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[RP] Cérémonie d'hommage - Adeline septembre 1460

Akane
Son hommage effectué, elle fit une révérence et se recula. Un salut à Dame Matouminou ponctué d'un sourire. Elle la laissa parler à Tancarville.

Quand elle se trouva à proximité de son époux, ce dernier par instinct et surtout la réconforter lui prit la main. Elle se sentit alors plus détendue et sereine... Comme si il lui communiquait sa force.

Maintenant, elle assistait à la suite. Son frère et sa soeur devaient eux aussi énoncer leur serment.

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Semper Paratus Servio - Great Chamberlain of France
Deedee
Sitôt fini, sitôt reparti ! Akane venait à peine de se relever que Pierre s’avançait et mettait genoux à terre. Adeline l’écouta attentivement non sans remarquer les légères messes basses entre sa marraine et le Long.
Leger sourire avant de reporter son attention sur Pierre et de lui répondre.


-Moi Adeline de Courcy Duchesse de Normandie de par la volonté des Normandes et des Normands, des membres du conseil ducal et de sa Majesté Louis Vonafred, Roy de France, assure protection, justice et subsistance à, Pierre de Courtalain, Vicomtes de Conches et de Bec Thomas, Seigneurs de Criquebeuf en Caux et de Claville.
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Patsy
Conches écouta la réponse de la Duchesse Normande qui à un moment semblait plus intéresser parce qu'il se passait derrière lui.

Bref, réponse lui fut faite et c'était bien ce qu'il était venu chercher en ces lieux.

Il salua la Duchesse, avant de regagner sa place et d'attendre la fin de la cérémonie. Il devait rejoindre les quartiers de la BdN au plus vite, certaines choses n'attendaient pas.

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Kathryn.brehnian
Signe de tête pour confirmer la validité de l'hommage, puis avisant un valet de Rouen qui se dirigeait vers elle, un parchemin à la main, et avant qu'un autre noble s'avance, elle saisit l'occasion et s'avança à sa rencontre, profitant de l'opportunité pour saluer de la tête certains, et reprendre sur la table une coupe pour l'usage personnel d'Adeline.

Au passage, elle se glissa aux cotés du valet portant les couleurs de Falaise.

A moins que le baron ne vous ait demandé de remettre ceci, du menton, ses mains étant prises, elle fit un geste vers le pli, en main propre à la Duchesse, je peux peut-être vous en débarrasser.

Même prononcés discrètement les mots atténuèrent légèrement le silence un peu trop lourd dans lequel baignait la salle.
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Deedee
Calme, étrangement calme cette cérémonie. Devait-elle croire qu’ils avaient peur d’être manger pour que personne n’ose s’avancer. Souriant légèrement à cette idée, Adeline porta néanmoins son regard vers Artheos, espérant qu’il comprenne qu’elle mouuuuuuurrrraiiiitt de soif ! Forcement, Normandie lui avait piqué son seul verre rempli et en plus s’était lâchement éclipser.
Elle le savait qu’elle aurait du prendre la petite flasque que lui avait donné le Barbu, mais non… il avait fallu qu’elle écoute Normandie… quel idée !

Se redressant légèrement sur ce fauteuil inconfortable, Adeline parcourut la salle des yeux avant déclarer, sourire au coin des lèvres accompagné d’un léger geste de la main.


-Je vous en pris…
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Ewald.....


"Un jour tu prendras ma suite". Telle était les paroles de sa mère et pour la deuxième fois de sa courte vie il accompagna celle ci a une cérémonie d'hommages, enfin d'après ce qu'il avait compris. Ce jour la le temps n'était pas vraiment au soleil mais le brin de vent était un vrai régal. Il pouvait ainsi jouer avec ce que sa mère lui avait rapporté pour son anniversaire: un cerf volant.
Riant sans faire attention aux échos se propageant dans les couloirs du sinistre château il était fier de tenir dans ses petits bras son jouet et il était prêt déjà a partir a nouveau et courir pour élancer l'objet vers le ciel. Mais entre ses murs le vent ne soufflait pas et il devait se contenter de rêver de rejoindre le parc rapidement.
Sa mère faisait mine de vouloir lui prendre son cadeau il courut poursuivie par simple jeu il le savait et a peine la porte de la salle ou était les nobles il fut rattraper et il ria encore de voir sa "moman" un peu essouffle lui souriant.
Puis le changement se fit elle releva la tête , regarda les adultes et son sourire comme son regard devinrent plus froid.
Lui prenant la main elle avança vers un homme.

