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[RP] "Les Glycines..." 2 Avenue du Lac

Mariceleste
Après un aller, retour rapide à Bergerac et une rencontre qui tombe du ciel et oui ça arrive. La rouquine avait rencontrée sur la route du retour une jeune damoiselle qui airer sans savoir trop ou aller. Mari l’interpela et lui demanda se quelle cherchait, la jeune dame lui raconta son histoire. Elle venait de s'enfuir d'un couvent ou elle avait était placé par un groupe de brigand qui l'avait enlevait a ça famille depuis son plus jeune age, Mari l'emmena avec elle a Sarlat.

Mari arriva très tôt avec cette jeune damoiselle, elle n'avait pas dormis mais elle était très inquiète pour ça fille. La Rouquine alla aussitôt a sa taverne avec la jeune fille, après ces retrouvailles avec Zeline et fait les présentation elle amene tout le monde a sa demeure, cela faisait très longtemps quelle n'y avait pas était. Ils partirent tous vers cette demeure, en se promenant, ils longea le Lac et arrive pas loin de chez son amie Patt et de sa propre demeure.
Elle avançait lentement mais d'un pas sur, plus elle avançait plus son coeur s'accélérait, et la voilà devant cette demeure fermée depuis très longtemps avec le troupe qui l'accompagné.


- Voici ma demeure, quand pensez vous ?
- Très jolie demeure Dame Mari, mais vas y avoir du boulot pour la remettre en état.
- Je sais et j'espère que vous m'aiderai tout les deux heinn ? Aller je vous fait visiter !
- Ouai j'vais vous z'aider ma tite Dame, v'pouvez compter sr'moi
- Je vous aiderez aussi !
- Merci a tout les deux pour votre aide.

- La visite se continuait dans la joie et la bonne humeur !

Cela faisait plusieurs années que cette demeure fut fermée. Beaucoup de chose s'y était passée des bonnes comme des mauvaises, mais la Rouquine ne voulait plus fuir, elle décide de la ré ouvrir et de si installer avec ça fille. Cette belle battisse se trouvait a coté de la demeure de Patt et pour sa fille rien de plus pratique pour aller jouer avec les triplés.
Mais avant tout il fallait l'ouvrir et voir s'il n'y avait pas des réparation a faire. Elle retrouva la clé du portillon quelle avait caché a la même place, elle sourit. Le portillon ouvert elle avance vers la grande porte de l'entrée principale, les souvenir commençait a remonter a la surface, elle souleve une pierre qui se trouvé dans une niche dans le mur et prit la clé, ouvrit et entra.

Ça y est elle avait franchit la porte d'entrée le ventre noué et une boule dans la gorge elle se dirige a la cuisine pour prendre un peut d'eau, elle en avait besoin. Elle passe dans la pièce a coté qui était le salon puis alla vers les autre pièce et monte a l'étage, il y avait quatre chambres, elle entra dans chacune d'elle rien avait changé. Elle ouvrit les fenêtres et volets de chaque chambres pour aérer Mariette sortie toute les couettes des lits puis elles redescendit et ouvrit celle du bas.
Fallait faire entrer le peut de soleil qui avait pour sécher l'humidité, après faire la poussière sur tout les meubles ect ect, il y avait beaucoup de boulot pour pouvoir y vivre. Zeline etait resté dehors avec Froissard a visiter la petite maison au fond du jardin.


- Y a beaucoup de travaille a faire avant de s'y installer mais on y sera bien. Vous acceptez de rester , vous vous occuperai de la maison et de ma fille quand je serai au travaille
- Oui effectivement y a beaucoup de travaille, j'accepte de rester et de vous aidez
- Je suis contente que vous acceptiez mon offre, merci beaucoup !! On continue la visite !

Puis fallait aussi s'occuper de l'extérieur qui en avait bien besoin, redonner vie a la petite maison qui se trouvait au fond de se jardin elle espérait que Froissard accepte de rester pour les aider car toutes seules elles n'y arriveraient pas surtout pour les taches les plus difficile.
Mais elle était bien décider a faire revivre les "Glycines"


- Froissard vous restez avec nous j'ai besoin d'un homme pour les gros travaux, puis la petite maison au fond du jardin sera pour vous, alors quand dite vous ?
- Mouai j'vais rester l'donzelles j'm'occuperais des gros travaux et du jardin, mais la mioche j'veux pas quelle traine dans mes pattes !


