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[RP] « Les Mures… »

Pattricia
Elle éclate de rire et tourne son visage pour rencontrer son regard, menton levé.

Une grotte d'ours forcément...

Comme elle le fait souvent, elle lève la main et lui caresse la joue rugueuse. Cet homme en entrant dans sa vie avait explosé tous les critères, les résolutions et autre "on ne m'y reprendra plus". Déjà, il l'avait séduite en lui chantant des chansons paillardes, qui l'aurait cru, elle qu'on disait si souvent trop sérieuse, se laissant peu aller. Ensuite, elle s'était jetée dans cette relation sans garde fou alors qu'il avait une réputation de coureur de jupon, assez proche de la vérité, il faut bien le dire... Et puis il était tombé malade, de son côté, à plusieurs jours de cheval, elle avait tout bonnement cru qu'elle s'était à nouveau faite avoir, l'avait quitté et avait fait une co.... comme toujours dans ces cas là.

Mais la co..... avait finit par s'afficher au grand jour, et lui était resté tapis dans l'ombre, attendant son heure... Jamais personne n'avait fait cela pour elle, aucun homme n'avait été amoureux d'elle au point de tout faire pour la reconquérir. Et au moment où tout aurait pu enfin être parfait, la guerre les avait séparés pour une longue année, bien trop longue...

Il était désormais hors de question que quoi que ce soit ne les sépare à nouveau, quitte à ce qu'ils abandonnent leur métier qui fait pourtant partie d'eux. Elle n'avait jamais aimé au point de tout abandonner pour l'autre, c'était nouveau pour elle. Comme sont nouvelles ces petites phrases qu'il lui dit sans cesse, mots d'amours, compliments, déclarations enflammées, double demande en mariage. Elle avait mis des mois à s'habituer à cette passion qui habite en permanence son fiancé, elle si réservée, et bien peu habituée à ce que l'on soit réellement gentil avec elle, s'était retrouvée le visage cramoisi bien des fois, ne sachant plus quoi faire de sa personne, à la recherche désespérée d'un trou de souris. La forte en gueule était surtout une femme blessée et bien peu sure d'elle.

Mais pour le moment sa peau est parcourue de frissons, les mots forment une musique enivrante au fond d'elle-même. Un léger sourire étire ses lèvres et s'efface aussi vite pour ne former un fin trait résolu, les jades lançant presque des éclairs, ou peut-être brillent-ils de fièvre...


Ça n'arrivera pas !
Plus jamais... !

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Argawaen
Il espérait que cela n'arriverait plus jamais, cette femme avait fait de lui un autre homme. Malgré son caractère impulsif elle parvenait à le calmer, le contrôler parfois, et il avait horreur de ça... Argawaen fermait les yeux au contact de sa main sur sa joue et souriait légèrement. Il soupirait d'aise tandis que ses mains se baladaient le long de ses flancs...

Mon amour... J'ai envie de naviguer...

Et tout en disant cela ses lèvres vinrent se poser sur les siennes, laissant un doux balai se dérouler entre eux. Ce baiser se faisait brûlant, désirant, à chaque fois qu'il la voyait il ne pouvait lui résister. Cela en devenait une drogue. Lentement son visage s'écartait du sien et d'une voix rauque et désireuse il prit la parole.

Quand on dit qu'un ours est accro au miel, je le confirme...
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Pattricia
A peine a-t-elle le temps d'écarquiller les jades à son histoire de navigation que déjà il l'embrasse avec fougue ? ferveur ? passion ? 'fin un truc du genre voyez... Toujours est-il que le baiser est brûlant et leur deux corps également. Mais ils ont une mission, et pas des moindres, alors pour le batifolage... La rousse va encore devoir endosser l'uniforme de la rabat-joie, celle qui a le don d’asséner les douches froides, la pénible qui s'est fait une raison depuis quelques mois d'avoir le mauvais rôle entre eux deux...

Comme si là, tout de suite, elle avait envie de se laver méticuleusement, de se passer de l'huile sur le corps, d'enfiler une robe pas trop apprêtée pour ce bal entre villageois, et d'aller une fois de plus sévir contre un de ses enfants. Comme si elle n'avait pas plutôt l'envie viscérale de l’entraîner dans une joute amoureuse qui, cette fois encore, les amènerait pantelants et repus de bien-être ? plaisir ? jouissance ? 'fin un truc du genre voyez... Pauvre Patt qui va encore observer la déception dans le regard de son amant. "Allez, autant gâcher de suite ce merveilleux moment, si j'attends l'effet sera bien pire".


