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[rp]presentation d'un prisonier au procureur

Labaronne
Sans qu'on lui demande, elle surgit dans la salle du tribunal, à cheval. C'est ainsi qu'elle avait l'habitude d'entrer dans les tribunaux. Ils se ressemblaient tous. Cette odeur faisandée de vieille sueur de grattes papier rabougris, de parfum pour cacher la pourriture de leurs peaux ... bref des hommes de lois comme les autres. Elle jeta un regard méprisant à ce semblant de réunion. Faut bien qu'ils s'occupent.

Labaronne de l'Hydre vous fait l'honneur de sa présence, à genoux minables petites gens !! Medso m'a demandé, et je suis là, parce que pour lui je serai toujours là.

Je n'ai pas de temps à perdre avec vous ... D'autant que vous n'écoutez personne tout bien pensant que vous croyez être. Vous n'êtes qu'intolérance et injustice. Medso un hérétique ... C'est finalement plutot bien d'être hérétique quand on voit à quoi vous ressemblez ! Ou alors .... l'hérétique n'est pas celui qu'on croit !!

Regard dégouté à l'ensemble de l'assistance.

Merci de refermer votre dossier vide, de classer cette affaire qu'on se tire de là, lui et moi.

Regard à Medso.

Mon ange, arrête de jouer avec ces gens s'il te plait. On a mieux à faire et on va être à la bourre.
Je t'attends dehors.


Elle donne un coup de talon à Allopass et quitte le tribunal, embarquant au passage un candélabre, pour sa collection ...
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--Lebusard
lebusard entra dans la salle d'audience, évitant de justesse une folle qui en sortait, gesticulant comme un démon, un candélabre à la main.

"Drôle de paroissiens que ces bourguignons !" marmonna t'il tout en se frottant l"épaule là où le candélabre l'avait touché.

"Voyons voir ce que cette justice bourguignonne vaut désormais ..."

Il s'assit au fond de la salle et observa les protagonistes
--Foulques.
Le petit page se colla au mur, laissant passer la folle qui sortait de là ... à cheval ! Son regard persan fixa la bête qui s'éloignait dans les ruelles, il haussa un sourcil, plein d'interrogation, puis entra dans le tribunal, alla s'assoir sur un banc du côté de ceux qu'il appelait du haut de ses onze ans, les "gentils".
Il voyait deux blonds assit à côté qui parlaient tout bas à l'oreille de l'un puis de l'autre, ils semblaient se connaitre ... Puis le regard du petit se fixa sur la dame au cheveux Roux, elle savait parler, et sa chevelure voulait qu'on la regarde ... le petit se leva et s'approcha des deux blonds, discrètement, il tira la manche de celui le plus à droite et lui dit quelques mots ...


Maitre Kael ... la maitresse veut que vous rentrez pas trop tard, pour manger ...

Il tourna la tête, remarqua les gros yeux du procureur et prit ses jambes à son cou ...
Griotte
Un cheval qui s'engouffre dans un tribunal, faut dire que ce n'est pas commun. Mais étonnamment, en le voyant débouler dans la salle d'audience, la première chose qui traversa l'esprit de la jeune Juge ce fut une réflexion purement technique : « Faudra songer à faire réduire c'te porte. Je l'ai toujours trouvée un peu trop grande à mon goût ».

Ouais ! Heureusement pour la cavalière, les portes étaient assez larges pour la laisser passer, hein. Il y aurait eu de quoi se payer une bonne tranche de rigolade, si elle était restée coincée entre le chambranle de l'entrée en le franchissant dans la précipitation. Imaginez c'te honte !

La première réaction passée, c'est la stupeur et l'étonnement qui se marquèrent sur le visage de la Blanc-Combaz. Dépassée par les événements qui prenaient une tournure des plus inattendue, elle avait refermée sa main sur le maillet, qu'elle agrippait à en faire blanchir les jointures de ses doigts.


Non mais l'autre, elle s'prend pour qui ?

Et alors que « Labaronne de l'Hydre » faisait faire demi-tour à sa monture, la Juge se leva d'un bond en martelant son bureau de violents coups de maillet. BAM ! BAM ! BAM ! BAM ! BAM !

