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[RP]Le Bordel Joyeux : pour un millier de moment de plaisir

--Gilda
La claque fit remontée en elle de lointains souvenirs ... La cour de la ferme familiale, son père, cette brute alcoolique et violente, l'humiliant et la frappant devant les ouvriers agricoles goguenards ! Les menaces et les viols répétés inlassablement quand la nuit tombée les volets se fermaient sur sa petite chambre d'enfant ...

Elle tourna son regard vers l'homme aux manières animales ... L'éclair de rage qui un moment traversa ses yeux se mua vite en sourire enjôleur et mutin ! L'humiliation, elle connaissait que trop et s'il fallait en passer par là pour que le patron l'embaucha, elle ne renoncerait pas pour une question d'orgueil. Sa fierté, elle l'avait laissée à la porte du bordel. De la réponse du patron dépendrait la survie de ses enfants et si cet homme devait être son premier client, peu lui importait, autant lui qu'un autre, au moins n'était-il pas laid !

Elle reporta son regard vers le tavernier, seul apte à décider si elle était embauchée ...


Vous voyez ... patron, avec Gilda, ça ne traine pas !
--Samsara


Un claquement sonore se fit entendre, Sam se retourna d’un coup, toujours alerte au moindre détail, elle posa sa chope sur la table ou elle avait pris place et assista à une scène plus que théâtrale.

L’homme à la capuche venait d’envoyer une claque talentueuse sur les fesses de la femme au comptoir, Sam eu presque envie de rire, surtout voyant celle-ci ne pas contre attaquer...Lui il avait une odeur de bourses pleines, elle avait un flair très développé pour les repérer les bonnes bourses la sulfureuse.

Il retira enfin sa capuche, le découvrant a la lueur des cierges...Sam le trouva a son goût, s’il fallait l’allégé de ces biens et de plus étant plutôt agréable a regarder que demander de plus si non l’approcher pour enfin le toucher.


Samsara se leva de son tabouret se positionna de dos a la table, les mains prenant appui dessus les observaient offrant sur elle une vue plu que tentante. Le beau mâle s’adressa au tavernier

*Ma foi y a de quoi faire ici ! Une autre l'ami et sers toi aussi... Je m'attarderai bien sûr les deux, mais combien pour l’effrontée.*

Un mouvement de tête en sa direction fit comprendre à Sam qu’elle était belle et bien visée par ce mot. Ce que les hommes pouvaient être niais par moment, il était loin de ce douté qu’elle était bien plus qu’une effrontée.

Sam approcha du comptoir lorsque la mignonnette au fesses bien claquantes lança


* Vous voyez ... patron, avec Gilda, ça ne traine pas !*

Sans attendre Sam s’interposa entre elle et le messire, tournant le dos a la femme le regarda lui, elle tendit le bras légèrement et passa sa main sur le bras de celui-ci, tout doucement descendit tout le long jusqu’à arriver près de sa main...trempa un doigt dans la chope qu’il tenait, le ramena a ses lèvres ou délicatement savoura le gout du breuvage sans le quitter des yeux.

Tournant la tête sur le coter, Samsara adressa la parole a la femme sans même la regarder


Laisse faire les pros, la prochaine fois tu pourras participer si tu veux ?! N’y voit rien de personnel ma jolie mais je passe toujours la première !

Un silence se fit, comme a son habitude quand elle désirait quelque chose fallait surtout pas tenter de la devancer ou se l’approprier avant elle, certains en avait dégusté pour l’avoir fait.

D’un mouvement lent elle fit face à l’homme, s’approchant plus près de lui frôlant son torse de sa poitrine généreuse... si bien que son odeur de mâle la pénétrait a travers sa frêle chemise. Sam pencha la tête sur le coter vers son cou, du bout des lèvres sans le toucher le parcouru lui faisant sentir son souffle chaud lui caresser la peau. Il avait l’air d’apprécier...elle remonta vers son oreille et lui dit d'une voix sensuelle


L’effrontée se nome Samsara, Sam pour les intimes, mais nous ne le sommes pas encore...a vous de voir si ça vous tente...

