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Le coin des poètes ( pour d'éventuels Troubadours inspirés)

---fromFRmat
* Par un soleil de plomb de fin juin, Mat gravit le sentier qui mène à l'Arbre. La chaleur trempe rapidement la chemise du maître troubadour.
Une fois sous les majestueuses branches du centenaire, Mat essuie son front d'un revers de manche et fait une légère halte pour reprendre son souffle.
Il termine les quelques mètres qui le séparent du Livre et sort sa plume. *

Je savoure ces quelques lignes écrites par Gyscos et Machiaveli, la prochaine cérémonie pour acceuillir les nouveaux apprentis commencera dans peu de temps. L'été étant là désormais, je pense que la confrérie sera un peu plus calme que d'habitude ...

Pourtant, notre actualité est forte à travers les Royaumes.
En effet, un concours est organisé à travers toutes les gargottes de France et de Bretagne. Vous y trouverez facilement le post.
En avant première dans la taverne du Royaume, voici les lots pour ce concours :

1er prix : 100 écus + 4 points de charisme
2ème prix : 50 écus + 2 points de charisme
3 ème prix : 20 écus + 1 point de charisme


Evidemment, d'autres lots seront créés...
Le concours sera présent tout l'été, délibération des troubadours début septembre...

A vos plumes
Mat

_________________
Mat d'Ys
Duc d'Ouessant

---fromFREras
ses quelques lignes inspirez de mon crue pour la plus jolie fille que je 'nais jamais vus

si la lune était une perle je t'en ferais le plus bo des collier
je prendrai les étoiles pour pouvoir t'en draper
saisir la queu des comètes pr éclairer ton sourir
et d'un geste de la main effacer le pire

j'ouvrirai la terre pour t'en faire un abri
j'y ferai pousser des arbres pour te donner un lit
te couvrir du ciel pour te réconforté
et rester pret de toi pour une éterniter
_________________
menbre de la confrérie des assoifé de sémur

poétes et troubadour inspirez grand contteur d'aventure épique
---fromFRMachiavelo
Aïe! J'ai mal à mon orthographe!
S'il vous plaît... essayez de ne pas faire trop de fautes, ce sera plus agréable pour tout le monde...
_________________
Fantôme errant du côté de l'église de Cosne
Feu Machiavelo de Savonarole
***
---fromFRAnonymous
L'étang

l'or est le plus beau trésor
ont dit les hommes
certain ont pas tort
mais eux se trompent en somme

du moins mon histoire le raconte
si je la dit en vers
c'est pour que l'on croit à mon conte
et que vous ne lui fassiez pas la guerre

un matin, un petit vagabon
la canne à pèche sur l'épaule
marchait vers son champ de blé blond
il partait pécher la saule

une fois à l'étang
le pécheur pose sa canne
et il s'étend
puis il regarde, surpris son ane

l'ane avait trouver de l'or
et en avait rammener dans sa gueule
le fermier était heureux de son trésor
il s'assit de joie près du tillleul

pendant cela
une saule s'approche et mord
la canne lacha
et partis, à tord

le lendemain le fermier
alla au village
heureux d'etre le premier
à trouver un mage

le mage surprit regarda l'or
il dit:"cela est surprenan"
c'est de l'or, tu n'a pas tort
sur ce il parti en se promenant

le fermier vint au magasin
il demanda du blé
"il n'y en a pas un car
vous étiez mon seul fermier"

"donner moi du poisson" dit l'autre
et le marchand repondit
"quel poisson? le seul est le votre"
et il parti ragant vers son logis

le fermier décidé a ne rien faire
arréta de travailler
un mois après pas une graine n'était par terre
tous les habitant ont déménager

et le fermier mouru de faim
la pépite à la main
---fromFRAnonymous
désolé machia mais l'ortographe et moi c'est pas compatible
---fromFRNindë
*Nindë s'était approchée des poètes et avait écouté avec attention. Elle attendit que le calme soit retombé pour présenter courageusement le sien :*

J'ai écris le poème qui va suivre après m'être rendu compte que la beauté des mots nous dépasserait toujours, quoi qu'on fasse...


*Elle inspira et commença à lire :*

Lame d'orgueil

Le ciel éteint ses étoiles dans les larmes de mes yeux.
Et le soleil, trop proche de mon âme; me consume.
Comme le temps passe lentement quand les dieux
Nous quittent en nous laissant égarés dans la brume.

La mer est turbulente ce soir et au fond de moi
Je sais que rien ne saurait correctement l'apaiser.
Je cherche le phare de la vie mais ne le trouve pas.
Et sans lui, sans sa lumière, comme il est dur de naviguer !

