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[RP 18% open, 63% closed, 19% f(t)] La rose.

Uruk
    Et voila qu'il choquait la Vicomtesse. Enfin c'était tout du moins l'impression que le prince pouvait avoir après la réaction crié à travers la rue qui fit tourner la tête des quelques passants. Ces derniers se détournèrent bien vite à la vue des apparats portés par les deux nobles, on ne dérangeait pas impunément les sangs bleus et ce même s'ils venaient à gêner la quiétude des bourgeois de la capitale.
    En tout cas, la nouvelle fut tonitruante, certes il n'avait surement jamais parlé de sa descendance princière, d'abord pour ses propres raisons que cette naissance ainsi que son union furent caché à son père. Uruk était destiné apr le paternel à se loger sous la juste croupe des ordres et voir un homme destiné à la curie mettre au monde un enfant, tout légitime et sang bleu qu'il serait aurait été une abomination pour son paternel. Alors oui, aujourd'hui il annonçait l'existence du prochain régnant condéen, mais il fallait bien l'annoncer un jour, ce dernier devant vivre dans la province du paternel d'ici quelques temps et quitter le nid douillet de Margny.
    Et alors que le vieil homme pouvait s'attendre à des explications, des détails sur son héritier, il lui fut offert une réplique qui l'amusait au plus haut point. Et de porter une petite pique ...


    Ah bon ? Je vous pensais juste ballonné en faite ...

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Maud
Ballonnée moi!

Et Maud de se passer la main sur son ventre pas plat encore. Et de tâcher de le rentrer pour le mettre à l'abri de la pique.

Eh bien Prince! Vous n'avez rien à m'envier hein? Et vous venez pas d'accoucher vous!

Et toc! Non mais oh! Il n'en avait pas vraiment mais certainement plus que son mari encore tout jeune. De la coquetterie chez Maud on aurait tout vu. Serrant donc ses abdominaux au plus qu'elle pouvait après cette répartie.

Vous avez donc un fils.. et quel âge a ce Margny? Il vous ressemble? A sa mère? Il est calme? Il aime le boudin? Les cavalcades? Il parle correctement?

Et avec cette curiosité, elle n'avait pas encore dit qu'elle acceptait
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Uruk
    Et puis une boutade qui était mal prise, voila qui retirait quelque peu le sourire au Margny. Après tout, ce n'était que de l'humour, mais il semblerait qu'on ne rigole pas avec une femme venant de mettre au monde un énième bourguignon. Néanmoins le vieil homme ne ferait aucune remarque sur le manque de respect offert suite à la mauvaise réaction de la vicomtesse.
    Et il répondit.


    Un fils.
    Six ans.
    Un peu de sa mère, beaucoup de son père.
    Actif, réactif, fanatique, dépendant, égocentrique ... Calme ? Des fois.

    Mais vous auriez un bien meilleur angle pour le définir si vous optiez pour cette vassalité que je vous offre.

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Maud
Un monstre...Il lui donnait le portrait d'un monstre.
Se reprenant un peu devant la description laconique à l'extrême et le sourire qui disparaissait de la face du Prince. Il était chatouilleux.. encore plus qu'elle..

Elle était au bord de refuser..

Et ce mons...cet enfant Altesse, il s'appelle?

Et me donnerez-vous toute latitude dans son éducation?

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Uruk
    Et ce mons ... Etait-elle entrain de prendre des risques vis à vis du vieux noble ? Ou pire, serait-elle entrain de se faire une bien piètre image du charitable héritier de la dynastie des Margny ? Rien n'était moins sûr, mais elle ne l'avait pas encore rencontré et pour sûr que si elle acceptait la vassalité, elle découvrirait une second être unique après Uruk lui même. Son Nom ? Un sourire qui figeait la figure princière, il attendait cette fatidique question.

    Margny pardi.

