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[RP] Au 30 rue du Port, chez Zakarine de l'Etoile bleue

Zakarine
La dinde fourrée aux fruits secs dorait doucement au four. Les brioches, les pains étaient déjà cuits et posés sur la table. Une grosse bûche attendait d'être mise dans le feu de l'âtre. Le Cacho fio ne serait pas exactement comme chez elle, puisque la bûche n'avait pas été bénie, mais la tradition serait plus ou moins respectée. Cette année, elle s'était surpassée. La dernière fois qu'elle avait passé un vrai Nowel, c'était chez elle chez ses parents. Là, c'était elle qui faisait la maman et c'était un rôle qui lui plaisait bien, à la Rousse.

Elle vit le père et le fils entrer dans la cuisine. Elle offrit au petit une noix qu'elle ouvrit en deux avec un couteau, en sortit deux cerneaux parfaits avant de les lui donner.


Tiens Robin. Goûte-moi ça, comme c'est bon!

Zakarine lui sourit et regarda Emeric et lui sourit à son tour.

Tout est prêt Mamour. Nous pouvons passer à table, si vous voulez. J'espère que vous avez faim!

Elle ôta son tablier et dévoila une jolie robe rouge, achetée pour l'occasion.
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Emericbr
Emeric travaillait moins, ces derniers temps. Oui, encore moins que d'habitude. Il passait une partie de son temps à s'occuper de Robin. Il allait falloir lui apprendre tout un tas de chose, à ce gamin. C'est sûrement pas dans un couvent qu'il aura appris à se servir d'une épée. Ce soir là, il jouait avec lui lorsque la fin se fit sentir dans le petit estomac.

-Tu penses qu'on peut aller voir?

- Hmmm, je pense bien. Je crois que maman nous a préparé un très bon repas, pour Nowel. Et quand elle s'y met...

Maman. Le troll ne savait pas trop comment les deux ressentaient cette nouvelle arrivée à la maison, d'autant plus qu'il n'avait pas vraiment pris le temps d'en parler avec l'un ou l'autre. Ils semblaient bien s'entendre, ce qui le rassurait. Zak s'était très vite montrée très maternelle envers lui. Quoi qu'il en soit, le temps de cette réflexion, Robin avait déjà filé voir ce qu'il passait en cuisine.

Tiens Robin. Goûte-moi ça, comme c'est bon!

Emeric entra peu après, jeta un coup d'oeil intéressé à toute la nourriture préparée avec amour. Il y avait bien de quoi nourrir tout un régiment... ou alors un troll et sa famille. Tandis que Robin goûtait la noix préparée par Choucrousse, le père en attrapa deux autres qu'il serra dans son poing. Tout en décortiquant la première à la coquille brisée, il interrogea sa belle avec un grand sourire.

Tout est prêt Mamour. Nous pouvons passer à table, si vous voulez. J'espère que vous avez faim!

Faim ? Ben quelle question... Le p'tiot est affamé, et je te parle pas du Troll ! Tiens, dis, ça ne serait pas la tradition des treize desserts, ça ?

Après avoir terminé sa première noix, il posa la seconde sur le rebord de la table, puis plaça son index par desus.

Vous voulez voir comment on ouvre une noix ?

Il arbora fièrement un large sourire, avant de donner un grand coup de front sur son index, laissant échapper le bruit de craquement de la noix. Il tria alors les morceaux pour en donner les bons à Robin.

Tiens ! C'est moins joli que quand c'est Zak qui fait, mais c'est presque tout aussi bon, et surtout, vachement plus rigolo !
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Zakarine
Et Cracccccccc. Zakarine fronça les sourcils en sursautant au bruit de la noix écrasée. Elle ne savait pas si c'était le fruit à coque ou bien le doigts d'Emeric qui avait craqué. Quand il distribua les morceaux à Robin, elle lui dit en riant.

Ah ça c'est beau! Apprends-lui des bêtises!

