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[RP] Sous un arbre perché vous déclamerez...

Aelynn.
Voila quelques jours déjà qu'Aelynn était passée par là. Elle ne se sentait pas l'âme d'une poétesse mais il était vrai que cet essai de versification ne lui avait pas déplu, de la même manière qu'elle avait été plus que touchée et fière de l'attention de son tendre qui avait dû se donner tant de mal pour arriver à un tel résultat. Alors, tandis que la journée se faisait belle, les rayons du soleil printanier égayant le village et le paysage, la jeune femme mena ses pas jusqu'à cet arbre qu'elle appréciait et y déclama ce qui lui venait en tête.

Voila bientôt un jour qui me comble de joie,
Puisqu'il va mon amour nous unir toi et moi.
Voila quelques temps que nous nous sommes rencontrés
Et depuis ce moment je ne veux te quitter.

C'est dans un monde de délicatesse et douceur
Que tu m'as amenée, à mon plus grand bonheur
C'est dans cet univers protecteur et joyeux
Que je veux à jamais que nous soyons heureux.

Je n't'échangerais, mon ange, contre aucune pièce d'or.
Je dirais "non merci, j'ai déjà mon trésor :
Un jeune homme rempli de tendresse et d'humour,
Et à qui seul je veux réserver mon amour

Un sieur fort, courageux, qui me fait tant rêver,
Un homme doux et chaleureux que je veux choyer"
D'autres termes pourraient compléter ce portrait,
Mais il serait trop long de les énumérer.

Il faudrait tant de mots pour que tu sois décrit,
Oh toi mon amour, qui illumine ma vie.
C'est en ces mots que je termine ce poème
Qui se finit ici par mon plus doux je t'aime


Elle esquissa un sourire, plutôt satisfaite, et repartit vaquer à ses occupations, gardant toutefois à l'idée de se ménager au risque de se faire sermonner.
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Aelynn.
La semaine était difficile. Le temps ne passait pas bien vite, et surtout elle se déroulait sans conjoint, celui-ci ayant dû rejoindre les moines pour une semaine. Aelynn survivait toutefois, essayant de s'occuper autant que possible. Et parmi ces occupations vint s'ajouter un tour auprès de cet arbre qu'elle connaissait maintenant bien. La jeune femme s'assit à son pied, sortit un parchemin et commença a écrire un poème qu'elle enverrai à son tendre, espérant que celui-ci lui parviendrait bien.

J’aimerais en ce moment être l’un de ces moines,
Juste pour quelques instants devenir chanoine
Et pouvoir ainsi demeurer près de toi,
T’avoir contre mon cœur, me blottir dans tes bras.

Je t’abreuverais, mon amour, de mes louanges
Et te considèrerais comme l’unique ange ;
Quoique puissent en dire tous ces frères austères,
Tu serais l’unique sujet de mes prières.

Je prierais pour que notre amour dure toujours,
Pour que jamais ne surviennent de mauvais détours.
Je souhaiterais du plus fort de mon être
Que jamais ce bonheur ne vienne à disparaître.

Je n’ai pour le moment pas besoin de prier
Afin que tous mes souhaits soient exécutés
Puisqu’ils le sont déjà, et ceci grâce à toi
Et grâce à ton amour qui me comble de joie.

Je remercie le ciel de m’avoir envoyé
Un être si merveilleux marchant à mes côtés
Sur une route dénuée de problèmes et soucis,
Et qui fait de ma vie un tendre paradis.


