Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7   >   >>

[RP]Culte aristotélicien romain

Tinounou
La messe fut finalement dite par l'évêque, au grand soulagement de l'assistance qui s'était peu à peu garnie.

Tinounou écouta la vie de saint Thomas, ce franciscain qui avait su, par ses paroles, toucher les coeurs et les âmes. Se laissant porter par le récit, elle en oublia le lieu, et les récentes escarmouches.
Lorsque le moment fut venu de faire acte de contrition, elle modifia légèrement les paroles rituelles, et fermant les yeux, murmura :


Je demande à Dieu Tout Puissant, à tous les Saints,
et à vous aussi mes amis, parce que j'ai beaucoup péché,
en pensée, en parole, en action, surtout en pensée d'ailleurs...

Je supplie tous les saints, et vous mes amis,
de prier le Créateur pour moi,
et pour tous ceux qui ont besoin de Son pardon,
et qui sont absents en ce jour

Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.

_________________
Brigadier des Terribles, médecin-apothicaire de la COBA
aide de camp du chef d'armée Garcimore

Juriste du Dragon
Assistant Professeur en Sciences Militaires
Bourrike
L'air était encore frais quand l'évêque quitta son palais épiscopal pour aller ouvrir le Saint Lieu. Nul doute que les fidèles attendaient l'office autant qu'elle et c'est donc avec un immense plaisir qu'elle fit tourner l'imposante porte qui lui livra passage.
Ayant allumé les cierges, elle alla en sacristie afin d'y prendre le nécessaire qu'elle vint poser sur l'autel après une génuflexion aussi bien faite que le lui permettait son excès de poids.



Puis elle vint prendre place au bord de la cathédrale, y attendant ses ouailles.


_________________

** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **
Edwige60
edwige salua au passage l'évêque qui se tenais devant la porte elle se signa a l'entrée dans la cathédrale allant prendre place
_________________
Hobb


Hobb arriva devant le parvis de la Cathédrale de Genève. il montait Wotan son destrier. Il laissa celui-ci à la garde de son écuyer, gravit les marches et salua respectueusement Monseigneur Bourrike. Le Commandeur souriait, malgré sa rude tâche.

-" Bonjour Monseigneur Bourrike, je suis ravi de vous rencontrer."

Puis il traversa le narthex, se signa avec l'eau bénite s'agenouilla, et remonta l'allée centrale, jusqu'à s'asseoir au premier banc, attendant l'Office.

_________________
Brubrulegueux
S'installant au fond de la cathédrale, Brubrulegueux se signa et marmonna
Citation:

Je demande à Dieu Tout Puissant, à tous les Saints,
et à vous aussi mes amis, parce que j'ai beaucoup péché,
en pensée, en parole, en action, surtout en pensée d'ailleurs...

Je supplie tous les saints, et vous mes amis,
de prier le Créateur pour moi,
et pour tous ceux qui ont besoin de Son pardon,
et qui sont absents en ce jour

Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Puis s'inclinant il adressa quelques remerciements avant de s'éloigner.
_________________
Baron lès Ballens et sire de Berolles
Haeven
Quittant le campement Templier, Haeven se dirigea vers la cathédrale, juchée sur son destrier.
Elle en laissa la charge à son page qui l'accompagnait et se dirigea vers Monseigneur Bourrike qui attendait sur le parvis. Elle la salua chaleureusement avant d'aller prendre place dans la batisse.

Comme à l'acoutumée lorsqu'elle entrait dans un lieu saint, la Templière ne portait aucune arme, pas même celles d'apparat.
Saluant d'un sourire les personnes qui se trouvaient déjà là puis baissa la tête pour se recueillir intérieurement en attendant le début de la messe.

_________________
sampieru_corsu
Le corse prend place au fond, comme a son habitude.
Il prie de toute son âme, se remémorant le visage de tout ses frères et sœurs tombes ces derniers temps.
L'ordre des chevaliers francs a paye un lourd tribus a la défense de l'église.
Mais leur foi est telle qu'ils continueront a œuvrer et mourir s'il le faut.

_________________
--Atchoummm
Une petite gamine aux cheveux dignes des blés arriva en courant sur le parvis de la cathédrale... C'est qu'elle n'était pas très rassurée de trainer si près des étrangers. Mais on lui avait donné 5 écus pour planter ce parchemin sur la porte de la cathédrale... alors elle allait faire. Elle marmonna :" Seigneur Dieu protégez moi..."

Un coup d'oeil à droite... un coup d'oeil à gauche.... Personne...
Un coup d'oeil vers le haut pour vérifier que le ding n'allait pas chasser le dong.... et lui foutre la trouille de sa vie idiotement !

