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[RP] Bonzaïïï !!!

Zakakawa


Zak était dans son bureau quand le messager arriva en trombe.
Il était couvert de poussière et avait le visage de quelqu'un qui n'avait pas prit de repos depuis un p'tit moment...
Les gardes étaient près à l'occire au moindre geste suspect mais il n'avait qu'un message oral apparemment...

Parle! Lui intima le Shômin d'un ton sec.
Masuda est aux mains de l'armée du général Kesta! Et le village à été déclaré "ville franche"!
Zak fronça les sourcils.
Tu veux dire que ce n'est pas le daimyo qui a ordonné la prise de la ville?
Haï! répondit le messager.
Quoi d'autre?...
Il semblerait qu'une autre armée encercle la ville honorable Zakakawa-sama
, enchaina l'homme.
Mais on ne sait pas qui... On aurait aperçu le nobori d'Uchi...
Comment ça! On ne sait pas qui?! Uchi n'a pas 36 armées!
Zak soudain se sentit assez inquiet... Et si c'était Otomo qui les envahissait... Ils auraient fait diablement vite les chiens!...
Que sais-tu d'autre?...
L'homme secoua la tête en signe d'impuissance...
Rien d'autre, je suis venu dès que j'ai pu en me faufilant parmi les rangs des soldats...
Le Shômin hocha la tête...
Qu'on lui donne à boire et à manger!
Il fit un signe de la main pour qu'on fasse sortir l'homme de son bureau.
Tout cela méritait réflexion...

Il se servit un saké et se laissa aller en arrière sur son tout nouveau fauteuil au cuir souple, qui sentait encore bon la peau fraichement tannée...
Qu'est-ce que c'était que ce mic-mac?...
Il espérait seulement que ce ne soit pas Otomo car sans quoi s'en était fini d'Uchi...
La bande d'incapables au conseil n'avait même pas été fichu de finir le port de Masuda et à part se faire des fleurs entre familles, rien n'était sorti de ces opportunistes de première...
Masuda ville franche?
Ça voulait dire plus de fer en Uchi... Ça voulait dire plus de mine, plus de travail... La dégringolade totale...
Seul le conseil avait pu faire ça!
Quand on voyait ce qui composait le conseil, finalement, on était pas vraiment surpris...
Zak avait toujours eu de bonnes relations avec Kesta et il haïssait plus que tout ce nouveau conseil...
Il décida d'écrire un message d'encouragement au général renégat...
Citation:
Konishiwa honorable Kesta-sama!
Je viens de recevoir d'étranges nouvelles de Masuda.
Il semblerait que vous soyez à nouveau en possession du Sô, ce qui ne peut être que rassurant...
Cependant, le bruit court que la ville serait franche!?...
Je savais que ceux du conseil n'étaient pas des lumières mais là cela dépasse l'entendement!
J'aurais aimé, si ça ne vous ennuie pas, avoir quelques informations sur ce qui se passe, si cela ne contrecarre pas vos plans...
D'une manière ou d'une autre, je voulais vous assurer de mon soutien total et inconditionnel...
Vous avez su prouver par vos actions et votre dévouement que vous étiez digne de confiance et si aujourd'hui votre position est telle je suis certain que vos raisons sont plus que louables...
Si jamais vous aviez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas à m'en faire part.
Respectueusement
Zakakawa, Shômin de Myoshi et fier citoyen d'Uchi

Zak appela un des gardes et lui remit le pli...
Donnez ça au messager qu'il le porte immédiatement au général Kesta!
Préparez-lui un cheval frais, je ne veux pas avoir à attendre pour la réponse...
On lui donnera une belle récompense à son retour mais pas avant!
Allez!

_________________





Francesca
Ils avançaient difficilement dans le passage secret. En première place dans la file, il y avait un vieux garde: on mettait généralement la chair en canon en avant. Ensuite, Francesca en personne, déterminée à redevenir maitresse de la situation. Puis les trois autres la suivaient, sans la coller de trop près: titinito, pekan et pooki. Du temps de sa mandature, elle les avait envoyé dans les maison des Masuda-jins fraudeurs afin de réclamer l'impôt non-versé. Les méthodes utilisées variaient du simple rappel au coup de bâton, en passant par le chantage.

Arrivés près de la salle, elle fit un signe qui signifiait "aucun bruit". Au-dessus de leur tête, une plaque cachait l'ouverture dans la salle du sô. Elle alla y coller son oreille détectrice.




Hum … qui es tu ... homme ? Et ...quoi dis tu sans cesse « nous » ? avons ... un contrat par le passé ? Je n'en ai pas le souvenir … Avec Kesta peut être ? ... Il m'en aurait parlé ! Alors expliques toi clairement, ... seuls ici … seuls avec ces maudites chauves-souris ! Mais elles ne ... rien si tu fermes un ..., le gauche. ... calmement, et ne te fais pas de soucis, nous ... parfait.. la situation mon grand...