Se redressant juste assez pour voir son visage lui sourit. Elle présentait qu’il serrait celui qui viderais sa bourse dans la sienne.

--Gilda
Jamais elle n'avait vu une femme se conduire de la sorte, se conduire comme un homme... Cette dernière était venue se placer entre elle et l'homme à la capuche. Elle l'entreprenait d'une façon carnassière avec toutes les armes dont la nature l'avait généreusement pourvue ...
Marie fut décontenancée par une telle attitude ... Elle avait l'assurance des hommes, leur arrogance, leur attitude dominatrice et leur spontanéité ... Était-elle une prostituée ? Si son comportement le laissait supposer, son attitude tenait plus à celle du soldat! Elle semblait prendre un plaisir non dissimulé à jouer avec cet homme comme une chatte avec une souris ...

Quel plaisir pouvait-elle trouver à la compagnie des hommes ? Aimait-elle les sentir sur elle ? Leurs corps lourds et brutaux, leurs haleines chargées, leurs sueurs écœurantes ... Aimait-elle tout cela ? Marie ne comprenait pas mais n'était pas gênée de la situation ... Si cette femme voulait cet homme, ce n'est pas elle qui y verrait une objection, bien au contraire ...

Le seul problème était que le patron la préfèrerait sans doute à elle et qu'elle ne pouvait voir ce boulot lui échapper ...


Laisse faire les pros, la prochaine fois tu pourras participer si tu veux ?! N’y voit rien de personnel ma jolie mais je passe toujours la première !

Marie reporta son regard sur le patron ...

Au tavernier de décider ... A 2 je prends, à 3 aussi !

Elle sourit à l'homme qui se tenait de l'autre côté du comptoir qui observait la scène silencieusement ...
Mittys
A peine le tenancier avait posé la question à la catins assise à ces cotés que l'homme encapuchonné vint à coté d'elle pour entreprendre quelque ébats , cela mit un sourire bien prononcer chez le comtois qui voyait la une bonne nouvelle pour les affaires , mais à peine eut -elle le temps de s'enthousiasmer qu'une autre femelles venait marquer son territoire , c'est alors que Schmitt intervint

eh bien eh bien..., c'est au sire de choisir la dames...mais prendre les deux..le tarif va etre quelque peu revus mon bon messire ?

Il regarda l'homme avec ces sourcil remonté d'un air interrogaeur

Et sinon mesdames...il me faut aussi une tavernière , intendante à ces heures qui puisse au mieux accueillir nos clients...je pense qu'une dame le ferait bien mieux que moi meme

Il réfléchi et pensa au quelque déplacement futur qu'il aurait a faire

Et puis je risque d'etre absent durant un certain temps lors des prochaines semaines pour régler quelque affaires dans d'autres lieu

Il avanca sa main vers Gilda et lui mit le doigts sous le menton afin de la retrouver droit devant lui et demanda avec le regard plonger dans ces yeux:

Qu'en pense tu ma belle ?
--Markus
Markus était tout émoustillé par la Sam qui semblait avoir des heures de métier derrière elle, il l’enlaça et commença à lui dévorer le cou comme une sale brute qu’il était, mais sa virilité était débordante a cet instant même.

Il fallait y aller là ! ça commençait à urger !

Elle était à croquer et sentait bon le « en voiture Simone » Il regarda le patron et la débutante a qui il faisait du rentre dedans l’air de rien.
Markus n’aimait pas choisir, il aimait toutes les femmes, petites, grosses, grandes, maigres, vulgaires, raffinées…toutes avaient du charme à ses yeux !
Il jeta une bourse bien pleine sur le comptoir, et lui dit d’un ton enjoué mais ferme
.

Elle va y réfléchir en venant avec moi, une tape sur les fesses des deux poulettes et les prenant par la taille, il les entraîne vers l ‘étage …dernier coup d’œil vers le patron en montrant d’un mouvement du menton le petit pécule.

Et c’est grassement payé pour les deux, fais nous monter de quoi boire l’ami et pas de la tisane, j'suis pas souffrant !.

