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[RP]Culte aristotélicien romain

Gontranius
Après une dure semaine sur beaucoup de points de sa vie , le Reiter Gontranius eut envie de prières dans le lieu saint .

Il gravit les marches de l'Eglise , cela lui rapellait son passé récent .
Des souvenirs de la prise de l'édifice face aux hérétiques ...

Poussant la lourde porte , il entra , ses yeux s'acclimatèrent a la pénombre

L'eau du bénitier lui sembla fraiche , il se signa , puis avanca dans la nef

Ses pas résonnèrent dans le silence , le cliquetis de son épée paricipait également au trouble de cette quiétude ambiante

Saluant sa soeur Mili et son frère Rapha , Gontranius s'agenouilla ..

Les yeux fermés , il commenca a méditer malgré lui .
Des images défilaient , bruits , fureurs , haines , médisances
Oui , une semaine bien chargée ...
Il sourit , puis attendit le début de la cérémonie
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Rapha13
rapha sourit quand il vit tinou que lui dire ? il n'avais pas le temps de réfléchir et il dit

bonjour brigadière

puis il alla s'installer dans le cœur, des enfant de chœur le devançant le premier tenant un encensoir pour faire monter la fumer et annoncer l'entrée dans l'église du saint livre des vertus, le deuxième portant la croix des croisés et le troisième le saint livre des vertus


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protégé de Sa Grandeur Izidore de Castelléo, Chevalier-Sénateur de Rome(cliquez sur la bannière)
Acar
Il enstra dans l'antre de lumière, cherchant bonne solitude et contemplation...
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Rapha13
arrivé à l'autel rapha dit haut et fort

chers enfant bienvenue je suis heureux que vous ayez pu vous libérez pour assister à l'office dominical maintenant confessons nos péchés quotidiens nos petit péché quoi

il récita avec ferveur et foy regardant une des dames de l'assemblée elle se reconnaitrai...


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protégé de Sa Grandeur Izidore de Castelléo, Chevalier-Sénateur de Rome(cliquez sur la bannière)
Kahhlan
Les cloches de toute volée l'avaient rappelé à l'ordre … pourtant ce n'est pas faute ne n'avoir pas songé à l'église ces derniers temps, et encore moins d'avoir prié pour qu'Aristote dans sa grande bonté puisse ramener un tant soit peu de paix au sein de ses ouailles …

Cette semaine fut le pire cauchemar de cette campagne contre les Lions …
Mieux valait un bon combat sur le terrain que de voir des hommes se déchirer afin de savoir qui était qui et qui faisait quoi … au final, du plus simple des soldats au grade le plus élevé, chacun avait été blessé dans sa dignité d'homme …

Elle pestait contre ses "Grands Penseurs", car si eux s'en sortiraient indemne, rien n'était certain que le simple soldat venu pour défendre une noble cause, offrant sa vie sans condition, suivant chaque jour son chef de section, mettant en partage ses maigres économies en denrées afin que tous puisse manger à sa faim , rien n'était certain que chacun de ceux là, puisse comprendre ce qui les avait amené à ce triste constat du jour.
Elle pestait contre ces « Grands » dont le devoir à son sens se devait d'être protecteur au sein d'un même mission …. il fallait certes leur supporter des coups de « gueules » admettre leurs emportements, rien n'est jamais simple lors d'un conflit armé, et il ne s'agissait pas hélas d'un match de soule qu'ils disputaient …
Le désertion de la veille l'avait anéantie, non pas pour les hommes en moins même si cela aurait pu avoir de graves conséquences … mais anéantie dans tout ce qu'elle croyait et à tout ce dont elle était fidèle … l'honneur n'avait donc pas sa place ici même …

Elle savait que l'armée commandée par son Capitan, homme de terrain, ne serait pas accueillie les bras grands ouverts dans ce monde fait d'Aristotéliciens de tout horizon, elle en avait fait les frais à son arrivée par la méfiance des gens à son égard comme beaucoup d'entre eux … elle savait mais elle savait aussi que chacun de se membres se battrait bec et ongle pour aller au bout de leur mission.
Elle connaissait son Capitaine, elle l'aimait ainsi , qualités et défauts confondus, son coté sanguin pouvait faire ombre de son coté humain … et pourtant …
Pourtant les pieds nus et juste avec ses poings, elle le savait capable de parcourir des lieues pour aller rechercher et secourir le moindre enfant en danger, la moindre femme bafouée … le moindre homme sous toutes ses formes victime d'injustice .. alors oui, il hurlait parfois, il menaçait certaines fois mais jamais pour le plaisir ou par orgueil … Juste pour mener à bien la mission qui lui était confiée.
Combien de fois elle avait ravalé son propre orgueil lorsqu'elle se devait d'exécuter un ordre qui lui était donné un peu brutalement … et elle se rendait compte après, que le temps était compté et qu'il était vital de ne pas se perdre en discutions … et toujours il savait rattraper son manque de tact d'un instant.
La conviction … Memento d'un jour et de toujours et son Credo …