Le son qui lui parvenait était peu audible, mais reconnaissable: il s'agissait de l'ancien daimyo, qu'elle n'avait eu l'occasion de croiser qu'une seule fois au cours de sa vie. La bru fit un calcul mental. Elle posa sa main sur l'épaule de Pekan. Voyons...Testuo..qui parle à quelqu'un, ça fait deux.


Elle commença à presser légèrement l'épaule de Pekan, cherchant le creux.


Donc deux, oui. Ensuite, kesta? Elle en savait rien, surement. Oui! Il ne l'abandonnerait pas comme ça son Kesta..

Elle trouva le creux et pinca nerveusement un peu.


AIIIIIIIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE!
cria Pekan. Francesca ôta sa main baladeuse qui avait coincé l'artère carotide du garde. Plus le temps de penser! Ils poussèrent la plaque de bois, somme toute assez légère, et pénétrèrent en quelques secondes au sein de la salle. Bien sûr, Testuo, Kesta...et...Oshiro? étaient là, sur leur qui-vive.

Francesca dégaina son katana et quatre gardes firent de même. La poitrine assez volumineuse de Francesca lui donnait un petit air de matrone. Sa bouche fermée, son regard fixé vers Testuo, elle se concentra. Les gardes, eux, s'étaient dépliés autour de l'entrée, de sorte qu'il ne reste plus d'échappatoires.

La bru dévisagea donc testuo, puis son regard se porta sur Oshiro. Qu'est ce qu'il foutait là c'ui là? Quant à kesta, il semblait plongé dans son mutisme.


Tiens donc...la fameuse armée du kuni..On fait la tête à Munenori comme ça?


Francesca étouffa un rire. Puis fit un mouvement avec son katana.


Konishiwaa à vous. Je suis Hojo no Mariko. Enchantée...Voilà pour les formalités. Maintenant, si vous ne voulez pas que notre petite rencontre ne *petit rire*...dégénère, je vous prie de me dire ce que votre armée vient faire à Masuda?


Le face à face dans la salle du shomin commençait.

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"Dire ce qu'on pense quand tous ceux autour de vous disent ce que les autres veulent entendre"
Yoshe
Le petit matin se lève, la lumière commence à toucher les toits. Voila plusieurs nuit quelle n'avait pas fermé l'oeil, cela se voyait sur son visage.

Un bruit de pas, elle tend l'oreille, se méfit ... un soldat arrive, elle se demande bien comment il savait quelle était la ...

Elle hausse les sourcils, le regarde. Elle lève la main pour le faire stopper, l'approcher aurait été une erreur ...


Que veux-tu ? Qui t'as dis que je me trouvais ici ?Elle ne le quitte pas du regard, aimant manipuler les gens avec ses yeux qui en disent beaucoup sur ce qu'elle est.
Z'ètes Yoshe non ? Testuo m'envoit vous chercher.
Me chercher ? Pour aller ou et faire quoi ?Le soldat tente encore un pas vers elle.
Tut tut tut, ou tu vas comme ça ?
Je dois obéir aux ordres, il veut que je vous escorte au Sô.
Que tu m'escortes ... c'est une plaisanterie ? Je n'ai pas besoin qu'on me protège ... files donc retrouver les autres, je vais retrouver Testuo par mes propres moyens.
C'est pas une femme aussi petite que vous qui va me dire ce que je dois faire!! J'ai ordre de vous escorter je ne partierai pas sans vous!!

Il commençait sérieusement à l'agasser celui la.

Elle le regarde, sourit malicieuse, fait un pas en arrière pour se retrouver sur le rebord du toit. Encore un pas et c'était le vide.
L'arc et les flêches dans son dos, son katana à la taille, elle lui fait un clin d'oeil avant de disparaître dans le vide.

Elle attérit sur un balcon à l'étage juste en dessous, levant la tête pour regarder l'abrutit qui est penché sur le toit.

La voila arpentant les balcons, étages, toits pour se rendre au Sô.
Yoshe entre par derrière. Du mouvement dans le Sô, des bruits de pas, des grognements, nul doute Testuo n'était pas loin

Elle arrive devant la porte du bureau ou des gloussements de donzelle se font entendre.
Des gardes sont la, elle se glisse derrière l'un d'eux lame sous sa gorge et jette un oeil pour compter les nombres de gardes à abattre si cela tourné mal ...

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Yoshe
Puis ... pourquoi attendre que cela tourne mal ?

Les yeux de Yoshe s'assombrissent, la lame tranche la gorge qu'elle tient dans sa main, le garde tombe gisant dans son sang.

Les gardes entournant Francesca se retournent, un sourire malicieux envahit le visage de la belle. La lame fend l'air sans oublier un seul garde.

Le second eut droit de se retrouver à terre les tendons à l'arrière des chevilles tranchés, le troisième les boyaux à l'air et le quatrième ... aaahhhh lui ... le bouquet final ! Un plaisir à lui agrandir le sourire et à lui couper les mains !!!

