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[RP sur Invitation] Fashion Week - Dernier Jour

Elisabeth_stilton
[Coulisses]

Après un long moment d'attente on vint l'aider à se préparer ce qui n'était pas du luxe. Dans pas longtemps ça serait son tour et elle devait enfiler la robe de la Castelmémère, qui était soit dit en passant sublime. Les nausées de la blonde s'étaient calmées. Un peu d'eau sur le visage et un peu de rouge sur les joue lui donnerait un teint de pêche.

Bon c'est pas tout mais il fallait se changer, elle passa donc derrière un paravent pour enfiler la robe de Jehanne. Une fois finis elle alla s'installer pour se faire coiffer et mettre les bijoux. Elle n'y serait pas arriver seul vu la coiffure qu'on avait élaboré pour elle.
La blonde regarda la robe pendant que l'on s'occupait d'elle, elle était vraiment très belle et la blonde avait bien envie de la commander en bordeaux. Bon c'est pas tout mais il fallait aller défiler.


[Sur Scène]

C'était à elle enfin, elle n'était pas anxieuse, pourquoi l'être ? Après tout elle avait défilé tous les jours la blonde. Elle n'en était pas à son coup d'essai. Pas de soucis alors. Elle monta sur scène quand Jehanne l'annonça.
La blonde avance, se montre, enfin montre la robe, fait bien attention que même dans le fond, on la voit bien. Il en va du carnet de commande de l'atelier. Après quelques minutes de parade, elle se décide à rentrer dans les coulisses et quitter avec regrets cette magnifique robe.



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MAJ progressive. Patience.
Connexion pas stable pendant 2-3 semaines après de retour pleinement.
Jenah
Jenah cette fois était dans le public, plus de coulisses, plus de cette inquiétude, elle n'avait plus qu'à admirer, ses enfants près d'elle, le mari forcé d'accompagner, forcé? peut-être pas mai il était bien présent.

Tout commençait les robes s'enchainaient, Jenah, étant couturière avait déjà pu les admirer en avant première mais seulement sur des manequins d'osier, ainsi la mère Dumas prenait-elle plaisir à voir les tissus onduler sous les pas de ces dames. Ma-gni-fique, pensait-elle.

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Ingeburge
Il y eut l'attente, qui fut trompée par l'observation lointaine mais attentive des personnes présentes et par le constat qu'Ingeburge ne reconnaissait personne, ou presque. Etait-elle à ce point sauvage qu'elle était part trop demeurée enfermée à Auxerre? Ou était-ce que prisonnière du Louvre, elle n'avait fini par que par voir les noms minutieusement annotés dans son registre sans plus en croiser les visages qui y étaient associés? Et à cette remarque dépitée s'ajouta une autre, celle qu'elle ne reconnaissait que des gamines parmi le public, elle qui, cela était murmuré avec un effroi mâtiné de délectation, mangeait un cœur de nourrisson au petit-déjeuner et se baignait dans du sang de pucelle six fois par semaine – le jour du Seigneur, ça aurait été un peu too much. De loin elle reconnut ainsi Yolanda de Josselinière, Jehanne Elissa de Volpilhat et Eilinn Melani.

Les premiers modèles arrivèrent et elle observa tant les robes que les mannequins du jour les ayant revêtues. Les couleurs ne l'intéressèrent pas, pas plus que les coiffures, son esprit étant seulement focalisé sur la coupe des vêtements et les étoffes dans lesquels ils avaient été confectionnés, la couleur, ça s'améliore en étant obscurcie jusqu'au noir. La robe rose n'était pas pour elle, seuls pouvaient et pourraient se vanter d'avoir vu ses épaules ses caméristes et son époux et en ce qui concernait celui-ci, l'honneur était sauf puisque son seigneur et maître gelait sur la Lune mais le laçage et le corset verts... intéressant. La robe verte n'alluma nul intérêt dans son œil mort. Celle portée par la dame de Jegun en revanche l'attira davantage, les finitions de bon goût emportaient son adhésion ce qui était aisé, elle avait toujours aimé la passementerie. Et il y en eu une autre, bleu nuit, plus sombre donc mais cela ne l'était pas assez et pour Ingeburge, les manches étaient collantes et ou échancrées ou n'étaient pas.

