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[RP fermé]Le domaine des Fées : Domaine de Montoiron

Helena.
Il était là. Installé sur un fauteuil tourné vers les fenêtres qui donnaient cette clarté spéciale et douce au salon. Douceur qui laissait croire à un conte fée. Il semblait perdue dans ses pensées…loin… ce qui fit sourire la jeune brunette lui laissant également tout le loisir de l’observer sans être découverte.
Depuis quelques temps déjà il se rapprochait d’elle. Mais il avait eu droit aussi à son caractère fort mais cela ne l’avait pas faire fuir. Il était resté attendant que la tempête se calme. Rare était les hommes qui restaient après un tel ouragan et il faut reconnaitre que la jeune femme n’y avait pas été de main morte allant jusqu’à lui sommer de partir, qu’elle ne voulait plus le voir. Mais la vivacité d’Helena ne semblait pas lui faire peur. Certes juste le lendemain la jeune femme était retournée le voir pour s’excuser pour son emportement. Il l’avait accueilli avec sourit acceptant ses excuses. Ils avaient encore conversé jusqu’à très tard la nuit, riant parfois et apprenant à se connaitre un peu plus. Enfin tout cela était du passé et là il était dans son salon à l’attendre.


Un léger sourire se dessina sur le visage d’Helena amusée de le voir se lever si rapidement tel un enfant venant de faire une bêtise et qui viendrait d’être prit la main dans le sac. Une douce teinte rosée s’afficha sur les joues de la jeune femme au contact des lèvres douces du juge.

Vous avez tout à fait raison. Il faut savoir s’arrêter et prendre des pauses pour mieux reprendre les affaires en cours. J’imagine que votre charge ne vous laisse peu de temps pour vous abandonner à des activités qui pourraient vous tenir à cœur.

Voilà qu’il s’approche un peu plus d’elle. Leurs mains s’effleurèrent légèrement, la jeune femme senti le souffle léger de l’homme. Son cœur se mettant à battre plus rapidement et la dernière parole d’Albéric termina Helena qui devint rouge pivoine bafouillant dans un murmure un « merci »

La brunette se recula essayant de reprendre contenance et espérant ne pas être trop rouge. Ses joues étaient brulantes…elle le sentait. Comment éteindre cette chaleur et comment retrouver un rythme cardiaque normal ?

Humm je vous propose d’y aller maintenant alors avant que le soleil ne se couche et que la fraicheur des soirées reprend le dessus. Nous prendrons un verre après si vous le voulez bien.

Finalement prendre un verre ne sera pas pour tout suite. Impossible. Il lui fallait sortir de la demeure…sentir le vent contre sa peau pour mettre fin à la gênée et à la timidité qui revenait au galop. Elle s'était pourtant jurer de ne plus laisser entrer aucun homme dans son jardin secret. Elle avait tenté de mettre une barrière s'enfermant dans une une boule de cristal.Mais le juge avait réussi à tout briser, cette protection venait de se rompre en des milliers de petits morceaux...

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Alberic
Le juge, pour la première fois depuis longtemps, semblait troubler. Oui, cela pouvait arriver parfois même si, en l’espèce, la chose était suffisamment surprenante pour être soulignée. Non pas que le seigneur était exempt d’émotions, mais disons qu’il avait une vision particulière des choses. Par exemple, il pouvait apparaitre aux yeux de certains comme détaché voir indifférent aux choses qui se tramaient autour de lui. Il y avait là la marque d’un ennui profond devant les banalités de la vie ou tout autre fatuité qui ne trouvait point grâce à ses yeux. Alberic se fendit d’un sourire amusé en constatant que la teinte d’Helena avait viré au rouge après son baiser sur la joue ; et ce faible « merci » traduisait encore plus de son état de trouble apparent. Loin de calmer le seigneur dans ses démonstrations de douceur, ce dernier, par esprit de taquinerie, prit la parole d'une voix douce : "Je trouve que cette teinte rosée vous va très bien".

