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Le coin des poètes ( pour d'éventuels Troubadours inspirés)

Camille.
Longtemps sans but, j’ai erré dans le noir,
A la recherche de cette petite lueur d’espoir
Qui saurait me guider sans jamais vaciller
Et m’offrir enfin une vraie sérénité.

Et tu es apparu dans ma vie mon étoile
Et soudain c’est déchiré devant mes yeux le voile.
Il suffit que tu traverses en douceur ma vie
Et mon besoin de bonheur, sans bruit, s’assouvit.

Je t’aime comme nul autre mon merveilleux amour,
Mon mari, mon amant, l’homme de mes jours.
Tu as su sans un mot transcender ces instants
Et nul doute, nulle crainte, ne m’abat maintenant.

N’oublie jamais que tu es mon essentiel,
Ne doute jamais que « nous » est éternel :
Tu seras à jamais unique dans ma vie
Et tant pis si les autres maintenant nous envient !

_________________
Ryxende
Une vie sous une plume , un écrit inconnu
L’encre ne sèche pas , se nourrissant d’elle-même
Les profondeurs de l’ âme , noirceur méconnue
Ou pourrait s’attiser le dégout et la haine

Une vie comme un rêve , ou bien ce qu’il en reste
Des brumes évaporées , dans le matin frileux
Les volutes filigranes , qui s’accrochent comme un test
Lorsque la lumière entre, brulant ainsi les yeux

Un esprit enfantin prisonnier d’un corps souple
Une pensée, trop mature , échappée sans sursit
Une douceur abandonnée aux détours de la route
Une gaieté envolée , reposant sur l’acquit

Les fontaines de la place ne vomissent que de l’huile
Les cascades des bois n’éructent que tambours
Quand la main salvatrice se trouve sur une ile
Des tessons envahissent l’océan alentours

La croyance de tenir en ses mains l’avenir
L’espérance de pouvoir, comme les autres , voir au loin
La marche funèbre qui emporte de son ire
Les rires et les joies du monde des lutins
Fantou
Au soleil

Les yeux mi-clos immobile, hiératique,
La tête levée vers le soleil presque extatique,
Il reste impassible là, sans frémir
N’éprouvant on dirait nul autre désir
Que jouir de la chaleur de l’astre aux cieux
Sur son corps souple. Il me semble voir
Sur sa bouche un sourire malicieux
Il somnole, indifférent il sait m' émouvoir.

Ma main ne peut s’empêcher de le frôler
Le faisant avec volupté se rouler sur le dos
Gestes doux qu’il sait contrôler
Yeux verts qui s’ouvrent aux reflets d’eau
Tout son corps s’offre à la caresse
De ma main qui suit ses courbes gracieuses
Je lui donne moult tendres caresses
Je plonge dans sa fourrure voluptueuse

Impatient il se retourne pour un coup de dent
Car lui seul décide des gestes sur lui
Puis il se lève et s’étire impudent
Le beau chat dont le poil roux luit
Et il s’éloigne de sa démarche élégante
Indifférent tout en grâce nonchalante
_________________
Sophia, incarné par Elsas
La douleur est en moi profondément ancrée,
L'envie de haine et de vengeance sera avancée,
Le désir brûlant de me servir de mon épée,
La faire dans son coeur pénétré.

La couleur rouge de son sang,
Qui coule le long de son corps sous mes yeux pendant,
Que je prendrais place calmement ,
Face a elle paisiblement.

Je lui en veux pour ce qu'elle a fait de moi,
De m'avoir rendue ainsi a cause de toi,
Jamais je ne pourrais me calmée,
Ma vengeance devra se faire armée.

Un jour nos routes se croiseront ,
Et ce jour la nous s'aurons ,
Que tu y aura rien gagnée ,
Mais au contraire ta route par moi sera terminée.
Lana_
Je renait trop longtemps endormie
Rêves de toi, de nous
Amenant d'autres soucis
Mais n'allant pas chercher des poux
Je ne suis pas de glace
Et pi y'a pu de fraises
Viens avec moi dans la place
Regardes, nos yeux ne sont que braise
Découvrons nos jardins d'épices
Je les prendrais tous et en ferai du pain
Te laissant le plonger dans ma rivière de délices
Viens, partons, plongeons sans lendemain
Aimer est si facile
Aimer est si paisible
Laissons jaser
Laissons couler
Langues de vipères
Au parfums amers
La mer nous fait tanguer
Sans aucunes envie d’amarrer
Juste toi, Juste moi
Justement
Aphrodyti


Elle vaincra, son combat commencé avec lui
Elle pourra si on lui laisse le temps de vivre
Sans savoir qu'elle marche, courre vers l'infini
Un secret, un baiser, un silence, tout un livre

Il fait des promesse puis s'en va, l'aime toujours
Il disparait de ses jours, mais ses nuits seules
Elle les imagine pleines de colère et d'amour
Besoin d'y croire, savoir, sentir qu'ils se veulent

