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[RP] TM – Campement des jouteurs

Della
[Railly fait du camping]

Pas vraiment de meilleure humeur, Railly s'aventura à mettre le bout du nez hors de la tente bourguignonne, of course.

D'après sa mère, si elle était de mauvaise humeur, irascible et nerveuse, c'était à cause de son époux qui n'était pas là.
Toujours d'après sa mère, "ça" lui manquait et cela se ressentait sur son caractère.

Mais Della n'était pas certaine qu'il faille remette tout sur "ça" ou plutôt sur le manque de "ça".
"Ca" ne l'avait jamais vraiment intéressée avant son mariage. Oh bien un petit peu, comme ça, par curiosité...Theognis avait réussi a allumé un petit feu qui, malheureusement ou heureusement, fut vite éteint. Et depuis, entre Theo et Kéri, rien...Waterloo avant l'heure.
N'empêche que cette certitude de sa chère mère commençait à lui trotter dans la tête.
Ah si seulement, Kéri et elle vivaient sous le même toit un peu plus souvent...
Il y avait bien Blanche qui était si proche d'elle, une amie en or, tendre et bienveillante, sa mie, sa Colombe. Elle lui parlerait de ce petit problème.


Dame, venez-vous passer votre armure en revue ?

Oui, voilà, j'arrive.
Répondit-elle à son écuyer, oubliant momentanément ses soucis tout féminins.



EDIT : ortho
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Aimbaud
[Tente du GET de Bourgogne — Qu'aurait préféré un ramponneau]

Et les deux lurons de se mettre à la tâche pour remettre l'armure dans l'ordre. Les pièces de métal, une à une, sont extirpées du coffre et disposées sur le sol. L'atelier est ponctué de débats constructivistes, d'amicales prises de tête et de vannes douteuses qui mettent toujours de bonne humeur...

Et enfin, le heaume trouve sa place au sommet de la carcasse disposée à terre, après qu'Aimbaud ait joué pendant trois minutes vingt-cinq à faire coulisser le rabat de fer du casque qui grinçait atrocement, près de l'oreille de son écuyère, le tout ponctué par un rire extrêmement bête. Mais passons.


Allez ! C'est pas que je m'ennuie mais j'ai un tournoi, moi. Commence donc par les jambières, Blanc-Combaz.

Il se campe, un pied de chaque côté du cadavre de fer qu'ils viennent de constituer, dans une posture de grand vainqueur. Puis il s'attèle lui-même à passer la tête entre les sangles des deux assiettes métalliques sensées lui protéger thorax et dos, avant de resserrer consciencieusement les attaches.

Il est possible qu'il ait l'air parfaitement ridicule, mais fort heureusement, lors des tournois, ils sont une bonne vingtaine à être dans le même cas. Les armures de joute, c'est tellement bling-bling...

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Anais.
[ Tente du Seigneur de Fraize – Puzzle Fraizi-Fantastique ! ]

C'est une magnifique symphonie aux airs de casseroles s'entrechoquant qui se fit entendre dans la tente du Seigneur de Fraize. Merci qui ? Merci Anaïs qui avait lâché toutes les pièces qu'elle avait dans les bras dès qu'elle avait passé l'entrée de la tente. Tant pis si elle avait perdu des bouts en route, tant pis si elle avait cabossé des morceaux -de toute façon elle ne savait pas constituer une armure et allait probablement la jouer à l'instinct- mais c'est pas vous qui deviez la porter cette fichue armure donc on ne critique pas ! Namého.

«  - J'espère qu'il ne manque rien sinon tu jouteras protégé par les bouts de ferraille que j'aurais pu trouver... »

Et ce n'était pas une blague. Elle en était capable, la fourbe.

En attendant d'éventuellement partir à la recherche d'une vieille gamelle pour en faire une genouillère, Anaïs s'assit en tailleur et se concentra sur sa tâche.
Punaise mais ils étaient chiants ces nobles ! Ils ne pouvaient pas se battre dans le plus simple appareil comme les grecs ? Bah non, fallait encore faire dans le compliqué, dans le chic, une armure ça brille, une armure ça fait du bruit et à la rigueur ça sauve la vie. Mais avant faut quand même pouvoir se la péter un peu, mais pour ça, il faut avoir mis l'armure de façon correcte. Et c'était loin d'être gagné.