Suis-je sucrée comme du miel, où est-ce le cuivre de ma chevelure qui te conduit vers la gourmandise ?

La moue est espiègle, mais déjà elle enquille...

Ceci dit, si tu voulais bien avoir la gentillesse de me frotter le dos, nous risquons d'être en retard au bal mon coeur et j'aimerais tellement me débarrasser du moment désagréable qui nous attend avec Floris. C'est ton premier jour chez nous, j'aimerais que nous soyons enfin tranquilles après.

Et de tendre l'éponge avec une petite moue enjôleuse...
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Argawaen
Le vieux vétéran souriait à la remarque de sa rousse, si elle était sucrée comme du miel ? Il ne pouvait l'affirmer mais elle était aussi appétissante.
Alors qu'il se préparait à répondre voilà qu'elle lui annonçait un tout autre programme, celui du départ, grognant légèrement le Dehuit de Malemort se disait qu'il n'aurait pas ce qu'il voulait, en revanche il aurait droit à la frustration et la mauvaise humeur, autant dire que Floris allait en prendre pour son grade...

Argawaen ne dit mots, attrapa l'éponge qu'il serra dans sa main, il lui savonna le dos et lui rinça avec l'éponge. Elle devait sans doute plus sentir ses phalanges que le savon, signe de son mécontentement, mais après tout il n'avait rien à dire. Le vieil homme, une fois qu'il eut terminé se leva et sortit du baquet, il s'essuya avec un linge propre et se tourna en direction de la rousse. Il attacha le linge autour de sa taille afin de cacher son intimité.


Bien, je vais me préparer, Floris va rentrer à grands coups de botte dans le derrière. Je vais lui apprendre à gâcher le peu d'instants d'intimités que l'on peut avoir tous les deux.

Argawaen se pencha et déposa un baiser sur le front de sa fiancée. Il se rendit ensuite dans la chambre afin de se vêtir convenablement pour le bal, mais peu de couleurs, ce soir, il allait surtout être présent pour pousser une soufflante au fils déserteur...
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Pattricia
Ben voilà, Messire fait sa crise et son dos se retrouve rouge écrevisse, "ben voyons, passe tes nerfs sur moi j'te dirai rien...". Peu crédible n'est-ce pas ? Sans aucun doute, on est vindicative, ou on ne l'est pas. "Puisque tu le prends ainsi et te défoules sur moi mon coeur, tu vas t'en souvenir !".

Elle sort donc de la baignoire à son tour, s'enveloppe dans un tissu cachant juste le strict minimum, genre robe bustier mini pour ceux qui auraient besoin d'éclaircissements, sort dans un silence réprobateur du cabinet de toilette, ignore le brun qui se vêt, ouvre la porte de la chambre et traverse tout le rez-de-chaussée de la maison, pieds nus évidemment, et arrive dans la cuisine.

Comme de bien entendu, se trouvent là Aarhon, Souffre, et Mélie.


- J'ai besoin de toi Mélie, Monseigneur a ses nerfs,
- Hum... je vois... et c'est pour ... ?
- Oindre d'huile mon dos fort maltraité s'il te plait.
- Fort maltraité ?
- Je t'expliquerai... tu viens ?
- Bien entendu.


Et la vindicative de faire demi-tour, devant l'air ahuri du pauvre Aarthon peu habitué aux frasques patochiennes, Souffre se contentant de lever les yeux au plafond l'air de dire "j'y suis pour rien, j'l'ai pas élevée hein !" La Narbonnaise la suit donc, légèrement inquiète de l'air mal vissé de Patt, entre dans la pièce à sa suite alors que l'ours est encore en train de s'habiller, et entre dans le cabinet avec elle. La môme au loup, le menton vengeur relevé de défi, referme la porte de la pièce un peu "fermement" et laisse tomber le linge qui l'enveloppe.