Il opina du chef lorsqu'elle lui demanda de quitter la demeure pour se balader dans les jardins.

"Permettez ?"

Le haut magistrat lui tendit son bras avant de se diriger vers la sortie de la demeure où filtrer une lumière déclinante traduisant d'un soleil sur le déclin. Mais le bonheur était absolu et le plaisir de sentir la caresse du vent sur le visage de l'homme lui faisait l’effet d’une renaissance. Le jardin était un havre de paix.

"Vous avez là un domaine très agréable Helena. Mes terres sont beaucoup plus inhospitalières, elles abondent de loups et la nuit venue des bruits étranges se font entendre dans les bois. On raconte que les esprits de la forêt veillent et punissent les malotrus qui osent s’enfoncer entre les arbres "


Alberic s’arrêta quelques secondes, faisant face à la brune, changeant totalement de sujet, il prit ses mains entre ses doigts avant de faire une confidence à laquelle il était peu coutumier.

"Je dois vous dire quelque chose : Lorsque votre pli m'est parvenu, je travaillais sur un dossier important. A la seconde où j'ai connu l'auteur de ce pli, mes préoccupations quant à cet arrêt se sont envolées. Je n'avais alors qu'un seul désir, tout laisser en l'état et venir vous rejoindre pour cette balade." C'est alors que sa main glissa avec une infinie douceur le long de sa joue, son regard perdu dans la beauté océane de ses yeux.
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Helena.
Helena avait envie de pester. Mais comment il osait se moquer d'elle ainsi et de la mettre encore plus dans l’embarra en insistant sur son teint qui s'était empourpré. Esprit taquin ? Probablement, mais la brunette n'avait pas dit son dernier mot et elle pourrait bien lui renvoyer le compliment une autre fois sûrement en attendant il venait de lui proposer son bras pour quitter la demeure afin de profiter des jardins de Montoiron.

Souriante, elle glissa délicatement son bras sous le sien. Ils quittèrent le salon et dans le couloir croisèrent Ophélie. Était-ce le pur des hasards qui sait. Helena s'adressa alors à la jeune femme.


Ophélie, nous allons profiter des jardins avant que le soleil ne se couche. Nous reviendrons ensuite discuter dans le salon, je compte sur vous.


Tout était dit. Le message était des plus clair pour la jeune domestique. Ophélie semblait avoir compris les exigences de la maîtresse des lieux. Elle devait profiter de leur absence pour préparer une collation pour leur retour de ballade.


Bien Madame

Merci Ophélie. Tournant son visage vers Albéric elle lui sourit s'excusant d'un regard de ce petit arrêt.

Ophélie s'inclina respectueusement au passage de l'invité et de sa maitresse qui prirent la direction des jardins. Les chants des oiseaux, le parfum des fleurs qui éclosent, les rayons de soleil accueillirent le couple qui se balada tranquillement au milieu des allées conversant. Helena entraîna son convive dans l'endroit qu'elle préférait plus que tout au monde loin de tout..havre de paix et de douceur. Le clapotis d'une fontaine se laissait légèrement distinguer.

Je vous remercie. J'aime les jardins de Montoiron qui me permettent de m'évader et de retrouver un peu de sérénité. Ce lieu a été réaménagé pour que je me sente complètement chez moi après que mon parrain m'en ai donné la gestion.

Une double rangée de cyprès semblait dessiner une allée. Leurs pas les emmenèrent jusqu'à cette allée qu'ils remontèrent. Le bruit de l'eau se fit beaucoup plus distinct. Au centre, une fontaine coulait doucement dans un petit clapotis. Sous une tonnelle de roses rouges un banc en pierre se dressait non loin.

Albéric s'arrêta au milieu de ce paysage prenant les mains de la brunette entre ses doigts. Un léger frison parcouru l'ensemble du corps de la jeune femme. Lui faisant par de son ressenti la belle brunette sourit amusée mais à la fois contente qu'il est laissé tout son travail pour venir la rejoindre pour une simple ballade dans les jardins de son domaine.

