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[RP] « Les Mures… »

Enoralie
[ Encore quelques heures plus tard ... ]

Ninou s'était réveillée - comment ça enfin ? nan mais oh - a cause des pleurs de Wendy ... La consolant, elle tendit l'oreille et n'entendit pas grand chose ... Etrange pour une maison pleine à craquer, quand même !
Sa fille dans les bras, elle descendit les escaliers.


Patty .... ? Mari ...? Mélie ... ? Ya quelqu'un ?

Soudain Patty fit son apparition.

Bin alors ! Où sont tout le monde ? C'est bizarre j'entendrai une mouche voler là ! Me dis pas que j'ai dormi pendant des jours et que tout le monde s'est enfui ...?
dit elle en grimaçant.
Pattricia
Heuuu... Ben... Maintenant !

Après le départ de Mari, les enfants se réveillèrent et il était temps de s'en occuper, seul le petit ange de Ninou continuait à dormir à point fermé. Nous dépêchant de prendre les paniers, Mélie et moi avions monté les marches à toute vitesse pour récupérer mes braillards et les descendre à la cuisine.

C'était l'heure de la tétée et pas question de les faire attendre... Pour une fois, c'est Lucie qui donnait le plus de la voix et je la fis donc passer en premier, craignant une colère de Cantor qui ne vint pas.
Surprise, je me penche sur le panier et pose ma main sur son front...
Mélie, j'ai l'impression de Cantor a un peu de fièvre, qu'en penses-tu ? Elle s'approche de mon fils, le prend dans ses bras et le démaillote, hmm il a les fesses bien rouges, je pense qu'il est en train de nous faire sa première dent. Il est en avance tout de même ! On va surveiller ça, mais tu ferais mieux de le prendre dans ta chambre, car si c'est le cas, il risque de beaucoup pleurer et d'avoir besoin de ton contact plus que de coutume.

Je regarde Mélie sans comprendre, mon fils ferait sa première dent ? Mais c'est beaucoup trop tôt ! Que peut-on lui donner ? Des clous de girofle ? J'irai voir Bryn demain pour lui demander ce qu’elle en pense. Non pas que je n'ai pas confiance en toi, mais c'est si incroyable que je préfère avoir un deuxième avis. Mélie me sourit, ne t'inquiète pas, j'avais pensé faire la même chose. Tu n'auras qu'à y aller et je garderai Lucie et Floris pendant ce temps.
Préoccupée, j'écarte Lucie de mon sein sans m'en rendre compte, mal m'en a prit, elle se remet à hurler de nouveau. hooooo, mais tu as mangé du lion toi aujourd'hui ! Je la replace tendrement et la regarde téter goulument.

Une fois Cantor, Floris et Lucie rassasiés et changés, je joue avec eux le temps qu'ils recommencent à dodeliner de la tête. Nous montons les coucher et redescendons. Je vais aller lire au salon Mélie, toutes ces émotions m'ont épuisée et je dois réfléchir à la réorganisation de la maison maintenant que nous ne sommes plus que trois... Joignant le geste à la parole, je laisse Mélie vaquer et m'installe dans mon fauteuil préféré, près de la fenêtre en cette belle saison, il serait bien temps de le remettre près de la cheminée l'hiver venu...

Mais il n'est pas dit que même à trois le calme soit revenu. J'entends pleurer à l'étage, la petite de Ninou sans doute et je vois cette dernière sortir de ma chambre, passer devant moi sans me voir et monter à l'étage, sûrement pour s'occuper de sa fille...
Nouvelle réapparition avec la petite dans les bras... Patty .... ? Mari ...? Mélie ... ? Ya quelqu'un ?
Je souris me disant qu'elle ne devait pas être encore très réveillée je suis devant toi dans le fauteuil près de la porte-fenêtre, viens t'assoir en face de moi. Les yeux encore boursouflés de sommeil, elle s'avance vers moi Bin alors ! Où sont tout le monde ? C'est bizarre j'entendrai une mouche voler là ! Me dis pas que j'ai dormi pendant des jours et que tout le monde s'est enfui ...?

