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[RP - Mai] [Fermé] Salon du Boudoir, fait ce qu'il te plait

--Grakus
[Arrivée devant l'établissement]

Des bruits de chevaux se font entendre, 50, 100 cavaliers, combien sont il a traversait cette rue. Seulement 8 cavaliers, huit hommes armées d'épées, huit hommes bien vêtu, et portant tous sauf un une cape de bleu. L'homme qui n'en porte pas, à une épée à la ceinture, il est vêtu de vêtement en velours rouge, d'une chevalière en forme de femme nue, quand on le vois, on c'est tout de suite que c'est un noble ou une personne très très riches. Il est là avance au pas, devant la colonne à ses côté il y a son garde personnel, son chef de la sécurité, Flavuis.
Grakus fais un signe de la main et les hommes s'arrête, il descend suivis de Flavuis, et de deux autres hommes qui ferme sa marche, les autres restent près des chevaux.


Flavuis frappe à la porte.
Camelia


[Au comptoir]


La fausse brune regarda s’éloigner l’autre femme, était-elle vraiment pauvre, ou excellait-t-elle dans l’art du déguisement. Cette nouvelle question lui fit à nouveau pencher la tête et fit briller ses yeux d’une lueur de curiosité nouvelle. Jusqu’à ce qu’une voix résonne à ses oreilles :


Le bonsoir, ma Dame. Que puis-je pour vous satisfaire ? Souhaitez-vous boire quelque chose ?


Elle se retourna vers son interlocuteur, elle prit le temps de réfléchir tout en l’observant. Il était grand, blond, charpenté. Taillé comme il l’était, cet homme aurait eu la possibilité de pratiquer n’importe quel autre métier. Mais il se trouvait la devant elle, le sourire aux lèvres. Elle sut alors ce quelle allait commander.


Du vin de Champagne s’il vous plait.


Elle avait un faible pour ce vin la, et trouvait l’occasion tout à fait appropriée pour en boire.


A peine eu-t-elle commandé, qu’un autre homme s’approcha tout sourire. Il était blond, mais contrairement à l’autre, ses traits semblaient plus fins et délicats. Sa peau presque semblable à du velours, elle leva la main inconsciemment pour toucher son visage, comme pour s’assurer la douceur de celui-ci. Réalisant ce quelle s’apprêtait à faire, elle glissa sa main sur le comptoir, espérant qu’on ne ferait pas attention. Le mal était vicieux, et il l’avait prise pas surprise.


Bonjour, je me nomme Marceau. Bienvenue au Boudoir.


Sa voix fit naitre un frisson qui parcouru tout son corps. Son sourit s’élargit alors, et ses yeux émeraude prirent un éclat jusque la inconnu.


Violette enchantée. Vous joignez vous à moi ?


Sur ces mots, sa main glissa jusqu’à sa bourse, te revient sur le comptoir déposant quelques pièces brillantes, priant silencieusement qu’on lui serve un autre verre pour le courtisant.
Jules.
[Du comptoir à la chambre de droite, il n'y a qu'un pas]

Alors qu'il répondait au sourire reconnaissant en posant sa grosse patte sur la main qu'elle avait posée au creux de son coude, alors qu'il l'entraînait loin du regard de la noble cliente, à quoi pensait Jules ?

Il pensait que pour une fois, retrouver la simplicité des amours roturières serait un plaisir. Il pensait qu'il avait fait d'une pierre deux coups, en protégeant d'un côté l'image "luxueuse" de l'affaire qu'ils avaient montés tous ensemble avec tant de peine, et de l'autre la donzelle crasseuse dont le regard et l'infime tremblement sous sa main trahissait le malaise. En bref, il était plutôt content.

Ouvrant la porte de la chambrine, il trouva Jutta vidant une marmite dans le bain, semblant peiner sous son poids.. Le regard violet de la jeunette semblait inquiet, et encore plus mal à l'aise que celui de la cliente....


[la suite dans un sujet à part]
_________________

Retrouvez Jules au Boudoir des Sens.
Conan


[Salon puis porte, encore, les clients s’enchaînent.]

La cliente nouvellement arrivée me tend sa cape et je m'empresse de l'en lui débarrasser avant d'aller me faufiler à nouveau derrière le comptoir.
J'ai bien senti un brin de désapprobation chez Jules dans le fait d'être aller ouvrir si tôt je n'allais pas faire attendre la cliente à la porte indéfiniment.