Un petit soupir gonfla la poitrine de la Prinzessin, elle ne passerait pas commande, elle le pressentait, son goût était ailleurs et s'il lui importait peu qu'il fût dépassé ou non, cela la renvoyait à ses premières constations, elle n'était décidément pas faite pour sortir. Trop de couleurs, trop de jeunesse... était-elle donc devenue trop sombre? Avait-elle un peu vieilli? Ses mains gantées et baguées se portèrent alors à ses joues, comme pour répondre à cette interrogation en en &évaluant la fermeté. Mais elle connaissait déjà la réponse, non, elle n'était pas âgée, les stigmates de la vieillesse n'avaient pas encore saccagé son visage marmoréen. Les organes de nouveaux-nés et le sang de vierge constituent autant de souverains remèdes.

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Axel2fersen
Elisabeth Stilton... mais c'était pas dieu possible elle était partout!! Là où la Irissari allait, la Stilton s'y trouvait à croire qu'elles se donnaient des rendez-vous secret en tous lieux parisiens...

L'anglaise avançait sur la piste avec sa grâce habituelle malgré les quelques kilos pris nécessaires à la grossesse, la robe était une splendeur, elle était absolument divine, il fallait véritablement que la blonde dioise ait une conversation avec la vieille Jehanne, quitte à passer par Angèle ou Béatrice, peu importait, elle voulait cette robe! Oh bien sur pas avec la lune... Cette lune elle l'avait en horreur... Pas qu'elle en veuille à Terwagne non, elle l'avait toujours appréciée, mais c'était un fait, elle ne pourrait accepter de porter tel ornement, en revanche... Un soleil d'or , des étoiles d'or... et le bleu du lauragais... et elle aurait la parfaite robe d'Irissari. Une robe étalant son blason... qu'elle idée lumineuse...

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Béanours forever!
Milo
Il se laissa emporter en boudant, tel un gosse qu'on emmènerait de force faire les emplettes. Il n'y mettait pas du sien et tout ce qui pouvait retarder l'instant fatidique était le bienvenu. Il ne bougea pas plus d'un cil lorsqu'elle commença à lui déclamer ses vers, tous plus prometteurs les uns que les autres.

Oui mais voilà. Si le coeur n'était pas insensible, la fierté elle... Et bien, elle posa ses mains sur ses poignets, doucement, et les retira de sous la chemise, légèrement. Le géant se pencha vers l'élue adorée/chérie/détestée/honie de son coeur et montra les crocs.

- Je vais m'habiller, c'est bon. Mais je te jure, que tu vas le regretter. J'hésite entre ce que tu sais ou bien aller dormir pendant une semaine aux écuries.

Il ôta donc sa chemise, seul, la fusillant du regard et grognant à qui mieux mieux. Et le pire dans tout ça, c'est qu'il pourrait bien être le dindon de la farce, il ne savait même pas qui avait fait les vêtements qu'il aller porter, ni s'il aurait la honte de sa vie en étant accoutré de colifichets encore plus ridicules que ceux du dernier défilé forcé. C'est pas une vie d'être mannequin malgré soit.
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Breiz24
On peut aussi faire ce que j’ai dit dans l’écurie, mon amour, ce n’est pas incompatible.

Elle sourit franchement, amusée. Elle attendit patiemment qu’il ait ôté ses vêtements, et les emporta hors du paravent, loin, pour être bien sure qu’il soit forcé de porter la tenue castelmémé.
Et elle revint, pressée, peu désireuse de l’abandonner nu – parce qu’il ne manquerait plus que la mémé ne le coince, ça serait le pire du pire. Et elle ne sait pas si elle serait pardonnable d’avoir fait ça.
Elle se glissa donc à nouveau contre lui, et ôta à son tour ses vêtements, lui donnant un bel aperçu des promesses qu’elle avait faites. Et entreprit d’enfiler la robe qu’on lui avait attribuée, observant le blond faire de même avec ses collants et son pourpoint. Murmurant encore quelques promesses histoire de faire mieux passer la pilule.