J'éclate de rire. Mais non voyons ! Mais les évènements se sont précipités pendant ta sieste, Mari a fait ses bagages et est partie se réinstaller dans la maison qu'elle partageait avant avec Lec, mon frère Al est de retour d'Italie et est venue récupérer Survi et les petits pour s'installer chez eux et Wolfie est repartie sur Cahors, c'était prévu de toute façon. Mais j'espère la revoir d'ici une semaine ou deux, elle doit récupérer un des chatons qui est pour elle.
Du coup, comme tu as dû le constater, ta fille bénéficie du berceau prêté par Vinou. Je voulais te proposer de reprendre la chambre de Mari, la porte est juste là, à côté de la mienne, chacune d'un côté de la cheminée. La chambre où dormait Survi à l'étage est celle de ma filleule Lilou qui fait retraite chez les nonnes en ce moment et l'autre celle de Mélie évidemment, pas question de laisser les enfants sans surveillance. Voilà, tu es parée pour pouvoir t'installer confortablement, mais si tu préfère que ta fille dorme dans ta chambre, on descendra le berceau, ça n'est pas un problème...


Je la regarde, rencontre son regard légèrement hagard et éclate de rire. Bon d'accord, j'arrête de parler tout le temps, allez maintenant que nous sommes là tranquille toutes les deux, raconte moi comment cela se passe pour toi...

Je me lève et mets sur le plateau du guéridon une bonne bouteille de mirabelle de Bergerac et deux verres. Après m'être installée de nouveau en face d'elle, je pose le plateau au sol et nous remplis deux verres. Voilà, je suis prête pour t'écouter pendant des heures ! Je lui tends un verre et me blottie en travers au fond de mon fauteuil, les genoux remontés, humant la mirabelle avec délectation...

_________________
--Melie


Mélie était allée plusieurs fois dans la chambre de Pat, un peu inquiète de la fièvre de Cantor. Lors de sa dernière visite elle croise en sortant le regarde exaspéré de Pat. Mélie, cesse de t'inquiéter, je suis juste à côté et je le surveille... Va donc te reposer un peu, la journée a été longue...

Rougissant de honte, Mélie lui fait un petit sourire contraint Excuse-moi, je sais que tu le surveille de près, c'est juste que je me suis tellement attachée à eux et depuis ce qui est arrivé chez mon ancienne patronne, j'ai tellement peur. Pat se lève et vient lui prendre les mains, je suis désolée, j'aurais dû penser que ce qui est arrivé avec l'enfant dont tu t'occupais t'avait traumatisée. Je suis une idiote, et je crois que moi aussi j'aurais besoin de me reposer...

Mélie a un petit sourire triste, elle sait que Pat ne pensait pas à mal, ce côté impulsif fait partie de son caractère. Après avoir regardé au fond près de la porte-fenêtre, le regard de la jeune nounou s'attendrit... Ninou, à force de bercer son petit ange, c'était de nouveau endormie. Regarde comme elles sont mignonnes toutes les deux ! Je ne savais pas que ton amie était une si grande dormeuse...

Pat souris, et bien disons que parfois il vaut mieux qu'elle dorme, car vois-tu elle a une tendance très prononcée pour inventer au moins une bêtise par jour... et de préférence du côté du lac. Mélie amusée s'étonne à la regarder comme ça on dirait pas... Je crois que je vais la surveiller de près, et surtout la quantité de pots de confiote, est-elle gourmande ?

Ninou ? Gourmande ? Mais c'est une gourmande de la vie !

Elles étaient parties toutes les deux se reposer dans leurs chambres respectives. Mélie avait jeter un dernier coup d'œil à Floris et Lucie, afin d'être sûre que tout allait bien et s'était enfin décidée à s'allonger un peu, après une journée plutôt riche en émotions...
Pattricia
Dix jours passèrent...

Les journées harassantes à essayer de soigner les nouveaux nés, tous si malades... et mourants, les nuits à essayer de soulager Floris qui faisait ses premières dents, le voyage imprévu et urgent à plusieurs jours de là, les mauvaises rencontres, les amis retrouvés et enfin le retour à la maison, trop d'évènements, les uns enchevêtrés dans les autres, trop de bouleversements, de pleures, des joies... Tout cela avait enfin repris sa place, les nouveaux nés étaient toujours bien malades et mourants et je ne savais plus quoi faire...

Mes collègues m'avaient expliqué que cette saison était propice à ce genre d'épidémie et qu'il fallait faire contre mauvaise fortune, bon cœur... Je ne pouvais m'y résoudre, j'avais écris aux quatre coins du royaume pour connaître tous les remèdes possibles, mais rien ne marchait... Sarlat devait traverser courageusement cette nouvelle épreuve et profiter malgré tout des merveilleuses animations proposées par le conseil...

