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[RP] Qui qui veut une rooooOOOOOoooobe ? Viendez Viendez !!!

Mariealice
Elle observait, silencieuse, tentait l'oreille pour essayer de savoir qui était là pour quelle tenue. Mais difficile de savoir et encore plus en écoutant le Sévère... Bon... Allez zou. Elle leva la main afin que l'assistant la voit puis prit un bout de parchemin pour inscrire sa mise.

Serait-ce assez? Trop? Non trop jamais mais trop peu possible si... Petite moue, de toute façon elle aurait bien le temps de voir. C'était fait.

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Sorane
Sorane hésitait entre deux robes... Elle hésitait, elle jouait avec Circelia à coucou-je-me-cache, mais dans sa tête, elle visionnait toujours les deux robes, les faisant défiler encore et encore.

Et voilà que l'une d'elle était mise aux enchères, la première... Elle hésita... mais leva la main en direction de l'assistant.
Elle nota son enchère, importante, mais sans risquer de mettre à mal les finances du domaine.
Elle glissa son enchère écrite discrètement à l'assistant.

Il n'y avait plus qu'à espérer.

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Leonin


Il était en pleins calculs. Enfin, après de longs mois, il avait étudié et fait les plans pour refaire son château de Sellières. Et surtout, il se rendait bien compte que justement ses écus fondaient comme neige au soleil. Mais enfin, son château était un peu plus confortable, il était temps. Mais il manquant encore du travail à faire. Donc, ses finances n'étaient pas au beau fixe, malgré que depuis peu il cumule deux fiefs et même finalement trois avec celui de Fleur. Mais il était temps de se sentir bien dans son vieux château.
Et voila qu'aujourd'hui Fleur venait la voir pour des enchères. Ce n'était pas qu'il ne voulait pas lui offrir ce qu'elle rêvait, mais au début il n'avait pas osé lui dire qu'il n'aurait pas beaucoup de moyens pour lui offrir et participer aux enchères. Mais elle était têtue, au moins autant que lui et elle le décida enfin.
Alors, ils prirent leur carrosse et ils se rendirent à Paris. Le voyage fut long et il fut heureux d'arriver enfin. Dans la grande pièce où se passaient les enchères, il ne reconnut personne, sauf Attia qu'il avait rencontré un fois ou deux.

Fleur a écrit:
Mon tendre amour, tu sembles si joyeux... J'aurai aimé partager ta joie mais ce voyage m'a complètement épuisé, sans compter les nombreuses nausées dont j'ai souffert en route. J'aimerai pouvoir me reposer si cela te convient... Cependant, je meurs d'envie d'aller admirer les robes mises aux enchères, pouvons-nous y aller?


Et bien ...

Il n'eut même pas le temps de répondre qu'il la vit aller voir les robes et ... Un habit pour homme. Pourquoi pas pour lui ? Tiens, il y pensait et il se dit que peut-être il proposerait d'enchérir pour tenter.
Alors il la suivit et il fit semblant de ne pas s'intéresser aux habits, préférant de feindre d'écouter sa femme et il se rendit compte qu'elle avait bousculé Attia. Il lui sourit et il la salua à son tour.

Bonjour Dame. Je suis heureux d'être ici et vos créations sont toujours aussi parfaites. On va tenter oui ... D'en remporter une ...
Puis répondant à Fleur :
Oui ... Je vais aller voir Sévère.

Il prit la direction de l'homme et il s'adressa à lui.

Bonjour Messire.
Je viens vous voir car j'aimerais enchérir pour trois habits. Les robes 2 et 3 et la tenue masculine. C'est possible ?
Je vous remercie.

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Attia.
Enfin les encheres avaient commencé.
Elle attendait de voir, le Sévère jubilerait sans doute de voir la noblesse se depouiller de leurs precieux ecus.
Elle souriait en regardant une derniere fois ses robes, ses petites robes, comme s'il s'agissait de ses enfants, ses robes qui portaient au moins une goutte de son sang chacune, ces robes qui étaient une part d'elle meme.