A la gaaaarde ! Rattrapez-là ! Mais bougez-vous l'derche, bordel !

Il n'était pas dit qu'on laisserait filer une membre de l'Hydre aussi facilement. Les hommes d'armes se lancèrent à la poursuite de la cavalière en se précipitant vers la sortie, dans un remu-ménage d'enfer accompagné de cris plus tonitruant que les uns que les autres.

Arrêtez-là ! Ne la laissez pas s'enfuir !
Empêchez-là d'partiiiir !
On va s'la faire !

Vous là !


La Juge pointa de son maillet les deux colosses qui s'étaient approchés pour encadrer l'accusé.

Vous m'garder un oeil sur lui et vous l'conduisez en garde à vue, immédiatement ! S'il disparait ou s'il lui arrive quoi qu'ce soit, vous s'rez pendus par les tripes !

BAM ! BAM ! BAM ! BAM ! BAM !

La séance est levée pour aujourd'hui !
Tout l'monde dégage ! Aller on débarrasse le plancher, et qu'ça saute !


Le plus urgent maintenant était de rattraper cette Hydre en cavale. Témoin de la défense, on ne peut plus compromettant pour le 'sieur Medso.
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Maud
Tacaclop.. tacaclop.. tacaclop..

Il était grand le château.. très grand et des couloirs qui n'en finissaient plus.. Maud sortait de la salle des allégeances passablement énervée.

Tacaclop.. tacaclop.. tacaclop..

Elle se serait bien défoulé sur quelqu'un.. un garde? .. Mmmm. trop facile.... Il lui fallait un ennemi.. un vrai.. Et où le trouver sinon au tribunal.. Du moins pour le moment.

Tacaclop.. tacaclop.. tacaclop..

Alors.. c'est à droite.. Tout au bout.. Elle avait quitté le procès de l'hérétique par manque d'action.. Ecouter la balle rebondir entre le juge, la proc, l'accusé et rebelote, ça lui donnait le tournis..Le seul amusement était cette fourchette et la mine réjouie de la Princesse..

Tacaclop.. tacaclop.. tacaclop..

Arrêtez-là ! Ne la laissez pas s'enfuir !
Empêchez-là d'partiiiir !
On va s'la faire !

Tacaclop.. tacaclop.. tacaclop..

Mais c'était quoi ce charivari? Le prisonnier s'était fait la malle et à cheval?
Une cavalière galopant à bride abattue poursuivie par des gardes . Le bruit des sabots résonnait à toute force sur la dalle.

En deux secondes, Maud retrouva ce vieux réflexe avec les chevaux. Leur faire peur quand ils chargeaient. Elle se mit donc en plein milieu bras levés. De l'inconscience ou du courage, elle le saurait bien assez vite et le couloir était assez large si la cavalière fonçait malgré tout.


Hooooooooo! On n'passe pas!


(Edit: suis ouverte à toute proposition de bruits de galop ^^. J'ai que celui-là en tête)
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Frim2811
Frim s'était assoupie suite aux lenteurs de la Justice. Elle s'était demandée si l'accusation n'avait pas dû arrêter ses témoins pour les amener de force au tribunal, voir toute méthode toute aussi douteuse.

Quand enfin le premier témoin arriva, elle reprit conscience. Difficile de saisir son témoignage des plus confus, mais peu importe, elle laissa courir. Il n'était pas encore temps. Elle laissa ensuite les autres personnes s'exprimer, notant ce qu'elle savait nécessaire au fur et à mesure. Elle

Elle était en train de réfléchir à sa première plaidoirie, mais releva brusquement la tête, déjà par l'intervention de Masacio, qui se croyait la Défense incarnée puis en entendant rugir une voix dans un vacarme de sabots infernal. Blasée, elle se renfonça dans son fauteuil, posa les pieds sur son bureau, et laissa les excités de service prendre leurs désirs pour des réalités. Et ce n'était certainement l'injonction de la Juge qui allait la faire bouger.