Lorsqu’enfin ils furent prêts, elle replia le paravent, après l’avoir embrassé au coin des lèvres – elle l’encourage, mais si voyons ! – et sourit.


Voila, on est prêts !

Merci, Breiz, on n’avait pas remarqué !

Mais elle sourit, elle est contente. Elle va défiler au bras du blond, et même s’il tire la tronche, ce n’est pas grave. Ça le rend terriblement plus séduisant.
Remarquant qui se dévêt déjà, et qui sort de scène, elle réalise que le défilé est déjà bien avancé, et qu’il ne reste plus que Clémence avant eux. Enfin, normalement. Du regard, elle cherche la mamie pour confirmation.

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Elisabeth_stilton
Non je veux pas !
Si tu dois !
Oui mais je veux pas !
Ba oui mais tu n'as pas le choix !
Mais elle est trop belle !
Oui mais elle est pas à toi !
Aller, laisse moi tranquille !
Non et tu sais que j'ai raison !
Alleerrrrrrrrrrrrr, s'il te plaiiiiittttttttt ...
Non ! Au pire tu iras la commander à la Castelmémère.
Ba oui mais là elle est sur moi, elle est belle et elle est faite pour moi.
J'ai dit non !
Comme ça pas besoin de travail pour la vieille femme, tu vois comme je suis charitable.
Mais bien sur ! Tu me prends pour une truite !
Je n'oserais jamais voyons.
Alors tu arrêtes tes enfantillages et tu rend la robe !
Non !


On ne su jamais comment finit le combat de la conscience stiltonnienne mais en tout cas, elle se changea après une longue attente. Elle avait gardé la robe sur elle pendant un bon moment avant de la laisser sur le mannequin de bois avec regret. Elle caressait le tissus, les manches étaient magnifiques. Le seul bémol était le collier, porter une lune quand on est à l'inquisition c'est un peu paradoxal. Mais qu'est ce qu'elle l'aimait cette robe. Elle l'aurait bien faite faire dans plusieurs coloris sauf en noir, elle c'était déjà ruiné pour une robe en noir, d'autant qu'elle préférait le bleu. Elle détourne le regarde de son objet de désir et voit Milo et là elle ne peut s'empêcher de rire. Non pas de la tenue mais du tout. Parce que voir le blond comme ça, ça vaut le détour, alors elle pouffe la blonde.

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MAJ progressive. Patience.
Connexion pas stable pendant 2-3 semaines après de retour pleinement.
Attia.
Et pendant ce temps la ? Ou qu'elle est la gitane ?
La gitane elle vient de terminer de degobiller derriere un paravant.
Barbouillée au possible, irrascible stressée parcequ'a c'te heure ci le défilé de la castelmemere devait toucher a sa fin, et qu'apres la castelmémère... ben ya elle.

Elle revient donc en plein milieu des coulisses une moue aux levres.
Non elle ne gueulera pas d'entendrela voix de crecelle de la vieille qui s'improvise maitre de cérémonie... Pourvu qu'elle fasse pas fuir le monde avant le défilé Sérénissime.
Quand on paie des professionnel c’était pour avoir le meilleur, et si l'on devait comparer la prestation de la rombière a son talent pour les robes on en reviendrait a dire que dans l'un des cas comme dans l'autre, heureusement qu'il y avait quelqu'un qui s'en chargeait.

La gitane conserve donc un mutisme inquiétant.
Elle cherche des yeux ses mannequins, passe en revue ses troupes :

Naelhy, Fitz, Blanche, Cassian, Clemence, Yolanda, Griotte, Azkaban.

