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[RP]" Au fil de l'épée", la forge d'Horloger

Idryl
Idryl sourit à Rody. Il avait peur qu'elle ne revienne pas. Pardy entra à ce moment là. Il lui demanda de donner des nouvelles.

Idryl regarda Rody


Je te fais la promesse de revenir. Je ne te laisserai plus jamais, plus jamais !!

Puis elle se tourna vers Pardy

Je compte sur toi Pardy, c'est un très long voyage. Je vous donnerai des nouvelles.

Idryl se tourna de nouveau vers Rody

Je t'écrirai tous les jours...
Pardallian
tous les matins et tous les soirs Pardy venait rendre visite a Rody,il lui apportait des patisseries

comment vas tu ce matin ,mon fils?
as tu reçus des nouvelles de ta mère ?quand tu te sentiras d'attaque ,cela te plaira t'il de venir faire une ballade a cheval avec moi ?

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Pardallian
comme promis ,Pardy rendait ,visite a son fils ,celui çi reprenait des forces
Pardy lui amenais de bons petits plats que Rody aimait
Rody n'était pas bien bavard,mais Pardy aimait rester avec lui ,il aimait vraiment son fils et avait vraiment été inquiet pour lui,aussi le voir se refaire une santé comblait Pardy de bonheur

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Pardallian
comme tous les jours Pardy venait rendre visite a Rody ,trois jours avant il était parti chasser et avait ramener un lièvre il en avait fait une térrine et ce matin ,l'amenai pour son fils

voila mon fils ,je t'ai fais cette térrine de lièvre,j'espère que tu l'aimeras,et voila une bouteille de bon cidre ,comment vas tu ce matin,tu as meilleur mine,je suis heureux de voir que tu reprend des forces,as tu des nouvelles de ta mere?

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--.rody.


Cela faisait quelques jours déjà que sa mère, son compagnon et Danaël son petit frère étaient partis pour ce long voyage vers l'Espagne. Rody ne regrettait pas de ne pas les avoir accompagnés. Il n'aimait pas quitté Fécamp et maintenant qu'il était de nouveau vaillant, la forge avait besoin de lui. Son père était venu à plusieurs reprises lui rendre visite, multipliant les attentions et il lui en était reconnaissant.

Il lui dit qu'il avait de bonne nouvelle de Idryl, que le voyage se passait bien;
Cependant, ce jour-là, quelque chose le préoccupait, et en remerciant son père pour la terrine de lièvre, il lui demanda:


- On m'a dit que le seigneur Horloger était au plus mal...sais-tu quelque chose?
Pardallian
j'en n'ai entendu vaguement parlé ,il aurait fait une chute de cheval,je n'en sais pas plus ,mais je te promet de prendre des nouvelles je vais écrire a Matou,je te tiendrais au courant

[/i]donna l'accolade a son fils et reparti ,heureux de voir Rody ainsi,il se remettait bien ,et cela le rassurait

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--Clement.
Dame Matouminou lui avait demandé de placarder le faire part de décès de son maitre, le seigneur de Saint Amand de Thorigni, sur la devanture de la forge, un endroit que ce dernier affectionnait particulièrement.

C'est le coeur lourd qu'il s'exécuta.




Elle lui avait dit aussi qu'elle passerait voir Rody plus tard quand son chagrin lui laisserait un peu de répit.
Il repartit le dos vouté, triste et résigné, se demandant quel allait être l'avenir pour la Dame de Thorigni et ses enfants, mais aussi pour les gens du Domaine.
Pardallian
Pardy sortait de la forge ,il fut attiré par une affiche qui avait été placardée sur la porte de la forge ,il la lus et sentit son coeur se serrer ,il ne voulais pas croire ce que ses yeux lisaient ,non ,c'était certainement une blague ,de fort mauvais gout ,ben oui c'était tout simplement pas possible que Horloger ,puisse etre ,non non et encore non ,il allait se réveiller et rire du mauvais rève qu'il venait de faire ,
c'est cela ,il rèvait et n'aimait vraiment pas ce reve
malheureusement il dut se rendre a l'évidence ,il ne revait pas hélas,il s'appuia au mur de la forge ,ses jambes ne voulant plus le soutenirent,il réussit a monter a cheval et rentra chez lui ,s'aasit sur la chaise ,ne sachant plus quoi faire

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Pardallian
Pardy ,prit son courage a deux mains ,il retourna a la forge se devant d'annoncer la bien triste nouvelle a son fils ,il ne savait comment le lui dire;il descendit de sa monture qu'il attacha a l'anneau scéllé dans le mur de la forge ,il pénétra dans la batisse

[b]bonjour fiston ,comment vas tu aujourd'hui,je t'ai apporté quelques victuailles,il ne fait pas bien beau ce jour ,je vois que tu reprend des forces

[i]il s'assit ,il ne savait comment annoncer la térrible nouvelle

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--.rody.


