrit:
Citation:
A la Comtesse du Limousin et de la Marche,

Pour notre fille Aliénor de Lasteyrie, digne héritière de feu Milamber de Lasteyrie, Damoiselle de Meyssac qui n'est pas encore en âge de prêter allégeance devant vous,

Nous, Juliette Morkar, Duchesse d'Evreux, Baronne de Mervans, Dame d'Etroyes et Douairière de Meyssac, vous saluons.

Nous vous reconnaissons, vous Antonia, comme Comtesse du Limousin et de la Marche devant qui nous prêtons allégeances au comté du Limousin et de la Marche. Nous lui jurons fidélité, de lui apporter aide militaire et conseil si le besoin s'en faisait ressentir.

Nous vous prions de biens vouloir nous excuser pour notre absence à la cérémonie, ayant été mobilisée en Bourgogne pour défendre la capitale.

Fait à Dijon,

Juliette Morkar
Duchesse d'Evreux, Baronne de Mervans, Dame d'Etroyes, Douairière de Meyssac.










Nebisa a écrit:


Citation:
Les nobles doivent l'allégeance à la province en laquelle tiennent
leur fief. Adoncques ils vont par-devant le comte ou le duc régnant en ladicte terre, lequel, ayant été élu et ayant recognu le Roy nostre seigneur comme son suzerain légitime, les accueille et reçoit leur hommage.

L'allégeance sera prestée à la province par un hommage au comte ou au duc régnant ès dictes terres. L'allégeance à la province sera renouvelée tous les deux mois, à l'accession au trône comtal ou ducal d'un nouveau comte ou duc élu et ayant recognu le Roy nostre seigneur.

Les barons et vicomtes jurent à la province, en la personne du comte ou du duc, fidélité (obsequium), aide et service armé (auxilium) et conseil (consilium).

Le comte ou le duc leur accorde, pour la durée de son règne, protection, justice et subsistance. Il leur accorde subsistance en leur accordant fief, à eux et à leur descendance, ou en ne leur retirant pas fief déjà accordé. Icelui fief est représenté par un gant, un anneau, un fétu, une poignée de terre, ou tout austre objet propre au fief, que le comte ou le duc offre à son vassal.

Semblable cérémonie se tiendra entre le Roy et ses comtes et ducs.

L'allégeance est cérémonie publique et obligatoire pour tout vassal possédant fief. Elle est scellée par le baiser de paix, et vaut contract. Elle doit estre prestée sous un mois après l'avènement du nouveau seigneur, qu'il soit comte, duc ou roy.

Faict le treizième de mars de l'an de Pasques mil quatre cent cinquante trois, par Jehan de Malpertuis, maréchal d'armes de France.


LLyr di Maggio a écrit:
Exemple de missive si empechement
Par la grâce d'Aristote,
nous, [NOM du NOBLE], humble[RANG] de [FIEF] en Limousin-Marche,

à vous, [NOM du COMTE], Comte du Limousin et de la Marche par la grâce des urnes,

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, [NOM du COMTE], Comte du Limousin et de la Marche par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, [NOM du COMTE], Comte du Limousin et de la Marche, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

nous [NOM du NOBLE], humble seigneur de [RANG] de [FIEF] en le Comté du Limousin et de la Marche, a écrit et ratifié,

Date en l'enceinte de [LIEUX], le [DATE].

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.
Citation:













LLyr di Maggio a écrit:


































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Attila_caligula
La Vicomtesse d'Excideuil avait gracieusement posé peton à terre, couvant d'un oeil de louve son frère aux prise avec sa naissance en tant que noble. Le vicomte n'y pigeait goutte mais qu'importe. Il y avait une tension comme par soir de grand orage et cette atmosphère gonflait le poil du Leu. Et la poitrine d'Excideuil.

Tout bien considéré, mis à part cette poitrine digne des statues antiques, rien ne bouge pendant quelques respirations houleuses. Le temps suspend son vol et le badaud pend de la lippe.

Moment idéal donc. Dressé sur sa monture, dominant la foule et fixant le trône sans avoir a lever la tête, le vicomte de St Pardoux prête serment.


- Votre Grandeur, pour nos terres de St Pardoux et de la Roche Canilhac, nous Attila Caligula d'Ysengrin, Vicomte et baron, nous vous reconnaissons comme notre suzeraine. Notre épée est vôtre, en ce moment à Gueret pour la paix des sujets.
Si un conflit devait vous opposer à un tiers, malheur à lui car nous serions contre lui.
Pour clore notre serment et remplir nos devoirs pleinement, nous vous conseillons de profiter avec bonheur de vos terres à l'issue de ce mandat.