Une légère bousculade la fit sortir de sa reverie.
Elle reconnut une ancienne cliente.


- Oh dame, je suis ravie de vous voir ici, merci d'avoir fait le déplacement.
Merci pour les compliments, c'est un plaisir pour moi!


Elle s'apprettait a les laisser quand elle vit que le marié s'adressait au severe en plein exercice.

- Vous devriez attendre. Ce tour de vente concerne la robe n°1les autres suivront . N'allez pas vous attirer les mauvaises graces du priseur, il est tres caractériel.

Elle echangea avec eux un leger rire et reporta son attention sur le premier tour des encheres, priant intérieurement que Marie alice remporte la robe qu'elle desirait.

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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)
Eugenie.
Lafayotte, ou ce qui se fait de mieux pour les jeunes mondaines -ou pas- désireuses de dilapider l'écot royal et/ou leurs rentes plutôt que de fendre le crâne à grands coups de caducées nouveaux, l'auteur du torchon qu'était le Nobiliaire du Maine.

Ainsi, la Vergy avait rebondi sur sa proposition et toutes deux, clauquedillant de concert, la canne et le makhila synchro, s'étaient rendus dans les hauts lieux de la futilité. Bien malgré Eugénie -Elianor, la garce, avait bifurqué de la canne sans prévenir vers la droite- qui elle lorgnait méchamment sur la belle enseigne en bois brut de l'armurerie des Halles qui lui promettait avec délice du sang, des pleurs et de la sueur. Bien que sa nouvelle marotte fut l'arbalète, arme de jet inapproprié au combat rapproché.

Grognante Eugénie entra donc à la suite de sa comparse, la pâle copie. Et si l'une n'avait pas été plus fournie en appâts, le Sévère aurait eu bien du mal à différencier les deux blondes.

Saisie par l'un des modèles, la petite fâcherie ne dura qu'un temps, les jurons intérieurs firent silence et s'approchant de la robe convoitée, elle tendit la main sans ne rien saisir. Paris, ville de tous les possibles, et le possible c'était cette robe.

Possible dont la mise en œuvre serait sans doute compromise à ce qu'elle entendait autour d'elle sans vraiment trop écouter ni vouloir comprendre. Cette robe devait être sienne. Inspirée d'un modèle qu'elle proposa et qu'elle porta la première, jusqu'au ruban assorti, il lui était impensable, in-envisageable qu'elle soit possédée par une autre qu'elle.

Et puisque la fin justifiait les moyens, elle avisa le Sévère et annonça son choix et celui de la maigrelette Vergy par la même, balançant de gauche et de droite une petite bourse à hauteur de son makhila, comme pour signifier au Sévère que n'étant pas avare sur les petites rallonges, elle ne l'était pas non plus sur les pots de vin.


Le bonjour, je suis Eugénie de Varenne, Maréchal d'Armes Royal, Vicomtesse du Montaneres, Baronne de Domfront et de Monein. La petite blonde ci-présente m'accompagne. Elle se nomme Elianor de Vergy, Maréchal d'Armes Royal également. Elle est la Duchesse de Bellesme et possède tant de titres que ce serait vous faire perdre un temps précieux que de vous les énoncer.

Je souhaiterais enchérir sur la robe 3, mais son tour viendra. Mon amie sur la robe 1.


Puis plus bas.


Il est hors de question qu'une autre se pavane la trogne enfarinée avec ce modèle. Et ce quel que soit la couleur et le tissu. Je suis prête à mettre le prix, tant dans l'enchère que dans autre chose... Vous me comprenez ?
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Estrella.iona
Un peu en retard mais à peine, Trella arriva sur les lieux de la vente aux enchères. C'est que l'Anjou et Paris, c'est pas la porte à côté, elle avait donc voyagé avec sa copine Calyce, elle même nouvelle arrivée à l'atelier. Les deux brunettes ne se quittaient plus, à part au moment de partir pour la vente, là c'est chacune de son coté, parce que Calyce elle a quelqu'un à réceptionner et que Trella est attendue.
A sa grande consternation elle s'aperçut que son sens de la ponctualité était erroné et que les enchères de la superbe robe exclusive d'Attia avaient commencé, aussi se fit elle aussi discrète que possible parmi les gens de la haute qui jaugeaient les tissus avec des airs de connaisseurs.