La mélancolie m'attire tout à coup dans ses bras glacés,
Et malgré les morsures de cet hiver soudain j'y suis bien.
J'erre sans but sans pourquoi sans réponse sans été,
Car entre le parchemin et la danse de la main, je ne suis rien.


*Nindë rougit en demandant aux messires présents :*

Sauriez-vous par hasard comment on doit faire pour être membre de la guilde des troubadours ?
---fromFRMachiavelo
Jolie coup de plume Nindë... J'aime beaucoup.
_________________
Fantôme errant du côté de l'église de Cosne
Feu Machiavelo de Savonarole
***
---fromFRpiul
J’ai vu l’aurore du matin tomber le soir de ma vie


Dans la rue montante
Je n’en peux plus de l’attente
Trop de temps s’est écoulé
Tant de larmes ont coulé
Pour elle j’ai tué
Pour elle j’ai prié


Depuis notre premier baiser
Je ne puis me reposer
Sans penser à tes lèvres douces
Qui nous envoûta tous
Dans notre clan désert
Ma vie dure plusieurs ères

Longtemps avant ce jour
Longtemps avant que soit mon tour
Je t’ai le plus rêvé
Ton corps m’a fait baver
En te voyant dans la foule
Mon cœur se serre en boule

Le bourreau est ici
Au soir de ma vie
Je te regarde encore une fois
Cet instant dure des mois
La guillotine tomba
Et ainsi me trancha
_________________
un jour je me léverais et il fera beau ABEL CHEMOUL

Piul...c'est tout une conception tu sais !
Coutelier
---fromFRAnonymous
Ninon, discrète, inscrivit dans le registre au creux de l'arbre son poème, sa candidature, avant de disparaître dans la nuit.

Dans les bras de Morphée

Pour venir en songes me visiter
De tes grandes ailes m'envelopper
De ta belle fleur rouge m'effleurer
Pourquoi attends-tu la nuit, Ô Morphée?

Compagnon de tes milles frères et sœurs
Terré dans ta résidence aux Enfers
Tous sur ce lit d'ivoire recouvert
De pavots dont l'opium est la cœur.

Nul besoin de ton chef le signe
Pour déployer tes ailes colorées
Vraiment rapides pour te déplacer.
Dans mes rêves, liras-tu les lignes

De mon cœur qui te clameront bien fort
Que si tu t'insinues plus loin encore
Mon amour éclatera au grand jour
Mais alors, à jamais et pour toujours

Je sombrerais dans les bras de Morphée
Dhukhon
Maître corbeau, sur un arbre perché
Ne fait rien de toute la journée.
Un lapin voyant ainsi le corbeau,
L'interpelle et lui demande aussitôt :
" - Moi aussi, comme-toi, puis-je m'asseoir
Et ne rien faire du matin jusqu'au soir ?"

Le corbeau lui répond de sa branche :
" - Bien sûr, mon ami à la queue blanche,
Je ne vois ce qui pourrait t'empêcher
Le repos, de la sorte, rechercher."

Blanc lapin s'assoit alors par terre,
Et sous l'arbre reste à ne rien faire ;
Tant et si bien qu'un renard affamé,
Voyant ainsi le lapin somnoler,
S'approchant du rongeur en silence,
D'une bouchée en fait sa pitance.

Moralité : Pour rester assis à ne rien branler,
il vaut bien mieux être très haut placé.
---fromFRPitouf
Bonjour, je passais par hasard et je vais essayer de faire aussi bien que mes prédecésseurs en apportant ma modeste contribution à ce joli recueil éclectique.


Me voici en ces tendres lieux,
Où jadis en ta compagnie,
Un soir j'ai côtoyé les dieux,
Les cieux nous avaient accueillis.
Les années ont défilé
Or il semble qu'en ce pays,
Le temps survole les vallées
Mais jamais ne les envieillit.

Ah ! je revois les herbes hautes
Qui nous ont ce soir-là cachées.
Nous ne commettions pas de fautes,
Nous voulions juste être oubliées.
Disparaître pour une nuit,
Et laisser de nos corps couchés,
Nos âmes s'elever ainsi
Vers les astres hospitaliers.

C'est avec la dernière étoile
Que nous nous sommes assoupis.
L'aurore à recouvert d'un voile
Nos corps à jamais réunis.
_________________
Président de la Cour Suprême du Marquisat des Alpes Occidentales

Bâtisseur et Haut-Dignitaire de Provence
Fondateur du Barreau de Provence et Ier Bâtonnier


Ex-Juge de la CSMAO
Ex-Haut-Diplomate, Porte-Parole, Procureur, Bailli, CaM de Provence
Ex-Maistre de Forcalquier
pnj
A toi mon preux chevalier!

