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[RP] N°2 Rue de la Foret, chez Lana

Lana_
Elle regarda Ruta et se mit à éclater de rire :

Bah nan c'est pas ma faute !!! ces pov chaises depuis des années à l'humidité et rongée par les termites...dis qu'j'y suis pour quequ'chose aussi ???

Elle riait en tirant Héri par la main, trouva la dite chaise potable, le fit assoir et posa ses fesses sur ses genoux en regardant Ruta souriant du coin des lèvres.

Bon ! c'est pas l'tout mais...j'ai faim...soif...et,bien d'autres envies aussi mais j'les garde pour moi celles là...

Elle se releva d'un bon et s'affaira du côté de la cuisine pour leur trouver un ti quelque chose à boire. Elle n'avait pas de cette boisson amère mais bonne qu'elle avit bu chez Héri mais qu'importe,elle avait du lait frais, du miel, du vin et de l'eau. Elle posa le tout sur un plateau avec des chopes et porta le plateau sur la table:

Servez vous ce que vous voulez : lait, miel, vin, eau...à vous d'choisir.

Alors qu'elle les laissait faire leur choix, elle pris la tarte destinée à Trix, la coupa et servit ses invités.
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Gwenaelle_
lait, miel, vin, eau...à vous d'choisir. Leur avait elle dit.

Ruta attrappa une tasse... Puis la bouteille de lait. Elle remplissa un quar de la tasse.Puis elle reposa le lait et s'empara de la bouteille de vin et remplissa un autre quart. Puis elle prenna la bouteille d'eau et remplissa d'un autre quart. Au final elle prit une grosse cuillère de miel etla touilla dans le breuvage.
Puis elle attrappa la tasse et se jetta une rasade liquoreuse dans le gosier. Le gout devait être pas bien terrible puisque cela lui arracha une grimace.
Elle reposa le recipient remplit du liquide infâme et conclua:

C'est pas bon.
--Philibert_



Philibert suvait sa vieille partout et c'est chez une brunette qu'il la suivi telle une ombre ne quittant pas sa personne.

Il allait d'un air guilleret se disant qu'il y aurai bien deux trois bricoles à se mettre sous la dent et esquivait comme un sourire sur son minoi de minou.

Restant un peu en retrait quand il vit sa vieille s'arrêter devant une maison, il se planqua derrière un bosquet pour mieux l'espionner. Son passe temps favori, tout voir sans jamais se faire voir, épiant tous les faits et gestes de ces animaux à deux pattes qui s'étaient eux même donnés le nom d'"Humains".




Il équarquilla ses yeux comme deux billes voyant sa vieille se mettre à danser devant la porte et secoua la tête. Alors qu'il allait sortir de sa cachette, il vit la brunette arriver et toutes deux rentrer dans la maison. Il se fit loup et avança à pas de loup...puis recula de nouveau à la venue d'un homme cette fois. Décidément, on fait la fête là dedans ! il lui fallait à tout pris s'inviter, de grès...ou de force...

La brunette ouvrir la porte à ce qui ressemblait à un mâle et ils se collent l'un l'autre comme s'ils étaient attirés comme des aimants.

Il profita que la porte était ouverte pour courir vers celle çi et pénétrer subréticement à l'intérieur quand, une fois devant, la brunette la referma sur lui et c'est de son museau qu'il l'embrassa.

Il se retrouva assit sur son large postérieur secouant la tête, presque assomé puis lâcha un :
miiaouuuuu...plaintif.
Heribert
coucou mon ange.

La serre contre lui, goutte tout ses parfums et lui donne un bisou qui clique.

Smik.

Coucou ruta, il la bisouille content de la voir.

Mais il voit la catastrophe, un peu confus.

Oh c'est de ma faute Ruta, si j'étais passés plus tôt, ce ne serait pas arrivé. Si tu veux tu peux passer à la maison, je te ferais un petit massage, j'ai quelques bottes secrètes.

Il dépose son panier

Tient ma toute belle, voilà quelques petites choses du printemps, ciboulette oseille, menthe, mélisse, tu peux les replanter si tu veux près de ton champs et si tu veux qu'on le fasse ensemble, je suis ton homme.

Il regarde les délices sur la table.

je crois que je vais me laisser tenter par un peu de lait au miel, et une petite tartine.