Se frayant un chemin, elle rejoignit les autres couturières et les salua d'un timide geste de main. Après tout elle était la petite dernière arrivée, tant à l'atelier qu'au moment présent !

Son regard allait ça et là, regardant les gens qui misaient, quand soudain elle reconnut une silhouette qu'elle reconnaitrait entre milles, v'la Calyce qui arrivait. Pas de grands gestes de salutations pour attirer son attention qui la feraient trop se faire remarquer, juste un regard en biais à la personne qui l'accompagne...

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jake
Quand il entendit l’annonce de Sévère, il se leva aussitôt se dirigeant vers le carrosse. Cette vente aux enchères n’était pas pour lui. Il croisa son amie la Comtesse Sophie et s’approche pour la saluer.

« Bonjour Comtesse, ravi de vous revoir. Alors, quelle robe vous plairait-elle ? »

Jake était bien déçu qu’il ne puisse pas participer pour sa fiancée. De plus, visiblement, cette vente était organisée que pour les dames, vu comment l’annonce de Sévère était tournée.

Son regard fut attiré par un visage connu, un ami franc-comtois. Cela faisait longtemps qu’il ne l’avait vu. Sa dernière rencontre datait depuis longtemps. Se souvenait-il encore de lui ? Il vient à sa rencontre.


« Oh bonjour Léonin, toi aussi. Ca fait longtemps ma parole. Comment vas-tu ? »

Un sourire aux lèvres, au moins, il n’était pas venu pour rien, il y revoyait un ami de longue date et cela lui faisait bien plaisir.
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Neyco
Bon le tout avait commencer. Alors on faisait robe après robe? Piouf que de complication mais peut importait prions pour en avoir une au moins sur les 2 quelles trouvaient qui pourraient bien entendue lui aller le mieux.

Bon elle avait ses finances sures pour au moins une robe même si elle espérai secrètement ne pas y perdre ses plumes. Bon tant pis. Parchemin en main attendant suite, elle avait le tout notifier. Trop de grandes Dames aux titres tellement nombreux que même 20000 écus ne seraient surement rien. Enfin tant pis a défaut parfois au pire elle les regarderaient de loin.

Un sourire au Blink, toujours en mode on regarde les femmes, marier ou pas, elle reportât attention a Attia afin d'attendre verdict.

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Axel2fersen
Axel s'était promise de ne pas utiliser sa famille pour quelques faveurs que ce soit, elle se concentra donc davantage sur le catalogue de la demoiselle Estrella. Et s'approcha du jeune homme qui semblait assister Sévérus. Elle ne l'avait jamais encore vu à l'atelier, elle s'avança vers lui quand il eut fini de relever les papiers des duchesses et autres comtesses.

Monsieur Gigi .... excusez-moi de vous déranger je suis Axel d'Irissari, je viens souvent à l'atelier j'aurai voulu savoir s'il était possible de commander la robe 19 d'Attia pour ma fille de préférence en bleu bordé d'hermine puisqu'il existe en diverses couleurs afin qu'elle puisse arborer une somptueuse tenue de la grande créatrice lors du sacre de notre douce Reyne Béatrice.

Elle avait abandonné l'idée de la robe d'Estrella ou plutôt pas abandonné mais reporté...car le temps viendrait vite où elle reviendrait vider ses caisses d'or aux DO.
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Yolanda_isabel
Le bonheur est un concept abstrait, comme la mode, mais s'il y a une chose qui est loin d'être abstraite, c'est bien le Rose ! Car c'est bien de rose qu'elle est vêtue en ce jour fabuleux.