Aelynn relit le tout avec attention et cacheta sa lettre, satisfaite. Elle l'attacha à la patte d'un pigeon qui aussitôt parti en direction du monastère. Elle aurait aimé être à la place de l'oiseau, ou plus encore de la lettre elle même, passer ces murs, retrouver son homme, être auprès de lui. Mais la blonde relativisait, quand ils se reverraient, ce serait le bonheur comme jamais, le jour de leur mariage, précédant de nombreux jours qui s'annonçaient merveilleux...
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Karty
Karty passait sont l'arbre pensent a quelqu’un

une tite brunette au yeux noisette
tu m'as ouvert les porte du jardins
se jardin ne se finit jamais
tous n'est que plus beau scintillement
t'on charme m'as fondre comme glace au soleil
Se soleil réchauffent le coeur brisé
t'on regard avait vue en moi
On ne sait pas ou tu veut en venir
t'on esprit rebelle n'est que plus fantasment
tel est désire imprenable
une tite brunette innocente d'envie
mais pouvant torture n'importe qu'elle homme
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Gasclin
Gasclin passa par hasard auprès d'un arbre où flottaient quelques parchemins... Il lut et doucement sourit... Puis improvisa un mot, pour laisser une trace... et un encouragement...

Oh quel joli coin charmant !
On y entend soupirer le souffle des amants
Des vœux, des serments échangés
Des frôlements, des rires partagés
Le bonheur souriant est leur complice,
Elle se montrant à lui, sans le moindre artifice
Lui, tout à sa joie, ne laisserait pas sa place
Au moins pas avant que quelques éternités ne passent
Que la joie de l’amour partout les accompagne
Ils sont plus près du bonheur que Charles, dit le Magne
Medusee
Elle passa sous l'arbre et y vit des poésies, elle regarda le papier qu'elle venait de recevoir et relire.
L'afficher ici lieu pour que tous le monde puisse le lire... Pourquoi pas
Elle en fit d'abord une copie, elle tenait a garder ce poeme qui la faisait sourrire


Mon Ange,
Mon île,
L'étincelle qui m'éveille chaque matin,
Car ma première pensée est pour toi.
Elle apporte la chaleur en mon coeur
Et souligne mes lèvres d'un sourire...

...je sais que tu es là.

Mon Ange,
Mon univers,
La tendre présence qui accompagne mes jours.
Même lorsque tu es loin de mes yeux
Mon esprit reste emplit de toi...

...je sais que tu es là.

Mon Ange,
Mon Eden,
Cette douce lumière qui envahit mes nuits,
Veille silencieusement sur mon sommeil
Et chasse les ombres de mes songes...

...je sens que tu es là.

Je t'aime plus que tout

J'aimerai trouver d'autres mots...

J'aimerai de mes doigts,
Avec le fil de mon amour,
Broder sur ta peau,
L'image de ma passion.

Ange45

Oh oui elle l'aimait... elle etait son ange et lui le sien
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Karty
Karty passait devant cette arbre lisent les poèmes de 2 femme envoûtée d'un charme charnel , sur des mot qui fessait frimousse le souffle légèrement de leur poumons
Karty ne pensait plus , a l'amoure , le vrais disparaissent t'elle une bougie de cire se finissent




De plus en plus de noir au cieux apparaissait a m'on regard
De pluie, de vents et puissante rafales
Avril peu à peut s'installe
En son royaume remplis de mystérieux tourment

De tous les mois, la pauvre ville Mâconnais ,
Dans son mon manteau tout dépouillé ,
En plus d’être très mal aimé ,
Est le mois le plus ténébreux

Courts sont les jours , longue les nuits ,
Brouillard et brune , m'accompagnent,
Mettant le voiles sur la campagne
Au gré de leur mélancolique

Un rayon de soleil parfois
Crève la colère des nuages reflètent mais pensait
IL m'éclairait
Qui tous à coup se met en joie

On en a fait le mois des pleurs
de la tristesse et de la mort ,
De la nature qui s'endort avec les prédateur dorment d'un oeil
Dans un linceul de froideur .