«  - Je suis tisserande, pas forgeron. Je te préviens, tu as intérêt de gagner, je n'ai pas envie de me fatiguer pour des prunes ! »

Ça, c'était fait. Maintenant on se reconcentre !
Le casque. Ça c'est bon, ça se met sur la tête. La cotte de maille, tranquille, pas de soucis. Le gantelet, sans problème. Par contre...


«  - Il manque un bout ! Je le sens, je le sais. Cherche le ! Je ne peux pas continuer si je n'ai pas tout, ça me perturbe ! »

En revanche, Anaïs n'aurait su dire ce qu'il manquait. Si ça se trouve il ne manquait rien mais au moins ça occuperait le Seigneur de Fraize pendant un moment.
Tout en manipulant les pièces présentes sous son nez, la Cosnoise faisait des suppositions sur leur emplacement et tentait parfois de les mettre en parallèle avec les éléments d'une tenue masculine normale. Elle avait bien quelques idées, mais non, la pièce manquante la perturbait vraiment trop. Ana croisa les bras et fronça les sourcils.


«  - Moi je dis que ça aurait été plus simple pour toi d'effacer ma dette directement. C'était moins risqué pour ta vie. J'imagine déjà la scène. "Le Seigneur de Fraize mort durant les joutes du Trophée Minerve pour ne pas avoir mis sa..." OOOOOOOOOOOOOOOOOOOH ! »

Eurêka, elle avait trouvé !

«  - C'est le machin qu'on met autour du cou qu'il manque ! Comment ça s'appelle ? Je m'étais renseignée pourtant maieuh...ah oui ! Le gorgerin ! ... »

Et après l'illumination, la chute.

«  - Euh...j'ai rien dit. Il est là. En fait c'est bon, j'ai tout ! »

Bon en fait ledit élément (qui était plutôt conséquent) se trouvait sous tous les autres. Forcément quand on réalise ce que c'est, c'est plus facile de trouver...
Sans plus tarder elle se remit donc à la tâche et réussit à constituer -certes avec un peu de mal- l'armure d'Antonio. Cela étant fait, la jeune femme se retourna vers le Licors et d'un air tout à fait sérieux ajouta


«  - Fraize, tu veux quoi pour ton enterrement ? »

Ou comment coller la pression en moins de deux. D'un autre côté il fallait avouer que sa question était légitime, les joutes c'est pas le club med !
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Jusoor
[Tente de Jusoor de Blanc-Combaz - chandelles !]

Oh rassurez-vous Ecglaf, je ne suis pas du genre à me laisser mourir de faim...

Voila les mots que Jusoor prononça avant de faire disparaîre un des morceaux de viande dans sa bouche. L'autre binome du tête à tête pré-joutes se servit à son tour, imposant ainsi un silence de quelques minutes. Le temps suffisant pour faire taire les premiers émois des estomacs. Finalement, il rompit le jeu du mutisme et apporta réponse à l'interrogation qui n'en était plus vraiment une. A voir la préparation du matériel, Ju ne doutait pas des capacités de son écuyer.

Alors si nous sommes prêts tout va bien Ecglaf ! dit-elle en l'observant quitter la table et rejoindre le mannequin de bois revêtu de l'armure.
Tandis qu'il lui détaillait les atouts de la carapace métallique, Ju s'interrogeait, machonnant un morceau de viande tiède. Les armures de la sorte, elle n'y était guère habituée. Est-ce que ça la pincerait là justement, aux jointures ? et ça voulait dire quoi il prendrait soin d'elle ?

Vous êtes médecin Egclaf ? ou herboriste ou encore je ne sais quoi ?

Mais l'écuyer était déja en train de manipuler l'épée et faire siffler l'air dans la tente. Hummm... Elle se leva et le rejoignit quand enfin il lui présenta les lances. M'échauffer les épaules ? Soit. Machinalement elle replia son bras, ramenant sa main sur son épaule. Il jugea bon de souffler un encouragment et ne s'y trompa guère.
Oui j'y arriverai Ecglaf ! Merci de votre sérieux à la tache. Ju lui sourit aors qu'il disparaissait par l'embrasure de la tente.

La Capitaine se retourna alors vers son armure et l'étudia, la frola du bout des doigts, se demandant comment il était possible de se mouvoir dans une telle chose. Les cliquetis métalliques et le bruit de l'agitation qui lui parvinrent la sortirent de sa réflexion. Il allait être temps pour elle aussi de se préparer. Elle dénoua son bustier, ôta sa houpelande et enfila ses braies les plus épaisses et la couche matelassée qui viendraient la protéger sous l'armure.