Oui, fabuleux, car le bonheur aussi abstrait soit-il, est une notion très simple pour Yolanda. Son frère quittera sous peu la Bourgogne pour la rejoindre à Paris, un goûter aura lieu le quatorze janvier pour qu'elle y rencontre des futurs-potentiels-surement-on n'en doute pas Princes Charmants et Béatrice, rappelez vous, la Duchesse aux macarons, sera sacrée Reyne de France le quinze janvier. Un mois chargé en émotions, auquel s'ajoute, un évènement tout sauf anodin : Une vente aux enchères organisée par l'équipe des Doigts d'Or, et comme le dirait si bien Yolanda.


_ Les doigts d'or, Z'adore ! Y aura 'ttia ? Et pis, qui ? Et pis j'aura une robe en plus ? Qu'elle sera rose et belle ? Hein Constance, j'aura ?

Oui, Attia, Attia, toujours Attia, qu'elle n'a pas vu depuis au moins une quinzaine de jours, autant dire une vie entière ; Attia, la nymphe sans qui la Princesse des Fées ne saurait être réellement princière, Attia qui pare de tous ses charmes la cadette Josselinière, Attia, encore, dont les doigts d'or créent les merveilles qui font de l'Etoile Angevine, l'Astre qui éclaire le Royaume de France, au moins de l'Anjou à la Bourgogne sans passer par la Corse. Alors, oui, Attia, enfin, non..

_ 'ttiaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! Su-suis lààààààààààààààà !

Avez-vous déjà vu un macaron à la fraise taper un sprint ?

Maintenant, oui. Et pouf ! Dans les jupes d'Attia, dans lesquelles elle se niche, faisant fi de tous et toutes. Ranafout', c'est SA'ttia ! Tremble public, l'impératrice du mièvre est présente, la quintessence de la niaiserie est dans la place, la déesse du cu-cul pralinesque te gratifie de sa présence. Tu as peur ? Tu as raison, public.

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Tsampa
L'annonce avait surgit, là, comme par enchantement, alors que la brune s'ennuyait sévèrement par un matin brumeux. Les quais de Seine étaient froids, humides, comme Paris sait l'être quand tout semble aller de travers.
C'est les enluminures qui avaient attiré son regard.
De la couleur dans la grisaille. Eclat d'espoir pour animer une journée qu'elle voyait fadasse devant des piles de parchemins, à tenter vainement de déterminer le tracé de la frontière entre le Maine et l'Alençon.

Passage rapide à l'hotel Saint Paul, minois annonçant quelques plans pas forcément appréciés de sa future moitié, sourire ravageur et cils battants, ou en deux leçons comment repartir avec une bourse emplie d'écus faire ses emplettes aux galeries Lafayotte.
Elle sait qu'il va trainer les pieds pour y aller, elle sait qu'elle va défaillir à chaque regard féminin porté sur lui, ou l'inverse d'ailleurs, qui regarde qui en premier étant finalement sans importance.
Mais ... elle veut une nouvelle robe. Caprice puéril, puisqu'elle a maintenant une nouvelle réputation à tenir, mais comme toutes ici présentes, elle n'a plus rien à se mettre, et on le sait toutes il n'y a pas plus vide qu'une malle pleine.

Déjà dans la salle, elle aperçoit sa maréchale et son clone, les blondes Guyenne et Etampes, la deuxième louchant dangereusement sur un modèle mis aux enchères.
Blink aussi est de la partie. Elle ne l'a pas revu depuis des lustres, et même s'il semble avoir vieilli, elle remarque qu'il continue de faire le joli coeur devant les dames de tous ages.

Hésitations, tergiversations ...
La 10? la 61?
En rouge? en bleu?


Dis ... on fait un crochet par l'atelier avant de rentrer?

Je vais prendre une robe d'Attia, la 10, en bleu et or.
Et j'irais commander la 61, avec la capuche, mais dans un autre coloris, demain.