Le baiser vassalique rendu malaisé par la situation, le leu ne se résolvant pas à descendre de monture, il contraint cette dernière, brutalement, bien dans sa manière, à lever le sabot en baissant le chef, en un salut cavalier à plus d'un titre.
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Vicomte de St Pardoux, Baron de La Roche Canilhac
Dhea

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Après la Relique, fiancée au Vieux
Ursin
Le vieux comte s'avança à son tour, pour présenter ses devoir à la comtesse

Nous Ursin de LAsteyrie comte de Comborn, baron de Saint Léonard de Noblat et D'aubazines, nous vous reconnaissons vous Antonia comme notre suzeraine et jurons
fidélité (obsequium), aide et service armé (auxilium) et conseil (consilium).
Que si un conflit venait vous opposer vous, Antonia, Comtesse du Limousin et de la Marche, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.




Puis il se retira devant le fauteuil qui lui avait été apprêté
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Aldaaregonde
Il continue d'avancer ne réalisant pas qu'elle est là. De son côté elle tourne la tête pour voir ce que manigance Attila, quand elle s'aperçoit qu'il s'approche de la Comtesse elle fait demi-tour à regret mais préférant être là si jamais l'envie prenait soudain à son Leu de tâter la fesse d'Antonia. Mais non il se tient... sur sa monture certes mais au moins loin du fessier comtal ce qui reste rassurant. Un sourire aux lèvres elle l'écoute prononcer son serment, tourne la tête cherchant une nouvelle fois son frère du regard, reporte son attention sur Attila, puis tente une nouvelle fois de localiser Gabin. Soupire il va falloir choisir lui intime son esprit, le coeur cherche une nouvelle fois en vain même pas un Rien, la raison lui fait surveiller Attila. Décision est prise. Pourvu qu'il soit passé voir le médicastre. Maintenant il ne reste qu'à attendre son tour, tout comme pour les allégeances.
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Ratou42
Ratou42 était toute émue, le coeur en émoi. Elle était si heureuse pour Dame Arthaud, Dame Seleina et Messire Gabin. Elle savait le bien qu'ils avaient fait et qu'ils faisaient encore pour le Comté et estimait que leur octroi de terres était vraiment bien fondé. Cela aurait même dû être fait depuis longtemps.

Elle resta songeuse, repensant à son propre annoblissement et à la joie et la fierté que l'on peut ressentir à ce moment-là. Elle se fraya un chemin parmi la foule et s'approcha des nouveaux annoblis.


Dames Arthaud et Seleina, Messire Gabin, je tenais à vous féliciter. Mes mots sont sincères. Je sais tout ce que vous faîtes de bon pour le Limousin et c'est une grande joie d'assister ce jour en votre annoblissement. Mes féliciations à vous trois.
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Gabin
La tarte! Alors qui allait commencer à pleurnicher en regardant ses nouvelles couleurs, il ne vit pas accourir sa soeur mais leva la tête a temps pour l'a voir faire demi-tour.

- Dada?

La perdait il? Il ne pouvait s'y résigner. Son regard est apeuré, la voir partir encore une fois le lance une vague de frissons hérissant ainsi le peu de poils qu'il a comparé à son concurrent, néanmoins son Cousin.
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Arutha_gisors
[HRP : C'est pas très cohérent, et je m'en excuse... Mais pas pu m'empêcher de faire intervenir mon gamin ! ]

Limousin. Enfin, il était arrivé. Après mille et unes péripéties, il était sur les terres de la Marche.
Il pourrait ainsi participer à la défense du Comté, s'amuser, et, peut-être, se découvrir une vocation pour l'armée. Après tout, il était le fils de son père, ancien Connétable de France.

Il avait pris la direction du château de Limoges, afin d'y retrouver, peut-être, Marie Alice. Ou pas. Auquel cas, ce serait sans doute une possibilité pour s'amuser, faire des bêtises. Ou être totalement sage.

Limoges. Une ville bien différente de Rouen, bien différente des villes normandes, villes qu'il avait toujours eu plaisir à arpenter. Et pourtant, cette ville avait malgré tout un certain charme. Elle était de ces villes où on peut faire... des tas de bêtises.

Le château de Limoges se dressait non loin de là, et, inconsciemment, ou presque, les petites jambes du normand blond l'y conduisirent. Il passa le poste de garde, tout sourire aux gardes.
Salut les gars ! Et il poursuivit sa route.

A quelques mètres, il semblait y avoir une fête, dans la cour du Castel. De riches personnes rassemblées, des nobles, sans nul doute.
Boujou ! C'est ici le goûter ? Oh, un goûter !
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