Tout de suite, à observer la cliente, je vois que Marceau a obtenu ses faveurs. Par contre, je ne lis pas dans ses pensées et je ne comprends pas qu'elle voudrait que je serve aussi le courtisan. C'est que cela ne me vient pas du tout à l'esprit. Alors je sers Violette et je m'en vais directement ouvrir la porte sur laquelle on vient de frapper. Au moins je suis certain que ce n'est pas la cliente actuelle qui fera rougir les patrons. Sourire de façade et la porte est ouverte. Hum. On veut prendre le boudoir d'assaut ou quoi ?


Bonsoir messires.


Bon, je fais quoi là ? Les quatre ne peuvent quand même pas rentrer. Et puis il n'y aurait même pas assez de courtisanes. Déjà, ils paraissent armés. Tout cela ne sent pas très bon.

Bienvenue au boudoir. Je vais vous demander de me laisser vos armes. Ensuite navré mais je vais devoir vous fouiller.

Je parle à tous, ne sachant pas vraiment qui rentrerait et qui resterait dehors mais une chose était sure : pas un bout de ferraille ne passerait.

--Grakus
Citation:
Bonjour messire

Bienvenue au boudoir. Je vais vous demander de me laisser vos armes. Ensuite navré mais je vais devoir vous fouiller.


Flavuis s'avance,

Si vous touchez mon seigneur vous êtes un homme mort.

Grakus sourit au dire, Bien voyons Flavuis, il fait juste son boulot, dit tout en donnant son fourreau à un de ses hommes, gardez les chevaux messire, j'en pour un bon moment.
Il se retourne vers l'homme qui est à la porte, Par contre me fouillez hors de question, je préfère laisser cela à des profession vous êtes pas d'accord. Flavuis ! laisse tes armes dehors et suis moi à l'intérieur, les autres surveillez les chevaux, et si un seul disparait vous êtes des hommes mort d'accord


Grakus regarde l'homme dans les yeux.

J'espère que ma bonne fois vous suffis.
Marceau


[Comptoir en charmante compagnie]

Il observa un peu mieux la brune qui était en face de lui. Ses cheveux étaient vraiment foncé par rapport à sa couleur de peau, il était étonné sans compter que ses sourcils étaient clair. Peut être que le mari de la jeune femme préférait les brunes après tout. Marceau ne s'en formalisa pas plus que cela surtout qu'elle l'invitait à la rejoindre. Conan ne comprend pas que l'invitation vaut pour le verre, c'est normal il débute et ne peut pas interpréter encore rapidement le souhait des clients. Cela viendra, Marceau ne se fait pas de doute là dessus. Il retourna à sa cliente.

Pardonnez Conan, il a beaucoup de travail et n'a pas compris que l'invitation comprenait un verre aussi.
Alors qu'est ce qu'une femme comme vous attend d'un homme comme moi ?


Tout en disant ces mots il caressa une boucle brune tout en frôlant le grain de sa peau. Il s'était approché très près d'elle afin qu'elle puisse l'entendre s'il chuchotait. Il ne savait pas pourquoi mais il sentait que la jeune femme n'était pas une vierge effarouchée. Ce soir il y allait avoir du jeu ...


_________________
Conan


[Porte]

Les deux seules choses que je retiens : l'un me menace de mort et l'autre ne veut pas se faire fouiller. Très bien. Hors de question qu'ils franchissent la porte. Je me place bien sur l'entrée, la seule manière de passer serait de me pousser. Je souris poli et secoue légèrement la tête.


- J'ai bien peur que cela ne soit pas suffisant messire. Nous sommes dans un établissement de luxe et menacer le portier de vous accordera pas le droit de rentrer. Je vais donc vous demander de partir.

Surtout qu'ils parlent de mort à tout bout ce champs, les violents c'est pas vraiment par ici.
Mon regard se pose tout simplement sur celui qui semble être le chef, espérant qu'il ne ferait pas d'histoire.


--Grakus
Messire mes hommes restent à l'extérieur sauf Flavuis rentre avec moi et non armée.
Je vous offre ma parole que je n'ai que mon épée que j'ai donné à l'un des hommes qui ne rentre pas, et ma parole vaut de l'or, j'ai horreur de dire des mensonge.