De notre voyage, une nouvelle amie est venue dans nos bagages, elle restera quelques jours. Kyly, puisque tel est son nom, est assez sauvage et ne se lie pas facilement, mais nous avons eu le coup de foudre l'une pour l'autre. Elle dort désormais dans la chambre du bas, près de la mienne, celle qui donne sur la rue. Je sais qu'elle ne restera pas longtemps, elle n'est pas du genre à rester en place et j'espère profiter de sa présence le plus possible...

Cette maison est la maison des courants d'airs, Ninou a filé pendant notre voyage, mais la connaissant elle réapparaîtra d'un coup, je ne suis pas inquiète... Lilou, elle, est toujours chez les nonnes et semble avoir trouvé sa vocation dans la dévotion. Elle me manque tellement...

Après avoir remis un peu d'ordre avec Mélie, nous faisons le point des provisions, des récoltes et surtout je relance la forge, le marché manquant de quelques articles, pas question de laisser les villageois dans le besoin.
Mélie, demain je pourrai aller au marché pour vendre nos maïs et des seaux, le marché n'est pas en très bon état... Je verrai ensuite ce que je peux faire, mais là j'ai des amis à voir. Floris va mieux, je l'ai couché avec son frère et sa sœur, ils grandissent si vite !
Nous avons des confiotes à faire et des compotes également, je crois qu'il ne faudra pas dépasser deux jours, sinon les fruits vont s'abimer. On en reparle demain et toi repose toi, je crois que cela suffira pour aujourd'hui !


La bisouillant, je file dans le vestibule, récupère ma besace et disparaît en direction des tavernes...

_________________
Mariceleste
Mari qui venait de quitter Jyjy au lavoir arriva devant chez Pat, elle frappa a la porte de la cuisine et sans attendre qu'on vienne l'ouvrir elle entra. Il y avait une bonne odeur de confiture qui embaumait la pièce, Mari sourit.

- Méliiiiiiiiiieee, Méliiiiiiiiiiieee, tu es lààààààà !! Ouh ouh, c'est moi Mariiiiiiiiiii !! Bon ben pas de réponse je vais attendre quel revienne alors.

Mari s'assied et attendit que Mélie revienne.
--Melie


Après le départ de Pat vers les tavernes, Mélie était monté vérifier que tout allait bien pour les enfants et en avait profité pour refermer les fenêtres de toutes le pièces de la maison Brrrr avec sa manie de tout aérer en grand jusque tard le soir, Pat finira par nous faire attraper la mort !

Soudain Méliiiiiiiiiieee, Méliiiiiiiiiiieee, tu es lààààààà !! Ouh ouh, c'est moi Mariiiiiiiiiii !!

Souriant en entendant Mari l'appeler d'en bas, la jeune femme redescend les marches à toute vitesse pour retrouver son amie... J'arrive Mari, j'arrive ! Se prenant les pieds dans sa jupe, la voilà qui s'écroule en bas des escaliers... Aiiiiiieeee ! Arf décidément ce que je peux être maladroite !

Mari se précipite pour l'aider à se relever et la regarde inquiète... Tu es sûre que ça va ? Tu ne t'es pas fait trop de mal ? J'ai une excellent crème à la maison si tu veux, je peux aller la chercher !
Après s'être relevée, Mélie lui sourit ben je suis bonne pour quelques bleus tu sais, mais ça devrait aller... Allons dans la cuisine, je vais faire un peu de tisane et on l'améliorera à notre façon... Lui faisant un clin d'œil, Mélie entraine Mari dans la cuisine en boitillant un peu...
Alors c'est drôlement gentil de me rendre visite, qu'est-ce qui t'amène ? Je te manquais à ce point ?

Souriant de toutes ses dents, un peu soupçonneuse, la jeune femme regarde Mari un petit sourire en coin...
Mariceleste
Mari vit arriver Mélie a toute jambes et s'écraser par terre au pied de l'escalier, elle se précipita pour l'aider a se relever.

- Tu es sûre que ça va ? Tu ne t'es pas fait trop de mal ? J'ai une excellent crème à la maison si tu veux, je peux aller la chercher !
- Ben je suis bonne pour quelques bleus tu sais, mais ça devrait aller... Allons dans la cuisine, je vais faire un peu de tisane et on l'améliorera à notre façon..

Mari lui sourit et la suit dans la cuisine ! Alors c'est drôlement gentil de me rendre visite, qu'est-ce qui t'amène ? Je te manquais à ce point ?