Résultat des comptes, Blanche et son flegme breton... check! , Azkaban normal il est la! Clémence, devrait défiler pour la castelmemere donc a supposer qu'elle soit la... Yolanda, bonbon rose sans doute en train de se délecter le regard du spectacle... reste 4 bouilles non identifiées, 4... one, two, three, four...

Ne pas paniquer... Ne pas paniquer...


- Naelhy ! Ou est Naelhy?! Quelqu'un a vu Naelhy? et Fitz ? et cassiaaan ? Et griotte !!!

Oui allez on panique!
le regard se pose sur Blanche.


- Toi! Blanche!

Se rappeler qu'on parle a une princesse, meme si on la connait depuis plus jeune mais non moins princesse.

- Pourrais tu venir Blanche que nous prenions de l'avance sur ta vesture...

Oui le temps de se ronger les sangs en esperant que les autres n'aient pas oubliés leurs engagements!

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Naelhy
Ahah!
On l'attendait l'artiste, la mannequin. La vérité? C'est qu'elle avait fait exprès, car tout artiste se doit de se faire attendre, car oui, le mannequinat est un art les enfants!

Alors, très lentement, le monocle noir bien en place, elle va vers les coulisses, entendez par la qu'elle a tapé un sprint de peur de déranger l'monde et de faire semblant qu'elle s'était prit un hippopotame sur sa gueule blonde.


« Je... je suis désolée! J'ai croisé un cheval obèse qui m'a bloqué l'passage! »

Crédible? Assurément.
Personne n'allait de toute façon empêcher la Tartine d'épater le public de sa sublime vision!


« Où est mon cavalier? »

A comprendre le viel évêque qui a pas intérêt a avoir un problème d'articulation pendant son show.
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Dieu dit « Que la lumière soit » & Naelhy fût.
Fitz
En retard ? Oui. Il avait traîné des pieds à n'en plus finir.. Qu'est-ce qu'on ne pouvait pas faire pour les beaux yeux d'une gamine de sept ans, blonde comme les blés... Il se rassurait : il n'y aurait normalement aucun clerc à ce genre de "rassemblement". Pas de connaissances non plus. L'honneur serait donc sauf. A priori, c'est ce qu'il se dit en arrivant.

De loin, il aperçoit déjà les masses installées pour suivre le défilé de la précédente couturière. Des personnes que la mode intéressait et qui ne lui ressemblaient donc point. Coup d’œil aux alentours pour détecter la cachette des coulisses et les petons se remettent en marche.

On traîne encore un peu, retardant le moment le plus honteux de sa vie et on observe les invités. De riches accoutrements et des ports gracieux. Et parmi ceux-ci, la Dame vêtue de noir.. La célébrissime Ingeburge. Celle sur laquelle bon nombre de clercs fantasmaient.. Mais pas lui, il en avait préféré d'autres.. Hum. Elle ne le connaissait pas, elle n'irait donc pas répandre des quolibets à son propos. Personne d'autre de connu à l'horizon. On respire.

Arrivée en coulisses et une couturière en délire. Ce devait donc être la fameuse Attia. L'idole de Sa gamine. Celle pour qui il allait défiler.. Ses doigts se referment sur les manches de sa soutane, dernier rempart avant de se ridiculiser dans une tenue festive et chatoyante.. D'autant plus qu'il avait déjà remarqué la Blonde et très enceinte Elisabeth qu'il tenterait assurément d'éviter pour ne pas se faire davantage réprimander sur sa fuite en Bourgogne.. Sa cavalière droguée n'était pas loin non plus. On s'avance vers la furie déchaînée - nommé Attia - et on tente l'approche douce..


Ma fille ? Je suis le Père Fitz, envoyé de nulle part par Yolanda... pour servir en tant que mannequin..

Voilà, c'est dit, c'est fait. Son destin est scellé. Un clerc allait devoir monter sur les podiums.. Surpraïse, surpraïse !
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--Jehanne.de.cassagnes.b.