    Bah oui, comment donc pouvait s'appeler l'héritier Margny autrement que par son parfait nom et sa parfaite première terre ? Le vieux prince faisant de son héritier, le noble parfait et c'est à Maud qu'il avait décidé de confier un pan de son éducation.

    Quant à son éducation, vous aurez droit à une certaine liberté ... Mais je veillerais à ce qu'il ne soit pas guider vers de mauvais chemins. Déjà mon frère avait laissé l'éducation de l'un de ses héritiers à un admor spinoziste ... Il n'en est ressorti que malheur. Je n'ai qu'un fils encore en vie et je compte que l'éducation que vous lui donnerez sera parfaite, comme lui !

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Maud
Un beau prénom votre Altesse!

Margny. Quoi de plus simple en effet. Pas de demande.."Et vous êtes truc de quoi? " Pour situer la famille, le lignage, les titres , les terres, l'histoire et les alliances.
Pas facile non plus à porter. Et vexatoire si la personne en face ne connait rien aux Margny.

A entendre le portrait du rejeton princier, nul doute que le petit Prince rappellerait de manière forte qui il était.

L'hésitation de l'Altesse à la marge qu'elle aurait la laissa un instant perplexe.

Un admor spinoziste! Misère!
N'ayez crainte, je suis aristotélicienne de foy et je ne pensais nullement à la religion mais bien plus aux moyens pour guider ce jeune frel... cette pousse d'Altesse je veux dire.

Cela la fit quand même sourire.. Elle qui avait eu tant de mal à se débarrasser de sa gangue paysanne dans son parler..

Votre Altesse? Me laisserez-vous l'éduquer comme si il était mon propre fils? Je veux dire.. En respectant son rang bien entendu.

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Uruk
    Et le prince espérait bien que son fils soit éduqué dans la ferveur aristotélicienne et fidèle aux convictions -à défaut des actions- de leur sainte mère, l'église romaine. Mais il semblait donc que le dévouement de la vicomtesse à l'éducation pourrait varier sur d'autre point que le vieil homme avait plus de mal à cerner, ce qui le laissa quelque peu perplexe, mais préféra laisser la discussion suivre son cours.

    L'éducation d'un jeune enfant doit toujours être faites comme si c'était le sien. Si vous êtes ma vassale, Margny sera votre fils jusqu'au jour ou il sera le seigneur de Margny ou il redeviendra de plein fouet l'héritier condéen ... A défaut que je ne cède aux glas de la mort avant cela ... Les temps troublés ne nous aident pas.

    Un léger silence, puis il reprit sur la prime question de la vassalité, avant même de l'éducation de l'enfant. Et ainsi conclu ...

    Alors, acceptez vous ma suzeraineté et la mission que je vous offre ? Croyez bien que la subsistance d'une telle vassale sera bien évidemment plus large que les autres ...

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Maud
Elle allait dire oui.. et une pensée la retint.. Son époux.. Ne pas lui en parler avant que d'accepter et elle en aurait pour des jours de disputes.. sans compter que il se ferait un malin plaisir de lui enlever Donall.. Et il n'en était pas question.

Toujours au bras du prince


Eh bien Altesse.. Ce serait un honneur d'être votre vassale et d'élever votre fils comme le mien.

Deux à élever d'un coup.. je vous dis pas..

J'aurai une faveur à vous demander pourtant. On ne peut pas dire que les relations entre vous et mon époux soient au beau fixe hein? Je dirai même que elles sont plus proches d'un lac gelé qu'autre chose. Je vais donc lui en parler, mais un mot de votre part serait de mise.
Entre hommes et pères je veux dire.

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Uruk
    Et voila que la réponse et décision de la vicomtesse était donné. Mais soumis à condition de l'accord vicomtal, seul maitre à bord, c'est en tout cas ce qui semblait retenir l'attention princière. Belle opposition des paroles de Maud auparavant et du frein mis à l'accord final à cet instant. Et c'est donc avec un léger rictus bienveillant qu'il accueillait la dite remarque de la femme.