Elle regardait le petit garçon avec tendresse puis, son compagnon.

En effet. Ce sont les treize desserts provençaux. Alors, vous voulez y goûter ou pas? Tous à table!

Alors que l'enfant se précipitait dans la grand-salle, Zakarine s'approcha d'Emeric et l'embrassa avec tout l'amour qu'elle ressentait pour lui.

Joyeux Nowel Mamour...
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Emericbr
En effet. Ce sont les treize desserts provençaux. Alors, vous voulez y goûter ou pas? Tous à table!

Oui, mon amour... C'est très appétissant, tout ça !

Puis lorsque sa rousse s'approcha de lui, il l'embrassa longuement, amoureusement.

Joyeux Nowel Mamour...

Joyeux Nowel à toi aussi, mon ange.

Il la contempla un instant, des étoiles plein les yeux. Cette robe lui allait à merveille. Parfois, il se demandait encore comment il avait pu attirer l'attention d'une si charmante créature.

Mamour, tu es magnifique...
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Zakarine
Zakarine sourit à Emeric.

trugarez, Mamour. Allons vite dîner avant que ton goinfre de fils ne termine tout!

Elle donna sa main à son compagnon et l'entraîna délicatement vers la grande table garnie. Le souper se passa dans la joie et la bonne humeur. Juste avant de sortir pour la messe, Zakarine sortit le bel habit confectionné pour l'occasion.

Tiens Robin, c'est pour toi.

Émue, elle proposa de l'aider à s'habiller.

Tu seras aussi beau qu'un prince. Puis-je t'aider ou bien préfères-tu que ce soit ton papa qui le fasse?
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Zakarine
La course contre le temps avait suivi cette belle période de Nowel. Les mandats de mairesses avaient succédé aux missions pour la prévôté. Le 14 mai 1466, à Nantes, château du Grand-Duc de Bretagne: Sa Majesté Lemerco lui fit l'immense honneur de lui donner le titre de Duchesse du Tregor, avec tout ce que cela comportait comme tâches supplémentaires. La première à laquelle elle avait pensée, c'était de récompenser ses amis fidèles au Tregor. En compagnie du Roy d'Armes, elle avait travaillé d'arrache-pieds à la liste de ceux qu'elle voulait distinguer, quels titre leur attribuer et quels fiefs leur donner.

De plus, avec les patrouilles de l'armée qui s'enchaînaient toutes les soirées, elle n'était pas souvent à la maison. Excepté au petit matin où elle plongeait d'un sommeil profond aussitôt rentrée. Prise dans le tourbillon de la vie, elle ne se rendait pas compte qu'elle négligeait son compagnon. Pourtant, elle l'aimait comme au premier jour. Il n'y avait pas une heure ou bien une minute où elle ne pensait pas à lui. Aussi tomba-t-elle de très haut lorsque celui-ci, un soir en taverne où, pour la première fois, il se trouvait seul, lui fit part de son sentiment au sujet de leur couple. Elle devait prendre le départ vers les ports quelques heures après... Cette conversation, elle ne l'attendait pas. Pas de sa bouche à lui, Mamour. Il trouvait qu'ils étaient tombés dans la routine. Que c'était un vieux couple.. Non.. Choucrousse n'avait vraiment rien vu venir. La discussion avait vite tourné court suite à la venue de leurs amis, elle n'en saurait pas plus ce soir-là. Mais le peu qu'il en avait dit, lui travaillait le cerveau.

Alors qu'elle était sur la route vers le premier port naturel en direction de St Brieuc, son esprit était encore dans la taverne de la veille. Elle tournait et retournait les paroles d'Emeric dans sa tête. Tout ce qu'elle en déduisait, c'était qu'il désirait rompre mais qu'il n'avait pas le courage de le faire. Dès le lendemain, elle entreprit de lui écrire une lettre de rupture. Elle y mit même des mots mensongers pour le déculpabiliser. Non, son amour ne s'était pas transformé en simple tendresse, son amour à elle n'avait en rien changé.