- Oui c'est vrais que vous me manquiez tous, mais je suis heureuse d'être revenue chez moi, j'ai fais la bon choix. Dit moi comment vas tu ? Les enfants te fatigue pas trop ? Ils ont duent changer depuis que je suis partit ? A tu refait des confitures ? Rhoo désolée je t'assaillis de question et tu n'a même pas le temps de répondre.

Mari éclatât de rire en voyant Mélie qui la regardait avec de grands yeux et se mit a rire elle aussi.

- Voilà je voulais te demander aussi... peut tu m'apporter des confiture a la maison, se sera une occasion pour boire le thé ensemble, viens avec Pat et les enfants, il y a longtemps que je ne les ais vue.

Mari et Mélie restèrent là, a discuter un grand moment devant une tasse de thé améliorée a leur façon :wink: Les heures tournaient et le soleil commençait a ce coucher il était temps pour Mari de rentrer chez elle.
Elle bisouilla Mélie et reprit le chemin de ça demeure.
Kyly
Kyly après avoir voyagé avec ses compagnes Mari et Pat, avait été invitée à passer son séjour sarladais en la demeure de cette dernière .. et, c'est sans honte qu'elle avait beaucoup dormi tant elle se trouvait bien dans ce lit moelleux .. il faut dire que, Pat savait recevoir ses amis, c'était là le reflet de son coeur si chaleureux, ainsi que de son bon goût ..

Kyly se décida enfin à se lever, elle fit un brin de toilette, se regarda dans le miroir et se trouva une mine de déterrée. Il faut dire que la veille, elles avaient toutes trois écumaient les tavernes de la ville.

Attirée et guidée pas une douce odeur gourmande, Kyly se dirigea tout naturellement vers la cuisine d'où elle entendit une voix qui lui était familière, celle de la belle et douce Mari. Elle s'arrêta dans l'embrasure de la porte et sourit d'entendre les deux femmes conversaient telles des pipelettes.



Bonjourrrrr Marrriii, comment vas tu ? tu sembles plus en forme que moi !


Kyly jetta un regard en demi cercle autour d'elle se demandant ce qu'elle pouvait bien grignoter.
Pattricia
[Deux semaines plus tard...

Les journées étaient de plus en plus pénibles et mon coeur se serrait de tant de condamnés. Je prends sous le guéridon la bouteille de Lub et me dirige dans le jardin.

Après m'être installée sur le banc de pierres, je commence à attaquer la bouteille avec l'intention secrète de m'y noyer...

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Pattricia
J'avais payé cher mes excès de la fois précédente et là je regardais les bouteilles, très tentée par une vraie noyade dans l'alcool...

Perdre mon amie était inconcevable, perdre une telle personne, si dévouée, pour Sarlat était un jour de deuil sans fin...

Je laisse le guéridon derrière moi et me dirige vers la cuisine. Mélie est là, les yeux rougis, les enfants jouent au sol, près de la cheminée et ils sont étrangement calmes. Iris et le chaton les occupent et font montre de beaucoup de patience...

C'est comme si tout le monde savait, comme si tout devait n'être que silence et douceur. Après m'être accroupie et avoir ébouriffé les cheveux des garçons, je chatouille le cou de Lucie avec une de ses nattes, guêtant l'éclat de rire qui me réchauffera le coeur. La petite pouffe et les garçons sourient, baragouinant quelques mots encore incompréhensibles à mes oreilles... Là-dessus, Boule de Poils, surnommé ainsi en attendant que sa future maîtresse le récupère, se met à jouer avec ma ceinture, l'attrapant avec ses pattes avant et pédalant avec les pattes arrière. Floris éclate de rire et fait sursauter Iris. Cantor qui la caressait, hilare, bascule en arrière et finit les jambes en l'air.

Mélie moitié riant, moitié pleurant vient s'assoire au sol près de moi et me prend la main, elle aurait adoré cet instant tu sais je la regarde et lui souris en reniflant. Oui c'est ce qu'elle était, la joie et la tolérance, la justice et le don de soi, tant de personnes pourraient la prendre en exemple...

Attrapant Boule de Poils, et le projetant en l'air, je le serre contre moi au milieu des rires des enfants et des reniflements inquiets d'Iris. Je crois que c'est le moment de faire griller des chataîgnes Mélie !!!


Tu seras toujours dans mon coeur...

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Pattricia
Les jours passent...

Je courais dans tous les sens, mes amis au loin me manquaient horriblement, et la présence du porteur de sandales n'arrangeait rien. La mort d'Aly avait dévasté le village et la guerre n'arrangeait rien...