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Mclegrand
Et une Tsampa sautillante qui sait pas comment demander ce qu'elle va demander... aïe.

Qu'est-ce qu'elle a encore bien pu trouver... Oula.
Une vente exceptionnelle de ... euh... vêtements ? nan mais... tu crois pas que t'en as assez des robes ? On serait obligé de ranger tes émaux dans le moulin pour mettre une nouvelle armoire chez moi !

"C'est non, non non non et non. Et re-non.
Pas question.
Puis vu où c'est, ça sera sûrement trop cher.
Non. "

[...] (plus tard, aux halles)

Ouais, bon, le résultat était prévisible, il a craqué devant son regard, et il s'est retrouvé là, aux halles (au moins, ça, elle sait trouver sans se perdre, dans Paris ! ) , avec Elle, et la regarde choisir une robe.... tss.

Evidemment, les plus belles sont pour la haute noblesse, mais bon... Il aurait dû penser à demander à Rhân, à Alix ou à Eilinn - tiens, pas vue depuis un moment, elle... faudra prendre de ses nouvelles - de venir avec lui pour tenter d'en avoir une... tant pis, une autre fois. Là, il s'agit de surveiller sa brune à lui sans en regarder d'autres histoire qu'elle ne mette pas le feu au magasin. Enfin, on peut regarder qui ya, quand même. Plein de monde bien habillé, 'videmment. Des gens souvent à Paris comme lui... et Blink rencontré en Alençon...et des gens croisés dans différentes institutions royales, sans trop savoir qui est qui ... mmh.

"Un crochet par l'atelier ?" Bah tant qu'on est là, on va quand même pas repartir les mains vides...
"La 10. La 61. "

Mc tourna son regard vers elle, fronçant les sourcils


hééé ! Ca fait deux, ça !

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Sophie
La comtesse Sophie reconnu Jake et le salua.

Bonjour Jake! La deuxième robe me plairaît énormément je vais miser 3ooo écus pour celle-là.

Bien entendu j'ai commandé à l'Atelier des doigts d'or pour faire une suprise à Cyphus.

Ah! aussi la tenue pour monsieur, évidemment pour Cyphus pour lui faire la surprise hihi

Elle écarquillait les yeux devant ses beaux modèles, elle rêvait d'avoir la deuxième et la dernière tenue pour son époux.
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--Severus_nonrigolus
Il attendit, regardant les mains se lever, essayant de reconnaitre les plus nanties le temps que son assistant revienne avec les bulletins.
L'arrivée impromptue de la Varenne, cette femme qu'il avait deja croisée a l'atelier le laissa de marbre.
Avec les nombreux pourboires qu'il avait détournés a Maitre Attia et ce que cette vente au encheres allait lui rapporter, il n'avait nul besoin de se laisser corrompre.
Il fit neanmoins un signe de tete alors qu'elle essayait son approche, on est fourbe ou on ne l'es pas.
Alors que plus aucune personne ne se manifestait pour la première robe, il claqua des doigts pour que son chien chien personnel rien qu'a lui accoure avec les bulletins qu'il atrappa presque fébriles.

Ceci fait il les depouilla soigneusement et un instant sa pupille brilla du prix qu'il vit s'inscrire sur les parchemins.
Cette vente aux encheres était splendide! Splendide.


- Bien... Pour la premiere robe de la vente nous avons 4 offres:

Dame Elianor de Vergy
Dame Marie Alice Alterac
Dame Neyco de la Franche Mariémont Casaviechi
Dame Sorane de Voiturienvenir

Apres depouillement des bulletins, j'ai le plaisir d'annoncer que l'enchere est remportée par sa grace Marie Alice Alterac.


Il ne donna pas le montant de l'enchere afin de ne pas influencer la vente qui suivra. A la fin, il pourrait jeter a la face du monde et aussi a celle de sa divine maitresse, les montants scandaleux qu'etaient prete a debourser la noblesse pour des merveilles de tissu.