Les trois acolytes disparurent dans les couloirs.
Mittys
Le bordel vivait de belle heures depuis quelque temps , les catins , les clients se trimballait par-ci par-la , il aurait meme était appercue des travesti , ce nouveau lieu de rencontre donnait un visage un peu plus libertin à la citée de Tarbes

Pour le propriétaire de cette antres de la débauche , les affaires semblait fleurir à tel point qu'il eut décidé de profiter de ces deniers en se payant un voyage vers les contrées voisines ( moi aussi j'ai du mal à croire qu'il paye ce voyage grace aux bénéfices de la tavernes ) , il venait de faire les derniers prépartifs , cachant son magot dans divers lieu de la ville afin d'évité qu'un éventuel vil pillar viennent à jamais détruire la richesse pas très ancestrale de l'ami franc-comtois

L'heure commencait à etre tardive , il remplissait son dernier fut de quelque viande bien salées poour la route , et il installa le sixième fut sur la charette qui allait ètre tirée par deux magnifique destryer pret pour mener une guerre sanglante ( que fait un voyageur avec des chevaux de guerre ? )

Il retourna cette dernière fois à sa taverne et remis les clées en la main de Fluorine charmante nouvelle tavernière du tripot , il avait rencontré celle-ci après plusieurs croisement opportun sur le marchée , croisement qui pourrait paraitre louchent au yeux de certains...et de certaines !!

Le jeune homme lui fit la bise , monta sur l'un de deux cheval et prit sa route vers ses nouvelles aventures chocolaté ( arf non)...ses nouvelles aventure enécuyers
Fluorine
Fluorine avait pris sa première journée de Tavernière. Son patron absent, elle y ferait quelques travaux.
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--Patinbert
Patinbert, l'ouvrier de Fluorine, arriva avec une partie des stocks du Comptoir Commercial, arrière salle de la Boucherie La Vouivre. Ceux-ci serviraient à préparer les repas et enrichir la gastronomie occitane de Tarbes. Du pain, des fruits et autres pièces de viande entrèrent direction la salle de salaison et de stockage des aliments.

Une charette encombrait la porte. Mais elle lui permettait un transvasement plus rapide vers la Taverne. Fluorine vînt l'aider vers midi à disposer les meubles dans l'intérieur de la Taverne. Elle devait se rendre à la rivière aujourd'hui pour travailler.

Patinbert peignit "La Vouivre" sur la façade de la Taverne à côté du Bordel Joyeux, le nom de l'endroit, qui rappellerait à certains clients de la Cour des Miracles, un autre établissement ouvert sous le même nom où le massage corporel était élevé au rang d'art ... Certaines femmes, jalouses, dirent très vite qu'il s'agissait d'un bordel, vu que les masseuses étaient des anciennes courtisanes de la Cour des Miracles de la Capitale de France. Elles n'avaient pas tout à fait tords, car un massage ... on ne sait jamais comment ça finit ... Ici c'était très clair, c'était bien un bordel !

Cette taverne accueillerait tous les voyageurs, les habitantes, leur maris et les puissants qui peuplent les terres fertiles et fécondes du Béarn.

Fluorine, heureuse du résultat, salua Patinbert et lui demandant de placer plus tard un parchemin pour indiquer la carte des repas, ainsi que les tarifs ... Il fallait maintenant faire venir des filles.
Aloysius_whace
Le vieux pêcheur avait rendez-vous avec un de ses contacts et pour ce type de tête à tête, les deux hommes avaient choisi la taverne du Joyeux Bordel.
Un peu en avance, le vieillard passa le seuil de la salle commune, un bouquet de fleur à la main. Ces modestes végétaux à demi fanés était pour l'une des filles de joie travaillant au bordel. Il n'était naturellement pas de rigueur d'amener des présents à ses travailleuses du corps mais Aloysius était de l'ancienne génération. De celle qui pense que même à vendre, une dame reste une dame. Bref, il espérait que la dame Thabata, rencontré quelques mois plus tot sur les remparts, serait .. de garde dirons-nous.
Pourtant lorsqu'il entra dans la taverne, le vieux ne vit pas la dame mais s'aperçut que dans un coin sombre, son collégue malandrin faisait preuve d'absence de discrétion en agitant bras et jambes dans sa direction. Se portant à sa hauteur pour prendre place, le vieux pêcheur ne put s'empêcher de le réprimender :