Situation parfaite... La gamine sort de son sac un marteau et un clou.
Elle attrape le parchemin...
Elle l'appuie contre la porte de la cathédrale, pose le clou et donne deux grands coups de marteau.

Puis, elle se sauve en courant en priant Dieu :
"Je ne suis pas là, je ne suis pas là..."



Au dos du parchemin, quelques mots : A toi, le croisé moralisateur qui semble oublier que Dieu voit tes moindres gestes... Regarde dans un miroir... Ton image et mon image ne font qu'une... tout comme nos actes sont identiques... Tu n'es ni meilleur, ni moins bon... Nous sommes simplement différents dans nos façons d'appréhender les choses!
Bourrike
Les fidèles affluaient, malgré les circonstances, leur foy les aidait à suporter tout cela.
L'évêque remonta la nef et prit place devant l'autel.

"mes frères mes soeurs, bienvenue en ce jour que le Très-Haut nous offre afin que nous nous rassemblions en son nom!
Soulageons nous du poids de nos pêchés, confessons nous et remettons tout cela à celui qui nous aidera à nous en alléger
récitons ensemble la confession!"




reprenant après que les fidèles eurent répété

"Nous venons de passer le jour de la Saint Sylphael, un de nos archanges.
Relisons ensemble la vie de cette vertueuse personne."

Citation:
En ces temps troublés pour la Cité vivait un jeune homme nommé Sylphaël d’Hédon. Il savait briller en société, était doué de talents en tous les arts mais ce qui faisait l’admiration de son entourage était son extraordinaire capacité à savourer chaque instant de la vie. Le rouleau de ce manuscrit fût trouvé au delà de la grand plaine dans l’une des grottes antiques de Mogao à Dunhuang et ramené par le Frère Guillaume de Rubrouck voici deux cent ans.


Moi, Nemrod Aggadoth qui fût témoin de la chute d’Oanylone par châtiment divin et ne dois vie sauve qu’au devoir que m’impose le Très-Haut de transmettre ce témoignage aux générations futures, délivre, au seuil de ma vie et à la postérité humaine, le récit détaillé de tout ce que j’y ai vu.



L’incroyable destin de Sylphaël d’Hédon


En ces temps troublés pour la Cité vivait un jeune homme nommé Sylphaël d’Hédon. Il savait briller en société, était doué de talents en tous les arts mais ce qui faisait l’admiration de son entourage était son extraordinaire capacité à savourer chaque instant de la vie.
Nous le croisions fréquemment en compagnie de deux complices de taverne, Colomba la Radieuse et Lucifer le Cyclothyme mais tandis que ce dernier s’enivrait à l’excès jusqu’à devenir violent peu avant le coma éthylique (donnant lieu au célèbre quolibet « quand Lucifer boit, Colomba raque ») Sylphaël, roi des nuits d’Oanylone, goûtait tous les vins puis partait légèrement titubant donner son concert de lyre au profit de l’association « sagesse amassée d’Oane ».On voyait alors toutes les torches de ses adulateurs chavirés l’envoyer droit au firmament.
Souvent, le lendemain à l’aurore et après qu’il eût trouvé de nouvelles sources de délices en étudiant avec Colomba, il n’était pas rare de voir Sylphaël préparer une tisane au chevet d’un Lucifer aux traits ruinés, nauséeux, blafard.
« tu confonds jouissance et bonheur, mon pauvre Luc ! » le sermonnait Sylph tandis que son ami s’apprêtait pour une journée de mortifications et d’autopunitions en tous genres car telle une girouette folle, Lucifer le versatile ne cessait de passer d’un état de soif de plaisir extrême à un abattement coupable et dépressif «et ainsi éprouves-tu très durement ton corps par d’incessantes privations, d’éternels excès »
Quelque temps plus tard, Colomba, succombant au charme dévastateur de Sylphaël le voluptueux, l’épousa. Cependant malgré leur bonheur insolent les deux jeunes gens s’inquiétaient pour leur ami, qui comme bien d’autres habitants d’Oanylone, sombrait chaque jour plus gravement dans un abîme sans fond, mêlant la pratique d’inquiétantes coutumes sexuelles la nuit et , formulant d’étranges prières le jour, prostré et nu, au sommet d’une colonne sous l’œil bienveillant de la Créature sans Nom.
Celle-ci oeuvrait désormais partout dans la ville, sortant de la pénombre, flairant ses proies parmi les décombres de plus en plus nombreux sous les coups de boutoir de la colère de Dieu car l’heure du châtiment avait commencé.