Clarinha depuis les coulisses qui lui fait signe que tout est en ordre pour la suite... Sur la scène, la rombière jubile, et imperceptiblement, à mesure que ses modèles défiles, elle s'approche du Maitre de Cérémonie pour lui faire du gringue à sa manière, comme elle sait si bien (mal) le faire, et qu'importe que la victime soit marié, veuf, puceau : rien ne résiste à la Castelmémère ! Même Coluche, le Prince de Condé tout bien mangé par les vers à cette heure, elle lui a volé un baiser !

A quand les vers pour la rombière aussi ?
Pour l'heure, le vert, sur scène, c'était bel et bien terminé. D'une voix défiant toute concurrence (à peu près aiguë comme les réacteurs d'un avion au décollage), elle annonça ses deux à trois derniers modèles. Toutes dents dehors (le lecteur se rappelle sans doute ce point important : elle n'a plus de dents).


-"La fin approche, douces dames, beaux sires ! Voici, pour la délectation de la vue, dans une robe sombre rehaussée de carcans de dorures et de pierreries, au jupon doublé de damasseries, souligné d'un pendant d'hermine, Sa Magnificence Clémence de l'Epine, Marquise de Nemours, Dame de Decize, accompagnée de la petite Fiora !"

Mais alors, lecteur, grande question : as-tu bien suivi toutes les péripéties de Madame la Marquise ? Sauras-tu dire qui, oui : qui est Fiora ?
Cela n'encombrait pas l'esprit de la rombière, qui savait très bien la réponse à la question ; elle annonça dans la foulée :


-"La suivront de près les deux derniers modèles, un couple assorti, elle au jupon jaune sous un bustier bleu à manches rondes ajourées de rouge, et collerette haute et blanche, lui en chausses grises et bottes de cuir, au tabard d'argent sur une chemise de drap fin : vous applaudirez, pour ce passage final, Breiz et Milo Edwinson !"

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Azkaban
Pour passer le temps et ne pas se faire submerger par une angoisse grandissante, le beau blond s’accordait le spectacle proposé côté public, certes il défilerait bientôt mais pour l’heure il s’en mettait plein les mirettes, rombière peut être, avec du génie c’était évident. Il découvrait donc le travail de la vieille femme avec une certaine admiration mais fut fasciné d’autant plus par la robe aux couleurs de nuit…Lui qui avait depuis toujours cette fascination pour les étoiles, il n’avait pas soupçonné un instant que cela fut possible…Et pourtant la vieille l’avait faite. Quel talent.

Maintenant, était annoncée la fin des créations de Dame Jehanne, une dernière robe puis le couple Breiz/Milo, il avait hâte de les voir apparaitre tous les deux, non pas spécialement pour admirer leurs tenues mais plutôt pour se distraire des gambettes du grand blond étriquées à souhait et par-dessus tout voir la tronche qu’il allait tirer, il savait que celui-ci râlait en coulisse…C’est avec un immense sourire retenant déjà une hilarité naissante qu’il attendait impatiemment l’entrée en scène du tandem de choc. Oui parfois il avait une recrudescence de sadisme, se demandant même s'il n'allait pas le siffler pour mieux se délecter de cette petite vengeance, il ne fallait pas l'agacer à Sémur...Sa justice serait rendue. Rancunier lui ? nannnn à peine.

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Clemence.de.lepine
Les derniers préparatifs s'achèvent, la voilà qui est prête et que, dans la foulée, elle s'entend annoncée par la Castelmaure. Elle et... Fiora.

Euh...

Jusque là tout allait plutôt bien. Elle n'avait rien à faire, à vrai dire. Simplement à parader dans cette toilette, par ailleurs très réussie, comme elle le faisait presque quotidiennement. Un aller, un retour, un sourire continu, et on rentre se changer pour recommencer un peu plus tard. Sauf qu'elle ne se souvenait pas, la Marquise, qu'on lui ait à un moment donné demandé d'embarquer avec elle cette fichue Fiora qui n'en faisait toujours qu'à sa tête.