Citation:
À Emericbr Date d'envoi Le 15 Août 1466 à 09h30
Objet .................... Expire le 02 Septembre 2018

Demat Emeric

Je n'ai de cesse de penser à ce que tu m'as dit hier soir. Je t'avoue que j'y songeais sans vouloir me l'avouer vraiment. Il est vrai que notre amour s'est transformé en la tendresse d'un vieux couple. Nous nous sommes toujours respectés et avons été honnêtes l'un envers l'autre. Pour cela, je te remercie grandement.

Comme toutes les bonnes choses, notre histoire arrive tout doucement à son terme. Nos regards ne se tournent plus dans la même direction, n'avons plus les mêmes objectifs. Je pense qu'il est grand temps que nos chemins se séparent. Je t'aurais bien écrit : avant que nous arrivions à nous détester mais cela ne pourrait jamais arriver. Je te le dis et je le pense sincèrement, tu es un homme merveilleux et toutes ces années à vivre à tes côtés ont été un vrai bonheur.

J'ai bien senti, toutefois, que tu t'éloignais de moi lors des manifestations qui se passaient à Tréguier. C'est pourquoi je prends le taureau par les cornes en te rapportant la décision la plus difficile que j'ai eu à prendre de toute ma vie. Comme tu n'avais pas trop l'air d'oser, je la prends pour nous deux.

Pour la dernière fois , da garan Mamour

Ton ex Choucrousse


La réponse ne tarda pas. Quelques heures après, elle reçut un courrier d'Emeric. Elle le lut et la tristesse l'envahit à nouveau. Il ne contestait pas. Cette fois, c'était fini et bien fini..

Citation:
De Emericbr Date d'envoi Le 15 Août 1466 à 12h58
Objet Re: .................... Expire le 02 Septembre 2018

Demat Zak,

Les mots ne me viennent pas vraiment. Sans doute est-ce pour le mieux. Et je partage tes impressions. Tu es une femme merveilleuse et intègre, et j'ai passé à tes côté des moments incroyables. Sans doute les meilleurs de ma vie. Je te remercie, pour ça. Pour l'amour que tu m'as porté et que nous avons partagé. Pour tout ce que tu as pu m'offrir. Pour ta compréhension, et pour tout le reste. Grâce à toi, moi aussi, j'ai vécu heureux, toutes ces années.

Je garderai à jamais ce vide dans mon coeur. Moi aussi, je te le dis, pour la dernière fois. Da garan, Mamour.

Emeric.

Profitant de sa solitude, Zakarine ruminait tout ça en boucle. Très peu de jours après, lors de son retour, Elle eut l'impression qu'il la fuyait. Elle voyait des silhouettes qui passaient près de la taverne sans y entrer. Elle n'en voyait pourtant pas la raison, ils s'étaient quittés mais sans être fâchés. Puis, elle repensa à une autre conversation qu'ils avaient eue, auparavant. Elle avait appris qu'il voulait partir à Vannes. Elle lui avait proposé qu'il attende son retour pour l'accompagner. Il avait refusé, lui disant qu'elle pouvait le rejoindre par la suite, elle en était restée bouche bée. Mais ne pouvait qu'acquiescer. Iscambe organisa une groupe pour partir qui n'attendait que lui. Quand il fut entré, elle sut que c'était le jour du départ. Elle alla chez lui demander des explications. C'est là qu'il lui avoua qu'ils s'était rapproché de sa tavernière. Un coup d'épée en plein coeur aurait fait moins de dégâts que cette aveu. Au moins, elle était fixée.