Et vous voulez que je part, vous rigolé, c'st un établissement de luxe, et justement un seigneur comme moi, doit pouvoir fréquenté des établissement de ce genre. De plus, messire Flavuis ne fait que son boulot et cette menace de mort, n'ait rien, disons qu'il a un humour très limite, il ne tue que sur mon ordre et les seules personnes qu'il a tué son les hommes qui m'ont attaqué et non les portiers.

Alors je vous demanderais de bien vouloir me laisser entrée messire et je vous le dit je n'ai plus aucune arme !


Grakus le regarda droit les yeux en attend sa réponse.
Camelia
[Comptoir, son choix est fait]




La fausse brune regarde de ses yeux de félin sa commande arriver, mais point celle commander pour le courtisant. Peut être n’a-t-il pas vu sa supplique silencieuse ? Elle ne s’en offusque pas, mais Marceau vint la rassurer sur l’état du nouveau. Elle lui sourit jusqu’à ce qu’il lui demande :


Alors qu'est ce qu'une femme comme vous attend d'un homme comme moi ?


Son cœur s’arrêta lorsqu’il toucha ses cheveux, frôlant sa peau. Elle était sur le territoire du mal qui la rongeait, elle était ici pour lui procurer satisfaction, afin que, repus de sa victoire, elle puisse le repousser à nouveau, avant qu’il ne refasse surface et que la guerre ne recommence une fois de plus. Mais elle ne pouvait se résoudre à le laisser la posséder totalement ce soir, elle gardait encore une part de lucidité. Elle releva alors les yeux, plongeants ses émeraudes pétillantes de malice dans les prunelles du courtisant.


Il était assez proche pour qu’ils puissent s’entendre s’ils venaient à chuchoter, elle sentit son souffle contre la peau nue et laiteuse de sa poitrine, qui fit parcourir rapidement un frisson qui lui traversa tout le corps pour se loger dans son bas ventre. Elle murmura alors :


Ce que j’attends d’un homme comme vous ?


Elle ponctua sa question en posant la main sur la poitrine du blond, remontant jusqu’au col de sa chemise, glissant un doigt dedans le tirant légèrement en avant afin de murmurer au creux de son oreille :

J’attends du plaisir, aussi bien pour vous que pour moi. De la découverte, de nouveaux jeux, de nouvelles choses, de l’excitation …



De quoi satisfaire le mal pour longtemps, et prendre plaisir en même temps. De plus, elle rêvait depuis quelle l’avait vu de déshabiller ce corps, de toucher ce corps, de le caresser … De finir sous ce corps. Elle s’évada de la contemplation de cet homme parfait et repris :


Alors êtes-vous mon homme ?



Elle reprit son champagne, et joua avec le verre, l’observant, un sourire en coin éclairant son visage d’une pointe de malice.
Rouquine
[comptoir, puis porte, derrière Conan et Alvan*]

Elle a vu Désirée prendre le bain de la jeune fille en main, elle a vu Jules s'avancer et régler le problème du choix. Le tout, rondement mené avant que le salon ne se remplisse trop. Elle s'accoude donc au bar, satisfaite, sourit à Marceau qui s'avance vers la seconde cliente. La soirée démarre bien... La suite en revanche, semble moins bien partie. Tout d'abord ravie d'entrapercevoir deux hommes à la porte quand Conan va ouvrir, elle fronce les sourcils et plisse le nez en entendant des mots peu agréables...

"Si vous touchez mon seigneur, je vous tue"... ou encore.. "me fouiller, hors de question".

Serrant légèrement la mâchoire, elle s'inquiète quelque peu que Conan ne se laisse influencer par la noblesse du client...Commence à se détendre un peu en l'entendant lui tenir tête et....

Et vous voulez que je part, vous rigolé, c'st un établissement de luxe, et justement un seigneur comme moi, doit pouvoir fréquenté des établissement de ce genre. De plus, messire Flavuis ne fait que son boulot...

Rouquine sent la moutarde lui monter au nez. Noble ou pas, quiconque fréquente un bordel accepte d'être fouillé si le portier le juge bon, et d'une. Et de deux, à l'entendre parler, elle a comme un doute qu'il le soit vraiment, noble... Elle n'a jamais entendu un noble parler de "boulot"... Décidant que, face à la résistance de l'homme, Conan n'aura bientot d'autre choix que de demander l'avis d'un patron, elle décide de devancer son besoin. Mais pas sans une protection supplémentaire. Attrappant le bras musclé d'Alvan, elle lui murmure un "suis moi, s'il te plaît", et l'entraîne avec elle vers la porte.