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Marieladamnee
[Tente de la Dame de St Leger sur Dheune , pres de celle de la Dame de Salives ]



Finalement tout avait été tres vite vu que les tentes étaient montées par les organisateurs, il n'y avait eu qu'a décharger les charrettes et faire l'installation dans les tentes. Marie avait appris le rôle d'ecuyer en peu de temps. Meme si sa part à elle était plus simple. Amorri se chargeait de l'entretien des armures, elle aurait juste à aider Emma à enfiler la sienne. Bramus s'occupait du bien être des chevaux. Au final elle n'aurait qu'à aider pour l'armure, porter les couleurs de la Dame de St Leger sur Dheune et la soutenir. Elle avait hâte de connaitre le premier adversaire. Et que ça commence enfin. Elle partit se balader sur le camp ou ça s'agitait en tous sens.
Griotte
[Tente du GET de Bourgogne - Oooh Grand Ecuyer Tranchant, que tu as de belles...]

Être l'écuyère du Josselinière le temps d'une journée, c'est bien. Ça permettait à Griotte d'observer l’envers du décors durant les premières joutes auxquelles elle allait assister et en sus, son aide lui valait un échange de bons procédés qui lui permettra de grappiller une séance d’entrainement avec le GET de Bourgogne. La seule chose qu'elle n'avait pas vue venir, c'était la proximité physique qu'ils allaient devoir entretenir lorsqu'elle l'aiderait à enfiler son armure.

Jambière droite à la main, la morveuse était agenouillée à coté du jeune homme. C'était la première fois qu'elle voyait son fessier d'aussi près. D'ailleurs, elle n'avait jamais remarqué qu'il était si bien taillé. Ferme et musclé, il avait juste ce qu'il fallait de rondeurs pour donner envie à une main de s'y coller. Chose que sa dextre fit sous l'effet d'une pulsion soudaine, sans qu'elle n'ait le temps de se rendre compte de ce qu'elle faisait.


Aheum... oups ! Tu avais une saleté sur les fesses.

Et de retirer vivement sa main en virant rouge cerise. Baissant la tête pour masquer sa gêne, elle s'empressa d'appliquer la jambière contre le mollet et tritura nerveusement les sangles en essayant de les fixer au plus vite. Vite ! Vite ! Se dépêcher d'en finir pour pouvoir se tirer de cette situation embarrassante !
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Aimbaud
[Tente du GET de Bourgogne — Attouchement à séant]

Vous êtes là, tranquillement absorbé à resserrer le cran d'une lanière à votre clavicule, plein d'entrain et d'assurance afin de vous mettre en jambe pour les joutes qui vont suivre. Rien ne peut vous atteindre. Vous êtes droit et déterminé. Le monde vous appartient, vous le dominez. Vous vous sentez prêt à accomplir de grandes choses aujourd'hui. Plus vingt points de force.

Quand soudain : c'est le drame.
Les vingt point de force s'envolent en produisant un bruit ridicule de baudruche qui se dégonfle. Vous vous statufiez, les yeux ronds. Il apparaît que vous ressentez une pression chaude sur la fesse droite. Non, vous ne rêvez pas. C'est bien cela. On vient de vous mettre une main au cul.

Vous comprenez alors ce que peut ressentir la jeune tavernière qui n'a rien demandé, quand un gros soudard poilu exécute à son encontre, ce même geste. Vous vous sentez quelque peu dévalorisé, nous dirons même réduit à l'état de "chose", vous vous sentez inévitablement... homme-objet.
Votre vertu et votre égo, en prennent une petite tape dans la gueule. Mais heureusement, vous sauvez la face en évitant de pousser le terrible, le fameux, le honteux : le petit couinement de surprise.
Maintenant, vous avez le droit de rire jaune :


Héhéhah ah ah. Oula, ouf, merci hein ! Euuualors cette jambière... Les cuissardes, je devrais pouvoir gérer tout seul, hein...! Heum, hhm.

Vous ne tirerez pas de conclusion hâtive sur quoi que ce soit : il ne s'est rien passé. Vous avez vu, sentit, quelque chose ? Non non, rien. On oublie, on gomme, on se dém*rde avec ces putains de sangles.