" - Votre réputation n'est pas fausse à ce que je vois. Vous êtes aussi con que le pretend la légende. Assoyons nous et parlons maintenant que tout le monde sait que nous avons à faire.
- Escusez messire, je n'étais pas sûr que vous m'ayez vu"
, ne trouva qu'à répondre le vis à vis dont la bétise se lisait en effet sur le visage.

Aloysius fit signe à la tavernière d'apporter de quoi délier la langue et en profita pour demander deux plats chaud pour lui et son invité. Une fois fait, il s'approcha du visage du malandrin pour que ses mots restent entre trois oreilles ( et oui le malheureux n'a q'une oreille, cela participe de fait à l'air stupide énoncé plus tôt)

" - J'ai peu être du travail pour vous messire. Une bijouterie vient d'ouvrir ses portes en nos murs et je gage qu'il y aura bientôt certaines marchandises à même d'intéresser tout un tas de gens si vosu voyez ce que je veux dire", prit d'un doute le vieux détailla pourtant le sous-entendu afin qu'il ne le soit plus. " Peu être que vous pourriez aller y faire un tour d'ici quelques jours .. non ? L'homme ne vend visiblement pas ses oeuvre et les donnerez d'aprés cde que j'ai pu voir.
- Pourquoi les voler s'il les donne ?
demanda le benet qui n'en était visiblement qu'une moitié.
- Ne vous occupez pas de ça. Il ya déjà assez d'une tête pensante et je m'en voudrais que vosu vous faisiez mal. Et n'oubliez pas, ce n'est pas moi qui vous ait donné l'information, je ne trempe pas dans ce genre d'affaire et je suis un vieux respectable, n'est ce pas ?
- Pour sûr messire Whace ! Mais dans ce cas .. dois-je tout de même passer vous donnez votre part quand ce sera fait ?


Le vieillard souffla et prit un temps pour ne pas occir l'imbécile face à lui, leuquel était visiblement perdu dans un tourbillon de questionnement s'approchant sans défaut de la noyade.

" - Bien sûr foutresaintgeorges d'abruti ! Allez file maintenant. J'attend une dame.

Le benet se leva et sortit avec aussi peu de discrétion qu'un boeuf dans un magasin de puzzle de porcelaine. Sa carrure était certes forte mais sa cervelle s'était developper inversement de ses muscles saillant.

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Pour la carte de Pêche, suivez Sam le muet au fond du couloir :
http://peche.melyadon.info/index.php5
Fluorine
- Quoi ? Des thermes ! C'est de la concurrence déloyale, mais nous allons nous réveiller et montrer que le seul endroit pour se reposer c'est ici ! Patinbert, va falloir accélérer la cadence, demain, vous m'ouvrez l'arrière salle, cela devrait être fini depuis des temps immémoriaux.

Fluorine s'agitait. Mittys lui avait confié son bordel, fallait pas qu'il perde sa clientèle.

- On va leur monter que la luxure n'est pas un truc sans sens.
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Bourrike
Malgré le fait que la diaconnesse n'était pas la plus à l'aise en ce lieu, elle avait assez de largesse d'esprit pour savoir que celui-ci rendait service à nombre de malheureux, trop timides pour trouver ailleurs la bonne fortune, ou trop cons pour s'attacher durablement un coeur.

Par ailleurs, le fait que la taverne était tenue par Fluo n'était pas étranger à sa venue.

Justement elle était présente, donnant des ordres au vieux Patinbert.


"dis-moi, Fluo, où en est ton projet de cercle de jeux en tout genre? parce que, en dehors de l'absolution pour tes filles, je pourrais peut-être assister aux courses d'escargot dont nous avions parlé?"

"Patinbert, la construction d'un escargodrome est-il dans vos compétences?"