Aujourd’hui je vais vous conter l’histoire
Belle histoire au demeurant, du preux chevalier,
Celui au cœur d’or, celui au casque d’ivoire,
De son pays parti vers des contrées éloignées,
Espérant dénicher, en haut d’une tour,
Fou qu’il était, après avoir battu le dragon,
Grimpant chaque étage, et enfin, en haut : l’amour !
Ha ! Cette dernière chambre, en haut du donjon,
Il en avait tant rêvé, il avait tant voulu,
Jour après jour, il avait tout imaginé,
Karma positif par tant de veuves défendues,
Lance aiguisée, épée au fourreau, bouclier astiqué,
Même pas une éraflure sur sa belle armure,
Non, vraiment rien ne l’empêcherait de triompher !
Oh mais une chose clochait, chose importante pour son futur :
Personne tout en haut de la belle tour dorée !
Quelle déception ! Lui qui espérait trouver,
Reine, princesse, peu importe, elle serait la bonne,
Sûrement la plus belle des créatures crées !…
Toujours est-il qu’il est reparti atone,
Une lueur de désespoir au fond des yeux,
Vraiment plus aucun rêve au fond de son âme,
« Walhalla sera le seul endroit où je serai enfin heureux,
Xénophobe était-elle peut-être cette femme ?
Y-a-t-il seulement quelqu'un pour moi dans l’humanité ? »
« Zut !! » fit-il en rentrant chez lui, « elle était venue me chercher !! »
---fromFRdelavega
Ola mes amis, troubadours, poetesses...
C'est a vous que je parle, mais pas comme a la messe
Je suis heureux chez moi mais me sens un peu seul
J'essaie d'etre poète mais surtout deconneur...

J'aimerais (humblement) postuler à votre guilde, qui me semble etre la plus... indispensable du royaume, car que serions nous sans nos grand auteurs et artistes?...


Les jeunes filles en fleur

Les jeunes filles en fleurs, au sortir de la messe
Font choir les jolis-coeurs, et dire des promesses
Mais attention messieurs car le beau-père veille
Mirez-la dans les yeux, ou il vous ecartèle...

Les jeunes filles en fleur, fort loin d'être naïves
Promettent le bonheur, mais ne sont point hâtives
Au coucher du soleil, portez lui quelques fleurs
Sous les yeux de la lune, effleurez sa pudeur...

Les jeunes filles en fleurs, toutes apprétées de soie
Feraient rougir les prêtres, ceci malgré leurs lois
Au moment de la noce, leur sourire est charmant
Puis au milieu des gosses, ce sont de belles mamans...
_________________
A le privilège d'être marié à la femme la plus formidable du Royaume...
---fromFRmat
Le soleil des Royaumes traverse les nuages,
Un troubadour monte le chemin du chêne,
Dans l’espoir d’y lire nombres de messages,
Laissés par des poètes ces dernières semaines.

S’imposant au retour une halte à la taverne,
Sera nécessaire pour désaltérer le personnage,
Afin de masquer les nombreuses cernes,
Qui noircissent les traits de son visage.

Mat arrive enfin au creux de l’arbre,
Y découvre tant d’écritures nouvelles,
Comment pourrait-il rester de marbre,
Devant ces inspirations qui interpellent.

Huit plumes se succèdent en poème,
Eras, Minos, Nindë, Ninon,
Piul, Pitouf, toi2212 et Dhukhon,
Bientôt la confrérie sera votre emblème.

Laissez juste encore un peu de temps,
Pour la prochaine cérémonie d’intronisation,
Aramirdar est parfois un peu lent,
Mais la rentrée apportera la solution.

C’est ainsi son message achevé,
Que Mat redescend la colline,
L’esprit sain et le cœur alléger,
Il s’en va vider quelques chopines...
_________________
Mat d'Ys
Duc d'Ouessant

---fromFRCad
**En parcourant les Royaumes, Cad aperçut dans cette taverne joyeuse l'accueil qu'on faisait aux apprentis troubadours du Royaume!
Vite, celui-ci, approuvant la générosité des textes lança une ode de raliement à ces individus qu'il concidérait déjà comme une famille par la pensée et la route sinueuse de leur vie commune**


Pourquoi les troubadours?

Comment livrer sans sentiments
La vie de tous ces passants,
qui à travers les Royaumes Rennaissants
Renferment des histoires d'un temps
Qui parraissait si différent?

Aucune réponse ne peut se graver
en dehors de nos coeurs tant torturés!
Emprisonnant toutes ces pensées
qui nous guident et font réver
Nous voulons que notre trace soit relater.

Ces ritournelles qui chantent ds nos corps sourds
Avec des rimes sifflant nos parcours.
Par un rythme mélodieux, les troubadours
Nous nourissent de ces magies, haines, et amours
Qui réunnissent tous les seviteurs de la Cour...


Cad
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