Manquait plus qu'à les achever ...


Une fois fait, Francesca se retrouve au milieu du bureau, entourée par la petite bande et un homme que Yoshe ne connaissait pas ...

Devait-elle mettre fin à ses jours aussi ?

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Jumanji
Aux portes du village

Cela faisait plusieurs jours que Jumanji était stationné à Masuda, il y travaillait à la mine pour le compte du Kuni, et aussi parce qu'il avait besoin d'argent, le travail se faisait rare à Matsue et les gens se battaient pour le moindre emploi... Le jour où Kesta prit la ville, il décida de plier bagages pour rejoindre l'armée de son cousin et Patriarche, Katsumoto-sama, il avait chevauché deux jours et était parvenu au domaine du Clan juste avant que les troupes ne se mettent en branle, il eut le temps de vétir sa toute nouvelle armure et mit son sabre à sa taille, il l'avait baptisé Magoroku, c'est à dire Ogresse des batailles, il choisit un cheval à la robe bai, il ne présentait pas d'aptitudes spéciales mais Jumanji se devait de faire un choix rapide. Il rejoignit la garde rapprochée du Patriarche et arriva bientôt aux portes de Masuda.

Jumanji savait que ce comportement était indigne d'un samourai mais la peur lui tordait le ventre, il n'avait jamais assisté à la moindre bataille et encore moins participé, il évitait même les rixes ayant lieu en gargote et il n'avait aucun entraînement pour les armes, il avait été adopté tout récemment dans la famille Hosokawa et il n'avait pas encore eu de réel entraînement. Il assista à l'ouverture de la bataille aux côté de Katsumoto-sama et il ne put retenir un flôt de bile envahissant sa bouche lorsqu'il donna l'ordre de se ruer dans la brêche. Les chevaux se ruèrent au galop vers les portes brisées, à la suite des fantassins, les premiers cavaliers se firent empaler sur les lances des défenseurs et Jumanji arriva devant son premier adversaire, le soldat tenta de le désarconner mais Jumanji parvint à attraper la lance et à la caler sous son bras tandis qu'il enfonçait son sabre dans le coeur de l'ennemi, il sentit la première résistance, ensuite quelque chose de mou et encore un dernier bruit métallique signifiant qu'il l'avait transpercé de part en part. Il réussit à abattre plusieurs ennemis et bientôt, sa peur initiale se mua en plaisir obscène, un sentiment de toute puissance que le contact du sabre tranchant dans sa main augmentait encore, Mangoroku semblait animé d'une vie propre tout en n'êtant que le prolongement de son bras, il continuait cependant à rester à proximité du Patriarche, même si le fait d'avoir goûté au sang avait quelque peu obscurci son bon sens, il prenait garde à ne pas s'isoler dans la marée ennemie.

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Gagner toutes vos batailles n’est par la meilleure chose , l’excellence suprême consiste à gagner sans combattre.

Sun tzu
Miziahako
QG de la contre-révolte !

Deux nuits de révolte devant le Sô. Des attaques sporadiques. Mais le Sô et la garde de Kesta tient toujours.
Non, Kesta, les masuda-jin ne sont pas tous endormis ni à ta botte.
Bon d'accord c'est pas très bien coordonné tous ça, et une grande part d'amateurisme fait partie de ces actions. Mais au moins ça à l'avantage de faire passer quelques nuits blanches à toi, sinistre despote.
Nous t'aurons à la fatigue !

Voilà ce que ruminait Mizia en voyant les révoltés revenir boitillant du Sô qu'ils n'avaient pas réussi à prendre.


-Bon on fait une petit pause les gars ! On va essayer d'améliorer notre tactique. C'est joli d'avoir essayé, et cela montre votre valeur et votre attachement à Uchi.
On ne s'endort pas ! On va lui botter les fesses à ce chou ridé ! Où sont les volontaires ? Les volontaires envoyez un courrier à Borukanu, le général d'Uchi, qu'il prenne en considération votre présence.
On ne s'endort pas : on aiguise, on aiguise, on aiguise ! Faut que ça brille, faut que ça saigne !

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Miziahako Sergent et chroniqueuse de l'armée. Officier de la Jitô.
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Sanzaburo
Il n'était plus qu'à une étape de Matsue, lorsqu'il reçu par pigeon express la missive en provenance directe de Masuda.

Il fit alors stopper le cortège de sa lance dont il était le meneur. Assis sur un des nombreux rochers jonchant l'allée, il prit connaissance alors de l'affreuse vérité sur la perte de Masuda.

Kesta en était désormais le Shomin et son armée allait vraisemblablement pas s'en tenir à un rôle de garde chiourme. Il connaissait Kesta. Il connaissait sa valeur morale, mais il savait aussi jusqu'à quelle folie il pouvait aller si son amour propre était menacé.

Sanzaburo regardât sa famille assise autour de lui. Ils étaient tous en train de le dévisager se demandant ce qui se tramait dans ma tête. Ils étaient très inquiets car ils savaient que Sanza pouvait aussi avoir des poussées de folies qui le menait à soulever des montagnes.