Mari accepta et il se mirent tous au travail jusqu'à la nuit tombée.
Ugo_
D'un regard circulaire, elle observait les nouvelles personnes qu 'elle ne connaissait, pas intimidée elle restait accrochée au jupons de sa mère, puis elle exprimait sa joie de leurs retrouvailles sans la lâcher d 'une semelle de peur de se perdre à nouveau.

Elle observait la maisonnée en activité, Mariette qui se démenait pour nettoyer la maison, afin qu 'elle y soit plus confortable pour les accueillir et Froissard qui taillait les haies du jardin, chose qui n 'avait pas été faite avant l 'hiver.


Tout le monde s 'activait à ses occupations, Zéline regarda sa mère avec amour, puis en profita pour reserrer sa petite main sur ses jupons.

- j 'Suis trop contente de r'voir, Mari, j'taime , t'sais ..hein....

Ne trouvant pas de réelle occupation elle mit une main sur un de ses yeux, puis s 'entraina à faire cligner l 'autre, comme Guy lui avait appris. Elle ferma le second fière d 'elle, puis s'exclama :

- T 'as vu Mari, j 'sais faire un clin d 'oeil, regarde moi.

Elle leva sa tête et regarda sa mère avec une main qui cachait un oeil, puis ferma le second.

- J'vois plus, ça veut dire que j'le fais bien, c 'est Guy qui m 'a dit d'faire comme ça. Puis il m'donnait à manger et m 'a fait boire d'lait, l 'est gentil Guy, Il s'est bien occupé d'moi.

Elle hocha dela tête pour approuver ses dires, comme pour se rassurer et faire comprendre à sa mère que c 'était bien réel ce qu 'elle lui racontait, que ce n 'était pas son imagination débordante qui prenait le dessus.
Mariceleste
Mari était heureuse d'avoir Zeline a ces coté, elle se sentait revivre et de voir ça fille rigoler, courir partout dans la maison mettait encore plus de la joie dans son coeur. Elle riait de la voir faire le pitre.
Tout le monde mettaient du coeur a l'ouvrage pour faire revivre les "Glycines" ils travaillèrent jusqu’à très tard dans la nuit, mais ils y étaient arrivés tout était près pour s'y installer.

Mariette avait préparé un bon repas, Froissard c'était occupé de l'extérieur puis de le petite maison au font du jardin et Mari aidée de Zeline avait nettoyés les meubles, rangé le cellier pour stocker confitures et marmelades et bien d'autres victuailles et nettoyer toute la vaisselles qui était rester intact mais couverte de poussières, ils allaient pouvoir manger le repas qu'avait préparé Mariette.
Ils se retrouva tous autour de la table pour déguster se bon repas qui sentait très bon, Mari profita de l'occasion pour donner a ça fille les cadeaux quelle lui avait ramenée de Bergerac.


- Zeline j'ai un cadeau pour toi.... nan en faite j'en ai trois je les ai ramenés de Bergerac.


Froissard, toujours avec ça tronche des mauvais jours, en fait je crois qu'il est toujours comme ça et Mariette avec un sourire qui illumine son visage les regardaient et attendait que la jeune demoiselle ouvre ces paquets.

- Aller Zeline ouvre les, j'suis curieuse, j'veux voir se que ta maman ta achetée et vue les bon gout quelle a cela doit être très jolie

Mariette souriait et voulait presque l'aider a les ouvrir. Froissard les regardait et on observa un léger sourire sur ces lèvres.

- Ouvre t'es paquets la mioche avant qu'la donzelle l'face
- Froissard j'ai décernée un léger sourire sur vos lèvres ça fait plaisir de vous voir ainsi.
- Mouai même pas vrais j'sourit jamais moi !
- J'l'ai vue aussi Froissard et j'dois dire que ça t'va bien.

La tablé se mit a rire et le repas ce finissait dans la joie et la bonne humeur, tout le monde alla se coucher après cette journée qui fut assez épuisante.