Campée ainsi entre deux hommes, elle se sent un peu plus rassurée, et toise l'homme, menton levé.


Messire, un seigneur comme vous devrait savoir que dans les établissements de haute qualité comme celui-ci, la marchandise est aussi précieuse que la clientèle est raffinée, et en conséquence, fort bien protégée. Seigneurs, vicomtes et même marquis, tous se plient à la règle.

Elle marque une légère pause, le temps de décider de la suite. Va-t-elle exiger qu'il soit fouillé, ou...? Non, elle n'a aucune envie d'exposer Désirée, ou de s'exposer elle-même, aux mains de ses deux hommes d'armes. Nobles ou pas. Et depuis la Rose Noire, elle est devenue patronne, avec le privilège énorme de pouvoir choisir. Culpabilisant un peu de l'argent qu'elle fera perdre à tout le monde, alors que Jules se dévoue avec une jeune fille peu présentable, elle se dit tout de même que Jules, lui, ne risque pas la même chose, et croise les bras.

Vous m'en voyez navrée, mais cet etablissement ne recoit pas d'hommes refusant d'être fouillés, ni accompagnés d'hommes de main, d'ailleurs. Quand bien même vous entreriez, vous ne trouveriez pas de fille pour vous accepter dans leur couche. Veuillez quitter les lieux, je vous prie, et ne me forcez pas à ordonner à mes hommes de vous raccompagner de force en bas de l'escalier....

Un pas en arrière, et elle laisse face à lui les deux blonds. Avec Marceau en renfort non loin, et Jules dont elle vient d'apercevoir du coin de l'oeil la large silhouette allant aux cuisines, elle ne se fait pas trop de souci.

[* oui, je l'ai kidnappé, tu me pardonnes ? ^^]
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Rouquine sévit au Boudoir des Sens.
--Grakus
Grakus sourit entend les dires de la femme, il voulait dire un mot mais un homme lui coupa la parole, cette homme venait d'arriver, il descend de son cheval passe devant les hommes qui s'écarte, claque des doigts. Les hommes attrapa l'homme qui se dit s'appeler Grakus, et il regarda Flavuis puis l fait un signe de tête et l'homme par avec le reste du groupe dans une ruelle sombre pour s'occuper du soit disant Markus.

Messires je vous croyais honnête, mais bon vous êtes impolis, et vous vous fait passer par moi, alors Flavuis occupe toi en et une fois terminé avec les cout de fouet donne toi en pour incompétence, aller rentrer à la villa messires.

Les hommes obéir, puis L'homme qui venait de parler s'avance en direction du portier, et des deux autrs personnes du boudoir, et s'incline.

Bien, le bonjour, je me nomme Grakus, Grakus Dorak, membre de la famille Dorak, spécialisé dans la fabrication de bijoux. Ces abrutis étaient des gardes qui devaient annoncer mon arriver, je ne suis pas armée, puis je entrer ou dois-je me faire fouiller ?, si ses hommes on été agressive ou mal polis, je tiens à m'excuser personnel.
Rouquine
[Salon, devant la porte]

Elle n'est pas sûre d'avoir tout compris. L'homme sourit, puis est attrapé par ses propres hommes, dont celui qui la minute auparavant se disait prêt à tuer si on le touchait !

Mais qu'est-ce que .... ?

Le ton est franchement alarmé, alors qu'un autre homme apparaît, parle de se faire passer par lui. Elle n'est pas sûre, là encore, de comprendre ce que cela veut dire. Les mots coups de fouet et incompétence sonnent à ses oreilles, et voilà que l'inconnu, soit disant le "vrai" seigneur cette fois, demande à entrer.. Serrant les dents, le regard plissé et encore plus méfiant, Rouquine n'hésite qu'une seconde. Qui est cet homme, elle s'en fiche, la vérité est que tout ça ne sent vraiment pas bon. L'imposteur avait les gardes de son côté, maintenant c'est le nouveau... Qui dit que tous ne sont pas des brigands à la recherche de leurs recettes ? C'est la seule pensée qui lui semble logique : le premier à echoué, alors un second tente le tout pour le tout.

Bon, ça suffit ces entourloupes, décrête-t-elle d'un ton sévère dont Désirée sera sûrement fière.

Avec un grand soulagement, elle voit du coin de l'oeil, Jules avancer dans la pièce. Et avec plus de soulagement encore, la "suite" de celui qu'elle prend pour un malfaiteur, descend l'escalier de pierre...