Sanzaburo demandât qu'on lui amène de quoi écrire et demandât également de lui amener deux pigeons. Mais surtout le pigeon de guerre qu'il avait tout spécialement entrainé pour pouvoir tuer ceux dont le message n'était pas destiné. Il avait enduit les griffes d'un poison mortel et armé son bec d'un bec en métal acéré qui pouvait couper tous les doigts d'une main même si elle était recouverte d'un gant armé.

Sanzaburo rédigeât alors deux missives une missive à son daimyo et une missive destinée à Kesta.

Dans celle au Daimyo, sanzaburo l'avertissait qu'il prenait la tête d'une mission de conciliation pour ramener Kesta à la raison en lui proposant en échange un certain nombre de concessions. mais chaque proposition de concession sera d'abord adressée au Daimyo pour accord, et ne sera donc proposée à Kesta qu'après l'aval du Daimyo.
Il attachât la missive au pigeon express et l'envoyât.

Puis il rédigeât celle pour le général Kesta:



Konni général Kesta-san

C'est en tant qu'émissaire de notre daimyo que je vous demande l'autorisation express de me laisser pénétrer seul à Masuda. Mes intentions ne sont qu'amicales et ont pour but de trouver un terrain d'entente entre vous et notre Daimyo.

J'espère que vous m'accorderez ce droit et que nous pourrons alors, autour du thé et du saké, échanger nos points de vue respectifs et de trouver des accords et des concessions des deux côtés.

J'arriverais Mardi à 15h à la porte nord de Masuda.

Je reste dans la vive attente de votre laisser passer.

Très cordialement votre
Sanzaburo, procureur du kuni et accessoirement missionnaire pour le kuni.

PS:Vous pouvez utiliser mon pigeon de guerre spécial pour la réponse, à condition que vous mettiez votre sceau devant les yeux. Il le connait et le reconnaitra. C'est la seule façon d'éviter ses griffes empoisonnées et son bac armé.


Sanzaburo laissât s'envoler son pigeon et fit un bond sur son cheval.

"Allez!!! tout le monde en scelle... y a plus une minute à perdre... nous devons atteindre Matsue à 15h...j'ai une mission urgente à faire"
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Oshan_no_oshiro


A L'INTERIEUR DU SÔ


je me répétât tranquillement sans oublier de me representer a mon ami.

c'est moi, oshiro, tu me reconais peut etre pas je me suis fait une petite coupe et mon exil a été long. je viens a toi en tant que chef de famille et chef de clan des oshan.

[i]je tenais en main mon nobori pour bien lui montrer que je n'etais pas un usurpateur.

et cette fois ci testuo m'écouta plus attentivement. il me proposa suite a ça de défendre le so,mais je n'eus pas eu le temps de répondre qu'un cri retenti venant du fond de la salle puis petit groupe entra dans la pièce par une petite trappe caché. Je reconnu de suite la deuxième personne qui entra et pour réponse a la question que m'avais demander mon ami je me précipita entre lui et francesca pour le protéger lui, mais aussi et je m'y tiendrai, pour protéger mes intérêts dans cette histoire....que venais t elle faire ici?? cela risquais de poser quelques problèmes a mes projets diplomatique. je râla intérieurement peine les hommes de francesca étais tous entrer que la porte d'entrer s'ouvrit, mais aussi délicatement que possible une femme que je ne connaissait pas entrât et sans attendre s'occupa du premier homme poster devant la porte . testuo avais tout prévu pensais je. je prit la parole [/i].

konishi wa francesca comment va tu depuis hier? ça me fait plaisir de te voir même si ce n'est pas dans les meilleurs conditions . je vais te demander de rabaisser ton arme veux tu, tu risque de blesser inutilement quelqu'un.

je posa sans crainte ma main sur l'arme esperant que l'ancienne shomin la baisse.

bon maintenant que tout le monde et la je pense que nous pouvons parler.

je me reprit aussitôt

enfin quand je dit tout le monde... il manque quand même kesta mais il sera mit au courant de cette petite réunion. viens donc prendre un siège et t'y assoir la discutions risque d'être longue

je la laissa prendre place . la petite réunion improviser pouvais commencer

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Borukanu
[À distance des mures de Masuda]

Borukanu avait reçu un message de Katsumoto sama, patriarche des Hosokawa et un autre de Miziahako. Il savait la situation très urgente, mais il savait aussi qu’Otomo rôdait non loin, comme des loups attendant le bon moment pour sortir leur griffe et manger le mouton égaré. Le général d’Uchi avait dû s’assurer que ses troupes soient prêtes et que ceux de l’armée fédérale soient aussi prêts. Malgré l’urgence de Masuda, il n’avait pas pris trop de chance et avait gardé des troupes positionnées pour accueillir les armées d’Otomo qui pourrait arriver.