    Je n'ai pas plus l'impression que les rapports de moi à votre époux soit plus détériorés qu'avec le reste de la noblesse de Bourgogne. A moins que vous ne soyez l'épouse du Duc de Beaujeu, ce à quoi je me raviserais bien vite dans ma proposition.

    Et d'enchainer ensuite sur ce qui ressemblait donc à une demande de la vicomtesse, même s'il n'en comprenait pas exactement la teneur. Peut être un quiproquo, mais il décida de s'y lancer tout de même.

    Et donc vous voulez que je lui laisse un mot ? A ce cher époux avec qui j'aurais de possible rapport conflictuel ? Je dois lui annoncer quoi ? Que je veux son trépas ou son retour à la roture ?

    Il rit à l'idée d'une telle demande. Il ne serait en effet pas futile de proposer une telle chose un de ces jours, mais avec un peu plus de sérieux et envers des personne à qui ces propositions seraient plus opportunes.

    Expliquez-moi donc !

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Maud
Et Maud de lever les yeux au ciel .
Elle n'avait aucune envie de parler de sa vie privée au prince. Ca l'embêtait.

La guerre en bourgogne. La guerre dans son couple. Maud la guerrière en avait soudain assez. Même si la dernière remarque la fit rire


Misère de misère, Altesse! Il y a bien assez à tuer en ce moment hein?

Ah bah oui quand même, elle y tenait à son homme l'air de rien. Elle imaginait la tête de Niall en recevant un mot de Condé et bien vite une vision ensanglantée fit son apparition

Laissez donc.. je lui en parlerai moi même. Avec ma rapière en main.
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Uruk
    Et la ballade qui continuait, jusqu'à les emmener sur la place du marché. Même en temps de guerre, le lieu semblait encore assez visité. Certes les combats n'avaient pas encore débuté, mais on semblait bien plus se soucier de vendre sa fenouil Kravorde que de s'assurer de la bonne sécurité du verrou de son domicile.
    L'humour vicomtal venait égayer la scène, tant elle allait tout autant se vautrer dans le rire glauque auquel ils s'adonnaient de façon soudaine. La décision de Maud était prise et celle-ci arrangeait bien le vieil homme qui se serait passer d'écrire quelques lettres sur un papier pour un homme qu'il ne considèrera de toute façon pas différemment malgré leur éventuel futur lien.


    Parfait alors ! .... Excusez-moi !

    Et le prince qui délaissa un instant la Dame pour se rendre dans les méandres du marché. Peu de temps s'écoulait, une poignée de minute, ce qui pouvait bien laisser le temps à Maud de se trouver un nouveau cavalier, mais malgré les lentes accélérations princières, il se dépêcha pour venir auprès de sa nouvelle acolyte. Un sourire.

    Dès lors que la décision est prise, vous serez ma vassale et donc de ma fratrie ... Et chez nous, coutume veut que les femmes portent la rose, tel que nous avons toujours présenté la plus grande de notre sang, la Comtesse de Scye.

    Il tendit alors une rose blanche à celle qui bientôt ferait allégeance au vieux seigneur impérial.

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Uruk
    Un temps plus tard. D'accord, un gros temps plus tard. Un autre lieu moins bondé, l'animation guerrière presque plus calme, de la politique presque moins calme, bref, la Bourgogne comme on l'aime ... Ou qu'on la déteste, au choix. Les idées changent, les positions divergent, se renversent et surtout, les haines se déversent.
    Du côté de Beaune, car oui des fois et sans ironie, le prince aime se reposer, au fin fond de sa campagne verdoyante, mais surtout si propice à la fertilisation de ce sacro saint vignoble qu'il vénère à l'égal de la noblesse ou de l'aristotélité. Après diverses réunions, plus ou moins courtes qu'il avait eut ces derniers jours, ce nouveau soleil couchant sur le manoir du Margny, annonçait la venue d'une nouvelle personne et fait assez intriguant, c'était depuis bien longtemps qu'il n'avait plus eu pour compagnie une noble dans son antre.