Messire, vos "gardes" m'ont l'air de véritables girouettes, et vous ne m'inspirez pas plus confiance qu'eux. On ne vient pas au bordel entouré d'une petite armée. Jules, Conan, Alvan. Raccompagnez monsieur sur le palier.

Jules lui pardonnera sûrement de l'avoir inclus dans cet ordre. Ce n'est pas comme si elle avait le temps de lui dire "s'il te plaît"... Un pas de plus en arrière, et elle regarde les deux blonds et le brun attraper l'inconnu par les coudes et l'accompagner dehors avant que sa garde n'ait le temps d'intervenir.

Quand la lourde porte se referme, quand les gros verrous de fer sont tirés, alors seulement s'aperçoit-t-elle qu'elle retenait sa respiration, et laisse échapper un soupir de soulagement. Et se tournant vers Jules..


Merci.. mais t'as pas une cliente qui attend son bain, toi ?

Un sourire, et attrapant un bras d'Alvan d'un côté, un de Conan de l'autre, elle leur sourit avec gratitude.

Vous je sais pas, mais moi cette histoire farfelue m'a donné soif ! Venez, je vous offre un verre.
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Rouquine sévit au Boudoir des Sens.
Jules.
[couloir, salon, couloir]

Passant devant la porte ouverte du salon avec la jeune muette, il avait aperçu la rouquine, au bras d'Alvan, se planter devant deux hommes et commencer un discours. Sans prêter attention à ce qu'elle disait, il avait tout de même su reconnaitre que le ton n'était pas charmant ou acceuillant, et s'était promis de jeter un oeil au retour. Les bras chargés d'un seau d'eau chaude et d'un d'eau froide, il repassait devant la porte du salon quand la voix alarmée de Rouquine lui parvint.

Mais qu'est-ce que .... ? Bon, ça suffit ces entourloupes...

Posant ses fardeaux, il s'approcha alors, regard sombre posé sur un homme qu'il n'avait pas vu à l'aller, d'abord, puis, derrière lui, sur les autres entrain d'emmener celui qu'il avait vu parler à sa collègue.

Jules, Conan, Alvan. Raccompagnez monsieur sur le palier.

Il ne fallut pas lui dire deux fois. Prêtant main forte aux deux blonds, il forca sans brutalité l'importun à reculer de l'autre côté de la porte, et la claqua avant que ses gardes ne puissent remonter l'escalier de pierre dans lequel ils emmenaient le premier larron. Une fois l'homme dehors, il s'apprêtait à demander des explications à rouquine quand elle lui rappela le bain de sa cliente. Bon sang, il avait failli l'oublier !

Tu as raison. Vous m'expliquerez plus tard..

Hôchant la tête aux deux blonds pour les féliciter d'un travail rondement mené, il se hâta de son pas boiteux vers le couloir, il reprit ses seaux et poussa la porte de la chambre du pied.
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Retrouvez Jules au Boudoir des Sens.
--Grakus
L'homme sourit et non cela ne marche pas, mince. Il aurait du revoir son plan et oui voler, violer, massacrer en cette endroit ils auraient pus, mais ils sont venus, ils ont vus, ils perdu. Ils ont tout essaye, mais, ses hommes ont tout fait raté, comme d'habitude, alors ils partent, ses compagnons sortent de l'ombre et partent avec lui, ils avaient aussi essaye l'autre bordel, mais personne étaient venus, alors ils avaient pas insisté. Un vol faut que se soit rapide et efficace, en tout Grakus avait un plan en tête, s'il essaye de nouveaux, il s'occuperai de la dame personnel.

Les hommes franchirent la dernier ruelle et on ne les revis plus.
--Vincent_de_la_vilere
L'homme longeait les rues, ils observait tout les mouvement, puis l'homme tourna dans une ruelle. La torche qu'il tenait ne laissait entrevoir que son ombre, on ne pouvait voir que ses yeux, son visage cachait par sa capuche. L'homme se dirigeait désormais à grand pas vers l'établissement éclairé par deux torches. À son arrivé, il renversa sa torche et la plongea dans le tonneaux prévus ou pas à cette effet, il la rangea, enleva sa capuche et frappa à la porte, il défis son fourreau près à le tendre aux portier, ainsi que sa cape avec capuche, pour d'éventuelle fouille. Puis il attendus.
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