Elle allait lui répondre entrouvrant la bouche mais n’eut pas le temps de faire sortir un seul son de ses lèvres..le juge venait de glisser sa main en une douce caresse sur sa joue. Son cœur se mit à accélérer. Elle plongea son regard océan dans le sien un instant puis ferma les yeux savourant cette douce caresse. L'une de ses mains restant emprisonnée par celle du juge. Instant d'hésitation laissant place au désir de profiter de cet instant unique. Helena pressa légèrement la main du juge pour finir par entrelacer ses doigts aux siens faisant un pas pour être encore plus prêt de lui. Elle rouvrit doucement ses yeux le dévisageant avec douceur soupirant dans un léger souffle..


Albéric...Je suis heureuse que vous soyez là...

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Alberic
Le Haut magistrat se fendit d'un léger sourire en entendant la jeune femme exprimer sa joie de le voir ici en son domaine. Il faut dire que l'instant était rare car l’homme était, avec cet à-côté casanier, un solitaire dans l’âme. Le contact humain n’était pas son fort mais il était fidèle en amitié. Du moins suffisamment pour qu’on le dise porteur de qualités dans ce domaine. Une seule contrainte se faisait sentir dans l’expression de cette fidélité car lorsqu’il était question de justice, la lame austère du bourreau devait faire son office de la même manière. Alberic se détacha quelque peu poursuivant son chemin dans les jardins d'Helena, la jeune femme à ses côtés.
Il savourait l'instant avec une insouciance joyeuse. Il prit la parole d'une voix claire.


"Et si vous me parliez un peu de vous Helena ? De votre histoire ? De votre passé et de ce qui fait de vous la femme que vous êtes devenue ? "
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Helena.
Petit instant de tendresse et de douceur vite remplacée. La Montoiron sourit en le voyant s'écarter légèrement pour reprendre cette balade loin de tous les soucis du moment.
Reprenant leur marche, le juge chercha à en savoir un peu plus sur la brunette. Un sourire se dessina sur son visage. Croyait il vraiment qu'elle allait tout lui raconter aujourd'hui? C'est que sa vie n'était pas un long fleuve calme mais plutôt la mer pouvant se déchainer lors de tempête.

Elle s'arrêta et lui répondit d'un sourire plein de malice


Qui je suis? D'où je viens? De très bonnes questions mais pensez vous mon cher que je vais tout vous dévoiler aussi simplement lors d'une balade printanière?

Elle éclata d'un rire cristallin tout en s'approchant de la fontaine. Elle l'épia un instant discrètement évaluant la distance qui les séparait et surtout quand elle pourrait mettre à exécution sa petite pensée...

La jeune femme s’assit avec grâce sur la bordure en pierre blanche de la fontaine venant tremper délicatement sa main dans l'eau claire.
Lorsque le Juge fut assez prêt d'un geste habile et rapide elle l'éclaboussa. Des perles d'eau vinrent se poser sur le juge. Prestement, elle se releva et fit le tour de la fontaine pour ne surtout pas être à la portée d'Albéric.Helena lui lança un regard angélique et innocent.Reprenant la conversation comme si de rien n'était...


Et vous....parlez moi un peu de vous...

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Alberic
La réponse de la jeune femme ne lui convenait pas ou en tout cas, ne permettait pas d’assagir la curiosité débordante du juge car oui, le seigneur était un homme curieux. Il aimait obtenir réponse lorsque un élément lui faisait défaut. Cette curiosité intempestive était née alors qu’il n’était qu’un enfant au printemps de sa vie ; porté par le désir insatiable d’apprendre et de découvrir le monde. Observant d’abord les choses d’un regard empreint d’innocence avant de perdre de cette ingénuité en raison des aléas de la vie.