Une bonne demie-heure plus tard, ponctuée de "Oups", de "Hi hi ahem", et de "Hum ! Arf. Hahaha. Hem." Aimbaud de Josselinière était enfin arnaché de toutes les pièces de fer nécessaires à sa protection, disposées dans un ordre à peu près convenable, et il passait le seuil de sa tente, son heaume sous le coude, marchant avec l'élégance du plongeur à palmes qui se dirige vers les grandes étendues de l'océan.

Pet-Gaz lui jeta un regard vide et amphétaminisé.


Bon euh..... Il va me falloir un escabeau !
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Angelyque
[Tente d"Angelyque de la Mirandole]

La Baronne arriva en pestant, d'une part parce qu'elle était en retard, de deux parce que sa fille et son vassal avaient fait monter une tente loin de la sienne. Comme s'ils avaient du mal à la supporter.

Heureusement, Sturn était là. Toujours d'humeur égale, toujours patient. Un vrai bonheur
.

Bonjour Sturn, comment allez vous? je vous remercie d'avoir tout préparé. Je crois qu'il est temps de revêtir mon armure, cela ne va pas tarder à commencer. Pouvez vous m'aider à me préparer? J'espère que je passerai le premier tour cette fois.
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[Blason en cours de réfection]
Duchesse du Charolais
Sturn
[Tente d'Angelyque]

Sturn, assit devant la tente, vit la baronne approché. Enfin se dit-il. Il avait bien crut qu'elle viendra réellement en retard. Certes elle n'était pas en avance mais il lui rester assez de temps pour l'habiller.
Quand elle fut devant la porte il la salua.

Bonjour Madame. Je vais bien. Et vous, avez-vous fait bon voyage? Tout est prêt je n'attendais plus que vous.

Sturn la fit rentrer. Il lui retira son manteau et tous les vêtements qui étaient de trop. Il commença à lui mettre l'armure.

Ne sachant si vous souhaiterai rester dormir ici j'ai installé un lit. Mais je peux le retirer pour que cela laisse plus de place si vous ne voulez pas l'utiliser.

Quand l'armure fut correctement installer, il ne restera plus qu'à resserrer quelque sangle avant le duel, Sturn se dirigea vers les écuries pour aller chercher le destrier d'Angelyque et le ramena à la tente.
Ils étaient prêts, la baronne n'avait plus qu'à monter sur son cheval et prendre la direction du champ clos.

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Angelyque
Angelyque grimaça

Mon voyage s'est très mal passé, je crois qu'entre mon frère et moi il y a incompatibilité de caractère, il n'a pas l'air d'apprécier ma douceur légendaire...mais je vais bien, merci. Vous pouvez laisser le lit ici, la tente est grande...et au pire si ça manque de place pour les malles on ira en refourguer quelques unes dans la tente du Seigneur de Fulvy, il n'y verra qu du feu et lui n'a pas besoin que tant de place que moi.

Allons-y à présent. Mon dieu, j'avais oublié que mon armure était si lourde! Hum..si vous participez à d'autres épreuves, vous me le direz hein? la dernière fois j'ai eu un mal fou à vous retrouver!

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[Blason en cours de réfection]
Duchesse du Charolais
Sturn
[Tente d'Angelyque]

Ne vous inquiétez pas je vous préviendrai cette fois si.
Sinon j'espère que votre armure vous servira à plus d'un combat car sinon c'est dans sa malle qu'elle va s'user.

Sturn sourit et amena l'escabeau pour qu'elle puisse monter à cheval. Il prit le bouclier, le heaume et les couleurs de la baronne et guida son cheval vers le champ d'un pas tranquille
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Keltica
[Tente de la Dame de Salives]

Il était temps de se préparer ; Amorri lui avait apporté sa nouvelle armure, qu'il avait lui-même forgé, et la blonde savait qu'il avait mis tout son coeur et toute son attention dans chaque coup de marteau, afin que l'armure soit la meilleure possible.

Keltica était là,regardant les différentes pièces ; heureusement qu'Amorri était là pour l'aider à passer les divers morceaux de métal, l'harnachant soigneusement. Quand elle fut totalement protégée par son armure, elle esquissa quelques mouvements.


Et bien Amorri, tu as fait un travail merveilleux ! Elle est légère, souple, j'ai l'impression de ne même pas avoir d'armure !! Tu es sûre qu'elle est assez solide ?