Demain sera un autre jour....
Ugo_
Sans crier gare elle ouvrit les cadeaux emballés dans des tissus aux couleurs vives. Les rubans étaient une entrave à la rapidité de la découverte, impatiente Zéline tira un bon coup sur ceux-ci, afin de voir ce qu 'était caché sous l 'emballage.

Elle poussa un cri de joie en découvrant le chapeau que ça mère lui avait offert ;

- Maissssssss......j 'voulais un comme ça, comment t'l'as su?????

Elle sauta au cou de sa mère pour l'embrasser, le chapeau posé sur sa tête, le tenant d 'une main, afin qu 'il ne tombe pas. Elle continua à déballer ses cadeaux, tout était surprise , elle ne s 'attendait pas à ce que sa mère lui en achète tant.

- MAISSSSSSSSSSSS.........D' chausses , une paire d' braies, j'voulais tout moi!!!!! Comment t' fait Mari p'savoir t'ça???? Pis tout rose, comme j 'aime sauf l' chausses noires, comme j 'aime......

Elle passa ses braies, puis enfila ses chausses, de rose et de noir vêtue, elle ressemblait à un diablotin sorti de sa boite à ressort qui aurait pu s 'écrier à sa place :

- En rose et noir m' couleurs préférées !!!! T ' gentille Mari !!!

La fillette en frémissait de plaisir à voir ses cadeaux si joliment portés. Zéline regarda Mariette et Froissard en leur montrant ses beaux atours :


- Vous zavez vous...les beaux atours q' mère m'offert ? C'est pour d'vrai j 'rien payé, pas un denier....


Elle passe son index sur ses incisives, pour bien accentuer le fait, que tout était vraiment offert.

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Le puit des désirs n 'a pas de fond
Mariceleste
[Partir

C'était un jour comme tous les autres la fraicheur du matin et les rayons du soleil qui réchauffait des qu'il apparaissait, une journée bien tranquille quoi !
La Rouquine devait partir pour quelques jours avec sa fille Zeline et un ami, mais voilà elle allait devoirs partir sans elle parce quelle était souffrante. Elle n'allait pas prendre l erisque de la faire suivre, elle ne voulait pas revivre ça se serait trop douloureux pour Mari.
Zéline avait une forte fièvre et mal a la gorge quand elle avalait, Mari était un peut inquiète comme toute les maman quand son enfant et malade. Zéline était clouée au lit et ça mère monta la voir si ça allait et lui faire de gros câlins


- Zéline j'ne peut pas t’amener avec moi tu as trop de fièvre c'est trop dangereux, reste aux Glycines avec Mariette elle va s'occuper de toi et te soigner. T'inquiète pas tout ira bien et quand je reviendrais du sera sur pieds a gambader dans le jardin et a embêter Froissard.
Je descent en cuisine demander a Mariette de te préparer un bouillon et je repasser dans la journée te faire un cälin.


Mari descendit de l'étage et alla rejoindre Mariette en cuisine.

- Mariette je dois partir quelques jours, je te laisse Zéline car elle est malade tu prend soin d'elle, je te fais confiance !
- Ne vous inquiétez pas Mari je vais bien m'occuper d'elle et la soigner, j'ai l'habitude des enfants et j'aime votre petite Zéline, elle est adorable.
- Merci Mariette et si ça s’aggrave amène là chez les nones elles la soigneront elles ont l'habitude et tu m'envoie un pigeon pour me prévenir de son état de santé d'accord ?
- Ne vous inquiétez pas tout se passera bien, elle va vite guérir, elle est très courageuse, c'est une battante.
- Merci pour tout Mariette !

La Rouquine remonta auprès de ça fille pour ne pas la laisser seule trop longtemps.....
Ugo_
Souffrante au fond de son lit, elle regardait sa mère qui avait le visage inquiet. Zéline adorait cette mère adoptive, qui la couvait comme sa propre fille. Son amour pour cette femme était inconmensurable au premier regard, elle sut que cette femme serait un ange gardien.

- Mari..J'suismalade, ça veut p'direque t'dois remttre t'voyage à plus tard...hein ! Tu vas là bas et moi j 'reste ici avec Mariette. L'saura bien m'garder, l'sait bien elle aussi s'occuper d'moi.