Ruta ton bal est une merveille.

Puis il tranquillou, heureux d'être à côté de sa princesse, il déguste, oublie un peu machinalement et songe à la chasse aux trésors et laisse couler les idées, en range une à telle place, une autre à telle autre.....
Gwenaelle_
Miiiiaouuu? Y'en avait qu'un pour miauler comme ça... Elle tourna la tête vers son petit gars:

Oh! Mais t'es là mon minou? J't'ai cheché partout... Mon pauvre chat t'as l'air affamé.

Elle s'accroupissa et ramassa son trésors dans ses bras. Son amour a elle c'etait son Philibert.

Tu vas voir, maman va te faire manger... J'ai du lapin. Tu aime ça le lapin non?

Puis elle se tourna vers les deux jeunes gens qui commençais a se becotter. Diable que ça la rendait jalouse! Elle se leva

Bon jeunes gens j'vais vous laissez a vos affaires,j'repasserai plus tard. J'ai un félin a nourrir. Aprés il va encore etre tout maigre...
Lana_
Lana rouvrit la porte au miaulement plaintif et vit le pauvre Philibert affalé derrière celle çi.
L'espace d'un instant, elle le regarda, puis regarda Ruta et y retrouva le même affalement de postèrieurs :


Y'a comme un air de famille chez vous deux...

Elle pouffa puis se saisi du mâtou et le tendit à sa vieille.

Citation:
Bon jeunes gens j'vais vous laissez a vos affaires,j'repasserai plus tard. J'ai un félin a nourrir. Aprés il va encore etre tout maigre...


Hummm...ton chat ? maigre ? bah y'a du boulot...

Elle lui fit un sourire magistrale puis lui colla un bisou claquant sur chacunes de ses joues.

A plus tard ma belle...reviens me voir quand tu veux !

Puis elle se tourna vers Héri bien occupé à manger et se désaltérer, posa ses mains sur ses hanches et le fixa :

Bon...c'est pas tout ça mais;..on a des choses à faire tous les deux ! enfin une surtout...

Elle se dirigea vers lui avec un sourire au coin des lèvres, s'approcha de lui doucement puis se pencha vers lui. Approcha ses lèvres des siennes et...alors qu'il allait toucher ses lèvres, elle tourna la tête vers les chaises en souriant :

'fin quand je dit "on"...toi surtout.
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Heribert
Oui finir de me délecter de cet délicieuse tranche.
Tu...
Es...
Un Ange...


Il voit son regard vers les chaises et part dans d'intenses génuflexions, et autre flexions de ses méninges. Puis il regarde de plus près les objets du délit. Sort ses doigts et examine avec minutie, appose une pression là, un glissé là, une torsion par-ci. Son accessoire index est le plus bavard, bien que le petit doigt a toujours son mot à dire. Puis il écoute, avec attention les chants du bois.

Un mini ccccrrrrroooooooouuuuuuiiiiiiiccccccck ici, un sssssssswwwwwwwwoufffffttttttt là.

Hum! Je vois. Cela va aller, vite ne bouge pas je reviens.

Il prend à partie les deux chaises les sermonne, puis les embarque fissa sur les épaules et disparaît dans la rue. Un tour à gauche, cent deux pas et une foulée, encore à gauche, cent six pas pile poil et il entre chez lui. Il prend la première chaise, toi petit bois. Toi je ferais te toi ma chaise spécial invité de marque, il y a un craquant chez toi qui ne laisse pas de marbre. Il la met près du feu et pose délicatement un brouet, il faut être prudent, elle peut faire encore de grande oeuvre. L'autre il la termine, l'extermine et la dépose en petit morceau près du feu.

Il prend ses deux chaises flambantes d'occasion. Et contemple ce qu'il lui reste, une chaise et demi et un quart.

Il reprend le chemin en sens inverse. Pourvu que je ne me perde pas, dans les dédales des ruelles de Joinville.

Mais à l'instinct, au parfum, il la retrouverait entre mille.

Il frappe et entre.

Voilà mon ange c'est fait. Regarde le travail, je les ai transformé d'un coup de baguette magique.

Large sourire.

Regarde ce profil, ses pieds solides, et se dos, ah se dos, il a bon dos on pourra se reposer dessus sans crainte.