Alberic observa la maitresse des lieux, celle-ci venait de prendre place sur la fontaine avec cette grâce féline qui caractérisait sa personne. Il s’approcha d’Helena sans se douter de ce qu’elle s’apprêtait à faire, laissant son regard se perdre sur la beauté de son visage et sur le reste. Il se mentirait à lui-même s’il refusait d’admettre que la jeune femme ici présente le perturbait considérablement. C’est donc en raison de cet état propice à l’anéantissement des réflexes que l’homme ne put prévenir cet affront.

Comment osez…

Le seigneur contint un sourire amusé en la voyant partir de l’autre côté de la fontaine. Cela ne devait pas l’empêcher de répondre à cette provocation, le moment venu, d’une manière tout-à-fait diabolique.

Après un tel affront, vous souhaitez que je parle de moi ? Et que voulez-vous savoir ? Prend un air pensif Rien en ce qui concerne mon physique je présume ? Quoique, je pourrais m'attacher à vous décrire mes mensurations ? Regard furtif porté vers ses braies accompagné d'un sourire taquin. Le juge pouvait être en certaines circonstances particulièrement provocateur... Hum...Sinon, ma foi, je me prénomme Alberic de Marsac, j'ai trente deux ans et je suis né dans le nord du royaume. Ah et je suis l'homme le plus modeste sur terre !
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Helena.
Helena fut assez surprise de sa réaction…il ne cherchait pas à lui rendre la monnaie de sa pièce. Mais à bien y réfléchir sa réaction n’était pas si surprenante quoiqu’ elle se rappelait très bien de cette soirée où pour l’impressionnée et parce qu’elle lui avait demandé et mis au défis, il avait sauté dans le lac glacé. Trop frileuse et surtout parce qu’il se connaissait pas et donc que cela aurait été vraiment des plus incorrect, la jeune brunette ne l’avait pas rejoint dans cette folie. Tout cela pour dire que parfois le juge royal était aussi plein de surprise et pas forcément calme. Leur première rencontre avait marqué la jeune femme. Elle n’oublierait pas de sitôt cette fameuse soirée.

Elle sentait son regard perçant glisser en une caresse sur elle. Deux simples mots avaient quitté les lèvres du Seigneur. Elle lui lança un regard qui voulait tout dire et qu’elle avait oui oser l’éclabousser sans aucun scrupule.

Et voilà qu’il se mettait à parler de mensuration et pas n'importe lesquelles!! Helena ne put s’empêcher de suivre le regard du blond vers ses braies. Ses joues se tintèrent d’un rouge vermeil et quelques balbutiements sortirent des lèvres de la jeune femme. Elle se retourna prestement confuse, mal à l'aise...lui tournant le dos dans un bruissement de robe.


Messire voyons !!!!! A mon tour je vais être obligée de vous dire comment osez-vous !!

Ne bougeant pas un sourire se dessina sur son visage quand il commença de parler de lui…Elle se sentait bien en sa présence. Elle ne pouvait l’expliquer mais qu’il soit là l’apaisait et lui faisait du bien. Elle éclata de rire lorsqu’il affirma être l’homme le plus modeste

.
Mais dites-moi pourquoi être parti de Normandie ?

Et oui elle savait qu’il venait de là-bas et c’était tout un mystère qui l’entourait et qu'elle voulait percer. Elle voulait en savoir plus sur lui. Mais le soleil déclinait doucement à l’horizon. Dans peu de temps ils allaient devoir retour dans la demeure de la jeune femme…

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Alberic
"J'ose ! Et vous ne pouvez rien faire contre cela." Prend un air pensif "Je pourrais me montrer très descriptif vous savez mais la bienséance m'impose une certaine retenue. "

Et voilà qu'elle lui posait la question à laquelle il n'avait guère envie de répondre. Tant de douleur, de doute, la Normandie avait certainement été le Duché qu'il avait le plus aimé et le plus détesté en même temps. Terre où se mêle à la fois la grandeur et la décadence. Terre où la haine des clans se mélange à la colère d'un peuple. La Normandie était tout cela à la fois. Le juge prit un air pensif avant de répondre à la jeune femme.