Il y avait pourtant bien eu des signes avant coureurs qui auraient dû la mettre en garde mais elle était aveuglée, confiante. Il n'était plus aussi affectueux avec elle lorsqu'ils se voyaient. Quand ils se croisaient en taverne, il ne restait que quelques instants. A peine avaient-ils le temps de se donner un baiser. Le fait qu'il lui ait levé les clés de la taverne sans même lui en parler, cela lui avait fait quelque chose mais elle n'avait pas osé le lui dire. Immense fierté oblige... Et puis, l'écriteau où il présentait Iscambe comme sa très chère tavernière. Où voyait-on cela de la part d'un homme amoureux? Elle avait été bien naïve.. Elle pensait que le terrain avait été bien préparé. Tout ça n'était pas arrivé du jour au lendemain. On ne se "rapproche" pas de quelqu'un sans arrière pensée, de but en blanc..

Heureusement pour elle, Zakarine avait d'autres chats à fouetter. Enfin, des vassaux à anoblir. Cela allait lui faire penser à autre chose durant un moment. Elle quitta la maison sur la plage trégorroise pour s'installer dans son domaine du Kerborzh

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Zakarine
Depuis qu'elle avait été nommée chef de port de Tréguier, Zakarine avait réintégré sa maison du bord de mer. C'était beaucoup plus pratique pour elle et puis, elle avait ses amies à proximité. Lorsque l'une d'elle avait envie de papoter, elle n'avait que quelques pas à faire. Le Kerborzh était un beau domaine mais bien trop grand, trop froid pour une femme seule. Même si de nombreux domestiques y travaillaient, il lui manquait la chaleur humaine qu'elle échangeait dans la Capitale du Tregor.

Il ventait très fort. Debout sur la terrasse, emmitouflée dans sa cape, elle recevait l'air marin accompagné d'embruns vivifiants de plein fouet sur le visage. Elle fermait les yeux. Elle respirait lentement mais profondément, se laissant envahir par un bien-être réconfortant. La mer était déchaînée. Les vagues étaient hautes. Soudain surgit une queue de ce qu'on aurait pu dire que c'était celle d'un dauphin. Zakarine se mit à rire en repensant à la conversation qu'elle avait eu un peu plus tôt dans la journée. Et si c'était une sirène? Sans doute une des nombreuses maîtresses de ce cher Chevalier Pat qui compte repeupler l'océan?. Il lui plaisait d'imaginer le pauvre Pat nageant avec une multitude de sirènes afin de leur faire la cour, ses fameuses dragées bleues dans la main précieusement gardées.

Le froid et l'humidité la pénétraient. Elle frissonna. La Rousse décida de rentrer. Dans sa bibliothèque se trouvaient de nombreux livres qu'elle n'avait pas encore eu le temps de lire, entre ses allers et venues. Ce jour-là, elle avait décidé de ne s'occuper que d'elle-même. Elle prit un bain chaud dans son baquet et se cala par la suite devant la cheminée qui lui renvoyait une douce chaleur et une belle clarté pour lire, en plus des torches accrochées aux murs de sa maison. Elle ne s'arrêta pas de lire jusqu'à l'heure du souper pour, ensuite, faire un petit tour en taverne voir ses amis avant de repartir patrouiller. Finalement, elle commençait à apprécier cette nouvelle amie qu'était la solitude. Grâce à elle, elle faisait tout ce qu'elle voulait, à l'heure qu'elle voulait, sans n'avoir de compte à rendre à personne. La liberté se payait parfois très chère mais ce qu'elle était bonne à consommer!

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Zakarine
Grâce à la course aux escargots qu'avait organisée son ami Eliossz et que Zakarine avait gagnée avec l'aide précieuse de Cagot n°14, la Duchesse avait réorganisé sa petite maison de la plage. Le premier prix étant un super grand lit de luxe, elle s'était prestement débarrassée de l'ancien, faisant table rase de ce passé qu'elle cherchait au plus vite à oublier. Elle avait passé la journée de la veille à tout déménager chez elle. Son nouvel intérieur la comblait. Presque plus rien ne ressemblait à sa vie d'avant à part, peut-être quelques souvenirs qui s'estompaient peu à peu, eux aussi. Pour son bien-être, elle avait décidé d'en faire le tri et sa tête lui obéissait au doigt et à l'oeil.