Suivi d’une troupe portant les couleurs d’Uchi et d’autres de ceux des Heishi, Borukanu arriva à vue du rempart de Masuda. Il demanda à ses troupes de rester dissimulé pour le moment. Il se dirigea avec sa garde rapprochée vers le campement de la famille Hosokawa. Il voyait quelques soldats blesser par ci et par là, il devait y avoir déjà eu quelques combats de ces troupes. Il était toujours très désavantageux de sous-estimer un ennemi. Il rechercha le patriarche Hosokawa parmi ces troupes pour enfin le trouver. Avant de lancé les troupes prendre le village, il préférait connaitre mieux la situation. Les rapports qu’il avait reçus n’étaient pas toujours exacts. Il savait que le procureur voulait parlementé avec eux, malgré qu’il se disait qu’il était du seul pouvoir du Daimyo de le faire, se serait pas à lui d’empêcher le Sanzaburo san de faire ce qu’il veut.


Le patriarche Heishi s’arrêta où on lui avait indiqué. Il trouva enfin le patriarche. Il s’inclina rapidement par respect, car il avait bien d’autres choses à penser.

Konnichiwa Katsumoto sama, je vois que vous avez eu de durs combattants. Pouvez vous m’expliqué en détail la situation pour que nous puisions rapidement arranger les choses.

Il attendit la réponse avant de prendre quelques décisions que ce soit sur la situation.
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Miziahako
Masuda : 3ème jour !

Un informateur vient d'arriver au quartier de la résistance Uchienne. Il glisse discrètement à l'oreille de Miziahako une annonce de la plus grande importance.

- Quoi ?!!? Il n'y a plus d'administrateur au Sô ? Kesta a quitté les lieux ? Et ? Plus de chef de port non plus ?!!!
C'est une porte ouverte ou je ne m'abuse ? Tout ce qui le peuvent à l'assaut !!!


s'exlame-t-elle.

Comme d'hab, cela n'était pas très bien raisonné...

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Miziahako Sergent et chroniqueuse de l'armée. Officier de la Jitô.
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--Bruce
Cette folle furieuse lui avait ouvert l’arcade sourcilière avec son foutu éventail ! Il pissait le sang comme un porc le Bruce, l’était franchement pas de bonne humeur.

Il planta un regard noir sur la femme qui lui faisait face. Il s’imaginait déjà en train de serrer sa petite gorge si fragile après lui avoir retroussé son Hakama. Elle comprendrait rapidement qui est le plus fort ici. Elle n’avait pas intérêt à faire trop sa maline si elle ne voulait pas finir déshonorée.

L’idée excitait le mercenaire, il en bavait d’envie. Il aimait lire la peur dans les yeux des femmes. Elle finissait toute par se laisser faire. Elle comprenait qu’elles avaient tout intérêt à ne pas trop se débattre si elle ne voulait pas mourir étouffée. Certaine parfois ne comprenait pas et perdait la vie…

Francesca dut avoir un pressentiment. Elle l’expédia pour tuer un garde, ce qu’il fit sans aucune classe. Il planta volontairement son Katana dans le ventre de sa victime, puis retira l’arme d’un geste lent. Il aimait voir souffrir les gens, il aimait voir dans les yeux de sa proie, la vie s’en aller. Il toisa l’homme quand il fut à terre et rit.

-C’était pas ton jour de chance mon gars !

Le gars se vidait lentement de son sang, agonisant devant les pieds de Bruce. Il aurait pu l’achever mais il ne le fit pas.

Il cracha sur l’homme en train de mourir et suivit la troupe de Francesca en gardant ces distances cette fois. Elle ne l’avait pas remarqué, tant mieux !

Il n’entra, d’ailleurs, pas dans le Sô. Il se cachait dans les ruelles sombres. Il guettait. Il la voulait. Il l’attendait.

Il s’assit dans un coin, ignorant la foule devant le Sô. Il était immobile dans un coin sombre, à l’affut du moindre mouvement suspect.
Miziahako
Masuda 4ème jour :

La troisième révolte avait avorté : l'annonce ayant été donné trop tard.

Mais là au petit matin, dans les brumes, dans la mumu de Masuda, le grand rassemblement avant l'attaque avait eut lieu, les volontaires se comptaient sur les doigts d'une main, il fallait en trouver encore. Parmi eux un leader avait été trouvé pour mener à bien la révolte et prendre les rennes du Sô. Bien sûr, certains sombres crétins espéraient tout aussi profiter de la révolte pour se retrouver à la tête du Sô.
Mais qui pouvait mieux rivaliser à ce poste que Yakitori, l'actuelle tribun de Masuda, Masuda-jin de naissance depuis fort longtemps, dont le charisme aurait fait pâlir ce sombre Kesta, ci celui-ci était encore dans les murs du Sô. Mais ce matin, la garde était ridiculement appauvrie, les bannières du renégat avait deserté le lieu.
Certes, certains se sentaient imbu de défendre ce Sô vide, cette porte ouverte à l'envahisseur Otomo, des personnes avec rien dans la cervelle sans aucun doutes. Alors que des Bâteaux battant pavillon Otomo se concentraient actuellement au sud de notre ile.