- Voilà comment une certaine personne me frotte le dos de dépit sous prétexte qu'elle n'a pas le temps de me culbuter, non mais vraiment !!!
- Erf ! T'étais sale à ce point là ?
- Me cherche pas Mélie, aide-moi plutôt à calmer ma peau rougie, déjà que je suis pâle comme la mort, alors là... C'est le pompon !
- Bon bon te fâche pas, on va calmer cet échauffement...
- On vient de se taper une journée à cheval, je rentre mon fils à fugué, y'a ce fichu bal que j'ai failli oublié, et MONsieur a ses nerfs !
- Oui oui... on sait... rien que des misères...
Tu arrêtes de gigoter oui !!!

- Humphr !


Autant le fait que certains bonhommes ne fassent plus partie de la vie de la rousse arrangeait la brune, genre elle pouvait pas les sentir, autant celui-là, malgré ses manières pas toujours des plus judicieuses, elle avait bien l'intention qu'il reste. Alors laisser Patt monter dans les tours, pas question, la môme au loup allait devoir s'y prendre autrement, mais le brun allait rester, "foy de Mélie !"

Pendant que l'une se mure dans un silence boudeur, l'autre s'applique à effacer le manque de délicatesse de l'ours... "Va falloir que j'envoie une commande à notre commanditaire "d'Ibérie", à ce rythme, on risque de manquer d'huile..."

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Argawaen
Pendant ce temps le Dehuit de Malemort était en train de s'habiller, il enfila une chemise blanche, des braies noires, bottes noires, il mit son col noir et une cape de la même couleur. Il mit un veston rouge, des gantelets en cuir rouge également.
Une fois prêt le Dehuit de Malemort se rendit dans la pièce principale, il cherchait sa fiancée du regard mais il ne la vit pas, regardant son homme de main ce dernier lui fit signe qu'elle était dans le cabinet de toilette. Inclinant le visage le Dehuit de Malemort poussa la porte doucement, elle fut légèrement difficile à ouvrir, sans doute que la rousse avait du la claquer... Entrant dans le cabinet il écarquilla les yeux en voyant les marques dans le dos de sa douce, à cet instant il sentit une sorte de douleur au ventre... Son regard se tourna en direction de Mélie.


Me dis pas que...

Il retira ses gantelets, les jeta où il pouvait et s'approcha de sa fiancée.
Le bout de ses doigts glissaient le long de sa colonne, et ses lèvres vinrent épouser les marques qu'il avait laissé...


Pourquoi faut-il que je m'emporte toujours pour rien... Pourquoi suis-je si impulsif... Je te fais du mal, trop de mal...

Ses bras vinrent s'enrouler autour de la taille de sa fiancée et il la serra contre lui, le vieil homme devait vraiment devenir un peu plus civilisé dans sa vie de couple, il n'était pas avec un objet, mais bien avec la femme qu'il aimait plus que tout...
Le Dehuit de Malemort restait immobile, Patt allait surement lui passer une soufflante, mais au moins, elle serait chauffée pour faire la même chose à son fils.

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--Melie
La rousse continue de bouder, ça ne perturbe pas outre mesure la brune qui connait son amie par coeur et sait que si elle n'apporte pas d'eau à son moulin, l'autre ruminera de moins en moins.
Mais déjà l'ours fait irruption dans le cabinet de toilette, et Mélie s'écarte.

A la réaction du brun, à l'air penaud de son visage, la nounou/intendante contourne le couple, faisant mine de ranger le flacon d'huile, et en profite pour rencontrer le regard de Patt. Ses yeux lui transmettent un message du genre "il regrette va pas tout gâcher" et des jades de répondre "occupe-toi de tes affaires et sort d'ici !" La Narbonnaise fait une vilaine grimace à la vindicative pour lui montrer toute sa réprobation et file à l'angloyse, laissant le brun dans les griffes de sa harpie d'amie.

Traversant la chambre, elle en profite pour fermer les volets et prend le chemin de la cuisine ou les deux anciens sont plantés là comme des potiches.


- Vous attendez quoi ?
- L'déluge pourquoi ?
- Humphr !
- Faut comprendre hein, on s'inquiète Aarthon et moi, ils viennent à peine d'arriver, j'ai pas envie que les drames se rajoutent les uns aux autres...
- Ils tiennent l'un à l'autre, ça va se calmer, c'est juste le gamin qui risque de morfler du coup
- Arf ! Pauvre gamin, mais bon il les accumule aussi.
-Oui et à chaque fois quand Argawaen est présent. Il finira bien par s'assagir, lui si mignon et si calme quand il était petit. J'aurais plus attendu ça de son frère bouillonnant et contestataire.


