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[RP sur Invitation] Fashion Week - Dernier Jour

Attia.
[ Toujours pas la - Dans l'auberge Parisienne]

A l'angoisse maladive de la brune le blond n'a trouvé que la jalousie comme fer de lance. Et c'est un regard noir qui répond a la provoque.
Bien sur qu'elle veut le voir, elle l'a fait passer en dernier pour que tout le monde voie a quel point il est beau, et pour que tout le monde voie a quel point il est a elle, ce n'est certainement pour le laisser a la merci de toutes ces greluches mal intentionnées en mal de mâle.

Alors qu'il pose un baiser dans son cou, elle lache un soupir agacé avant de le pousser pour mieux le chevaucher un doigt sur le torse.


- Tu n'iras nulle part sans moi! Et si emeute il ya que toutes sachent que tu es a moi et rien qu'a moi!

Oui elle avait assez partagé et tant que le bonheur durait elle en profitait.
Elle se penche la gitane sauvage pour traumatiser ses levres d'un violent baiser a l'issue duquel elle lui mord la levre inférieure.

Elle n'a aucune envie d'aller s'habiller et de partir en courant pour le Louvre. Elle a plutot envie de se perdre en etreintes lubriques et concupiscentes, s'adonner au peché de chair, a la luxure en oubliant tout le reste. Oui il parait que le stress peut avoir des effets sur la libido.
Mais raisonnable elle se contentera de lui picorer le cou avant de courir parachever sa toilette pour enfin enfiler la robe .

Les cheveux sont arrangés pour finir alors qu'une petite touche d'incarnat vient raviver les levres. Agnes Ephora what else ?


- On peut y aller! Alors ? Comment me trouves tu ?

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Elisabeth_stilton
[En retard pour une fois]

C'était un des jours où la chose venait faire son cinéma et la maltraitait, du coup elle maudissait son mari, elle maudissait les hommes et tout ce qui provoque la souffrance des femmes. Elle avait le teint blanc - encore plus que d'habitude si cela était possible - et le regard dans le vague. La blonde n'avait pas arrêter de vomir, aussi c'est dans un état d’extrême fatigue qu'elle arriva dans les coulisses du défilé. Aujourd'hui il faudrait vraiment de l'aide à la blonde, elle lança un regard suppliant à l'assemblée.
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MAJ progressive. Patience.
Connexion pas stable pendant 2-3 semaines après de retour pleinement.
Milo
C'est un blond grognon qui se présenta au bras de la rousse. En effet, il avait en horreur ce genre de mondanités. D'une part parce qu'il n'avait pas sa place, d'autre part parce qu'il détestait la foule, plus encore quand celle-ci était à forte tendance féminine. Enfin, il ne voyait aucun intérêt de se retrouver emmailloté comme un saucisson à faire le mannequin devant ces dames. Non, vraiment, il détestait. Et avec ça, Attia, sa femme et celle pour qui il allait devoir s'exhiber.

C'était donc de mauvais poil qu'il se leva, de mauvais poil qu'il se prépara et de mauvais poil qu'il suivit sa chère et tendre jusqu'au lieu de torture. Et torture, il en était question. Des femmes. Partout. Où que son regard se posa, il était envahi de femmes. Une véritable basse cour, comme on n'en faisait trop.

Il se glissa discrètement dans un coin de la pièce, si tant est que sa grande taille puisse le lui permettre et essaya de se faire oublier de tout le monde, se perdant dans la contemplation du plafond... Tiens, il y a une fissure là.

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Azkaban
À son mouvement impulsif, il se laissa totalement mené, être dominé un instant par une si belle femme, nombre d’hommes auraient voulu cette place…Mais non, personne n’aurait ce plaisir, elle n’était que pour lui seul…

- Tu n'iras nulle part sans moi! Et si émeute il ya que toutes sachent que tu es a moi et rien qu'a moi!