Mizia avant d'ouvrir la porte et de se lancer à l'assaut du Sô, fit une petite prière. Pourvu que les kamis qui veillent à la destinée du futur Shomin de Masuda puisse l'entendre...


Ô Kami du charisme de l'Uchi-jin, entendez ma prière : faites que le vainqueur de cette journée, le leader qui sera mis à la tête du Sô pense à mettre l'armée de Kesta en ennemi de Masuda à la première minute où il pénétrera dans son bureau. Je passerais une semaine en retraite, pour vous prouvez ma dévotion et mon respectueux respect. Arrigato.

Mizia sorti sur la place, respira un grand coup et gueula :

Masuda-jin ! Pour laver le déshonneur de Kesta !

En Avant Toute !!!!!!!!!!

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Miziahako Sergent et chroniqueuse de l'armée. Officier de la Jitô.
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Torii

Torii passait par là et par curiosité, car c'est la première fois qu'il entrait dans la gargote du Daimyo Uchi Comme il a vu que l'Honorable Miziahako avait posté, il eut l'idée de venir lire ses écrits Bon il était un peu contrarié de lire le titre Bonzaï qui en Japonais veux dire Arbre nain il n'y avait aucun rapport avec ce noble art dont Torii s'y adonne quotidiennement Mais après lecture des messages, il y avait beaucoup de chance que c'était Banzaï que l'on voulu nommer ce sujet ........... trêve d'orthographie ou de syntaxe, il répondit à l'Honorable Miziahako .....


Konbawa Honorable Miziahako,

Nous de notre côté pas de soucis nous sommes toujours près pour vous suivre, sauf qu'une date a été annoncée et qu'il serait plus sage de s'y tenir, vu que nous avons eut consigne que l'on travaillasse aujourd'hui


Torii après avoir salué respectueusement l'Honorable Miziahako, alla travailler pour avoir de quoi ce substanter afin d'être en forme ........
Kiwa


Kiwa était fatiguée d'être bousculé, par cette ruée de pauvres abrutis, qui pensaient pouvoir reprendre le Sô, juste en restant devant.
Elle décida donc d'aller faire un tour, elle fit signe à deux acolytes de la suivre.
Dès que l'on s'éloignait de la place, peu de monde dans les rues, les gens se terraient dans leurs maisons. Il est vrai que l'atmosphère était plus que lourd à Masuda.
Les ruelles étaient sombres, l'obscurité s'épaississait rapidement.
Tout à coup des murmures s'échappa dans la nuit.
Elle fit un signe à ses compères et silencieux comme des chats ils rampèrent vers les deux silhouettes qui ne se doutaient visiblement de rien car elles continuaient leurs conversations.
« C'est pour demain à l'aube ... »
Kiwa savait qu'elle devait les neutraliser, Le devoir d'un soldat n'est pas de sauver sa peau, mais de se battre.
On me donne un ordre, je n'ai qu'à l'exécuter, se dit-elle comme pour se rassurer.
Elle murmura : Bien les gars, on y va.
Il n'y avait qu'à tendre la main pour les faire prisonniers... rien ne paraissait plus simple.
Mais...A peine ils se redressèrent, que les hommes avaient déjà sorti leurs katanas. Il y eut un cri et l'attaque s'engagea.
Allait-elle mourir aujourd'hui ?
Le combat semblait interminable. Un des deux adversaires fut touché mortellement.
Un bruit métallique siffla dans mes oreilles, à peine le temps de tenter d'esquiver, que je sentis la lame traversée ma chair, je venais d'être touchée à la cuisse. Un voile de sang rouge perlait le long de ma jambe.
Le second touché à l'épaule, tomba comme une pierre.
Il fut tiré par les pieds dans la ruelle, il s'accrochait à la moindre aspérité et reçu tant de coups de pieds sur les mains qu'elles furent réduites en bouillie. Le bougre criait comme un animal blessé.
Il se mit à trembler de tout son corps, à blêmir, à rougir. Sa bouche s'ouvrit pour un bruit animal, se mit à vaciller, ses yeux s'agrandirent et devinrent fixes.
Cela devait être la fin.
Allez, rentrons, nous méritons notre saké.

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Kesta


Que d'émotions... Depuis que le spiritisme l'avait frappé, il méditait dans une salle vide... Enfin, à ce qu'il croyait. Il devait entendre des voix car des gémissements et autres couinements parvenaient à ses oreilles... et ça ne provenait pas de l'extérieur. La voix stridente parlait de clan, d'alliance, que sais-je encore ? Et le barbu semblait présent aussi, car il reconnu aussitôt ce cher Testuo qui avait l'air de divaguer un peu suite à une prise massive de saké ou d'opiacées.
Kesta fini par sortir de cette reposante méditation, il avait pris quelques décision. Avant toute chose, il leva les yeux et découvrit Oshiro.