Par contre, ce qui allait certainement la faire bouger d'une toute autre façon, c'était qu'on ose user d'un tel langage à son égard !


Citation:
La séance est levée pour aujourd'hui !
Tout l'monde dégage ! Aller on débarrasse le plancher, et qu'ça saute !


Patiente, et attendant que tout cela se calme, elle commença à relire l'ensemble des notes du procès, ou plutôt des deux procès, tout en se rappelant le proverbe : "Chassez le naturel, Il revient ...", et de se marrer doucement.

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Astaroth_jr
L’homme de foy s’était endormit sur l’affaire, avait il prit le temps de bien dormir la nuit, bruits et fracas, cries dans tout les sens, le fit sursauté du ban où il avait le séant posé. Il eut juste le temps de voir une furieuse et son canasson déguerpir, pieds aux étriers.

Allons bon, voilà que maintenant on entre dans une cour de justice à cheval… Mais ils sont fous dans ce duché !

Et la juge qui s’y colle en criant de sortir. S’exécutant comme il se devait de le faire, Ast’ se leva et s’approcha tout de même de la juge à l’organe vocale irréprochable, puis osa lui posé une question :


« Est-ce normal que tout ceci dans ce duché ? »


Un sourire béant apparaissait sur son visage, presque amusé de la scène et surtout du culot qui avait été exercé.

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Griotte
On peut savoir pourquoi la bâtarde avait décidé de mettre une robe pour aller au tribunal ? Paraitrait que ça fait plus classe et qu'une femme se devait d'être habillée ainsi, m'enfin ! Elle n'aurait jamais du suivre les conseils de Breiz. Courir après une cavalière en déroute aurait été bien plus aisé vêtue de braies. La Blanc-Combaz n'aurait pas eu à se dépatouiller avec les plis de ses vêtements, alors qu'elle descendait de l'estrade dans la précipitation en essayant de ne pas trébucher.

Se frayant un chemin parmi la foule qui commençait à quitter les lieux, la juge manqua de bousculer un homme qui l'aborda pour lui demander ce que tout cela signifiait. Elle s'interrompit juste le temps de lui répondre :


Ceci est aussi anormal que dans tout autre duché.

L'empoignant par le bras, elle le pressa vers la sortie en lui demandant :

Vous n'êtes pas d'ici ? Vous feriez pas parti de l'Inquisition, des fois ?

A la vêture de cet homme il s'agissait d'un homme de foi. L'avait-on envoyé ici pour vérifier que la Juge et la Proc' n'usurpaient pas de leur fonction en cherchant à punir un hérétique, comme tout le monde semblait se l'imaginer ?
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Astaroth_jr
Astaroth pouvait que cautionner les dires de la jeune juge, elle avait bien un ton enclin à être respecter. Il pu voir son empressement à vider la salle mais c’était avec douceur qu’elle empoigna son bras. L’homme se laissait guidé vers la sortie qui avait été souillé auparavant en écoutant la jeune femme lui demander ce pour quoi sa présence en ses lieux avant de répondre avec douceur :


« Vous savez, je ne suis qu’un homme en passe de devenir serviteur de la foy, et comme tout bon Franciscain, il est de mon devoir de venir vérifier certaines choses. Mais, j’aime déjà entendre toute les parties avant de me faire une idée ».



Astaroth lui offrit un sourire amical avant de reprendre avec un ton amusé :


« Un peu comme un juge qui doit voir des preuves avant de rendre son verdict ».


Sans outre mesure, l’homme de foy se laissait entrainer vers la sortie par la charmante juge.

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Breiz24
« HALLUCINATION, subst. fém. − PATHOL. Phénomène psychique par lequel un sujet en état de veille éprouve des perceptions ou des sensations sans qu'aucun objet extérieur les fasse naître et qui apparaît au cours de certaines maladies ou sous l'effet de la drogue. »

Ouais… bin non, là c’est pas ça. Y’a vraiment une bonne femme qui est rentrée à cheval DANS le tribunal pour venir déclamer des conneries. Et l’on peut remarquer la célérité des gardes à courir après un cheval au galop – fallait être crétin pour croire être capable de rivaliser – et celle de la Juge à évacuer la salle.
Un bien bonne idée que celle-ci. Le procès serait reporté, il reprendrait disons… au moins d’aout, là, oui, bonne idée. Au mois d’aout, et avec du dossier en plus on dirait.