Coup d'oeil dubitatif vers la susnommée, le regard presque plaintif et la mine quasiment supplicative. Pour un peu, Clémence en viendrait à imaginer qu'elle réclame son heure de gloire. N'a-t-elle pas l'air plus agité que d'ordinaire ? N'a-t-elle pas le corps qui frémit, les paupières qui battent et battent encore, alors qu'elle fixe l'Epine avec enthousiasme et émotion ? Bon... So what... Fiora n'était-elle pas l'alliée d'Aléanore ? Etre vue, briller et provoquer l'intérêt, voilà un credo qui devait bien les mettre d'accord.


On y va ? Lui lance alors Clémence avec réserve. Jusque là, jamais Fiora n'avait écouté ne serait-ce qu'une seule de ses consignes.

Et pourtant... Il fallait bien une première fois. Car c'est précédée d'une Fiora bondissante et pour le moins enchantée que l'exquise création de Jehanne se dévoila aux yeux du public.




Pause, le temps d'une pose, où l'on observe la petite chienne qui caracole tout aussi fièrement que chacune des mannequins étant déjà passé ici. Et on repart, tentant vainement de ne pas jeter derrière un regard pour garder le menton droit, espérant que sa compagne à quatre pattes suit.

Allez, Fiora. On remballe.
Keridil
C'était drôle.
Le Maître de Cérémonie, en retrait, ne s'était pas une seule seconde attendu au débarquement de la Rombière.
La Royale Castelmémère était certes du genre imprévisible et envahissante, mais de là à faire l'apologie de ses propres tenues. Le brun avait commencé par s'offusquer, du genre : mais qu'est-ce qu'elle fout la morue, c'est mon boulot !
Et puis finalement, on lui avait porté un vers de Chablis pas dégueulasse, et il s'était laissé bercer par la voix stridente de la Cassagnes.

En fait, elle était douée pour l'exercice, et qui mieux que la créatrice pour parler de ses créations ?
S'il avait su, Keridil aurait opté pour cette méthode dès le début de la semaine : que chacun présente ses robes. Chacun ou plutôt chacune, en fait.

Bon, pour la forme, et puisqu'il ne sera pas dit que Keri Keri se fait marcher sur les plates bandes, l'Amahir ira faire une gentille remarque à la grand mère de la Reine.
Ensuite, il faudrait présenter les créations d'Attia, soit le clou du spectacle, mais là, on avait encore le temps.
Les singeries et le perroquet de la rombière amusaient l'assistance.

Tout va pour le mieux.

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Attia.
C'est avec un ouf de soulagement que la gitane vit arriver comme une marguerite la Naelhy et le Fitz, pourfendeuse de vaches et cureton de leurs états.
Bon ben ça en faisait déjà plus de 5 sur 8 on progressait.
La gitane ne se donna cependant pas la peine de sourire bah oui elle fait un effort pour ne pas gueuler déja.


- Bonjour , Na', Fitz, merci d'etre venus... Nous allons commencer, vous etes les premiers a passer.

Elle leur indiqua les paravents.

- Messieurs par la, et damoiselles par la bas. Vous enfilez ce que vous pouvez et je viens vous donner un coup de main pour le reste.

Apres Nae et Fitz y avait Blanche et Cassian...

- Cassian n'est pas la... Blanche tu sais ou est Cassian ?

Trouver un plan B la on est dans le rush. Si Cassian ne se présentait pas elle utiliserait Az et puis voila. D'ailleurs ou était passé le blond ?
Sans doute a regarder le spectacle.
Elle soupira, au moins yen a qui profitaient du spectacle.


- Clemence, s'il vous plait ?

Oui la robe de Clemence était la plus chargée, la plus lourde et reclamerait sans doute une grosse préparation.
Elle invita donc la jeune femme a se mettre a la disposition de la jeune cameriste qui l'aiderait exclusivement.
Finalement les choses prenaient petit a petit forme.
Interieurement elle priait pour que Cassian et Griotte soient au rendez vous. Autrement, il y avait toujours un plan B
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