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Fluorine
- Cela avance assez bien. Patinbert a fini hier les saunas en arrière boutique. Si tu veux essayer les massages, libre à toi^^ Quant au cercle de jeux, j'y travaille. Je dois faire des plans sur le cadastre pour justement le faire exister !
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--Samsara


Après sa balade entre ruelles et échoppes de tout genre, Sam se rendit au bordel celui ou quelque temps plus tôt elle y avait croisé un étalon plutôt très bien portant et a la monture généreuse. Mais cette fois elle voulait juste une chambre pour se reposer, et réfléchir a la suite de son aventure.

Approchant de la fameuse taverne elle s'arrêta un instant et d'un coup sentit qu'on s'agrippait a son jupon...sa jambe, son réflexe fut immédiat, Samsara balança son bras en arrière et regardant sur le coter attrapa un bras, un minuscule petit bras lui tirer son jupon.

Un gosse le lui tirait en la regardant, elle leva les yeux au ciel et


Hé toi ! Lâche moi veux tu !!!

Poussant le gamin en arrière, le regarda il devait avoir environ cinq ou six ans tout au plus, il revint face a elle la main tendue

Dame sipouplait un sous dame, j'ai faim

Fronçant les sourcils pensa que c'était vraiment lamentable de voir un gosse faire la manche, ou plutôt que des parents laisse ou le pousse a le faire. Sam se rappela qu'elle aussi il y avait fort longtemps avait du faire bien pire que ça alors qu'elle n'était qu'une gamine. Passant la main a l'intérieur de son bustier ressorti une bourse, elle piocha deux ou trois écus et les lui tendit

Prend et fiche le camp ! File aller !!

L'enfant n'en demanda pas plus et repartant en courant se tourna une dernière fois et lui adressa un sourire. Sam ne lui rendit pas le sourire mais lui fit un geste de la main pour qu'il s'éloigne...il ne fallait pas se laisser attendrir deuxième règle importante.

Finalement elle entra dans le bordel, fit le tour de la pièce du regard et rejoignit le comptoir, la tête couverte de sa capuche lança


Il y a quelqu'un ici ? On peu être entendu !

Retirant sa capuche se retourna s'adossant et prenant appui sur le bord du comptoir, l'endroit n'avait pas changer ni évolué, les affaires ne devait pas marcher a merveille sa grouillait pas de clientèle.

Samsara se pencha un peu en arrière


Le patron est dans les parages ?! J'ai pas de temps perdre inutilement !

Attendant l'arrivée du maitre des lieux ou de la simple tavernière prit place a califourchon sur une chaise tapant de la main a rythme régulier sur la table.

Fluorine
Fluorine, qui était rentrée de Saint Bertrand de Comminges arriva avant le repas de la mi-journée à la Taverne ... Elle ouvrit l'établissement, balaya un peu, puis fît le nécessaire pour la bière et les autres liqueurs.
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Choubard
Choubard sortant de la boucherie de Fluorine alla dans la direction de la vraie Vouivre.

Il arriva dans une petite ruelle et vit deux écriteaux "au bordel joyeux" mais aussi "la Vouivre" peint sur un mur.


"Tiens , tiens, revoici donc ce lieu que j'ai connu à un autre endroit...."

Choubard réfléchissait cependant s'il devait entrer ou non , n'étant plus célibataire dorénavant.

Pendant qu'il réfléchissait, il vit une des employées aérer une fenêtre à l'étage.Elle était légèrement vêtue, peut-être venait-elle de finir son travail....

"Oh et puis, je peux bien y boire juste une bière, c'est pas interdit ça puis ensuite, je ressors.
"

Choubard parlait à voix haute histoire de se convaincre de ses propres paroles.

La dessus, il entra dans l'établissement.

Il vit les salons privés sur les côtés où de forts jolies demoiselles attendaient ou s'amusaient avec toutes sortes d'hommes ..marins, brigands, artisans....


Il s'avança vers le comptoir pour commander sa chope.

"Bon..bonjour, je .. je voudrais une bière ..s'il vous plait."

Choubard se rendit compte que cet endroit le bloquait légèrement dans son élocution.
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