Lorsque la bouche avide d’Attia vintt lui voler un baiser fougueux tout son corps frissonna d’un plaisir soudain mais se crispa quasiment aussitôt lorsqu’il se termina par cette morsure plus ou moins inattendue.

Aïïïïe…t’es vraiment une sauvage parfois…

Ses doigts venaient d’un geste lent glisser sur la pulpe lésée, pendant qu’elle se mit à enchainer son attention sur lui par des caresses buccales d’une sensualité déconcertante, il se tut tout en déplaçant ses mains sur son corps encore nu…Hmm ces instants complices, qu’il aimait ça…

Puis la peau de sa gitane s’éloigna pour se faire recouvrir, avait elle deviné les pensées pas moins sages qui lui traversaient l’esprit ? Sans cette réaction, il est certain qu’ils auraient tous deux manqués le début de la dernière journée, leur ciel à eux était radieux…

Elle réapparait apprêtée :


- On peut y aller! Alors ? Comment me trouves-tu ?

D’une beauté à faire pâlir la plus belle femme du royaume…Parfaite…Sublime
Il ajouta en riant
Par contre, laisses moi quelques minutes, j’vais devoir aussi enfiler quelque chose car sinon c’est plus une émeute mais une révolution qui aura lieu aux jardins.

Lorsqu'ils furent tous deux enfin présentables, sa main dans la sienne, ils allèrent au Louvre, le pas préssé...
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Attia.
[ Au Louvre Enfin...]

Revigorée par son intermede sensuel avec le blond et fiere du compliment qu'il lui avait adressé, c'est ce sourire aux levres que bras dessus bras dessous ils étaient enfin arrivés au Louvre.

Meme effervescence, plus de monde que la veille semble t'il, du beau, du lourd ? Peut etre, peut etre pas. Au final cela ne compte pas beaucoup, seuls comptent le plaisir, la passion de la mode, de la beauté de l'esthétique.

Arrivée dans les coulisses, la Gitane constate que tout se met en place. Pourtant, malgré son retard plus qu'evident, rien n'a encore commencé.
La notre gitane se remets en mode pile electrique.
Oui c'est le dernier jour, non elle ne veut pas que tout le monde soit fatigué et impatient quand ce sera a son tour a elle de faire defiler ses mannequins, et la pauvre Clarinha qui essaie de gerer comme elle peu.

Voila, public, arrive en retard et vois!


- hop hop hop mais qu'est ce passe ici ? Pourquoi que ya encore personne sur scene ? qui qui passe en premier ? Vous savez qu'on a une grosse journée aujourd'hui ? Clarinha, comment tu organises tout ça ? Et ou est la rombiere ?

Et si tu fermais ta gueule Gitane ?
c'est ce que devaient se dire ceux qu'elle invectivaient de questions, sans meme un bonjour, sans meme une gentillesse, sans meme un mot d'encouragement.
On stresse ou on ne stresse pas.
Et la elle se dit que ça aurait peut etre moins pire que d'etre restée au lit le matin meme... Enfin.

- Bon ! On bouge ou quoi ?

Elle prépare une autre salve quand une violente nausée soudaine la calme.
La voila la pédale de frein, le petit habitant caché sous son nombril osait la ou tout le monde se taisait. Message reçu " On se calme maman, j'ai b'soin de quiétude pour grandir en paix" .


- Je... je r'viens !!



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Yolanda_isabel
Et où qu’elle est la naine rose ? Là ! Juste devant la scène comme à son habitude depuis le début de la Semaine de la Mode, et on ne l’en ferait bouger pour rien au monde, alors savourant les macarons de la veille, elle sourit à sa voisine depuis le début aussi.

Et .. Surtout, elle ose.


-« Tout du bon jour ! Ca va être beau aujourd’hui, c’est dommage qui fait si moche.. »

Oui, c’est dommage car en réalité, même si elle aime toutes les couturières, sa préférée va passer, oui sa préférée, Attia, celle qui l’habille depuis ses trois ans, celle qui sait si bien enrober les rondeurs excessives de l’excédante excentricité qu’est Yolanda Isabel de Josselinière.