Gnéé ?? Tu fais quoi toi ?!

Son regard se porta alors sur son ami velu. Complètement pété.

Comment t'as pu le laisser entrer ici ? On avait bien dit personne sauf nos gars et Francesca.

C'est alors que la dite Francesca, ancienne shomin fit son entrée en scène. Immense sourire venant illuminer le visage du bakemono, son rictus en avait un aspect diabolique. C'est qu'elle était menaçante la Francesca.... Bon, elle n'avait pas été consciente de sa contribution, passons.

Ohayôo Shomin sortante. Je serais très bref, et il faudra m'excuser si j'expédie ça en vitesse : je t'ai "invité" ici pour te remercier, mais je constate que tes intentions sont loin d'être cordiales à mon égard...

Il frappa dans ses mains, aussitôt la douzaine de furieux armés qui faisait office de conseillers à Masuda déboula dans la salle. Kesta fixa froidement Francesca, et surtout les quatre fidèles qui l'accompagnait. Déjà trois d'entre eux qui se tenaient devant l'accès au bureau su sô se retrouvèrent immédiatement au sol, impuissants lorsque la porte fut proprement défoncée. Le dernier, debout sur ses jambes flageolantes avait l'air sur de point de pleurer.

Désarmez ces rigolos et donnez les en pâture, qu'ils soient massacrés lentement, qu'ils servent d'exemple au peuple. Quant à elle, on la prend en otage. Ligotez là.

Désolé chère Francesca, le temps me manque et on a vraiment pu le temps de faire dans la finesse.

Sitôt dit sitôt fait, les gardes du corps de Francesca furent expédier vers leur mort. Quelques minutes après, tous entendraient des hurlements déchirants alors qu'ils étaient massacrés en publique, juste devant le sô. Francesca était ligotée et fut laissé sans baillon, non sans avoir crevé un oeil à un des soldats de Kesta. Une véritable tigresse, la bouseuse faisait honneur à sa réputation de teigne.

Toi
Oui ?
Va chercher Bruce, il sera chargé de tenir notre invitée à l'oeil.... Je veux qu'il rapplique ici sans tarder. et ramène aussi un toubib, qu'il nous retrouve au campement déserté. L'éborgné charcuté aura besoin d'être soigné par des mains expertes...

Lançant un regard noir à Francesca.

Haï Daishô Kesta
Et profites en pour annoncer à la populasse que notre mission à Masuda est terminée. Dis aux gars de se rassembler hors de la ville. On laisse juste l'équipe en faction devant le sô. Que les bras cassés se révoltent, Mizihako et les siens n'auront pas de mal à forcer la serrure car personne ne va défendre. Nous partons immédiatement.
Entendu, j'y vais.


Et son émissaire partit accomplir sa mission sans broncher. C'était incroyable... Un peu d'action matait la connerie, ils étaient presque disciplinés... Mais il ne s'attarda pas sur cette pensée et se reporta sur Francesca.

L'ami Bruce s'occupera d'éclairer ta lanterne quand le moment sera venu. Moi même je suis assez pressé, et Testuo ici présent est tellement défoncé qu'il me refait le coup des chauves-souris.

Daishô Sama ?
Quoi encore ?
J'ai des missives.... J'crois qu'c'est pour toi.


Sourire radieux à nouveau... Enfin, quelqu'un réagissait.
Donne.

Une pointe de déception : la première arrivait tout droit du sô de Miyoshi. Kesta aurait préféré traiter avec le conseil.... Mais il estimait le shomin Zakakawa et ce dernier méritait une réponse. Réponse griffonnée hâtivement :

Citation:
A l'intention de Zakakawa Dono

Ohayôo Miyoshi no shomin,

Mes remerciements distingués pour votre message, votre soutient me va droit au coeur. Vos actes vous honorent autant à Miyoshi qu'à Nakatsu auparavant.
Je vous confirme les rumeurs qui courent à propos de Masuda : la ville est sous mon commandement pour encore quelques heures, et elle n'appartient plus à Uchi.
Vous avez toujours eu mon respect, aussi je vais vous répondre à vos désirs en vous donnant quelques explications.
Sans avoir été sur Kyushu, je me suis battu pour Uchi.... Pas comme vous avez pu le faire, mais à ma manière, depuis Honshu. J'ai toujours été fidèle à ce kuni, et je serais éternellement lié à ses terres qui sont celles où j'ai vu le jour (et la nuit). Mais l'attachement qu'on porte pour ses terres n'implique pas nécessairement l'attachement qu'un homme éprouve pour ses dirigeants.