Spoiler:


Ce fut un travail ardu mais ça valait la peine! Allez zou! Un petit remontant! Je l'ai bien mérité!

Elle s'installa confortablement et sirota son chouchen. Elle retourna dans sa chambre qu'elle admira encore une fois. Son lit sentait le neuf, signe de sa nouvelle vie. Il était si grand et si confortable qu'elle avait invité Aurore pour une prochaine soirée entre filles. D'autres seraient les bienvenues si elles le souhaitaient, il y avait largement de la place!
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Aurore.r
Aurore avait préparé son petit baluchon de nuit, toute heureuse Zakarien avait accepter dépasser la soirée puis la nuit avec elle, même si la puce grandis, elle garde des envie d'enfant. Par contre, elle regarda Isadia, elle avait pas demander si Isadia pouvait aussi venir alors elle demanda a Tuche de garder sa louve qui a bien grandi aussi.
Puis une peu avant l'heure du souper Aurore, toc a la grande porte de Zakarien et l'appelle derrière la porte


ZAZOUUUUU T'ES LA C'EST PETITE PUCE

Dit elle, avec son baluchon a la main la cape trop grande quelle avait garder de son Père Alexandre, toute contante d'aller chez sa Zazou qui se retrouve seul chez elle, un peu comme elle en se moment même si elle a Tuche qui veille, et que tat'is passe aussi
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Zakarine
Toute occupée à la friture de maïs éclaté et caramélisé au miel qu'Aurore affectionnait particulièrement, Zakarine entendit frapper à la porte. Elle posa sa louche sur la table, les friandises sur des touailles propres pour lever le trop plein de gras et retira la marmite du feu avant d'aller ouvrir. Elle-même embaumait le graillon. Elle passa ses mains à l'eau claire, les essuya et enfin, alla ouvrir. Elle sourit en grand en voyant la petite, baluchon sur le dos.

Ah Roussette, tu es là! Viens entre ma puce.

Zakarine la débarrassa de son fardeau et la fit entrer.

Tu n'as pas oublié ton vêtement de nuit? Même si on va passer une bonne partie de la soirée à papoter..

Elle lui sourit et lui montra le tas de friandises sur la table.

Devine de quoi on va se nourrir?! Que de bêtises!

Elle éclata de rire en regardant l'enfante. Elle adorait cette petite fille qui, malgré son jeune âge, sentait mieux les choses que certaines grandes personnes.
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Aurore.r
Sourit voyant la porte s'ouvrir, le maïs grille avait embaumé la pièce et l'odeur s'en échappa de la porte ouverte. Se retrouve alléger de son baluchon, une fois entré des fait la cape

Peu la mettre où

Tend la cape


Oui je les ai pris son dans le baluchon avec blondine

Une fois la cape ranger cours à la table, hum le parfum des friandise en fermant les yeux. Accoudé a la table les genoux sur la chaise, tourne la tête vers Zakarine, avec un sourire

ça va être bon Zaza

Sourit d'entendre Zakarine rire, elle descendit de la chaise n'étant pas assis comme il faut. Se tient debout face à la grande rouquine, avec un doux sourire, attendant d'être guider, ne savant pas trop quoi faire, même si heureuse d'être là.
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Zakarine
Bah, j'espère bien, que ça va être bon avec tout le mal que je me suis donné!

Un petit rire et elle débarrassa Aurore de sa cape puis la pendit au porte manteau de l'entrée. Zakarine attrapa un plateau et posa tout un tas de friandises, du jus de pommes accompagné de godets et des fruits divers et variés. Elle, qui préférait le fromage, rajouta du pain pour compléter le repas sur le lit qu'elles allaient faire toutes les deux.

Allez, tu viens? Tu vas voir comme il est grand! Je ne te demanderais qu'une seule chose: c'est de manger proprement.