Entre deux quintes de toux, elle débita des paroles qui se voulaient rassurantes. Petite cependant la tête bien vissée sur ses frêles épaules, elle avait analysé la situation qui lui semblait primordiale, pour le bien être de Mari.

- Vas t'promener, moi j'm 'en moque, j'peux rien faire, j'dors tout l'temps.

De ses petites mains elle enserra celles de sa mère, puis les embrassa tout fort, comme elle savait si bien le faire, quand elle voulait exprimer son amour, auprès des personnes qu 'elle appréciait vraiment.

Elle était belle sa mère, un visage fin entouré d' une crinière de feu qu'elle portait à merveille. Ses yeux bleus, verts, reflétaient l'intelligence d 'une femme accomplie. Ses lèvres charnues accentuaient la sensualité que dégageait son aura.

- T'sais j'crois que j 'vais descendre un tout p'tit peu et ensuite j'vais dormir comme une marmotte, j'sens bien qu'c'est pas l'forme.

Elle se leva de son lit avec l 'aide de sa mère, puis descendit les escaliers de la tavernes pour aller saluer les quelques clients et habitués.

Voilà qui était fait, elle avait salué Sverker qui partait le soir même sur les chemins du royaume. Un ours cet homme qui l 'était, mais un ours au grand coeur, il allait lui manquer.

Exténuée elle s 'allongea pour s'endormir dans un sommeil profond sans rêves.

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Le puit des désirs n 'a pas de fond
Mariceleste
[Avant le départ....]

La Rouquine avait quittée ça taverne plus tôt que d'habitude, elle devait rentrer au "Glycines" parce que ça fille était malade et elle voulait passer du temps avec elle avant de prendre la route.
Elle monta a l'étage, ouvrit doucement la porte de la chambre de Zéline pour ne pas la réveiller et entra doucement.
Elle dépose un baiser sur sont front brulant puis approcha le fauteuil qui se trouvait dans le coin et s'assied pour veiller sur ça fille avant de prendre la route.

Mari prit la petite main de Zeline dans la sienne et la regarda dormir, la Rouquine était inquiète de voir ça fille ainsi, mais elle savait quelle était entre de bonne main avec Mariette.
Elle se leva lui fit un autre baiser sur le front et redescendit dans la cuisine auprès de Mariette donner les dernière consigne concerna sa fille.


- Mariette si son état ne s'arrange pas amène là chez les nones, elle la soigneront.
- Ne vous inquiétez pas Mari je vais bien m'occuper d'elle et quand vous rentrerai elle sera en pleine forme.
- Je te fais confiance, aller je dois partir maintenant, je reviens dans quelques jours.

Mari prit son sac claque une bise sur la joue de Mariette et prit la route pour Cahors.
--_mariette


Mariette était restée aux "Glycines" pour s'occuper de Zéline qui était tombée malade , la fièvre l’empêchait de voyager avec ça mère.
La petite était clouée au lit et faisait que dormir, Mariette allait la voir régulièrement et surveillait ça fièvre, il ne fallait pas que sa s’aggrave et Mari lui faisait une entière confiance.

Mariette était inquiète de voir Zéline comme ça, cela lui rappelais de mauvais souvenir, a l'époque ou elle était dans une famille pour s'occuper d'une enfant et qui était tombée grièvement malade. Elle avait dut quitter cette famille qui ne lui avait pas pardonnée ce qui c'était passé.

Elle ne voulait pas que cela recommence avec Zéline dont elle la veilla toute les heures pour être sure que tout allait bien.
Elle lui prépara des bon potages car ce n'était la seule chose quelle pouvait avaler. Si ça fièvre s'aggravait Mari lui avait demander de l'amener chez les nones qui la soignerai le temps de son absence.
Mariette avait décidée que si cela devait arriver elle resterais avec Zéline chez les nones.
Mariette prit un bol de soupe et le porta a Zéline.


- Tien ma ptite Zéline voilà un bol de soupe, il faut que tu mange si tu veux guérir très vite, elle est chaude te brule pas.
- Merci Mariette j'vais l'boire car j'veux guérir vite, j'veux que maman soit fier d'moi.