Il les présente tout en gestuelle, expose les derniers cris de l'innovation de la chaise. Puis l'entraîne sur ses genoux, joujoux, bisoux.
Lana_
Lana entendit toquer à la porte et à peine eut-elle le temps d'ouvrir qu'elle vit son menuisier occasionnel arriver avec ses chaises.
Elle le regarda, regarda les chaises, puis le regarda de nouveau en levant un sourcil :


Euh, dis moi, il en manque pas un bout là ?? tu étais pas parti avec deux chaises entière à la base ?

Elle prit celle qui était entière et la posa près du l'âtre, pris la seconde et la posa...dans l'âtre. Elle lui sourit du coin des lèvres, ce petit sourire qu'elle savait si bien faire pour le faire fondre ou cette petite moue qui le faisait craquer :

Humm...pas grave, j'ai d'autres chaises et, quand à celle que tu as si bien réparée quand même, je te la réserve. je vais en faire la plus confortable de chaise pour que ton postérieur n'est plus envie de partir d'ici...pas que lui d'ailleur mais je dois avouer que lui, elle laissa glisser son regard sur son séant avec ce petit sourire, et bien j'avoue qu'il me ait craquer. Mais attention à ne pas faire craquer ma chaise ! Mais pour l'heure...files ! je veux te faire la surprise de ma chaise réservée et je te promet que tu ne le regretteras pas !

Elle le pris par le bras en se dirigeant vers la porte puis s'arrêta devant cette dernière :

En fait non, tu files pas...t'avais pas autre chose à faire ? elle lui sourit, une serrure à réparer ?, nouveau sourire en coin.

Elle lui vola un baiser le laissant devant la porte et repart en riant.

Toi, la serrure, moi la chaise !

Elle se saisie de la chaise et alla s'enfermer dans sa chambre. Posa la dite chaise au milieu de la pièce et en fit le tour plusieurs fois afin d'avoir la lueur magique qui ferai d'une simple chaise...LA chaise, SA chaise...

Sourire aux lèvres, index posé sur une tempe, la reléxion était de mise. Et d'un coup d'un seul, le dit index se leva :

J'ai trouvé !!!

Elle s'affaira dans la pièce, pris quelques tissus qu'elle avait dans son armoire. Des clous,il lui fallait des clous. Elle courru jusqu'à la grange, fouilla, farfouilla, fouinna et trouva ce qu'elle cherchait et revint dans le même entrain finir ce qu'elle espérait être une merveille.

Elle coupa, déchira, installa, clouta...

Une fois terminé, elle remit sa chaise au milieu de la chambre puis en refit le tour et le détour le même index posé sur la même tempe avec, cette fois, un sourire de satisfaction.




Elle laissa la chaise dans la chambre pour lui faire la surprise et alla voir son menuisier-serrurier-poète-secrétaire travailler :

Alors ? tu avances ? moi, j'ai terminé, elle sourit et attendit qu'il termine.
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Lana_
Les heures passaient et elle le voyait s'affairer à sa serrure. Elle tournai autour de lui inspectant chacuns de ses gestes et espérant qu'il ne fasse pas de sa serrure la même chose que ses deux chaises.

Elle sourit sans le lâcher du regard. Il était important que la serrure tienne pour pas que ses jambons disparraissent. Elle avait eu beau les cacher et même changer de cachette, rien n'y faisait, ils fondaient comme neige au soleil.

Elle se dirigea vers la cuisine pour aller lui chercher un remontant mais quoi ...? du lait ? non, de l'eau ? elle était plus assez fraiche, elle pris donc la décision d'aller lui chercher une chope bien fraiche en taverne.

Après un baiser déposer à la commissure de ses lèvres, elle courru vers la municipale pour la lui rapporter :


Quand à toi, ne perd pas la main hein ! et pas de serrure à l'envers où je devrai faire le poirier pour mettre la clé dedans, ce qui sera pas des plus pratique.

Elle se mit à rire et pressa le pas vers le village.
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Heribert
Le poirier??? Humm alors je ne sais pas si je vais la réparer, si tu me fais le coup du poirier, tu vas me mettre en appétit en me promettant de si beaux fruits à cueillir en équilibre.

Il lui dépose un bisou, aller file je vais soigner ta serrure.
Tandis qu'elle s'éloigner vers le village, il s'appliqua sur la serrure.