Bonjour vicomte de Conches, j'aimerais vous présenter mon fils qui a entendu parler de vos combats et batailles. Il voulait vous être présenté malgré son jeune âge. Aussi je me permet de vous importuner.


Voila il le lui avait demandé avant de s'installer de pouvoir se présenter. Parce que son père avait été dans l'armée alors lui il voulait un peu suivre ses traces et quoi de mieux que de parler au capitaine? Se dandinant mais sachant qu'il ne pourrait pas faire plus que lui parler il releva la tête vers l'homme et de son air le plus grave salua a son tour.

Bonjour ...

zut il se souvenait plus le titre. Et si il disait capitaine l'homme le prendrait il mal?
Jason_maccord
Bon aller, ça n'avançait pas. Deedee allait dessecher sur place à force d'attendre. D'ailleurs, obtiendrait-on une momie ou une statue ? MacCord eu un sourire en avançant. Il mis un genou à terre.

Moi, Jason MacCord, vicomte de Lyons la Foret et seigneur de Crevecoeur en Auge, renouvelle mon hommage au Roy de France, Louis Vonafred de Varenne Salmo Salar, par l'intermédiaire de sa representante Adeline de Courcy, Duchesse de Normandie.

Je jure d'apporter conseil, assistance et service armé selon ses demandes.


Et ça va etre une rude bataille concernant l'avenir des enfants. Comme cette idée de faire de Briana une dame de compagnie, pensa MacCord.

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Deedee
Fin de l’attente, Jason s’avançait.
Situation pour le moins étrange dans lequel elle se retrouvait la. Mais souriante, elle regarda le Vicomte de Lyons la Forêt mettre genoux a terre et prêter hommage.


Moi Adeline de Courcy Duchesse de Normandie de par la volonté des Normandes et des Normands, des membres du conseil ducal et de sa Majesté Louis Vonafred, Roy de France, assure protection, justice et subsistance à, Jason MacCord, vicomte de Lyons la Foret et seigneur de Crevecoeur en Auge.


Et une réponse clair, lequel de ces nobles gens viendrait sur le devant maintenant.
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Kathryn.brehnian
Fatigue du serviteur après le voyage ? Méfiance envers la jeune femme inconnue, qui pourtant porte clairement le tabard héraldique? Toujours est-il que le serviteur ne semble guère décidé à bouger, alors dans un haussement d'épaule, elle conclut sans se formaliser.
Vous savez où me trouver.
Entre temps Jason s'est avancé et présente son hommage.
Fi-dé-li-té...murmure t-elle entre ses dents.
Mais trop tard, avant qu'elle soit rendue au trône ducal la Duchesse a déjà répondu.


Tenez, fait-elleremarquer en posant la nouvelle coupe au côté de celle qui est devenue la sienne, et n'oubliez pas que la noblesse vous doit également fidélité.
Coup d'oeil dans la salle où personne ne semble s'avancer, et déposant sur une pile le parchemin qu'elle était parti chercher.
Si vous désirez prendre de l'avance et répondre aux hommages envoyés.


Citation:
De nous, Stéphandra Dandolo du Moutier, Baronne d'Ouille, donà de Sourdeval et d'Andiran,
A vous, Adeline de Courcy, Duchesse de Normandie,

Salutations respectueuses et connaissance de vérité.

Les faits de bonne ou de mauvaise fortune ont voulu que nous nous retrouvions bien loin de nos terres.
Aussi,

Nous, Stéphandra Dandolo du Moutier, Baronne d'Ouillie, Donà de Sourdeval et d'Andiran, rendons hommage à la Couronne de France en la personne du Roy Louis Vonafred et de son représentant en Normandie la Duchesse Adeline de Courcy, nous jurons respect, aide et service armé, et conseil. Plus que jamais, notre soutien, notre lame et le bras qui la tient demeurent au service de notre Duché, de sa Duchesse régnante, et à travers elle, à la Couronne de France.

Faict sur les routes de France, ce quatorzième jour du neuvième mois de l'an grâce MCDLX.