Mariette lui souriait de l'entendre parler comme cela, elle savait quelle était forte et quelle guérirai très vite.
Mariceleste
La Rouquine avait fait un aller retour sur Albi avec un ami, a peine arrivée elle se précipita aux "Glycines" rejoindre ça fille quelle avait laisser au bon soin de Mariette parce quelle était malade et ne pouvait accompagner ça mère.
Elle arriva non loin de ça demeure quelle fit accélérer ça monture qui tirait la charrette transportant des marchandises. Elle alla rejoindre l'écurie en passant par derrière la demeure stoppa son étalon et descendit de la charrette et appelle Froissard pour qu'il décharge la charrette. Elle frappa a la porte de la petite maison ou il loger.


- Froissard vous êtes là, j'ai besoin de vous ! Froissarrrdddd !!
- Ouais, ouais, ça va... j'suis là... criez pas... j'suis pas sourd heinnn !! Qué y a ?
- Faut décharger la charrette et porter les sacs de blé dans mon moulin, puis vous la détèlerai et donnerai a manger a mon étalon je repart dans pas longtemps. Merci Froissard !

Elle lui sourit et alla dans la maison rejoindre ça fille et Mariette. Elle entra et entendit des rire dans la cuisine, elle avança doucement et passa la tête pour voir se qui si passait, Mariette préparait le petit déjeuner et Zéline faisait le pitre, Mari était contente de la voir en grande forme.

- C'est moi, j'suis rentrée, alors ma fille t'es en grande forme, ça fait plaisir de te voir ainsi, aller viens dans mes bras ma chérie !!

Mariette et Zéline sursauta quand Mari fit son entrer, ça fille courut vers ça mère et lui sauta dans les bras en la serrant très fort pour ne pas quelle reparte.

- Mariii j'suis contente d'revoir, t'ma manqué ma tit maman, j'taime très fort ! Ta vue j'suis guérie maintnent j'peut aller dehors aussi.
- Oui ma chérie je vois ça , tu es très en forme. Puis se tourne vers Mariette. Bonjour Mariette, merci de t'être occupée de Zéline je savais que je pouvais compter sur toi.
- Mais ça va pas d'nous faire peur comme ça heinnn !! Reprend ça respiration. Mais j'suis contente d'vous voir a nouveau aux "Glycines" ont vas prendre le ptit déjeuner tous ensemble, il est prêt, Zéline prépare la table s'il te plait et vous Mari aller chercher Froissard.

Zéline obéit a Mariette et prépare la table, Mari ouvre la fenêtre pour appeler Froissard

- D'accord Mariette je l'appelle. Elle passe la tête par la fenêtre quelle vient d'ouvrir et l’appelle. Froissard venez prendre le petit déjeuner, ordre de Mariette !
- Ouaiiiiii j'arrive d'suite, sinon elle va m'tuer.
- Voilà il arrive de suite on peut s'installer en l'attendant.

Froissard fit son entrer dans la cuisine en passant par la porte qui donne sur la court face a la petite maison ou il loge, tout le monde s'installa et prit se petit déjeuner dans la joie et la bonne humeur tout en discutant de chose et d'autre.
Ugo_
Sa joie fut grande de revoir sa mère, elle lui sauta au cou, puis la serra tout fort, en restant suspendue pendant quelques minutes.

- J' t'aime Mariii j'suis contente d'revoir, t'ma manqué ma tit maman, j'taime très fort ! Ta vue j'suis guérie maintnent j'peut aller dehors aussi.


Citation:
Mais ça va pas d'nous faire peur comme ça heinnn !! Reprend ça respiration. Mais j'suis contente d'vous voir a nouveau aux "Glycines" ont vas prendre le ptit déjeuner tous ensemble, il est prêt, Zéline prépare la table s'il te plait et vous Mari aller chercher Froissard.


Grande fut sa surprise de revoir sa mère de si bonne heure une surprise qui la mettait de très bonne humeur. La table dressée, elle regarda Mariette,, afin que celle-ci puisse voir qu 'elle avait travaillé comme une grande fille.

Elle mangea son petit déjeuner goulûment, sans lâcher sa mère du regard. Puis les repas pris en famille lui donnait un appétit féroce.

- T 'sais Mariette m 'a bien soignée, puis l' nonnes aussi, incroyable, c'qu' elles savent faire l' biques !