"Disons que parfois le désir de changer d'horizon est prégnant. Pour dire vrai, j'avais tout simplement besoin de m'évader, de voir autre chose loin de ce que fut ma vie. J'ai beaucoup donné à cette terre, jusqu'à mon âme. Elle ne m'a rien rendu en retour sinon le triste constat que la rumeur et le parjure sont souvent très présents".

Et tout en parlant le magistrat s'était approché de la jeune femme avec douceur car pour dire vrai, le seigneur était déjà las de s’exprimer. Prenant délicatement ses mains entre ses doigts, il l'enjoignit à venir contre lui dans un geste un peu osé. Il la regarda dans les yeux glissant sa main droite contre sa joue puis un doigt sur ses lèvres, imperceptiblement. Sa bouche s'approche de la sienne en un baiser très tendre qu'il prolonge le plus longtemps possible enlaçant son corps contre le sien.

"Vous trouvez toujours cela osé ?"
Sourire taquin
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Helena.
Et voilà qu’il devenait encore plus provocateur, précis sur la question de ses mensurations de ses parties intimes. Non mais il voulait quoi au final. A cet instant même la jeune femme aurait préféré être une petite souris qui aurait détalé pour rejoindre les profondeurs obscures d’un terrier d’un lapin peut être. Mais au lieu de s’arrêter il continuait sur le sujet mais heureusement il finit par se rappeler des règles de la bienséance.

Il semblait embarrassé par la question qu’elle venait de lui poser concernant ses origines normandes. Elle ne pouvait voir son visage et son expression comme elle lui tournait le dos mais le silence qui avait plané ne laissait aucun doute. La brunette avait posé la question qui ne fallait pas semblait-il. Il prit alors la parole pour lui répondre…sa réponse ne laissa pas la jeune femme insensible bien au contraire…à croire que tous les comtés et duchés étaient touchés par ce mal…Ses pensées se dirigèrent vers son Poitou… comté qui l’avait vu naître, comté pour lequel elle avait tout donné même sa vie au combat… La nostalgie emprunta le chemin de la jeune femme qui ne sentie pas les doigts du magistrat sur ses mains et cette pression qui l’entraina tout contre le corps de l’homme. Perdue dans ses pensées, la brunette ne résista pas se laissant aller contre lui.

Moment de tendresse tandis que l’esprit de la jeune Montoiron était ailleurs...bien loin…mais si proche également…une douce caresse sur sa joue ses lèvres comme si le vent venait chatouiller le visage de la demoiselle. Ses océans fermés, elle ne se rendait pas compte qu’il ne s’agissait pas du vent bien qu’il se soit levé et que par conséquent il faisait légèrement onduler les longs cheveux ébène d’Helena.

La douceur de lèvres posées sur les siennes réveilla la belle. Un doux goût qui ne laissait pas la demoiselle indifférente. Helena se recula d’un pas rapide rouvrant les yeux posant son regard sur le magistrat. Le sifflement d’une main sur la joue du magistrat se fit entendre. Comment avait-il pu oser l’embrasser ainsi…Ce n’était pas désagréable bien au contraire mais quand même. Action..réaction…

La main d’Helena venait d’atterrir sur la joue d’Albéric dans un claquement bien audible. Elle ouvrit la bouche puis la referma ne laissant sortir aucun son….

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--Opheliee


Cela faisait un certains temps que sa maitresse et l'homme fort bien habillé étaient parti dans les jardins de Montoiron.

Ophélie s’affairait dans les cuisines du château pour préparer ce que la Maitresse des lieux lui avaient demandé. Elle n'avait pas dit ce qu'elle voulait très explicitement mais les mots de celle-ci voulait tout dire.

La jeune paysanne fit chauffer de l'eau et prépara une assiette de petits biscuits qu'elle avait fait le matin même. Plein de variétés qui donnaient l'eau à la bouche. Voilà tout était fin prête. Il ne lui restait plus qu'à guetter l'arriver de la Montoiron et de son invité...


Fermé à la demande de l'auteur {Epicetou}
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