Rody était content de voir son père régulièrement. Il recevait aussi de temps en temps des nouvelles de sa mère. Son voyage se passait bien, elle était heureuse.

Tandis qu'il était en train de préparer le feu dans la forge, utilisant le soufflet pour attiser les braises, il entendit des coups frappés contre la porte de l'échoppe. Il n'y prêta, cependant, pas attention. Il avait une commande de seaux à cercler. Il regarda les braises rougeoyantes, satisfait et prépara le fer. c'est alors que la porte s'ouvrit, laissant apparaitre son père. Un pli barrait son front.
Il eut aussi le temps de voir qu'on avait affiché un parchemin sur la partie extérieure de la porte. Cela expliquait les coups qu'il avait entendus.


Citation:
bonjour fiston ,comment vas tu aujourd'hui,je t'ai apporté quelques victuailles,il ne fait pas bien beau ce jour ,je vois que tu reprend des forces


Il lui sourit et répondit:

- Je vais bien, Père, j'étais sur le point de cercler des seaux...bientôt, j'aurai de nouveau la force de fabriquer des couteaux, puis des épées..Mais, Père, vous me paraissez soucieux...que se passe-t-il?




Pardallian
Pardy était vraiment heureux de voir son fils se rétablir aussi bien ,mais voila ,la fameuse question dont il redoutait ,lui fut posée,il ne savait comment annoncer la térrible nouvelle a son fils ,il savait que celui ci aimait beaucoup Horloger,il sentit le sol se dérober sous ses pieds ,il s'assit aussitot ,regarda Rody et lui dit en baissant la voix

et bien voila tu sais qu'Horloger a fait une chute de cheval ,et bien comment te dire ,la chute a vraiment été mauvaise et ,il ............ il a ....il a sucombé a sa chute ,voila

[i]Pardy était pale,il regarda tristement Rody,il ne pouvait plus dire un seul mot ,il pleura doucement en détournant la tete,il se reprit et dit

[b]horloger était un ami très cher ,il va nous manquer a tous,mais sera toujours parmis nous par la pensée

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Alkemie
elle se baladé dans la ville , matou lui avait demandé regardé si tout été en ordre a la forge , elle poussa la porte sa faisait tout drôle de revenir là rody se retrouver seul pour s’occupait de la forge , il été pas là surement occupé derrière la forge , elle regardé un peu partout une fois tout et en ordre elle ressorti se disent quelle repassera plus tard voir si elle verrai rody
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--.rody.


L'été était passé depuis la terrible nouvelle que lui avait appris son père, Pardy.
Rody avait été submergé par la peine, et s'était aussitôt précipité au domaine. Il y avait trouvé une Matou brisée. Jamais il ne l'avait vue ainsi. Il l'avait prise dans ses bras et serrée contre lui. L'avait-elle reconnu? Il en doutait.
On murmurait qu'il avait fallu l'arracher à la dépouille de son époux, qu'elle avait supplié Aristote pour qu'il l'emmène, elle aussi.
Tandis que Suzon s'occuppait de sa maitresse en larmes, Rody avait écouté Victoire lui confirmer tout cela, d'une voix blanche. Puis, il était allé se recueillir au chevet de son défunt seigneur, songeant qu'il lui devait tant...la forge tout d'abord, mais aussi ces moments, où enfant, lui et Matou l'avaient accueilli.

Il ne put s'empêcher de pleurer, lui qui s'était juré de ne plus verser une larme. Et il avait parlé à Aristote avec des reporches plein la voix:


- Tu te dis clément et bon pour ceux qui croient en toi...penses-tu que c'était nécessaire de plonger dans le deuil cette famille?

Puis, il avait secoué la tête, impuissant et sachant que ses reproches étaient vains. Alors il avait regardé une dernière fois Horloger et lui avait murmuré:

- Je prendrai soin de Matou et des enfants, je serai toujours là pour eux, et je continuerai la forge...n'ayez crainte....vous pourrez être fier de moi, de là-haut!

Avant de partir, il était allé voir Guillaume et Mahaut. Ils étaient comme frères et soeur tous les trois. Guillaume n'avait pas dit un mot, se contentant de manipuler avec un peu plus de rage que d'habitude ses soldats de plomb...c'était sa façon de réagir à un chagrin bien trop gros pour un enfant si jeune. Quant à Mahaut, elle avait sangloté dans ses bras, balbutiant de temps en temps "pourquoi?" "pourquoi?".

Il n'avait su lui répondre et s'était contenté de la bercer contre lui, grand frère qui tente d'effacer un cauchemar qui hélas ne partira pas de si tôt.

- Mahaut, lui avait-il murmuré, tu sais que je suis là, si tu veux parler, t'échapper un peu du domaine...n'hésite pas à m'envoyer un pigeon ou à passer à la forge...