D'un regard peureux elle oberva Froissard qui engendrait une frousse bleue, dans on petit coeur qui battait à mil à l 'heure rien qu'en se trouvant en sa sa présence.

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Le puit des désirs n 'a pas de fond
--_lucie




Par l'odeur d'un repas alléchée, une blondinette, souvent appelée Mini-chieuse par sa mère, avait pris la poudre d'escampette pour se ruer chez une tata des plus rigolotes. D'façon sont toutes rigolotes mes tatas et un peu folles aussi, faut dire que pour être une amie de Maman forcément... Voici donc une Lucie, pas du tout perturbée par le fait qu'elle allait encore être punie, qui marche le long du chemin qui mène chez Mari, chantonnant et ignorant, menton bien levé, la buse qui la frôle en rase-motte en poussant des cris effrayants.

M'en fiche ! Tu peux aller cafter à Mélie ou à Maman, même pas peur ! J'veux voir ma tata et pis c'est tout !!!

Du haut de ses huit années, la gamine considère que la question est réglée et continue à trottiner en direction de chez "la Rouquine à Maman". La blondinette ne frappe pas à la porte une fois qu'elle se trouve devant, c'est bon pour les étrangers ça, car Lucie des Mures considère qu'elle est chez elle chez toutes ses tatas, ce qui pourrait poser problème si tout le monde ne lui passait pas tout. Sauf Mélie et Maman, c'est des vraies dictatrices elles !! Elle se met donc sur la pointe des pieds, attrape le loquet et ouvre la porte d'un coup, entrant en trombe sans prendre le temps de refermer derrière elle et hurlant comme de bien entendu...

Tataaaaaa Mariiiiiiiiii !!! C'est ta Lucie d'amouuuuuurrrrr !!!

Mais la lune de miel est de courte durée, devant elle se tient une fillette, un peu trop proche de Mari à son gout et qui semble se croire chez elle.

Han ! Mais t'es qui toi ???????

Les prunelles d'ordinaire mauve, virent à la limite du violet, les petits poings se serrent et la mâchoire prend un air pincé. Y'allait avoir explications aux Glycines et ça n'allait pas se faire sans douleur, Lucie était désormais en mode "chieuse on"...


Mariceleste
Le petit déjeuné se passé a merveille entre les rires et les discutions, quand soudain une tornade blonde fit son entrée dans la cuisine en criant.

Tataaaaaa Mariiiiiiiiii !!! C'est ta Lucie d'amouuuuuurrrrr !!!

C'était Lucie la fille de sa meilleur amie Patt, Mini-chieuse comme on l’appelle souvent et ont comprend pourquoi des fois.
Tout le monde sursauta et se retourna, elle était là, devant la tablé, bien droite avec ces petit poing serré et ça mâchoire pincée comme a son habitude quand quelques chose ne vas pas. Elle dévisager cette fillette qui se trouvait bien trop proche de ça Tata Mari, elle se demandait qui était cette intruse qui lui piquée la vedette auprès de ça Tata Mari et ça ne lui plaisait pas du tout ça.
Y allait avoir explication et elle s'adressa a Zéline.


Han ! Mais t'es qui toi ???????

La Rouquine se leva avec cette fillette qui s’accrochait a ces jupes et cachant son visage dedans pour ne pas regarder cette furie qui était entrée sans même frapper a la porte. De temps en temps Zéline la regardait... puis elle regarda ça mère en se demanda qui était cette Lucie d'amour.
Mari sourit car elle n'en avait pas parlée a Lucie, c'est vrais quelle en avait pas eut le temps entre ça taverne, c'est champs et son échoppe, elle fit les présentation.


- AAAhh ma tite Lucie j'suis contente de te voir, et je vois que tu es toujours aussi en forme heinnn !
- Tata Mari c'est qui elle ? Elle se croit chez elle en plus, ça vas pas du tout ça
- Luciiiie ! soit plus gentille s'il te plait ! Je vais te la présenter et t'expliquer pourquoi elle est ici avec moi. Un temps de pose avant de continuer cela n'allait pas être facile pour Lucie d'entendre quelle était ça fille. Elle s'appelle Zéline, c'est ma fille, elle a six ans et je l'ai adoptée car elle na plus de parents donc je suis ça mère adoptive.