    Tout était prêt pour accueillir l'invité, c'est à dire bien peu. Un peu, assez, suffisamment, du vin à prolifération sans limite en somme. Quelques mets à déguster, mais rien de conséquent, la soirée n'étant pas le moment le plus propice pour les grands repas que le vieil homme préféré laissé pour l'heure ou le soleil frappait au zénith. Un salon réchauffé par le feu, quelques canapés, deux tables, tout ce qu'il y avait de plus sommaire, mais de parfaitement confortable pour passer une bonne soirée. Et bien entendu, une chaine i-fi dernier cri ... euh ... Non, en fait, le seul bruit du vent plutôt fort de cet fin d'hiver qui venait frapper les fenêtres et violer les lointaines et longues vignes que l'on pouvait distinguer par les grandes fenêtres du salon et cela à perte de vue.


    Lorsqu'elle sera la ... Vous l'amènerez ici. En attendant, ramenez moi la viande, le cuisinier m'a dit que mon amuse gueule était prêt.
    Du cheval ?
    Non, du boeuf ?!
    Euh ... Probablement.

    Et oui, même au XVe siècle, l'origine des viandes avait des tendances plutôt douteuses et oui, le prince va s'offrir un petit repas avant la venue de la jeune femme, mais cela ne le gênait pas pour le moins du monde. Un peu égoïste, profondément égocentrique, margnyfiquement orgueilleux.

    Allez !

    Un signe de la main pour renvoyer l'homme et le seigneur prit place dans un fauteuil.

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Maud
En ce tout début de mars, la nature faisait un grand pied de nez aux humains.
"Et vous pensiez que j'étais morte et ensevelie sous la neige et le froid?"

A se taper la tête contre la terre devant l'oubli caractéristique de l'espèce humaine.

Et en ce jour, la nature vint donner un grand coup de pied au cul de Maud.
Elle en avait grand besoin.

C'est le soleil qui la rappela à l'ordre au travers des fenêtres encrassées de sa chambre d'hôtel. Même à Dijon, le printemps déversait ses premières douces attaques.

Et Maud de se laisser aller à cette caresse.
Les derniers mois entre son mandat de duchesse, le siège de Dijon, la régence, la vie en armée, son accouchement sur les remparts pour être fauchée par une italienne lors de la défense de Dijon avaient été durs, éprouvants et le chaos de sa vie privée était comme une cerise vinaigrée sur le gâteau.

Comme un naufragée perdue sur un radeau. Tête et coeur secoués dans de mauvaises tempêtes, oscillant entre haine et amour, vengeance ou pardon, douceur ou colère, partir ou rester, sarcasme ou humour, elle se couchait chaque soir dans un lit de douleur et de souffrance jusqu'à retrouver au matin son oreiller déchiré. A se demander qui allait l'emporter dans cette lutte.
Et ce matin là, elle en sortit gagnante.
La terre se profilait à l'horizon.

Elle avait pris un ticket pour toute la journée et laissé Donall aux mains de la dernière nourrice en date.
Au programme, cavalcade dans les sentes des forêts, branches neuves fouettant le visage, odeurs de labours fumants, vert tendre dans les yeux, elle avait le temps..
Le temps de parcourir les terres autour de Beaune.
Fief de Uruk que par un lapsus bien involontaire, elle avait demandé à Ingeburge comme fief de retraite. Elle en riait encore.

Ivre d'air qui se rafraichissait au fil des heures, elle se présenta donc au Manoir de Margny. Imposant comme son propriétaire. Vêtue simplement et enroulée dans une cape, elle sauta de sa monture et donna les rênes à un garde. Pas étonné du tout.

Le bonjour à vous, je vous confie Falco. Bouchonnez- le , il a bien sué et donnez lui un boisseau d'avoine. N'essayez pas de le monter, je devrais m'excuser à votre maître de votre chute.