Une clef pénètre, glisse dans la garniture, sa tête lui tourne.
Le pêne immobile songeur. Surpris alors, il la chauffe alors de tout côté à doux feu.La clef est dans la main, la serrure et son décorum dans les yeux. Glisse entre là et ici habilement et en souplesse, la découvre jusqu'au coeur par un certain nombre de chemin, la langue de la serrure s'écoute en clique, en swiffffff... Bang! Sur ses courbes a travers des angles ondulées, s'étendent de gracieuses couronnes de fer parcourant des forêts de bois. Et la ici le ressort, nulle peine, nulle fatigue pour passer d'un versant à l'autre. Elle ne manque pas de ressort, le pêne est taillé dans de belle proportion, c'est un bel outil de croche, tirant sur la serrure à broche. Dévale ses formes, va dans ses sous bois, titille et cherche. Puis la retourne, ne pas déranger les cloisons, juste les chatouiller; Pour voir ce qu'elle a dans le ventre, va au fond des choses et touche. Tout en élargissant le champ des probabilités, Il applique la solution. Puis tout en s'approchant du point d'équilibre, clique, le pêne est sorti
Ahhhhhhh.

C'est ouvert!

Clique, c'est fermé!

Puis il commence les préparatifs et fait une petite liste pour un petit voyage.
Lana_
(plusieurs jours plus tard)

Le temps était arrivé, le grand jour...celui de leur premier voyage.

Des amis déjà partis, d'autres à rejoindre, du temps à prendre pour eux, du temps pour se découvrir encore, pour s'apprendre toujours et encore. Prendre son temps, il ne lui disait que trop souvent et il avait raison. Apprendre à laisser s'égrainer les minutes et ne prendre que ce dont ils ont besoin. Apprendre à partir pour mieux revenir, pas "d'aurevoir" mais un "à tout de suite". Apprendre les mots pour en connaitre leur sens et les détourner en non sens. Apprendre la musique et la décomposer pour recomposer suivant ses envies, une note, des notes, noter et dénoter, pianoter de peau à peau effleurant des doigts qui se cherchent et s'apprennent.

Apprendre, chercher, temporiser...des mots que son maitre des mots connaissait sur le bout des doigts.

Elle se leva tôt ce matin là. Se prépara un solide petit déjeuner car la journée serait bien longue et fatiguante. Le tout étant englouti à vitesse grand V, elle attrapa son baluchon et y rangea les quelques affaires qu'elle avait : quelques victuailles, des parchemins chers à son coeur et son coquillage bleu porte bonheur qu'elle avait eu de son amies Ruta. Le tout une fois bien rangé, elle se saisit de la clé de sa porte sourire aux lèvres revoyant encore son Héri bibi en train de réparer sa serrure, jetta un dernier coup d'oeil à son intérieur puis la tira dans un grincement de porte que même les voisins entendraient puis fit deux tours de clefs.

Elle pris la direction de la maison de celui qui était son autre afin de prendre la route main dans la main pour....apprendre...

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Lana_
(plusieurs jours encore plus tard)

Que dire de ce voyage...? surprenant, étonnant, étrange, agréable, féérique, magique, interressant, agaçant...chaque journée avait son lot de surprise.
Mais le retour est des plus agréable. Une maison qui manquait, des odeurs, des lueurs, des envies, les plumes de son oreiller, les fleurs de son jardin...il était temps d'ailleur d'y aller faire un tour dans ce jardin. Le soleil avait du l'assommé de ses rayons puissants à la chaleur forte et avait certainement dû bruler ce qui était avant son son départ, un magnifique jardin agrémenté de toues les odeurs possibles et inimaginables.

Après avoir défait son minirikiki baluchon, une petite sieste s'imposait. La monture envoyée par express et rapide certe mais, son séant n'était point habitué à recevoir de tels chocs.

Elle alla dans sa chambre, ouvrit la fenêtre et tira les persiennes laissant entrevoir quelques lueurs suffisantes pour lui indiquer l'heure qu'il serait. Ensuite, si le courage lui prend, elle irai faire un tour en ville voir si Joinville était restée la même qu'avant leur départ.

La tête posée sur les plumes, elle se pluma et se laissa porter au pays des songes.

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Heribert
Lever tôt, très tôt dans l'après midi, il dépose des fleurs et prend la clef des champs. En catimini avant, connaissant les secrets de la serrure, et....