Petit pose pour voir la réaction de Lucie car pour elle cela voulait dire quelle ne serai plus la préférée et la plus chouchoutée. La tornade blonde grinçant des dents en serrant très fort ces petits poings, elle regardait sa Tata Mari puis Zéline qui n'était autre qu'une intruse a ces yeux et qui aller prendre ça place auprès de ça Tata. L'intruse était entrée dans la maison pour y rester longtemps.

- J'espère que tu sera gentille avec elle, n'est ce pas Lucie ? Zéline ma chérie, je te présente Lucie la fille de ma meilleur amie Patt qui habite la maison d’à coté. Lucie voici Mariette la nounou de zéline et lui c'est Froissard, voilà tu connais tout le monde.

Zéline sourit timidement en la saluant avec la tête. Tout le monde attendait que cette tornade blonde réagisse........
Ugo_
- Enchantée je suis Zéline, regarde j 'suis toute belle m'mère m'offert d'jolis cadeaux, tous roses bonbon !!!

Elle fit un tour sur elle même pour montre ses nouveaux atours à tout le monde:

- T 'as vu Mariette comme j'suis belle ! Viens Lucie, s'tveux jouer, moi j'veux bien jouer avec toi.

Zéline lui tendit la main pour qu 'elle s 'accroche à la sienne, elle attendait la réaction de la fillette, qu'elle ne connaissait pas, qui pourtant se voulait pleine de vie et de malice.

- T 'seras plus la préférée d'Mari...hein....Mais c 'est pas grave, elle t'aime quand même.

zéline du haut de ses 6 ans comprenait bien les événements de la vie, les sentiments, la méchanceté, la jalousie....Cependant elle était d 'une bonne nature, absolument pas rancunière, elle aimait rire et s 'amuser sans penser à mal.

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Le puit des désirs n 'a pas de fond
Ugo_
Zéline entre en courant, puis lance d 'un ton sonore à Mariette :

- Mariette, on mange en famille, c 'est m'mère qui l 'a dit !Moi j'vais m'reposer, l'curé fait pas l'messe, tous l'dimanche c 'est comme ça !

Elle se dirigea vers sa chambre puis décida que cette matinée serait faite pour se reposer. Tout en enlevant ses vêtements, elle resta dans ses pensées du jour.

L'm 'énerve l'Guy à toujours m'baver d 'ssus ! On dirait qu'il prend un malin plaisir à l' faire

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Le puit des désirs n 'a pas de fond
--_mariette


Mariette était comme a son habitude dans la cuisine c' était ça pièce préférée car elle adorait cuisiné surtout pour une famille qui apprécie les plats quelle prépare.
La jeune donzelle aimait inventé des recettes et avec les légumes frais du potager c'était un régale de les cuisiner.

C'était le jour du seigneur et elle savait que M'dame Mari et Zéline serait en ville pour la matinée, elle voulait leur faire un bon repas et demanda a Froissard de cueillir des légumes pour le repas. Elle ouvra la fenêtre et appela Froissard pour lui demander qu'il cueilles quelques légume pour le repas.


- Froissard cueille moi tout les légumes q'ta dans l'potager steuplait et tu m'posra le panier sur la f'nêtre, merciiiiiiiii !
- Ouaii j'te ceuille ça dans quelques minute, là j'suis occupé a réparer un outil.

- D'accord prend ton temps heinnn... j'attendrai.

Puit elle referma la fenêtre, quelque minute plus tard Froissard arriva dans la cuisine avec un gros panier remplie de légumes. Elle commença a préparer le repas avec ces premiers légumes que Froissard avait fait pousser dans le potager. Elle était heureuse ici et chantonnait en faisant la cuisine quand soudain une petite tête rousse passa la porte de la cuisine et cria.

- Mariette, on mange en famille, c 'est m'mère qui l 'a dit !Moi j'vais m'reposer, l'curé fait pas l'messe, tous l'dimanche c 'est comme ça !
- Ma tit Zéline crie pas comme ça, j'suis pas sourde. A c'est bien de manger en famille surtout le jour du seigneur je commence a préparer le repas, bon bin repose toi bien alors.

Mariette avait tout se qu'il fallait pour préparer le repas et s'activa a ces fourneaux.
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