Stéphandra Dandolo du Moutier


Citation:
De Nous, Nkhan,
Baron de Saint Säens,
Seigneur de Mesnil-Mauger par la grasce de Feu Kirah de Breuil, et l'hommage renouvelé auprès de Gabriel Morkar,

Prestons en ce jour, hommage à La Couronne, en reconnaissant Adeline de Courcy, Duchesse de Normandie.

Jurons fidélité à la Royauté et au Duc son représentant en Normandie.
Jurons, de même, de lui apporter l'aide, le conseil autant que faire se peut, et le soutien armée dès que nécessaire.


Faict à Rodez,
Capitale du Comté du Rouergue,
Le douzième jour du neuvième mois de l'an de grasce mil quatre cent soixante



Citation:
Moi, Keur, Duc de Thorigni, Baron d'Aunay renouvelle en ce jour mes hommages au Roy de France, Vonafred
en la personne de Adeline de Courcy, Duchesse de Normandie.

Je promet respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium) autant qu’il me sera possible,
et dès que l'on m'en fera la demande.

Fait le 13 septembre 1460
Keur de Thorigni

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Deedee
Gnagnagnagna eut elle envie de repondre a Normandie lorsque celle ci lui fit la remarque sur la fidélité, mais bien elevé, en toute circonstance, Adeline se contenta d'un petit hochement de tete avant de regarder les quelque missive recut auquel elle repondrait tres vite.
Mais en attendant....
En attendant....
Vide... La salle était-elle vide ?


-Je vous en pris, a qui le tour ?

Non pas que ça trainait en longueur mais un peu quand même pour le coup...
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Asti_dict_le_barbu


Sujet de brouille ! Il ne voulait pas y aller, arguant qu’il n’avait pas le temps, qu’il y avait encore des choses à faire et à préparer pour la chasse avant l’hiver mais rien à faire, elle tempêta et vociféra, pleura et chouina tant et si bien qu’il capitula en marchandant deux robes sur les vingt et une qu’elle voulait commander pour sa chancellerie… après tout, il considérait que vingt et une robes était largement exagéré.

Prochaine étape, en marchander encore deux, et on arrivera à une garde robe cohérente. C’est en pensant à cela qu’il plaça sa main dans le dos de sa belle pour la faire galamment passer devant lui en entrant dans la salle des hommages.

Était-- ce un domestique là à l’entrée ? Pour le reste, peu de monde, mais qui valait le détour. Et la Duchesse qui se languissait sur son trône… sourire amical à Adeline d’un air de dire, « courage » et un aimable bonjour à sa supérieure, Normandie.

Salut à Akane et son époux

Duchesse… Excellence Sindbad, décidemment, ces temps ci, les festivités battent leur plein.

On continue, la blanche, peu connue, peu fréquentée

Bonjour Duchesse… encore une

Ah, lui y’avait un sacré moment

Julien ! Heu, Marquis, quel plaisir de te revoir, qu’est ce qui t’a tenu éloigné de la vie Normande et militaire royale si longtemps ?

Il lui avait manqué, aucun doute, mais tout passe…

Un signe de tête sans s’arrêter au perroquet malfaisant, un bonjour poli au capitaine larmoyant et de continuer, gardant les meilleurs pour la fin.

Dame Matouminou, voilà un bon moment que je ne t’ai vu ! Comment vas-tu ? et les enfants ?

Inutile de dire que la dernière fois, c’était sur l’Héméra alors qu’il avait été la chercher, elle et son … comment dire, amant ? Homme ? Bref, il se souvenait encore qu’il n’avait pas aimé que le capitaine dicte la loi sur son bateau, ce que bien sur, ledit capitaine apprécia fort peu.

Et de poursuivre en saluant et en faisant une bise amicale à sa vassale, la jeune mariée et fraiche baronne d’il et ne savait plus trop quoi.

Puis d’aller se mettre aux cotés de son lige, un sourire heureux et une franche poignée de main à l’ami.

Tancarville, mon ami. Bon sang que je suis content de voir que tu as eu le fin mot sur tes blessures !

Adeline qui semblait attendre, il était peut être le moment d’en profiter, il sera bien temps plus tard de tailler le bout de gras avec les autres. Un regard à tous comme pour s'excuser de laisser en plan les conservations et les rassurer, il y reviendra, puis de déclarer en avançant vers le trône.