Le plateau dans ses mains, elle passa devant la jeune fille pour la guider. Elle posa le tout sur le chevet et alla vers l'armoire de la chambre. Zakarine en tira un grand drap avec lequel elle recouvrit le bel édredon rouge.

Et voilà, comme ça, on ne l'abîmera pas

Zakarine lui sourit et commença à se déshabiller, gardant sur elle son chainse de lin.

A toi ma puce. Tu veux que je t'aide?
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Aurore.r
Oui, Zazou, ça sera bon, toujours bon les friandise que tu m'offre.

La puce sourit a Zakarine soucieuse de la qualité des préparations. Aurore suivit Zakarine pour allez au grand lit, une fois débarrasser de la cape, faisant bon en chaleur mais aussi dans l'ambiance. La puce sautille heureuse de la soirée qui s'annonce

Y a que les groin groin qui mange comme des cochons. J'ai pas un groin et en plus j'ai des mi-mine.

Lui montre les mains propre affichant un sourire en fermant les yeux, puis les ouvres pour regarder Zakarine finir de préparé le lit et la regarde se déshabiller un peu surprise puis ferme les yeux, pour que Zakarine se change. Puis les ouvres timidement entendant Zakarine dire "A toi ma puce" sourit en voyant le chaise de lin


Oui, en tenu de nuit. Hihiiii ouiiiii. comme ça si sommeil pouf déjà prête

Sourit retire maladroitement ça chemise se retrouve les bras en l'aire la tête dans la chemise... avait oublier de dessert le laçage

Zazou ch'uis coincé

Rit de sa bêtise, portant son haillon de lin en dessus
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Zakarine
Zakarine se mit à rire en regardant Aurore faire le pitre en lui montrant ses mains propres et en parlant de groin.

Mais non, tu n'es pas un cochon, tu es mignonne comme tout! Mais, tu sais, même les grands peuvent salir en mangeant!

Alors qu'elle se déshabillait, l'enfante se cacha les yeux. Zakarine n'avait pas fait attention, ne se sentant pas le moins du monde indécente dans sa tenue. Vu qu'elle s'était coincée dans son vêtement, elle l'aida Roussette à l'ôter. Zakarine rangea les robes dans l'armoire afin qu'elles ne se froissèrent pas et attrapa le plateau qu'elle posa sur le lit. Elle s'assit en tailleur et fit signe à la fillette de la rejoindre..

Allez grimpe ma puce! Assieds-toi là, en face.. Sers-toi, si tu veux. C'est là pour ça.

La lumière des torches murales vacillaient un peu, faisant apparaître un jeu d'ombres mouvantes.

Et si on faisait un jeu? Il faudra dire à quoi les ombres sur le mur te font penser. En attendant de réfléchir, il faut remplir son estomac!

Elle craignait qu'Aurore ne se gênât, elle se servit donc la première pour montrer l'exemple.

Hummmm, que c'est bon! Goûte pour voir?!

Elle mangea en riant.
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Aurore.r
Zak ayant aidant a se mettre en tenu de nuit, sourit a la demande de monté dans le lit, se met devant le plateau face a Zakarine, comme la grande rousse.
La puce n'ose pas trop se servir, Zakarine semble le pressentir et montre l'exemple en lui disant quelle pouvait y allez


un jeu, un jeu ! chouette chouette


La puce est contante d'etre la, écoute le jeu proposer en prenant une boucher d'une friandise, en regardant les ombres, puis regarde Zakarine en lui souriant

A des petite fée qui danse, Dit elle en montrant le mure quelle regarder, ce nourri de différant francise que Zakarine avait préparé pour la soirée

Oui, c'est très bon Zazou, merci

Sourit tendrement avec quelque miettes entre les dents

Et toi tu vois quoi ?

Puis regarde ses mains qui colle un peu, puis regarde Zakarine

t'as le truc pour essuyer les mi-mines

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