La rouquine prit son temps pour sortir. Il est de notoriété publique qu’un cheval n’est pas équipé pour courir sur des dalles, qu’il soit ferré ou non, le canasson finirait par glisser et la donzelle par vider les étriers.
Fermant un instant les yeux, elle se massa les tempes. L’on pensait si fort dans ce tribunal, que bien que ne lisant pas l’esprit des autres, leurs noires idées lui collaient une migraine à tout péter. Le maillet de la Juge n’arrangeant rien, bien entendu.

Curieuse de nature, elle suivit tout de même les bruits dans le couloir, historie de voir si elle ne tombait pas sur un attroupement, un cheval à la jambe brisée et une hydre pas loin d’être arrêtée.

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--Lebusard
lebusard éclata de rire en voyant tout ce pataques.

Voilà où en était la justice bourguignonne !

A donner en spectacle sa totale incompétence.
A donner en spectacle la totale incapacité de ceux sensés la rendre.

Et sans parler des gardes ! En un mot : NUL !

Et c'est toute cette représentation que la Bourgogne comptait envoyer en Berry ! PAs de doute, non seulement ils allaient u casse-pipe mais en plus, avec les nullissimes que la Bourgogne laissait à ses commandes, les bandits allaient s'en donner à coeur joie.

lebusard sortit de la salle. Il ne fallait surtout pas rater une telle opportunité. Il avait quelques "amis" à inviter à Dijon !
Frim2811
Ayant enfin une bonne idée de son plaidoyer, elle leva la tête et regarda autour d'elle.

- Mince, plus personne, enfin, presque plus personne ...

Et de regretter de n'avoir plus de gardes, d'un autre côté c'était quand même plus agréable de vivre comme cela. Bref ...

Elle posa son regard sur un garde perdu qui restait à garder on ne sait quoi, et l'interpella pour envoyer missive. Pas de politesse, seulement


- Apportez cette missive au Juge, et évitez les tavernes sur le chemin.

Citation:
De Frim, avocate du barreau de Bourgogne
A la Juge de la Cour de Justice de Bourgogne,

Salutations,

Hors donc, suite à l'interruption incongrue du procès de sieur Medso, je tiens à vous préciser que les derniers faits malheureusement constatés en ces lieux ne peuvent en aucune façon permettre de reporter d'un jour ou d'un mois la conduite de ce procès, ni de l'influencer sur la cause de mon client. Toute infraction à la conduite d'un procès devant faire l'objet d'une nouvelle plainte. Que la prévoté fasse son office, que la justice fasse le sien.

Aussi, par la présente, je vous prie de bien vouloir reprendre le cour de cette affaire dans les plus brefs délais.

Au plaisir

Frim
Avocate de barreau de Bourgogne


laissant le garde partir, elle consulta les missives qu'on lui avait fait parvenir, et se plongea dans la lecture d'une qui l'interpella.

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Heribert
Il s'étire, baille, sortie de sa léthargie par quelques remues ménages, les yeux suivent les scènes qui se jouent, actifs, vifs, primitifs. Les oreilles se sont tus, plus qu'une vague rumeur lui parvient, apothéose de son, le fortissimo est dans la place. Résonnant, il applaudit doucement, dans la cacophonie générale, c'est de bon ton. Clap clap claps your hands. Une seconde fois, il s'étire plus profondément et suit le mouvement, tout le monde se lève pour les galipettes.
Ses os chantent la remise en place et se prépare à la mécanique, d'abord l'échine qui se met à chanter, cric, cric, cric croooooooccccc, suivit d'une expiration de bonheur Ahhhhhhhhhhhhh.

Dans l'excitation générale, les tirades se tirant dans tous les sens. Il lâche doucement d'une voix simple grave et monocorde un...