Il était parti à regret, plein de chagrin, plein de colère aussi contre ce destin si cruel.

Et, en ce début d'automne, il martelait des épées, des casques, et divers objets destinés à la guerre. Car depuis quelques jours, elle était déclarée. Il avait voulu s'enrôler mais on lui avait fait comprendre qu'il était bien plus utile à la forge. Alors, nuit et jour, le feu grondait, le soufflet s'activait, et les coups de marteau retentissaient sur l'enclume.
Il avait appris que Matou était partie pour Avranches, appelée à faire son devoir de noble.
Il avait aussi appris qu'elle, ses enfants et ses gens avaient du quitter le domaine de Saint Amand...Il imaginait facilement sa peine. Il lui avait écrit pour lui proposer de l'aide, elle avait répondu qu'elle éprouvait un grand bonheur au fond d'elle-même de savoir que la forge était entre de bonnes mains. Elle lui avait donné l'itinéraire pour aller jusqu'à son nouveau domaine, ajoutant :

Citation:
...Je ne verrai pas le domaine de Guilberville de sitôt...en effet je suis obligée de partir pour répondre à la levée de ban...Mon dieu Rody, qu'attend-on de moi qui ne sais pas tenir convenablement une épée?
Je te serais reconnaissante si tu pouvais aller, de temps en temps embrasser Guillame et Mahaut. Tu es un peu comme un grand frère pour eux...

Il connaissait la lettre par coeur pour l'avoir lue et relue.

Plongé dans ses pensées, il sursauta et lâcha la pince qu'il tenait en main, en entendant quelqu'un l'appeler:


- Rody??





Matouminou


Fécamp!!! Enfin, ils en avaient franchi les remparts. Même si elle savait que ce n'était guère pour y rester bien longtemps, elle était heureuse de se retrouver dans sa ville natale. Bien qu'épuisée, et après avoir fait son rapport, elle ne voulut pas se reposer tout de suite. Non....il lui fallait s'imprégner de cette ville où elle avait passé tant d'année, où elle avait connu tant de bonheur. Elle alla d'abord à l'église et se recueillit un moment, priant pour que cette guerre se termine, implorant Aristote qu'il protège tous ceux qui dans les jours à venir se battraient pour sauver leur duché.

Puis, elle avait parcouru les ruelles, empruntant le même trajet que quand elle était douanière, s'arrêtant devant les échoppes de ses amis. Elles étaient encore fermées, il était si tôt.
Elle s'arrêta devant l'atelier de construction de barques de Tuck, souriant en regardant son enseigne en fer forgé qui représentait une barque...elle ne put s'empêcher de rire en se rappelant combien ils avaient pu se moquer des barques de Tuck qui coulaient un peu trop vite.
Puis, elle passa devant le cabinet de Lave. Cette dernière n'était pas peu fière de dire avec l'aplomb qui la caractérisait "moi, mes patients meurent en bonne santé!!"
Sacrée Lave, elles en avaient piqué des fous rires toutes les deux!
Puis ce fut la boulangerie d'Alké, la forge de Num, l'atelier de tissage de Ména, elle se souvint que cette dernière lui en avait interdit l'accès un bout de temps...

Ses pas l'emmenèrent tout naturellement vers la forge de son époux. Elle sentit ses jambes se dérober sous elle, en voyant l'enseigne. Sa vue se brouilla de larmes, elle se souvenait exactement du jour où elle avait commandé cette enseigne, pour en faire la surprise à Horloger. Le grand sourire qui avait illuminé son visage, elle le voyait comme s'il était devant elle. Il l'avait prise dans ses bras et l'avait embrassée tendrement...

Elle pleurait maintenant, des larmes qu'elle avait retenues depuis si longtemps, pour ne pas inquiéter, pour faire bonne figure...revenir à Fécamp était à la fois une source de bonheur mais aussi une épreuve.

Elle attendit un instant de se calmer et se décida à pousser la porte. Malgré l'heure mâtinale, Rody était déjà au travail. Dans un coin, elle remarqua les épées fraichement fabriquées...Elle ne savait que trop à quoi elles allaient servir..surement pas à agrémenter une tenue d'apparât...

Rody était penché sur son ouvrage, il ne l'avait pas entendue entrer, elle s'approcha et lui dit:


- Rody?

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Canibal


Le Scandinave avait entendu parler d'un dénommé Horloger, fameux forgeron de Fécamp. Il n'avait jamais e le plaisir de le rencontrer, c'es pourquoi il se rendit à la forge qu'un passant lui eut indiqué. Légèrement sur les nerfs de recruter un nouveau forgeron pour l'Enclume, il expira profondément avant de frapper à la porte de l'échoppe : Toc, Toc, Toc !!!
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