Swifffffff,clikkkkkkkkk, banggggggggg..
Lana_
Le temps passait parfois vite, parfois trop lentement le tout dépendant de ce qu'elle attendait de sa journée.

Elle était depuis quelques jours ou semaines elle ne le savait plus trop, le nouveau tribun de sa belle ville. Mais souvent, trop souvent, à peine eu t'elle vent d'une arrivée, qu'un ou plusieurs autres avaient été rapellé par Aristote. Pourquoi ? comment ? tant de questions fusaient dans ses tête n'ayant aucunes réponses à apporter.

Elle savait que certains s'accrochaient mais avec bien du mal, la fermeture de la mine y étant aussi surement pour quelque chose. Comment des nouveaux pouvaient ils travailler sans la mine alors que bien des annonces en maries demandaient des caractéristiques qu'ils ne pouvaient poccéder à leur arrivée.
Comment les retenir ? comment leur donner envie de survivre dans une ville à moitié morte...?

Des heures passées seule en taverne attendant désespérément la venue d'au moins un villageois pour discuter un peu...mais rien, personne ou peu de monde ou toujourd les même...

Elle pris une chaise et la posa dehors, le long de la rue et regarda, contempla, scruta la ville et ses alentours. Ils furent vite fait. Mis à par quelque rares personnes se rendant au marché pour leur approvisionnement quotidien, il n'y avait rien, il ne se passait rien. L'ennui commençait à la gagner elle aussi. Et il en fallait beaucoup mais là...

Elle se mit à rêver...à rêver d'une ville parfaite. Douce utopie que la perfection mais s'il y a bien une chose qu'on ne pouvait lui prendre, c'était bien ses rêves, ses envies...Elle imaginait une ville où il faisait bon vivre avec son ange à ses côtés bien sur. Sans lui, où serait la perfection...?
Une ville où chacun serait libre de faire ce que bon lui semble, une ville sans chamailles pour la moindre raison, une ville où élcetions et oppinions exposées seraitent compatible, une ville où chacun se serrerait les coudes aidant son voisin du mieux qu'il le pouvait...enfin, d'une ville quoi.
Mais Joinville n'atait plus la ville qu'elle connaissait à ses débuts. Elle l'aimait certe et tenait une place de choix dans son coeur mais...comment trouver joie et sérénité dans une ville devenant plus morte un peu plus chaque jour ...

Des amis étaient parti sans plus jamais donner de nouvelles se demandant même s'ils sont encore en vie, d'autres revenue mais se déchirant par non comprehention ou dialogue...

Elle en venait à se demander si sa place était toujours d'actualité ici. Elle se tourna vers sa maison se rappelant son arrivée ici et tout ce qui s'y était passé se disant qu'un jour, peut être, elle serait ammenée à la quitter. Et cette idée ne l'effrayait pas, au contraire, il faut parfois faire des choix de vie, d'envie au grès de ses rencontres, de ses asppirations...Si départ définitif il y aurai, ses affaires seraient vite rassemblées. Son baluchon sur son épaule, son ange à son bras et...vogues petit navirre...vogues...

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Trixolas
Trixolas rentrait chez lui après son après-midi passé sur les berges de la Marne, à cuv.... contempler le lent écoulement de la rivière. Il y avait croisé Fleur de songe et échangé quelques paroles avec elle mais en vain.
Il remonta la rue de la forêt, sa besace sur le dos et sa bouteille dans une main lorsque son regard désabusé se posa sur sa voisine assise devant chez elle.
Son visage paraissait aussi désappointé que le sien, elle semblait regarder le village d'un air mélancolique. Il se rapprocha d'une démarche lente et un peu désordonnée, l'effet anesthésiant de l'alcool ne s'étant pas totalement dissipé.

- Bonjour Lana!
Tu n'as pas l'air dans ton assiette aujourd'hui, tu me sembles bien triste.
Tiens!

Il lui tendit le reste de sa bouteille de poire.

- Ca ne règle pas les problèmes, mais ça aide à les oublier, du moins temporairement.
Moi j'en ai suffisamment abusé pour aujourd'hui je crois. Et puis il m'en reste encore quelques litres à la maison.


Le berger joinvillois se dirigea alors vers sa demeure, laissant Lana seule à ses pensées.

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