Personne pour dire qu’il sera là pour t’aider et t’assurer de son soutien ? Alors, j’y vais. Voilà qui tombe plutôt bien, j’ai une chasse à organiser et…

Inutile d’en ajouter

Droit comme un I, le regard franc mais debout sur ses deux pieds

Moi, Asti de St Aubin Routot, Vicomte du Mont Canisy, présente ce jour mon hommage… petit gratouillement de gorge, bon sang qu’est ce qu’il ne fallait pas faire… au Roy de France, Vonafred, représenté ici même par la Duchesse de Normandie, Adeline de Courcy .

Par ailleurs, je m’engage à lui prodiguer respect, aide et conseils en plus de mon amitié qui lui est acquise.



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Johane
Elle pensait encore à la discussion qu'ils venaient d'avoir en entrant dans la salle des hommages mais oublia bien vite tout ça en apercevant Matouminou qu'elle n'avait pas revu depuis un siècle, depuis son départ vers l'Angleterre à vrai dire.
Il était pourtant homme intelligent son barbu, mais il semblait impossible de lui faire entrer dans le crâne qu'un chambellan doit avoir une garde robe digne de ce nom et ne peut décemment pas porter la même robe tous les jours qu'Aristote fait.
Johane avait pensé qu'un renouvellement des tenues toutes les trois semaines était suffisant, aussi avait elle limité le nombre de tenues à vingt et un. Elle n'avait jamais pensé à compter les différentes tenues d'Adeline lorsqu'elle était chambellan, mais vrai qu'elle en changeait souvent. Ca devait même être pire maintenant qu'elle etait duchesse.
Elle n'avait pas dit son dernier mot et finirait bien par le convaincre, elle n'avait pas encore utilisé tous les arguments en sa possession.

Après avoir salué poliment toutes les personnes qu'ils croisaient au fil de leur entrée dans la salle, elle embrassa chaleureusement Matou et fit une révérence pour saluer le vieux Duc, tandis que le barbu se dirigeait vers Adeline, pour aller faire ce pourquoi il était venu, faire allégeance à la duchesse de Normandie.
Elle ne savait pas vraiment de quoi parler avec le duc de Tancarville, préférant éviter tout sujet qui puisse faire divergence et remarquant l'absence de Duchessa, elle se lança sur un sujet qui se voulait anodin.


Alizarine ne vous a pas accompagné ? serait elle souffrante ?
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--Matouminou_


Les hommages trainaient, elle songea qu'il éait grand temps qu'elle aille faire son devoir, tandis que Jason Maccord se présentait devant la nouvelle duchesse.
Soit, elle attendrait encore un peu, bien que la soif commençait à se faire sentir.
A ses côtés, le vieux duc s'était fait silencieux. L'avait-elle désobligé? Elle se gourmanda intérieurement..."tu n'es qu'une sotte, Matou, tu parles bien trop!!, mais c'était plus fort qu'elle dès lors que cela concernait les amis.

Elle balaya encore une fois du regard la salle, nombreux manquaient à l'appel.
La porte s'ouvrit laissant passer le jeune Ewald, derrière lui, sa mère, Alizarine suivait. Un sourire s'afficha sur le visage de Matou. Toutefois, elle se força à ne point se précipiter vers elle, d'autant qu'elle s'était arrêtée à la hauteur du Vicomte de Conches pour échanger quelques mots et présenter son fils, du moins c'est ce qu'il lui sembla.

A peine la porte fermée que déjà elle se rouvrait, laissant apparaitre cette fois, un couple cher au cœur de Matou: Asti et sa douce Johane.

Elle était heureuse de les revoir. Cela faisait un moment. Trop longtemps à vrai dire. Elle se souvint du retour d'Angleterre, sur l'Héméra, au printemps dernier, et d' Asti lui confiant le gouvernail quelques heures, une grande confiance qu'il lui avait témoignée là.
Un autre souvenir lui revint à l'esprit, moins heureux, un détail aux yeux de Matou mais qui n'en était apparemment pas un pour Asti, au vu de sa réaction. Elle ne l'avait jamais vu en colère, de cette froide colère qui vous glace le sang. Matou s'était excusée de vive voix et par écrit...La spontanéité de son compagnon ne plaisait pas à tout le monde, et elle savait qu'il y aurait surement d''autre petites entorses, d'autres anicroches..Pour autant, cela ne l'inquiétait pas outre mesure. Elle était heureuse comme elle ne l'avait plus été depuis la mort de Horloger.