La rébellion des corrompus


La Créature Sans Nom avait trouvé facilement ses auxiliaires parmi les êtres les plus débauchés de la Cité au nombre de sept dont Lucifer le Cyclothyme et ces factotum diffusaient leurs mauvaises pensées avec déconcertante facilité, instillant dans les esprits égarés par la peur d’obscures idées telles que :
«Dieu a créé les riches pour donner aux pauvres le paradis en spectacle » «l’humain retrouvera ses biens s’il ne doute point de la faiblesse de Dieu » «L'éternité c'est long, surtout vers la fin» tant et si bien que la colère ainsi attisée déclencha un massacre.
Un matin nous retrouvions éventré dans les gravats et parmi bien d’autres, le corps de Colomba et pour la première fois je vis Sylphaël s’effondrer dans le même temps que s’écroulait la ville.


La Tentation


Deux jours plus tard tandis que la Cité en ruine se vidait de ses habitants j’aperçu Sylphaël courir en tous sens dans une ruelle. Son teint était blême. Il me fit ce récit :
« Cette nuit je me réveillais brusquement sentant la présence sous mon drap d’une forme : celle-ci semblait peser à mes côtés puis s’enrouler autour de mes jambes jusqu’à ce qu’elle m’étreigne complètement. Je fus pris d’une angoisse oppressante cependant je croyais reconnaître dans cette forme le corps de Colomba, mon épouse défunte et en même temps que la terreur peu à peu m’envahissait j’étais empli d’un flot de tendresse immense à son égard mais je savais qu’elle n’était plus et ce sentiment cédait la place à une impression de manque et une douleur irrépressible soudain je compris que j’étais en proie à un extraordinaire maléfice je devais lutter de toutes mes forces pour ne pas céder à cette chose abominable. Sans doute paralysé par une peur intense j’avais les pires difficultés à me mouvoir et la chose m’emprisonnait comme un étau. Après d’interminables secondes je parvins à atteindre la lampe à huile (j’avais l’unique pensée de faire la lumière pour affronter le sortilège) mais la flamme ne s’alluma pas. Alors, cédant à la panique, je me débattais avec l’énergie du désespoir car cette fois-ci j’allais mourir je ne cessais de crier « vas-t’en » en litanie ininterrompue et de plus en plus fort à la force maléfique dont j’étais la victime. Mon pouls s’emballait, mon cœur palpitait si vite qu’il allait exploser, la chose desserra son étreinte puis je ne sentis plus rien j’allumais la lampe et cette fois-ci, étrangement, la lumière se fît.
Le reste de la nuit j’ai médité sur cette tentative de possession de l’Innommable Créature et l’état d’acédie qui faillit me tuer lorsque j’étais pétrifié par l’angoisse.
Il nous faut accepter le courroux de Dieu, et cette ville, ç’est bien nous qui l’avons condamnée à la destruction, je m’en vais rejoindre le groupe des vertueux.
"pardonne-moi mon ami" lui dis-je "mais comment espères-tu incarner une vertu toi dont l'existence fût toute entière consacrée aux plaisirs ?"
il répondit "mais parce que cette vertu est le plaisir même ! Dieu nous donna les sens pour le goûter et parce que l'amour de la vie reste l'Amour"
sans s'attarder il partit prier pour sauver le monde en compagnie des Vertueux rassemblés à la septième Porte.

La cité d’Oanylone, bâtie en forme de cadran comportait huit portes correspondants aux subdivisions cardinales et la porte Ouest en était la septième, j’observais Sylphaël s’éloigner vers le couchant, ce fût la toute dernière fois que je le vis.
Infiniment plus couard, je quittais la ville précipitamment sans arme ni bagage, avant l’ultime chaos. ainsi il restait désormais sept vertueux face à sept corrompus.
Parmi les compagnons de fuite que je rencontrais par la suite, quelques uns avaient observé de loin le cataclysme final, l’engloutissement de la Cité et leurs témoignages concordaient aussi sur ce point, sept silhouettes avaient été vues, aspirées vers le soleil par des faisceaux ardents.
Je fus heureux de penser à la destination finale de Sylphaël qui toute sa vie avait été rayonnant.

Au dernier souffle de ma vie je commence des croquis à la hâte tentant de transmettre des souvenirs visuels de la grande Cité d’Oanylone au monde des survivants. Puisse l’humanité toujours se souvenir de l’exemple des vertueux et du châtiment des orgueilleux.