Les enfants, moroses comme le temps pluvieux, restaient près de la cheminée de la cuisine, trainant dans les jambes de Mélie et manquant de la faire tomber à chaque fois.

Ne voulant pas, en plus, leurs communiquer ma tristesse, je me suis réfugiée dans le fauteuil de la salle, devant la cheminée et, une fois n'est pas coutume, avec un bol de thé.

J'avais rencontré la jeune Cerise, la cousine d'Aly, cela m'avait fait un choc, elles se ressemblaient tellement ! Jusque dans la façon d'être, j'avais dû lui paraître distante, mais c'était tellement fort ! Dans le flou de mes pensées, j'ai cru un instant la revoir, rentrer comme un boulet de canon (joli canon hein !) dans la taverne, avec un sourire gourmand en regardant les confiotes sur la table...

Il fallait que je l'invite à la maison, que je fasse sa connaissance, que je passe au-dessus de l'effet qu'elle me faisait.

Il fallait juste que j'accepte qu'il me faudrait guérir...

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Cerise
Cerise arriva enfin devant la maison de Pat, cette personne que sa cousine adorait tant.. Il me fallait faire plus sa connaissance, donc j'avais enfin accepter son invitation.. Je pris une grande inspiration et frappa à sa porte..

Toc Toc !! Et lança d'une petite voix, y a quelqu'un ?

Cerise attendit la réponse..

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~ En Deuil de son Époux ~
--Melie


Il y a des jours comme ça... Lucie avait décidé, ce matin en se réveillant, qu'elle serait la casse pied de service. Gigotant sans arrêt a essayé d'éviter le lange propre, ensuite recrachant systématiquement le lait de sa tétée et maintenant, elle entreprenait de mettre des traces de charbon de bois sur la figure de Floris... Mélie avait toujours été d'une patience d'ange avec les enfants, mais ce soir là, la moutarde commençait à lui monter au nez...

C'est au moment ou elle débarbouillait les mains de Lucie et la figure de Floris, que quelqu'un frappa à la porte. Prenant le frère et la sœur dans ses bras, elle se dirige vers la porte. Whaouu, ça devient pas très facile de vous porter tous les deux en même temps, heureusement que Cantor joue avec le chaton sinon j'étais obligée d'appeler votre mère à la rescousse ! Ne se départant pas de sa bonne humeur naturelle, Mélie ouvre la porte à une jeune femme qu'elle ne connait pas.

Bonjour Mademoiselle, puis-je vous aider ?
Cerise
Cerise venait de frapper à la porte de son amie Pat, elle attendit qu'on vienne lui ouvrir, c'est alors que cette dernière s'ouvrit. Cerise aperçut une jeune femme, avec deux bambins dans les bras, la pauvre jeune fille elle devait en avoir du travail avec les trois canailles de pat, surtout s'il avait le même caractère que leur mère.. Elle se mit à sourire de ses pensées... Elle regarda la jeune damoiselle,et la salua en souriant..

Bonjour, je suis Cerise, une amie et la Chef de votre patronne, serait -il possible de la voir? Elle m'avait dit de passer un jour pour prendre un ti thé.. Donc me voici..

Cerise fixa la Damoiselle..

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~ En Deuil de son Époux ~
--Melie


Mélie réalisa soudain que la jeune fille qu'elle avait devant elle était la cousine de la pauvre Aly. Ne voulant pas remuer la souffrance que la jeune Cerise ne devait pas manquer de ressentir, la nounou accentua son sourire.

Bonjour demoiselle, je suis heureuse de vous connaître, je suis Mélie la nounou des deux sacripants que vous voyez dans mes bras plus d'un troisième sur lequel j'aimerais bien retourner jeter un oeil en cuisine.

Je vous en prie entrez, Pat est dans le salon, c'est la pièce sur votre gauche. Ne vous sentez pas gênée, ici c'est la maison du bonheur !
Se tournant vers la porte ouverte de la dite pièce, Mélie de sa voix chantante du Sud se met à crier Paaaat, tu as de la visite ! Je suis en cuisine si tu as besoin de moi !

Laissant Cerise se rendre à la rencontre de Pat toute seule comme une grande, la nounou, enthousiaste qu'il y ai enfin de nouveau un peu de vie dans la maison, retourne dans la cuisine, dépose les enfants près de Cantor et met de l'eau à bouillir en prévision d'une nouvelle tournée de thé.
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