La conversation se prolongea pendant que les trois adultes rangeaient la cuisine, préparaient le coche pour le couple et donnaient leur instructions à toute la maisonnée.
Pattricia
[De mai à juillet... le temps a passé]


Arga avait prévu de passer la nuit de noces à Cosnac, mais le lendemain du mariage, les triplés fêtaient leurs dix ans. Alors malgré les grincements de dents, c'était pas les premiers, et sans doute pas les derniers, le couple avait fini par abandonner les invités près du lac, et passé sa nuit de noces aux Mûres, laissant la tribu se rentrer à La Force pour quelques heures.

C'est donc le lendemain d'une nuit de noces dont nous tairons les détails, que la rousse émerge vaguement, cernée par les bras de son époux et la tignasse en bataille.


Messire mon époux tu dors encore ?

Il valait mieux commencer doucement avec l'ours, car ce dernier avait sans doute oublié l'anniv de la fratrie et, qu'en conséquence, la nuit de noces étaient bien terminée...
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Argawaen
[L'après-mariage, l'après-tout]

Leur nuit de noces avait été célébrée comme il se devait, et le nouveau couple de mariés se réveillait lentement, l'ours tenant sa belle dans les bras.
Sentant un frisson le parcourir il remonta la courtepointe sur eux puis fit un léger grognement en guise de réponse.


Oui... Comme tu peux l'entendre...

Le vieil homme souriait doucement et accentuait son étreinte, pourquoi fallait-il toujours que les bons moments ne durent jamais ?
Argawaen déposait un baiser sur le front de son épouse puis se détacha lentement d'elle, se plaçant sur le dos.
Il mit une main sur son visage et essayait d'émerger tant bien que mal.


Marié... Bague au doigt... Il va falloir être un époux digne de ce nom désormais.

Tournant la tête afin de la regarder, du moins d'un oeil puisqu'il en gardait un fermé.

Je suppose que nous avons quelque chose de particulier aujourd'hui ? Nous ne pourrons traînasser au lit.
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Pattricia
Au début, elle lui rend son sourire. Un baiser sur le front et le voilà déjà sur le dos. L'insupportable qu'elle est pense qu'il aurait pu lui donner un vrai baiser tout de même. Puis il parle, descelle t-elle une once de regret dans sa voix ou émerge t-il difficilement ? Elle ne croit pas à ces pensées polluantes, mais les vieux réflexes ont la vie dure... Mais le voilà qu'il dit une chose étrange et la vindicative finit par froncer les sourcils.

Elle se soulève sur un coude et vient se caler à moitié sur lui, regard planté dans celui de l'ours, elle sourit en coin.


Hum... Dis-moi tout mon ange, qu'est-ce tu entends par être un époux digne de ce nom ?
Aurais-tu des doutes ?
J'ai des pistes pour toi si tu veux, par exemple on embrasse sa femme au réveil, c'est conseillé.


Le regard de la nouvellement mariée est taquin et la voix légèrement rauque. Par la suite les jades s'écarquillent de surprise à la dernière phrase du brun.

Erf !. Tu commences à trop bien me connaître. Oui, nous devons ne pas trop trainer, les enfants seront aux Mûres pour le déjeuner, c'est leur anniversaire, dix ans déjà...

Il était implicite que c'était le jour de la grande révélation, elle ne voyait pas l'intérêt d'insister sur le sujet.

Je me demande qui viendra d'autre... Faut dire qu'avec les noces, nos proches ne sont sans doute pas en état de remettre ça... Tu as invité Plume au fait ?

Connaissant assez son homme pour savoir que ce flot de paroles allait le rendre grognon, la rousse en profite pour l'embrasser et enfin recevoir ce baiser qui manquait à l'appel...
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Argawaen
Il était vrai qu'il ne lui avait pas donné de baiser, il aurait pu le faire, mais il était en train d'émerger et à vrai dire il n'avait pas encore toute sa tête, enfin si, pour la suite de la journée. Il se rappelait que l'anniversaire des enfants était le lendemain de leur mariage, aujourd'hui donc, et c'était ça qui devait sans doute le travailler. Les enfants allaient savoir qui était leur vrai père, un Roy, il imaginait déjà Lucie faire sa petite Princesse...