La pause nécessaire pour que chacun s'imprègne su texte, et le sermon, concocté par la Nivellus en fonction des derniers évènements.

"Réfléchissons mes enfants, réfléchissons et osons un parallèle, Oanylone la pécheresse, ne ressemble-t-elle pas à une autre ville? une ville où la spéculation, l'accueil des brigands, le soutien aux viles engeances quelles qu'elle soient est de rigueur?
Vi, osons établir un parallèle entre Oanylone et Genève telle que nous la connaissions et telle que nous la voyons encore parfois.
La preuve en est encore le soutien attendu des troupes de brigands attendu.
Alors, mes amis, vous, mes enfants, inspirons nous de l'oeuvre de St Sylphael, pensons à lui lorsque sera venu le temps de combattre le sans nom sous la forme des armées qui convergent vers cette ville pour laquelle nous luttons tous ensemble actuellement.
rendons à cette ville un peu de la probité que nous souhaiterons lui voir, prions pour qu'elle ne prenne pas le risque un jour de sombrer, punie par le Très-Haut comme Oanylone, car même si certains d'entre nous pourraient caresser l'espoir d'être alors discernés par Lui, il y aurait alors bien des âmes perdues qui partiraient vers la Lune, et nous aurions tout au moins partiellement échoué dans notre travail de les sauver.
Prions mes enfants, prions pour que le Très-Haut nous aide à réussir notre mission!"



Après quoi elle rompit le pain et en ces temps elle avait du en faire venir d'Annecy car personne ne pouvait fournir l'Eglise et appela à la communion



"vous pouvez aller mes enfants"
_________________

** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **
Tinounou

Réveil difficile, quelques heures de sommeil à peine, et encore, un sommeil agité.
Le Brigadier, franchissant les portes de la ville, prit la direction de la cathédrale. Hélas, une fois encore ce dimanche, personne. Porte close.
Pourtant, tous ici avaient grand besoin de prier, de se retrouver dans une célébration collective, et de faire acte de contrition.
Elle passa son chemin, et se mit à déambuler dans les rues de la ville déserte, le bruit de ses bottes résonnant sur les pavés, les mains dans les poches, se disant qu'elle repasserait plus tard, si on faisait sonner les cloches.


_________________
Brigadier des Terribles, médecin-apothicaire de la COBA
aide de camp du chef d'armée Garcimore

Juriste du Dragon
Assistant Professeur en Sciences Militaires
Rapha13
l'archidiacre arriva en la cathédrale et qu'elle ne fut pas sa surprise quand il vit les portes fermées norf direction son bureau, prenant la clef de la cathédrale il commença à installer ce qui devait l'être.

C'est ainsi qu'il rejoignit la sacristie et s'habillât




puis alla sonner les cloches pour annoncer l'office dominical

(cliquez sur l'image)

enfin il se plaça à l'entré pour accueillir les fidèles


_________________

protégé de Sa Grandeur Izidore de Castelléo, Chevalier-Sénateur de Rome(cliquez sur la bannière)
Mili_cia
sourit en entendent les cloches quelle plaisir de les entendres elle avançais doucement pour assisté a la messe sur le pavie rapha ete la

bonjour Hospittler rapha, comment allez vous
_________________
Rapha13
rapha sourit voyant sa soeur le saluer il répondit

bonjour schwester mili, ça va très bien et vous ?
_________________

protégé de Sa Grandeur Izidore de Castelléo, Chevalier-Sénateur de Rome(cliquez sur la bannière)
Tinounou
Et voilà que les cloches sonnaient. Tinounou fit de mi tour et reprit le chemin de la cathédrale dans une Genève encore ensommeillée.

Elle aperçut Mili_cia, qu'elle avait croisée dans ses déambulations matinales.
Gravissant les quelques marches, la soldate la salua, puis se tourna vers Rapha. Jamais elle ne l'avait vu revêtu des vêtements sacerdotaux.

Hésitant entre le salut militaire, la bise et la poignée de mains, elle se contenta d'un petit signe amical de la main, et d'un franc sourire.


"Bonjour mon frère !
"

Pénétrant dans l'édifice, elle alla s'asseoir sur un banc désert et regardant les vitraux, commença à chantonner des cantiques.



_________________
Brigadier des Terribles, médecin-apothicaire de la COBA
aide de camp du chef d'armée Garcimore

Juriste du Dragon
Assistant Professeur en Sciences Militaires
Mili_cia
je vais comme je peut sa veux dire doucementelle vie tinou la salut et puis rentre aussi dans l'eglise s'asseoir a attendre la messe
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)