La décision de prendre une ville pour la rendre franche a été prise suite à une pulsion Daimyale de me bannir d'Uchi comme un vulgaire pillard, alors même que j'étais encore dévoué à ce Daimyo, même si je n'avais plus de siège au conseil. J'ai donc voulu faire pression sur l'actuel conseil avec Masuda, dans le but de pouvoir être traité équitablement. Hélas, fort est de constater que c'est un nouvel échec : sans s'être donné la peine de venir en parler avec moi, je découvre que notre armée n'est plus attachée à Uchi, en conséquence, il va m'être impossible de rendre un jour Masuda et toute négociation est rompue, tout comme l'agrément d'Uchi.

J'espère que cette réponse à propos de Masuda va assouvir votre curiosité. Je m'excuse de devoir abréger si vite, mais comme vous le devinez, mes occupations sont nombreuses et le temps m'est compté. Pour être tout à fait complet, j'ai besoin de personnes de qualité dans mon équipe. J'espère que les kamis nous mettront bientôt sur votre chemin.

Que le Très Haut veille sur vous et sur les vôtres.
Kesta, bakemono en chef.


Et la valse des pigeons était loin d'être calmée. La seconde missive émanait du conseil ! Il en aurait des choses à raconter. Il répondit promptement à Sanzaburo, le temps lui était compté, il devrait s'activer mais c'était trop tentant et trop cocasse. Dehors, le massacre des garde de Francesca débutait, les hurlements tant attendu berceraient la rédaction de la missive.

Citation:
A l'intention de Sanzaburo Dono, procureur des Uchi-jins.

Ohayôo honorable,

Je suis un tantinet surpris et profondément déçu de votre message.... En réalité, j'aurais bien des choses à vous raconter, mais je ne pourrais pas trop entrer dans les détails, ayant un programme chargé et chamboulé pour vos collègues conseillers.

Première chose : pourquoi désigne-t-on un procureur pour venir traiter avec moi ? M'enfin.. Ce questionnement n'appelle pas de réponse, j'ai juste du mal à saisir ce concept.

Mardi, je ne serai pas physiquement à Masuda. Vous pouvez vous y rendre sans aucun souci avec l'armée, car elle n'y sera plus.

J'apprécie beaucoup votre initiative de vouloir me rencontrer pour parvenir à accorder nos violons, mais j'ai bien peur de ne plus rien avoir à vendre. L'idée de base était justement de pouvoir négocier sereinement, avec la ville de Masuda à la clé. Il semble que le conseil ai choisit de couper court à toute négociation... Avec ce que j'interprète comme le plus grand des mépris, sans un mot à mon égard, j'ai pu constater que l'agrément daimyal était rompu par vos soins.

Cette action aura des conséquences néfastes pour vous, et c'est bien les Masuda-jins qui vont trinquer. Il m'est désormais techniquement impossible de vous rendre quoique ce soit. Et loin de moi l'idée d'aller vous supplier d'agrémenter à nouveau mon armée, bien au contraire. Une restitution n'est plus à l'ordre du jour, vous devrez assumer de voir Masuda franche jusqu'à nouvel ordre.

De plus, je ne permettrai aucune levée d'armée en Uchi. Toute tentative de constitution sera avortée dans l'oeuf. J'entend faire une traque, et croyez moi, je tuerai quiconque essayera d'organiser une armée sans mon accord.

Voilà ma position actuelle. Que les kamis vous fassent gérer Uchi comme elle le mérite.

PS : un pigeon spécial guerre ? Là encore je ne saisis pas tellement le propos. D'autant que j'ignorais que vous vous adonniez à l'art du Katana.

Kesta, un chignon en colère


Les messagers partirent dans deux directions opposées.

De retour, Kesta contempla le sô.... Pas joli joli tout ça. Tout était saccagé, les dossiers éparpillés au sol. Le mobilier réduit en pièces. Encore une fois, pas le temps de s'en soucier....

Bon, si tout le monde est d'accord, nous partons d'ici.
Que fait on de l'autre ?


Kesta regarda Oshiro.... Il allait l'oublier. Le ton se voulait chargé d'une lourde menace.
Ah oui... Y a lui encore.... Je ne sais pas ce que tu me veux, ni comment t'as réussit à arriver jusqu'ici, mais tu vas le regretter...

Sèchement, le Daishô ordonna alors :
Virez le de là. Je veux qu'on le sorte d'ici sans que ces zoris ne touchent terre et ouvrez la porte avec sa tronche. J'avais bien prévenu que personne ne devait entrer et cet avorton m'humilie comme ça.... Je ne veux pas qu'on le tue, laissez le vivre dans la honte.

Un moment plus tard, les derniers préparatifs étaient réglés. Kesta releva alors les miliciens de leur fonction et démissionna de la sienne. En grand seigneur, il laisserait une révolte aboutir facilement.

Tout ce petit monde allait quitter cette ville devenue inutile pour lui. La suite serait sans doute épicée et indigeste pour ses opposants. Que les kamis viennent en aide à toute personne croisant le chemin des bakemonos.


Edit : 1000 excuses pour la lenteur de cette réponse. Une autre vie à gérer, et elle est particulièrement prenante en ce moment ^^

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消極的 ..
Mon drapeau blanc est toujours au sale.





















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