Alors oui, elle est là, toujours au premier rang, et il pourrait pleuvoir des torrents qu’elle n’en bougerait pour rien au monde.

The show must go on !

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« Que Saint-Louis bénisse le Royaume de France. »
Blanche30
C'était la dernière journée ! Blanche était déçue que ça se finisse aussi vite, mais après tout, ils s'étaient bien amusés. Enfin elle oui, Skal... Remarquez, il avait dû bien rire en voyant sa blonde épouse penchée vers la scène, les yeux écarquillés, voulant tout voir et tout entendre, applaudissant à chaque robe. Oui, Blanche était réputée pour son caractère...enjoué, et encore, le mot est faible.

Blanche avait pensé cette fois ci à se faire préparer par la cuisinière un petit panier de victuailles. Elle tenait en effet à ne rien rater de cette dernière journée. Et ça occuperait Skal. Elle dit d'ailleurs à celui ci d'un air tout excité :


- Tu sais que la Reyne viendra clôturer le défilé ? j'espère qu'elle a au moins aperçu Khalidia. Il est venu le deuxième jour il me semble, mais je ne l'ai plus revu par la suite.

Elle n'ajouta pas qu'elle avait pris moult notes quant aux différents créateurs présents. Elle comptait bien se commander une nouvelle garde robe d'ici peu, mais ce n'était peut être pas le lieu pour l'annoncer à son cher et tendre.

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Blanche_
Maintenant...?
Ah ! Dieu ! Si tôt ! Comment trois malheureuses syllabes peuvent-elles vous faire peur à ce point ?
Elle n'aurait pas dû dire oui, le rose ça ne lui fait pas du tout,pensez, avec une peau si pâle, presque cadavérique, jamais égalée si ce n'était avec la trépassée Driweg de Brocéliande, mère du Duc actuel, Ô donc, du rose, Driweg Aliéniore aurait-elle porté du rose, sincèrement ?
Et puis les épaules, on voit ses épaules. Si sa mère n'était point morte elle crierait au scandale, peut être même qu'elle ferait venir l'inquisition pour brûler l'hérétique, et ce serait...
Ainsi, elle flippe sa race. Et puis, lentement, elle réalise.

Tout le monde me copie.
Ce que je fais aujourd'hui, demain tout le monde le portera. On mettra les épaules à la mode, car la mode, par mon visage, arrive jusqu'à Rennes et Naoned.
Quoique prétentieuse, la réflexion l'aide à avancer, et présenter la première tenue. Fière plus que de coutume. Elle trône.




Demain, oui demain. Par l'Impératrice de la mode. Rennes sera devenue rose & étincelante, à la manière de Jehanne et du Louvre.
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Breiz24
Bon-jouuuur !

Oui elle claironne à l’arrivée d’Attia, et oui aussi, elle se marre discrétos devant sa panique et sa sortie précipitée. Elle est bien contente de ne défiler que pour la mémé et pas pour la star des Dos, d’ailleurs.
Elle n’est pas pressée de s’habiller, sa tenue est relativement simple à enfiler elle n’en aura que pour quelques minutes. Par contre, convaincre son mari de coller ses jambes dans un collant, ça risque être plus délicat.

Le voila, elle l’a repéré ! C’est qu’il s’était carapaté dans un coin le fourbe ! Repérant un paravent non loin, elle le tira devant lui, après avoir réclamé et obtenu la tenue que le blond devrait porter. Elle se glissa derrière la palissade de toile, la refermant sur eux, et se coula contre le blond. Elle savait que ça n’allait pas être facile, et qu’il allait résister. Qu’il allait falloir qu’elle paye de sa personne, et qu’elle n’avait absolument pas le temps avant le défilé. Aussi ne perdit-elle pas de temps. Entreprenant de délacer la chemise de son mari, elle se hissa jusqu’à son oreille et murmura quantité de choses toutes plus inavouables les unes que les autres. L’affaire était ardue, et les images qu’elle proposait à l’imagination du blond s’enchainaient au rythme lent et sulfureux des aventures qu’elle inventait pour eux.