Mais m'on coeur sait battre pour le très haut
Car il coconne tout en douceur
Me disant que le printemps et ses jolie fleur sont la pour moi,
Le jardinier au cheveux brun

Karty

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Ange45


piccola piuma

penso ti ha piccola piuma sulla tua strada piena di nebbia sia su che passerai il tuo ammertume non ti inquietato piccola piuma finché éspoir ha accordare il graçe ti sarai tanto vero che tanto i tuoi occhi si indovina la schiuma ed il cielo blu piccola piuma adesso se vuoi questo è il momento per te di fare un voti della tua anima e fino ai cieli tutto diventerai per te meravigliosi

per te mio amore, sebelia
Medusee
lit ce qui est écrit et s'exclame


Oh my god ... whatever...
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Sebelia
Sur une branche perchée Sebelia l'oeil pétillant venait de surprendre la main de Medusee sur le vélin que son doux avait déposé à son attention quelque temps auparavant.

La brunette, sourire en coin se laissa glisser à terre et apostropha la décérébrée à la flavescente chevelure en déclamant ces quelques vers.




Ton faciès passé par la petite vérole
Tu titubes vers l'arbre de vie imbibée par la gnosle
De ta bouche avide, tu fais fuir les lucioles
Vipérine tourmentée serpentant dans la fléole

Tu deviens la proie dont tu te nourris puis t'isole
Ta jalousie attaque d'abord ton coeur alvéoles
Toi femme abandonnée par ton amant affriole
Fais toi une raison et évite la flageole !

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Et maintenant que vais je faire de tout ce temps que sera ma vie, de tous ces gens qui m'indiffèrent...
Maxou230
Maxou, au bord du lac avait écrit ce poème, tout juste en couple avec Myde les idées de poème lui vint déjà.



Mon amour,

Depuis se soir en taverne,
Tu a éclairé ma lanterne,
Loin d'être un quinquet,
Je ne suis plus inquiet.

Un baiser,un sourire,
Des mots doux,des câlins,
Tu me donne envie d'écrire,
J'ai attrapé le béguin.

Je ne peux plus me passer de toi,
Telle ta beauté m'hypnotise,
Te savoir à coter de moi assise,
Me remplit d'émoi.

Je ne pourrais te dire ce que je ressent,
Telle mes sentiments sont si puissant,
Je t'aime à la folie,
Et sa pour la vie.

Je t'aime
Sebelia
Un baiser avait rompu le charmement qui avait plongé l’étalon dans un sommeil profond. Les deux amants s’étaient enfin retrouvés poursuivant leurs étreintes la nuit durant. Par matin, à l’anjorner, les opalines rivées sur l’arbre de vie, la bella épanouie avait glissé dans ses branchages maintenant pourvus d’un dense feuillage, un nouveau vélin dédicacé au brun.



A la lisière d’une forest ensoleillée
Que ces mots prononcés avec sensualité
Sur un lit de mousse nous trouverons allongés
Vignes entrelacées de deux énamourés

A l’ombre doulce d’un vénérable chesne
Que nous avons souvent imaginé incertaine
Mon visage blotti au creux de ton épaule saine
Et ta main caressante effleurant mon aine

Courbe d’une nuque dévoilée au regard
Que tes lèvres ont cueilli sur ce lit de hasard
De battre nos cœurs loin de tous ces charognards
Mon bienaimé, mon homme, Angelo mon mignard


Sebelia, Mascon le 13ème jour de may 1459

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Et maintenant que vais je faire de tout ce temps que sera ma vie, de tous ces gens qui m'indiffèrent...
Gwendohermio
Gwendo révassait. Son esprit l'a conduit à imaginer un peu l'avenir. La brunette rayonnait de bonheur.



A l'ombre d'un pommier,
Dans mes pensées, je me perdais.
A la lueur d'une merveilleuse nouvelle,
Mon coeur lèger s'élevait vers le ciel.

L'amour me remplissait de joie,
L'avenir semble éclatant,
Et cela ne s'arretera pas,
Mais il faudra être patient.

Même s'il y a du mauvais temps,
Mon esprit est bien au-dessus des nuages,
Peu importe le vent,
Mon amour ne fera pas naufrage.

J'ai révée un temps,
Illusion sans espoir,
Je rêve maintenant,
De la vie naissante sans déboire.

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