Asti l'avait donc saluée:


Citation:

Dame Matouminou, voilà un bon moment que je ne t’ai vu ! Comment vas-tu ? et les enfants ?


Et Johane s'était approché pour l'embrasser avec chaleur, elle le lui rendit avec affection.

Puis, elle les salua d'un grand sourire franc où s'exprimait toute la joie qu'elle avait de les revoir, elle leur donna quelques nouvelles rapidement...oui, les enfants allaient bien...et elle aussi...les travaux du domaine l'occupaient, il devait être prêt pour l'hiver...Elle demanda, à son tour, des nouvelles du petit Adhémar...

Enfin, elle écouta Asti saluer le Duc de Tancarville puis se diriger d'un pas décidé vers le trône.
Elle entendit la question de Johane au Duc. Sans doute celle-ci n'avait-elle pas fait attention.







Aegidius
Mais que faisaient les Giffard? Ils ne paradaient plus, enfin si. Ils étaient "là" physiquement" mais déjà ailleurs par l'esprit. Une preuve supplémentaire s'il en fallait une pour démontrer toute la vacuité de ces cérémonies d'hommages, et de l'intervention de certains en particulier... La salle, bien froide jusqu'à maintenant par la présence des "austères", se réchauffa avec les entrées d'être qui lui étaient chers au cœur, même si parfois les étincelles pouvaient être vives, enfin étincelles...
Elle était venue, mais devait être en colère, ou plutôt en souffrance de son absence doublée de son silence. Il "comprenait" et ne lui en tint pas rigueur, il se savait en tort.
Puis son ami de longue date lui fit démonstration de chaleur et surtout d'amitié ainsi que sa chère "Limousine", qui finalement s'acclimata très bien à la Normandie. Comme quoi ne fuyaient la Normandie, que ceux qui n'avaient à cœur que le prestige personnel, la gloriole, comme les Stilton par exemple. Il était bien heureux que son attitude "rude" et très attachée à la Normandie produise ce genre d'effet, l'écrémage.


Oui du Barbu, je suis content également de la fin de mes blessures physiques. Pour les autres, il me faut encore "lutter". Ne t'en fais donc pas, ces dernières ne sont pas létales; en théorie.

Puis un sourire à Johane avant de lui répondre.

Non Chambellan, la Matelote ne m'a pas accompagné, mais elle est présente, avec son fils. Le Duc d'indiquer du regard et d'un geste de tête la direction de Patsy et d'Alizarine, entre lesquels se tenaient le "jeune" Ewald. Et oui, possible qu'elle soit souffrante... par ma faute je le crains.
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Patsy


Conches regardait la Cérémonie qui se déroulait sans encombre. Il faut dire que les cérémonies devenaient de plus en plus sans encombre car on n'y voyait de moins en moins de Nobles Normands...

Etait ce un bien ou un mal? voilà un question qui pourrait être poser un jour...mais il n'eut pas le temps d'y réfléchir plus, il fut interrompu dans ses pensées.


Bonjour vicomte de Conches, j'aimerais vous présenter mon fils qui a entendu parler de vos combats et batailles. Il voulait vous être présenté malgré son jeune âge. Aussi je me permet de vous importuner.

Conches salua les deux personnes qui se présentèrent à lui, il s'agissait d'Alizarine et de son fils...Conches ne connaissait pas ce dernier ou du moins il ne s'en souvenait plus.

Heureux de vous revoir...
Veuillez m'excuser de mon étonnement mais je ne me souvenais plus que vous aviez un enfant.

Je suis heureux d'entendre qu'un si jeune enfant connaisse mes faits d'armes, vous devez surement lui narrer l'Histoire de nostre Duché et vous avez bien raison...c'est ainsi que l'on peut se souvenir de ce que nous sommes et de transmettre cela à nostre jeunesse.

Il regarda l'enfant...

Salutation, jeune Normand, Pierre de Courtalain dict "Patsy", Capitaine Royal de Normandie...

Conches lui tendit la main...

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