Le lacet dénoué libéra le col. L’instant était critique. Oh, elle ne doutait pas qu’il finirait par revêtir la tenue crée par la castelmamie. Ce qu’elle ignorait c’était combien de temps encore il allait la faire murmurer des promesses avant de céder. Elle se doutait bien qu’il essaierait de lui en faire jurer davantage pour revêtir le collant. Mais il ne l’avait pas encore vu, alors elle avait encore un coup fourré dans son sac. Lui ôter sa chemise, pour commencer.
Avec une promesse supplémentaire, elle glissa les mains sous la chemise, sur la peau douce du ventre. Elle se mordit la lèvre. C’est qu’à force de donner des idées au blond, elle commençait sérieusement à en avoir aussi. Se détachant légèrement de lui, elle plongea son regard dans le sien. Au moins il saurait qu’elle ne lui mentait pas. Mais la laisserait-il retirer sa chemise, mystère !

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Eilinn_melani
Le duo infernal était bien entendu présent pour ce dernier jour des Doigts d'Or, qui devait avoir son apothéose avec la présence de la Reyne de France.
A côté de la rouquine, Eilinn mangeait quelques-uns des macarons qui avaient échappé à son appétit de la veille.
Bien entendu, ça blablatait sur l'une des stars du jour, la Castelrombière.

Scronch, scronch...


Au moins, pendant ch'temps là, elle embête pas les commis du Louvre.


Il était vrai que l'assiduité de Jehanne de Cassagnes aux Doigts d'Or permettait de conserver un calme relatif au sein des cuisines du Louvre, dont les commis craignait les pincements de fesses de la grand-mère.

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Vicomtesse d'Avize, Premier Maitre d'Hotel de Sa Majesté.
--Jehanne.de.cassagnes.b.


QUOUUUUUA ? Driweg n'aurait pas porté de rose ? Bigre, mais elle n'en sait rien, la rombière ! Elle déboula sur scène à la suite de la Bretonne qui avait ouvert la danse. Elle lui sourit, l'air affectueux, et piailla de sa voix insupportable :

-"C'était le modèle nénuphar ! Tout réside dans ce corset ouvragé, oh ! Mieux ouvragé que tous les corsets que vous avez jamais connus ! Et n'est-il pas confortable, ce joli corset vert, ces sépales qui font de vous la fleur de ce printemps ? Oui, c'était la robe de la nature, la robe du renouveau, c'est la mode, noble assemblée, et nul mieux que Son Altissime Gwenn Ann de Walsh-Serrant ne pouvait vous présenter cette robe audacieuse avec plus d'élégance !"

Là, la perruche Fifine, sur ses vieux jours, qui tanguait sur l'épaule de la vieille, se réveilla et poussa un cri en battant dangereusement des ailes.

-"Et faisant suite à cela, voici une robe aux coloris tout aussi printaniers, de drap vert aux galons ouvragés, col de voile fin, faite d'une jupe, d'un corset ajusté et d'un manteau, voici Tutia !"

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Tutia...
Et c'est à la suite de Blanche que Tutia monta à son tour sur scène. Elle ne changea rien, elle défila au son de la musique, s'arrêtant aux extrémités puis plus longtemps au cente, afin que tout le monde puisse admirer le travail de Jehanne.Les plis du tissu tombait comme il fallait, et là où il fallait, au bon soin de Clarinha, la petite protégée de la couturière.



Lorsqu'elle eut terminée, elle s'en retourna dans les coulisses ... ça y est elle avait fini, c'était la dernière robe qu'elle portait à ce défilé... C'est avec un brin de nostalgie, qu'elle ôta cette robe verte, et qu'elle reposa délicatement sur un mannequin... Se faisant, n'ayant plus rien à faire dans les coulisses, elle laissa sa place aux autres, et s'en retourna dans la salle, admirer le reste du défilé, et notamment le clou du spectacle, les robes d'Attia...
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Atelier : cliquez sur la bannière ; Confrérie : http://silmarien.forumactif.net/
--Jehanne.de.cassagnes.b.