En ce dimanche ou ses pas l'emmenaient jusqu'à l'entrée de l'église, elle inspira longuement, faisant taire ses réflexions intérieures , poussant la lourde porte, elle se plaça auprès de Tinou … petit signe de tête accompagné d'un sourire.
Se recueillir humblement, ses pensées offertes à Aristote, pour chacun des leurs blessés et morts dernièrement … puis pour ses proches , son fils et même pour le père de ce dernier … arriverait - elle à oublier un jour … arriverait-elle à ne plus souffrir à l'évocation même d'un anniversaire …

Puis l'Archidiacre commençait son office par une prière les invitant à la confession …

Arf …. baisser la tête alors et entamer une longue liste …

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Tinounou

Tinounou fit signe à Kahhlan de venir prendre place à ses côtés.
S'il y avait une personne qui avait partagé ses joies et ses peines, et surtout ses peines ces dernier jours, c'était bien elle.
Sur le visage de Kahhlan se lisaient la lassitude, la tristesse.
Elle lui serra la main quelques instants. Ne pas flancher, ne pas renoncer, ne plus écouter toutes ces paroles venimeuses.

Petit sourire lorsque Rapha évoqua les "petits péchés quotidiens". Qu'est-ce qu'un péché au juste ? A chacun sa définition. Par trois fois, elle avait voulu se confesser ces derniers mois, par trois fois il lui avait été répondu qu'il n'y avait pas matière à confession, que tout cela était bien anodin.
La diaconnesse de son village lui avait bien dit que si elle y tenait, que si ça lui faisait du bien, elle lui prêterait une oreille attentive mais qu'il n'était nul besoin de l'intercession de Dieu dans cette affaire.

Elle fit néanmoins acte de contrition, comme quelques jours auparavant, où elle avait demandé à l'archidiacre, en taverne, de les bénir et de se repentir collectivement.



Mais pour se repentir, il fallait prendre conscience de ses erreurs et de ses péchés. Or ces derniers jours, parmi ceux qui auraient dû être exemplaires, faire preuve de dialogue, de fraternité et d'exemplarité, plus d'un s'était laissé aller à l'orgueil.
Un orgueil de coqs dressés sur leurs ergots, avait-elle soufflé à Mrgroar, qui avait trouvé la formule appropriée. Des querelles qui restaient entre hommes, avait-elle fait remarquer, les femmes savaient raison garder. Des reproches qui ne laissaient aucune place au dialogue, encore moins à la réconciliation. Par Christos, quelle tristesse !
Elle savait à quel point Kahhlan en avait souffert, elle qui s'épuisait à trouver des vivres, des fonds, des armes, qui proposait son aide et son soutien à de parfaits inconnus sans jamais hausser le ton, sans jamais se plaindre, ni se décourager, et dans la plus grande discrétion.

Mais pourquoi, pourquoi avaient-ils tenus de tels propos ? Il fallait espérer qu'ils feraient leur examen de conscience, et qu'ils se confesseraient avec sincérité sur des propos qui l'avaient elle-même blessée et qu'elle aurait du mal à oublier.
Quand ceux qui ont la responsabilité des autres se comportent ainsi, comment s'étonner que certains dans leur troupes aient l'insulte facile, et se permettent une conduite totalement déplacée ? Mais cela, ils ne le voyaient pas.

La division au lieu de faire front commun, là était le résultat. L'ennemi, lui, en aurait bien ri. Ses efforts de propagande, de dénigrement, ses intimidations, avaient payé.
Voulant chasser toutes ces pensées qui lui donnaient envie de pleurer, elle qui avait cru trouver, en venant à Genève, un exemple d'amitié aristotélicienne avec des gens d'horizons divers, elle se dit qu'il faudrait néanmoins remercier le Très Haut.
Les combats attendus n 'avaient pas eu lieu, des combats qui auraient probablement été violents, et de nombreuses vies avaient été épargnées.

Elle remarqua le sire Acar, qu'elle n'avait pas vu arriver. Un ancien thiernois, comme elle. Que de bons souvenirs, lui avait dit son père adoptif. Et il est vrai que d'après les échos qu'elle avait eue en provenance de Rome, il avait tenté l'apaisement. Pourvu qu'on l'écoute !