A être moins ours, et être un homme plus attentif. Je n'ai pas envie de commettre les mêmes erreurs qu'autrefois. Et sache que je n'ai aucun doute.

L'homme caressa la joue de son épouse et déposa un tendre baiser sur ses lèvres une fois qu'elle eut terminée de le faire d'elle-même. Son regard bleuté ne quittait pas le sien.

Plume devrait venir normalement, je n'ai pas du oublier de lui écrire... Enfin j'espère pas... Aujourd'hui sera particulier pour elle aussi. J'espère que les enfants le prendront bien...

Le Dehuit de Malemort l'embrassa de nouveau et murmura...

C'était festif...

Le vétéran lui laisserait deviner de quoi il pouvait parler...
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Pattricia
Leurs baisers... Ils étaient capables de se bousiller les lèvres à s'embrasser sans fin. C'était son premier souvenir d'eux deux, un baiser, passionné, prometteur et qui les avait lié à jamais. Elle ne savait même plus à quoi ressemblait la taverne, ni exactement dans quel village ils étaient, leur armée changeait souvent de place lors de la guerre civile provoquée par Eusaias le taré. Mais les mains masculines s'étaient posées sur ses hanches et leurs lèvres s'étaient jointes.

Le cavaleur qu'il était à l'époque avait littéralement changé et elle avec, quoi que... leur nombreuses disputes et les longs mois de séparation avait eu raison de sa fidélité, mais cette erreur ne s'était jamais reproduite, et elle l'avait regretté dès qu'elle l'avait commise. Il avait développé en elle un appétit qu'elle n'avait connu qu'avec un seul homme auparavant.


Tu es attentif, et être moins ours, j'ai quelques doutes. Non pas que tu ne voudras pas faire des efforts, mais c'est ainsi que je suis tombée amoureuse de toi, pas d'un charmant nobliaux humant les roses en ânonnant des poèmes. Ceci dit, tu m'as déjà écrit de merveilleux poèmes donc...

Profitant encore et toujours de leurs baisers, la rousse fini par relever le visage et se perdre dans son regard.

C'était plus que festif, et inutile de chuchoter, il n'y a que nous ce matin entre ces murs.

Elle sourit, amusée.
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Argawaen
Ils étaient seuls, cela faisait combien de temps que ce n'était pas arrivé ?
Le vieil homme ne comptait même plus à force.
Tandis que leurs regards ne se quittaient pas il prit la parole doucement.


Profitons avant que la tribu ne revienne... Je m'en voudrais de faire les choses à moitié...

L'homme souriait brièvement, mais son regard en disait long, il était encore temps de prolonger cette nuit de noces qui s'était faite tant désirée...
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Plumenoire_
Après cette soirée … Festive ! La brunette prit Okan et se dirigea vers les Mures. Il était encore un peu tôt … mais les nouveaux mariés devraient faire avec. Plume observa un moment la porte, toujours sur Okan. Un soupire plus tard, elle sauta de sa monture et l’attacha.
Evil vint lui lécher la main et un sourire étira les lèvres de la brune.


Oui … allons y …

Plume sourit et s’approcha de la porte.

Je tambourine ? Tu penses qu’ils vont râler ? Ce serait drôle …

Un léger rire secoua la vilaine Plume et elle se mit à cogner violemment sur la porte d’entré

DEBOUT LA DEDAAAAAANS !!

Ensuite, elle s’éloigna, pouffant de rire, sachant qu’ils lui en voudraient surement beaucoup … Mais elle avait besoin de distraction, et quoi de mieux que de faire tourner les mariés en bourrique…
Pattricia
Elle éclate de rire à sa dernière phrase et face à son sourire qui en disait long.

Gourmand tu es, gourmand tu resteras... Mais je vote pour, après tout la tranquillité est si rare pour nous deux.

Se glissant complètement sur lui, se mains s'animent dans ses cheveux et elle l'embrasse goulûment. Elle est déjà partie pour de nouveaux instants de délices quand une voix connue et, à ce moment là, honnie entre toutes, se fait entendre.

Nom de ... !!!!!

Rajoutant quelques jurons bien sentis, la rousse se redresse et s'assied sur ses genoux, exhibant sans la moindre gène sa nudité et les cicatrices qui l'accompagnent.

Un infanticide avant adoption c'est péché ?
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