Pour la rombière, c'était l'apothéose d'une vie débridée, d'une vie sans-gêne, d'une vie à casser les pieds à tout le monde, d'une vie qui était sa scène, et dont elle se croyait la jeune première. A bientôt soixante ans, c'est dire...
Drapée dans une large cape que la température justifiait, cape bleue brodée de fleurs d'or, elle fit de larges mouvement de bras pour applaudir ses modèles, avant d'annoncer la suite, volant au Maitre de Cérémonie la vedette, sans scrupule aucun :


-"Et maintenant, maintenant ! C'est encore du vert, et c'est encore un corset, le plus élégant, le plus raffiné que vous ayez, noble assemblée, jamais vu ! Y font écho des bracelets et le galon d'or qui parfait les manches... C'est le modèle "Morgause", et il est porté par Cloé d'Albizzi, dame de Jegun !"

Tadadadam ! Et comme la rombière avait choisi une présentation en crescendo des modèles de sa collections, tous plus fous, elle ne relâcha pas la tension dramatique instaurée, et enchaina :

-"La Dame de Jegun est suivie d'Elisabeth Stilton, Dame de Saint-Bonnet-Vieille-Vigne, dans une somptueuse robe couleur de nuit ! Ses manches les nuages assombris, son collier la lune, les broderies d'argent de l'étoffe ses étoiles ! Les Doigts d'Or vous envoient dans les étoiles !"

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Axel2fersen
Axel n'en revenait pas les créations de la vieille bécasse étaient somptueuses. La Castelmémère lui avait bien fait comprendre qu'elles n'étaient pas du même sang, et qu'elle n'aurait jamais sa place comme pouvaient l'avoir Angèle , Aymeric ou bien entendu la prunelle de ses yeux Béatrice!!
Mais bon qui sait... peut-être qu'une petite flatterie bien placée concernant ses créations et la Irissari repartirait avec la promesse de s'en voir confectionner une... Et dire que cela faisait des semaines qu'elle n'avait pas mis les pieds aux DO, il fallait vraiment remédier à cela, oui ça devenait urgent tout le Dauphiné connaissait ses toilettes à présent et bientôt le tout Paris aussi... Pour l'occasion, elle avait décidé d'arborer la robe confectionnée par Attia pour le sacre. C'était son plus beau bijou, elle adorait cette création, et elle la mettait tant en valeur!!

Après la robe rose qu'elle trouva absolument parfaite vint une robe verte, la dauphinoise ne comprenait vraiment pas comment on pouvait ne serait-ce que tolérer cette couleur... c'était au-dessus de ses forces, alors elle imagina la robe en grenat, et là elle lui apparut absolument splendide. Comme quoi il en faut peu...

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Béanours forever!
Cl0e
Robe enfilée, cheveux nattés, pendants aux oreilles, la blonde était fin prête, et donna ses dernières indications à sa progéniture.

- Tu ne bouges sous aucun prétexte, maman revient tout de suite !

Elle se hâta de monter les petites marches qui montaient à l'estrade, le garçon ouvrit le rideau qui la cachait aux yeux des nobles présents, et se lança dans le défilé.



Sourire de circonstance, elle avait presque l'habitude de défiler, et était donc sûre d'elle. Aussi le temps s'écoula normalement quand elle parada fièrement. Au retour, petits coups pour indiquer au garçon d'ouvrir le rideau et elle regarda le sol, oui, le bois avait déjà commencé à s'user à force de mannequins tapant du pied.
Le pan de tissu s'effaça, et elle retourna prendre Chiara dans ses bras, avant de revenir vers la couturière, radieuse.


- Et voilààààà !!!
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