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Brigadier des Terribles, médecin-apothicaire de la COBA
aide de camp du chef d'armée Garcimore

Juriste du Dragon
Assistant Professeur en Sciences Militaires
Mili_cia
elle écouté la messe et fis comme tous


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Gontranius
Gontranius écouta l'officiant de la messe et toujours a genoux

Fermant les yeux pour mieux se pénétrer de ses paroles


Je confesse à Dieu tout puissant, à tous les Saints et à vous aussi mes amis,
parce que j'ai beaucoup pêché en pensées, en paroles, en actions.
Je supplie tous les Saints et vous, mes amis, de prier le Créateur pour moi
Que le Très-Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos pêchés.
Amen

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Rapha13
rapha attendait que tous ai fini puis il s'exclama haut et fort

Mes frères, mes sœurs, professons la foy que nous avons reçu du très haut et chantons tous ensemble le credo

et l'archidiacre regarda l'orgue en haut et fit signe à tinou et il commença à chanter suivi par le chœur et l'orgue derrière lui


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protégé de Sa Grandeur Izidore de Castelléo, Chevalier-Sénateur de Rome(cliquez sur la bannière)
Mili_cia
continuent avec le credo


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Tinounou
Pour une fois on allait chanter la messe, ce qui n'était pas pour déplaire à Tinounou.
Comme prévu, sur un signe de l'Archidiacre, elle gravit prestement les marches et prit place sur le banc de l'orgue.
Prenant une profonde inspiration, elle joua une courte introduction.
Les doigts résonnaient sur le bois des touches, mais les notes, amplifiées par les tuyaux, couvraient ce léger cliquetis.


http://www.youtube.com/watch?v=K2D2Qm9gzUA&feature=related

Puis elle enchaîna avec le credo, tout en fredonnant.


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Brigadier des Terribles, médecin-apothicaire de la COBA
aide de camp du chef d'armée Garcimore

Juriste du Dragon
Assistant Professeur en Sciences Militaires
Rapha13
enfin rapha fit signe à tinou d'arrêter puis un enfant de chœur vint lui amener le saint dogme et rapha dit

Je vais vous lire un passage du saint dogme

Il ouvrit le dogme à la page qu'il voulait et commença à lire


Bender.B.Rodriguez a écrit:
Quelque soit le conflit, ceux qui combattent au nom du Très Haut ne doivent jamais oublier qu'ils ont en charge une mission religieuse, celle de ramener la paix et de reconstruire le lien qui a été rompu, il n'est donc nul plaisir à prendre au combat, nul bonheur de voir mourir un être qui fut un frère ou une sœur, nul besoin de violence inutile, chaque coup porté se doit d'être le plus utile possible, sans chercher à faire durer l'agonie de celui qui s'est perdu depuis longtemps dans les méandres tortueux du mal.

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Livre des Vertus, Livre III, Hagiographie de Sainte Kyrène a écrit:
"Mais parfois l’humanité prendra le raccourci d’utiliser le fer, car lui aussi fut donné à l’homme par Dieu. Et pourtant, le fer a été donné à l’homme comme la créature sans nom a été laissée parmi nous, dans le but de nous tenter, et pour que nous l’oubliions en tant qu’arme. Un jour je vous le dis, nous vivrons dans un monde d’amour où seul nous importera ce que le Très Haut voit en nous, et non plus ce que notre voisin y voit, et ce jour uniquement les armes ne seront plus sorties de leur fourreau. Mais pour que ce jour arrive, nous devrons séparer le fer et le verbe, ceci sans pour autant négliger le recours au fer par ceux qui choisiront de défendre les prêtres du Très Haut. Le messie est venu définir des règles, car comme Aristote l’a dit déjà «il faut préférer se contenter de l’acceptable que d’exiger l’impossible directement ». La violence est donc acceptable contre la violence, si le but est la justice ou la défense de la vraie foi. Il nous faut pouvoir opposer la parole à la parole, mais aussi le fer au fer." [...] "Chacun a sa place, le soldat a sa place de la même manière pour aider la construction de l’Eglise, mais il a une grande responsabilité. Car comme le bûcheron ne doit pas couper d’arbre si nul n’en a besoin, le soldat ne doit pas faire couler le sang inutilement. Comme le bûcheron n’a pas de haine contre l’arbre, le soldat ne doit pas avoir de haine envers son ennemi, et il ne doit agir que si la cause est juste et approuvée par Dieu. S’il combat sans haine, pour servir les desseins du Créateur, et respecte les jours de prières, il en sera pardonné."