Pour toute réponse, Amorri la guida à l'extérieur, où l'attendait son cheval ; Sterenned sembla surpris de voir sa cavalière métallisée mais se laissa faire comme d'ordinaire. La Dame de Salives, aidée de son fidèle écuyer, monta sur le dos de sa monture, puis, resserrant les doigts sur les rênes, prit le chemin de la lice.
Amorri
[Tente de la Dame de Salives]

Amorri avait bien posé les différentes parties de l'armure qui étrangement était bien moins volumineuse que celle des autres jouteurs et jouteuses.

Il fut surpris de la question de keltica et ne préféra pas répondre car lui était sure de son travail.

Tandis que tous les autres nobles devaient soit monter sur des estrades ou se faire hisser par un palan de bois pour monter sur leur cheval, le géant se contenta de croiser ses mains devant la jambe de keltica et quand elle eu mis son pied dedans, il la souleva de terre et la fit s'asseoir sur le dos de son destrier.

"Vous êtes merveilleuse dame, et puis vous brillez comme une étoile. Même si vous ne remportez pas ses joutes votre présence aura illuminé les joutes.
Et n'ayez craintes j'ai testé moi même l'armure et je n'ai pas réussi à la transpercer avec une épée effilée. Vous pourrez éviter la lance adverse très facilement tandis que votre adversaire sera obligé de faire face à la votre et d'en subir le contact.
On se retrouve sur la lice dame"


Il serra les dernières lanières de cuir puis se saisit de l'étendard et parti porter les couleur de keltica tandis qu'elle pris place à côté des autres jouteur et jouteuses.
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Griotte
[Tente du GET de Bourgogne - Atelier N°2 : L'aide à son prochain]

Yaaaahooou ! Quel plaisir de quitter la tente du Josselinière ! La bâtarde en bondirait presque de joie. Quel soulagement de ne plus être seule avec lui ! Quelle joie de pouvoir enfin s'éclipser ! Elle allait continuer à faire comme s'il ne s'était jamais rien passé. S'il venait à l'accuser d'attouchement à séant, elle niera tout en bloc. D'ailleurs il ne s'était jamais rien passé. Elle qui était siiiii pure, siiii châste et encore pucelle - Oui je parle bien de Griotte, là !- elle était I-NNO-CENTE !

Par simple mesure protocolaire, elle ne parlera qu'en présence de son avocate.
Eliiiisabeth, où es-tu ? On a une nouvelle affaire à ajouter au dossier de ta cliente.


Bon euh..... Il va me falloir un escabeau !
Un escabeau ?

Cette chose sur laquelle on grimpe pour atteindre un truc hors de portée ? Ce foutu machin de défection qui allait la retenir encore un peu plus longtemps au près d'Aimbaud ?

Fait chier ! J'parie qu'il est pas rangé en plus !

Effectivement, pas d'escabeau en vue. Enfin, si... chez les voisins.

Coup d'oeil à droite. Coup d'oeil à gauche. Pas de chevalier baraqué en vue, ni d'amazone armée jusqu'aux dents. Les absents ont toujours tort ! La morveuse se précipita vers le marchepied, l'agrippa en faisant demi-tour sur les talons de bottes et revient en courant. Enfin... "en trainant l'objet encombrant" serait plus approprié, mais l'intention y était.


Aller, grimpe ! Grouille ! Mais grouille !
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Antonio
[Tente d'Antonio Licors Seigneur de Fraize]


Fraize et son écuyère arrivèrent à leur tente déjà montée, il ne restait plus qu’à vérifier que l’armure était complète. Et cela, Anaïs s’en chargea comme sa fonction l’exigeait.
Le dijonnais la fixa sans rien dire, elle ne pouvait s’empêcher de faire un petit commentaire à chaque fois qu’elle plaçait une pièce de l’armure, sans doute histoire de lui prouver qu’elle avait bien révisé.

Quand soudain, il manqua une pièce… Son écuyère prise de panique se mit à retourner la tente dans tous les sens. Heureusement, elle la retrouva rapidement, ce qui lui permit d’éviter la crise cardiaque.
Lui ne disait rien, il la regardait faire, et lorsqu’elle eut enfin terminé, il ajouta quelques mots suite à sa question.


Pour mon enterrement…
Hum, je souhaiterais que tu jettes tous tes écus sur mon corps avant de l’enterrer.


Il sourit en coin.
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Seigneur de Fraize
Maistre Académique de l'Institut Royal de Politique ~ Procureur en Cour d'Appel
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