Et avec un sourire amusé
Dites donc au prince que la Vicomtesse à la rose blanche est là.
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Uruk
    Et le soleil tombait un peu plus à l'horizon, laissant les lueurs célestes glisser sur les brunes vignes, encore vétustes de toutes verdures printanières, le sol froid, gelé par endroit faisait miroiter les derniers piques de la journée qui disparaissait sous ses yeux. Le prince se délectait de son diner, on n'allait plus tarder à venir le déranger pour lui annoncer l'arrivée précipitée de la vicomtesse. Mais le repas terminé, après avoir dégusté avec gout, à peine reposé dans son siège et voila qu'on venait ouvrir la porte du salon et s'adresser à lui.

    Ah !
    La vicomtesse "à la rose blanche" est arrivé, elle a demandé à ce que l'on s'occupe de son cheval ... Falco.

    Haussement d'épaule du prince, surprenant comme nom pour destrier. A moins que sa future vassale vienne à dos d'hérétique, voila un bien mauvais nom pour une monture pensait le Margny. Un léger instant de réflexion et un trait de génie qui vint priser le court silence ...

    Vous l'abbatrez, le dépècerez, vous en mettrez un bout pour le petit déjeuner, bien grillé, comme du porc représentant si bien son homonyme pour le petit déjeuner. Et pour le reste, vous irez le faire vendre sur les étales et marchés voisins sous l'étiquette de bœuf ... La valeur de ce dernier étant plus élevé que celle des canassons, nous en tirerons un meilleur prix ... Et puis les gens sont si bêtes et affamés qu'ils n'y verront que du feu !
    Parfait !
    Et vous faites amener la vicomtesse ...
    Bien entendu.

    Un petit regard pour superviser le lieu ou la Dame serait accueilli, tout était bien, parfait, idéal ! Quelques cuisseaux de poulets fraichement cuit, des fruits presque de saisons, divers alcool rangé sur un buffet et bien entendu les pichets de Beaune sur la petite table centre des trois canapés et quatre fauteuils.
    Entendant plusieurs bruits de pas dans le couloir, il savait Maud sur le pas de la porte. A peine fut il levé et faisant face à l'entrée, que la porte vint s'ouvrir, laissant découvrir la jeune et ancienne duchesse, accompagné du garde qui l'avait averti de l'arrivée de l'invitée. Un sourire amical du prince, une main tendu en direction des canapés et du lieu de la petite soirée et il prit la parole.


    Bienvenue à ma Rose !

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Maud
C'était grand, cossu et même chaleureux. Une demeure habitée par son propriétaire et pas un manoir de passage ou de retrait.

Rien à voir avec l'immense château forteresse de Montreal qu'elle n'avait jamais aimé.
Sans compter qu'elle y était bien plutôt considérée comme une étrangère que comme la suzeraine. Et elle n'était pas prête d'y retourner sauf obligation incontournable.

Maud suivait donc un autre larbin qui l'avait enjointe de l'accompagner d'un geste de la porte d'entrée vers .. vers où? Eh bien, c'est une chose que tous les larbins de la terre ont en commun.

Ils savent toujours où ils vont et où conduire les invités. Et l'arrêt soudain du dit larbin avec cette étrange posture penchée vers l'avant , main sur la poignée qui ouvre la porte et corps qui s'efface pour laisser entrer l'invité.

Il était debout. Il l'attendait donc et n'avait pas feint la surprise du seigneur faussement occupé à une tâche pour garder le contrôle de la situation.

Amical et charmeur le Prince. Echo chez elle et la vue de toutes les victuailles sur une table , le vin lui rappelèrent un plaisir vital chez la jeune femme. Son ventre gargouilla. revenant du regard vers lui.. ah oui! L'étiquette d'abord.


Le bonsoir à vous Votre Altesse.
J'ai faim!

Spontanée naturelle et sans peur.
Etait-il homme à s'en offusquer?
Elle espéra bien que non.
Sa nature profonde endormie de si longs mois se réveillait.

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