Ne laissant pas le temps aux perdantes de se lamenter et ainsi decourager le reste de l'assemblée, il lanca la seconde enchere.

- Nous allons passer au second modèle.
Une superbe robe a tassel, La robe en Damas, bordé de Zibeline de Sibérie, le tassel en velours pourpre ceinturé d'un ruban de soie, coiffée d'un hénin. Mise de départ 2650. A vos encheres. Levez la main afin que Giovanni puisse venir aupres de vous. Je crois que nous avons deja plusieurs personnes interessées.


Satisfait et confiant le Sévère planait. Rien a cet instant n'aurait pu le rendre hargneux, il comptait deja mentalement les ecus.

Resultat du tirage de dés pour la premiere enchere. - http://i30.servimg.com/u/f30/12/20/65/89/encher10.png
Tirage de dés pour la seconde robe, demain dans la nuit. Je prendrai en compte les noms de ceux qui ont exprimé qu'ils voulaient la dite robe s'ils n'ont pas le temps de poster demain.


Constance_de_cleves
Constance avait eu vent d’une vente aux enchères de tenues à l’occasion du sacre de Sa Majesté Béatrice. Elle avait hâte de l’apercevoir cette Von Frayner-Castelmaure… La hâte est une chose mais elle ne suffit pas à rapprocher la Lorraine de Paris, il lui en avait fallu à la Porte Parole de Lorraine pour s’organiser, finaliser des dossiers, laisser des consignes, prendre des tenues…

De plus elle ne connaissait pas bien Paris, impossible de gagner du temps une fois sur place. Impossible aussi de changer de tenue, après tout cela pourrait justifier son achat. Sa tenue était simple pour supporter le voyage mais elle l'aimait beaucoup. Elle ne provenait pas de l'Atelier des Doigts d'Or car elle ne l'avait encore jamais visité mais ça risquait bien de changer.

Lorsqu’elle arriva enfin les enchères avaient déjà commencé. Est-ce qu’elle avait tout loupé ? Combien de tenues venaient de lui passer sous le nez ? La réponse ne se fit pas attendre.

--Severus_nonrigolus a écrit:
- Bien... Pour la premiere robe de la vente nous avons 4 offres:

Dame Elianor de Vergy
Dame Marie Alice Alterac
Dame Neyco de la Franche Mariémont Casaviechi
Dame Sorane de Voiturienvenir

Apres depouillement des bulletins, j'ai le plaisir d'annoncer que l'enchere est remportée par sa grace Marie Alice Alterac.

Mince alors… j’arrive trop tard… cette sublime alliance de cyan et de pourpre ne sera pas pour moi.

Elle se mit ensuite à chercher du regard la fameuse Marie Alice, elle se souvenait de l’avoir rencontrée en Bourgogne. Constance n’avait pas réfléchit aux personnes qui pourraient être présentes. Il était évident qu’il devait y avoir de nombreux Bourguignon, elle se demandait si elle verrait Della et son époux.
--Severus_nonrigolus a écrit:
[- Nous allons passer au second modèle.
Une superbe robe a tassel, La robe en Damas, bordé de Zibeline de Sibérie, le tassel en velours pourpre ceinturé d'un ruban de soie, coiffée d'un hénin. Mise de départ 2650. A vos encheres. Levez la main afin que Giovanni puisse venir aupres de vous. Je crois que nous avons deja plusieurs personnes interessées.

La Vicomtesse sortit alors de ses rêveries. Elle tourna à nouveau la tête vers l’estrade. Comme cette robe était belle : elle pouvait cacher les formes dues aux excès des fêtes. Ce qu’elle aimait encore plus était la coiffe.
Un rapide coup d’œil aux tenues restantes : une robe et une tenue pour homme. Elle trouvait qu’elle avait passé l’âge pour ce genre de robe donc elle leva la main pour la seconde robe. Oh oui elle la voulait cette robe !! La couleur changerait de tout ce qu’elle avait déjà.

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