A mort l'hérétique! qui se perd dans les méandres des rumeurs.

Il fixe la juge, et lui fait un clin d'oeil, appréciant l'entracte, il l'en remercie pleinement. Puis d'un pas leste, se mêlant à la foule, va à la taverne la plus proche, poursuivre en coulisse les tenants et les aboutissants du procès.
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Numero_six
La porte avait fait un boucan du diable lorsqu'elle s'était ouverte peu auparavant et c'est dans un éclat de lumière qu'elle avait fait son entrée.
Medso était ravi de voir que Labaronne avait fait le déplacement chez les escargots, dont la lenteur n'était plus à démontrer, pour lui.
Il existait donc bien encore des gens avec des principes, et qui tenaient leurs engagements.
Evidemment, c'était parmi ceux que l'on montrait du doigt, ceux que l'on chassait, ceux que l'on maudissait, qu'on les trouvait.

Il l'admira, comme tout le monde dans la salle. Elle avait un sacré charisme. Et les gardes, surpris ou incompétents sans doute, semblaient pétrifiés par cette beauté au regard furieux et envoutant.

Lorsqu'elle lui demanda de sortir de ce cirque, c'est tout naturellement qu'il fit un pas en avant... mais la juge réveilla tout ce petit monde par un cri terrible et deux gardes le placèrent en garde à vue avant qu'il ne puisse suivre sa déesse infernale.

ARfff

Il eut tout même le temps de lui crier:Attends moi là où tu sais! Je te rejoindrai! ....... à moins qu'ils me collent un troisième procès dans la foulée pensa t il, préférant ne pas songer à la réaction de la cavalière de l'Hydre envers ses bourreaux si tel eut été le cas.
Puis elle disparut, emportant avec un objet qu'il eut du mal à distinguer de là où il se trouvait: elle n'aurait pas fait le voyage pour rien!

Il regarda enfin son avocate avec frayeur se demandant ce qu'il allait encore devoir subir, les gardes le conduisant hors du tribunal vers dieu sait où.
Le Réformé cria à qui voulait l'entendre au milieu de la salle qui se vidait dans un vacarme immense:

Je suis innocent! ... Ce procès est truqué! ... Autant la plaine est une montagne plate, autant les Hommes entre eux doivent-ils être de même hauteur car seul Déos est notre guide!
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Maud
Tacaclop... tacaclop......taca....

Ah pour l'effrayer, c'était raté...
Le cheval se cabra, ça oui.. Mais la cavalière le reprit bien en mains et ce fut un saute- Maud en règle.
Juste le temps de se baisser. Courageuse mais pas inconsciente, si elle voulait être blessée, ce serait à la guerre en combattant. pas ici.
Elle se maudit de ne pas avoir son bâton sur elle pour piquer les flancs de la bête.

Les 3 gardes arrivèrent en soufflant. Ils allaient en prendre plein la tête. Ca commençait à faire un peu trop de frustrations accumulées pour la jeune paysanne.


Bougre d'idiots, vous pouviez pas lui décocher un coup d'lance! J'vous dis pas comme la procureur et la juge vont être contentes hein?

Marchant d'un pas plus que énervé et sur la dalle , ça faisait un bruit d'enfer.

Clac.. clac.. clac.. clac..

Elle traversa la foule goguenarde amassée aux portes du tribunal et décocha une belle baffe à l'un d'entre eux:


Au lieu d'vous gausser comme une dinde, z'auriez bien mieux fait d'aider à arrêter cette folle à ch'val.

Elle reconnut la cerise sauvage au bras d'un homme en noir. Elle avait pas son bon visage la Blanc Combaz et la procureur en chemin aussi.

Ah m'dame la juge, nan mais c'est la foire ici ? J'viens d'voir une cavalière sortir à cheval et elle a pas voulu s'arrêter. J'me dis qu'c'était pas une de vos amies hein? Ou même pas une gueuse qui voudrait voir l'spectacle.

Yeux noirs vers l'hérétique qui hurlait:

Faudrait pas lui r'mettre la broche à parlottes à cuilà?

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