Eux sont à une porte de l'envie, de se combler
Eux sont toujours ensembles même séparés
Quand lui dira-t-il, quand aura-t-il enfin le courage
De cesser de le taire, de lui imposer d’être sage

Nous avons besoin de temps, de solitude à deux
Nous pouvons tout construire, juste toi et moi
Reviens avant la fin du rêve, reviens dans mes bras
Aimer c'est une envie, presque comme un ciel bleu

Je ne cesserais jamais de vouloir ce que j'ose
Dans mes insomnies, dans mes folies nécessaires
Tu m'as pris le cœur et l’âme dans un seul éclair
Maintenant fais le, il me manque ce quelque chose

_________________
Heribert
Ahhhhhhhh
Nooooooooonnnnnnnn!
Si au lieu de divaguer sans cesse
De se replier sur ses fesses
Par des coudes aigus de vitesse
Des détours sans fin d'étroitesse
Il coulait directement à la source de la drôlesse
Bonjour l'ennui.
Ah ouiiiiiiiiiiiii.
S'en serai fini du fantasque,
Tout serait bien flasque.
Il enivre, Il livre et dégivre
Faut savoir le suivre, Cette vouivre
C'est qu'il en parcourt Des atours
De riant paysages pittoresques
Des plateaux sauvages de belle de jour
Des torrents et cascades romanesques
Ce petit pays
Hormis les champs de glace
Ses pics inaccessibles vivaces
Est tout mimi.
Arrosant ses cité lacustre.
Astiquant ses lustre.
Il prend une belle source
Au seuil de la petite ourse
S'étend de forme oblongue.
Laissant là les tong.
Dansant autour des fissures
Ou oeillettes qui capte sa démesure
Et ses ondes de belle apparence.
Livrant allégeance à ses abondances.
Il fait le gogo en mille pt'ain d'argot
Que ché bon de tourner autour du pot.
Heribert
Quand la trouille s'ennuie avec sa tête de fouine
Elle met dans son wine de l'eau
A l'eau wine ici trouille d'Halloween.
Et la voila wineuse sous son bel hâlo.
Hin! Hin! Hin!
Mais pas de trouille sans boulette de gnon.
Ha ya yaïe! Et oui c'est simple comme une saille.
Ca va trancher, hi,hi, Tremblez mignon.
Hâlo gnon ici boulette d'ail.
Ha! Ha! Ha!
Ca vous dérange, vous scie le tronc.
Il est trottoir, il va faire noir! Hu! Hu!
Hâlo range, ici tronc, je vais te mettre au jus.
Compresser, presser en chansons.
Hou! Hou! Hou!
Il ne vous semble pas insensé.
Gnééééééééééééééééééééé
De dire que le bonheur,
C'est de l'horreur!
Et c'est simple comme un coup de phaune*.
RoaaaaaaaaaAAAAAaarrrrrrrrrrrrRRRRR!!!!!!
Couïcccc!


Edit: * Suite à de nombreux coup de fil et réclamations, faute estampillée et labellisée cent pour cent juste.
Heribert
Weshhhhhhh poto de bourgogne
Vos chais et rasades estourbissent la trogne
Ripaillons, joyeux lurons, foin de l'atrabilaire
Oh yeahhhhh, les rois épousent les bergères

Des coteaux à la pleineeeeee
Rillons langue hardie et gorge pleine
Ebaudissons tête chaude fleurant nos crûs.
Oh yeahhhh, cithare n'est pas menue.

En mille sentes bocagères
Musette et crincrin, tssss, place à la basse
En Bourgogne ça déboîte les grappes de vers
Oh yeahhhh, les fûts sont des as.

Le Bourguignon vainc le guignon
En mille cloches avec sa tête de carillon
Les bergères filent de leurs doigts agiles.
Oh yeahhhh, dinde et glouglou tranquille.

Weshhhhhhh poto de bourgogne
Vos chais et rasades estourbissent la trogne
Ripaillons, joyeux lurons, foin de l'atrabilaire
Oh yeahhhhh, ici les rois épousent les bergères

Raisin zin, blonde chair et filet rond
Vint donc folâtrer, franger les verres
Les bouchons vont sauter sans flonflons
Oh yeahhhhhhhh, là fait chaud l'hiver
.
.
.
.
.
.
.
Si seulement c'était vrai....snif, snif....
Rhaaaaaaa le pourrisseur de grouve....
A morttttt un bourre pif, un bourre pif...
Meursss chien hop à la douve!
Ryxende
et s'il n'était plus l'heure ?
et si l'heure n'était plus ?

et si le temps manquait ?
et s'il était perdu ?

et s'il n'était plus temps ?
et s'il fuyait devant ?

et les portes ouvertes n'en étaient pas vraiment ?
et s'il fallait fermer les ouvertures au vent ?

mais est il vraiment l'heure ?
en ai je encore le temps ?

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