Pour conclure, il faut ne pas oublier de préciser que ceux qui ont combattu et pratiqué la violence, se doivent d'obtenir le pardon divin, et ce, même s'ils ont fait ce qui était à faire. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il est impensable de vivre avec l'idée d'avoir tué ou massacré, et ce, même si celui qu'on a occis était un mal à l'image de la créature sans nom. Le meurtre laisse une trace indélébile dans l'esprit humain et corrompt l'âme la plus pure. Ce sera alors, à ce moment, le rôle des religieux que de permettre aux soldats de la Foi d'entrevoir à nouveau la lumière divine. Il se devront de porter et de guider ces hommes et ces femmes pour qu'ils retrouvent le chemin qu'ils ont quitté pour le bien de tous. Au final, leur bravoure et leur courage auront été d'aller à l'encontre des messages divins dans l'œuvre de restaurer la paix et l'amitié.




refermant le dogme il se tourna vers le peuple et il dit avec passion

Ce texte faisant partit de notre saint dogme, écrit par un ordenskaplan de l'ordre teutonique, nous montre bien aujourd'hui que combattre les hérétiques est une choses mais qu'il ne faut pas en oublier pourquoi nous sommes ici, il ne faut pas oublier que c'est l'amitié aristotélicienne qui a été malmené, aujourd'hui je vous demande de bien vouloir y penser à cette amitié car c'est la plus importante qui soit.

Aujourd'hui je vous demande de méditer ce texte en vous posant cette question pourquoi suis je là ?

Pour la gloire ou pour le très haut ?

Ensuite j'invite tous les combattants aristotéliciens à venir se confesser alors vous me direz : "nous on veut bien mais où ?" je suis là pour vous répondre monseigneur Bourrike et son équipe diocésaine sont là pour vous.

Chers enfants du très haut la confession est indispensable je vous invite à venir dans le confessional de la province de Vienne qui englobe les diocèses de Dié, Genève et l'archidiocèse de Vienne chaque clercs de la province se fera une joie de vous laver de tous vos péchés et n'oubliez pas que vous êtes là pour combattre l'hérésie et non pour votre gloire.

Que le très haut vous bénisse.

Amen


puis il alla s'assoir dans le chœur pour méditer les paroles de son homélie et de méditer également le texte du dogme.
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protégé de Sa Grandeur Izidore de Castelléo, Chevalier-Sénateur de Rome(cliquez sur la bannière)
Tinounou

Tinounou écoutait avec attention, hochant la tête en signe d'approbation de temps à autre. Le texte de l'homélie était tout à fait approprié.

«il faut préférer se contenter de l’acceptable que d’exiger l’impossible directement ».

Il faudrait qu'elle se souvienne de cette citation d'Aristote, et qu'elle prenne le temps d'y réfléchir.
Pour l'heure, ignorant jusqu'alors que l'on devait se confesser après avoir tué même un suppôt de la créature sans nom, elle se dit qu'il ne faudrait pas tarder.
Peut être était ce parce qu'elle ne l'avait pas fait qu'elle se sentait si lasse depuis une bonne semaine.
Combien de fois avait-elle tué au juste ? Peut-être onze ou douze, elle ne savait plus trop. Il était temps de purifier son âme.

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Brigadier des Terribles, médecin-apothicaire de la COBA
aide de camp du chef d'armée Garcimore

Juriste du Dragon
Assistant Professeur en Sciences Militaires
Adn14


L'archevêque métropolitain était arrivé en ville, sans aucune difficulté d'ailleurs...bien que...son seul problème est d'avoir négligé ses fiances et de se retrouver mourant dans la ville heureusement, les anges ont su l'aider...

Il pénétra dans la cathédrale et Ohh géniale une messe! Il prit place dans un siège au fond de l'église et écouta...
Aleen
Aleen arrivée depuis peu à Genève, pénétra dans l'édifice, l'office avait commencé, elle prit place tout au fond, récita le crédo, demanda pardon pour ses pêchers,

elle écouta le prêche, repensa à son comté divisé, déchiré, par la soif de pouvoir et de domination, comment pouvait on par orgueil et stupidité en arriver là ?

Comment ne pas écouter les critiques ou conseils selon comme on les perçoit, comment pouvait on perdre, à ce point le sens, de l'honneur ?

La jeune femme était triste, écoeurée, prête à faire un geste irréparable, elle demanda à Aristote de la guider, de l'aider, une grosse larme roula sur sa joue, elle se sentait bien seule loin de son comté, sans personne pour venir lui parler, avait-elle été manipulée ? Elle ne savait où elle en était.

Elle aurait aimé parler avec Kad qu'elle avait rencontré à Nevers, était-il en ces murs ? En souriant elle pensait à sa propre intervention, pour l'aider lui et Theudbald qui n'avait pas été du goût de tout le monde, et avait largement contribué à sa décision de partir de Bourgogne,

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