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[RP] Sus à l'Empire ! En avant!

Gyllaume
[ Armée dite du Lion de Juda - Quelque part ... qui va on ne sait où ... ]


Mais pourquoi Lea a choisis un nom pareil à cette armée ! Ha je vous jure les femmes faut toujours que ça en fasse trop !

En avant en avant toutes !

Quelques heures plus tard au lieu de rendez vous ...

Posez vous ici ! On repart d'ici quelques heures, essayez de vous reposer.

Il s’assoit à son tour récupère ses pigeons et lit les dernières nouvelles ...




Genève est tombé .


Ha le phare ... le brun n'y était allé que deux fois dans sa vie, mais cela eu été suffisant pour le convaincre de devenir réformé.
Pour tout ces frères mort au combat cette nuit même s'il n'approuvait pas toutes leurs actions il se mit à réciter la profession de foi réformé ...


    Je crois Deos Créateur du monde
    Depuis l’Enfer qui est sous l’onde
    Au paradis où volent les colombes
    La Réforme

    Il nous jugera à l’heure du trépas
    Sur nos actes et surtout notre Foi
    Son sourire déjà nous donne de la joie !
    La Réforme

    La Réforme, la Réforme
    Proclame Oane, ancêtre vénéré
    La Réforme, la Réforme
    Car de tous, il fut le premier.
    Il soupesa en sa chair, les belles vertus de l’Esprit
    Et l’essence de Deos, si Aimant, il comprit
    C’est la Réforme

    Aristote fut premier prophète
    Les lois divines, il décachète,
    Et cette sagesse, c’est vachement chouette
    C’est la Réforme !

    Christos a toujours voué sa vie
    À pointer l’chemin du Paradis
    Même si c’est pas toujours du sucre candi
    C’est la Réforme !

    La Réforme, la Réforme
    Averroès fut dernier prophète
    La Réforme, la Réforme
    Ce fut le dernier de cette belle brochette
    Vivr'au mieux ici-bas, comment savoir faire les choix ?
    Il nous l’a montré, entre émois et tournois !
    C’est la Réforme !

    La Réforme, la Réforme
    Si c’est un rêve, je veux rêver
    La Réforme, la Réforme
    Si c’est un rêve, je rêverai


In interrogations , réflexion ... quelle suite allait donner l'empereur à ce conflit ? Il avait pris Geneve, celà ne lui suffisait-il pas ? Il ouvre une autre missive,





Avoyere,

La neutralité, lorsqu'elle s'assimile à une simple déclaration de bonne intention, n'est que chimère malveillante.
Toute neutralité, pour avoir quelque crédit, nécessite d'être prouvée dans les faits ; à tous les échelons.

Deux requêtes ont été formulées à votre canton. D'une part, l'Empire exigeait le retrait de l'agrément helvète aux troupes genevoises ; troupes qui ont saccagé maintes et maintes fois notre territoire, sans être jamais punies.
D'autre part, l'Empire exigeait la destruction de l'armée commandée par les Lions de Juda, trouvant actuellement refuge à Sion. A l'instar des armées genevoises, ces brigands se sont rendus coupables de nombreux crimes et méfaits en Empire ; crimes et méfaits dont ils doivent légitimement répondre.

Deux requêtes justifiées par les outrages qui ont été portés et proférés à l'encontre de notre Grande Nation.
Deux requêtes légitimées par cet impératif sempiternel et élémentaire qui se nomme Justice.

Ces deux requêtes ont été sciemment ignorées et méconnues par votre gouvernement.
Ainsi, l'Empire qui était pourtant disposé à respecter votre souveraineté, et épargner vos habitants, prend note de votre complicité à l'égard des autorités criminelles de Genève ; et vous condamne par conséquent au même châtiment.

Que votre peuple innocent souffre de votre inconscience et irresponsabilité.
Les Fribourgeois mourront, parce que vous l'avez décidé.

Deo volente

Ludwig von Frayner





Aucun doute l'empereur voulait asservir l'Helvétie. Et après Genève ce sera Fribourg.

_________________
Maethor
[Dans la campagne]

Une mise en mouvement, il avait marché des heures pour finalement s'arrêter. Le temps était à la réflexion, l'équipement était prêt pour un assaut.
Les nouvelles de Genève furent mauvaises. Par chance, les impériaux stationnés à Fribourg avaient l'air plus sages. Pensaient-ils ne pas avoir assez de force pour l'emporter et par conséquent rechignaient ils à obéir à leur empereur...

Parlons-en de l'empereur, l'homme capable de fédérer les helvètes. Celui qui foule le sol de la Confédération sans en demander la permission. Même du temps de LJS, celui-ci ne s'était pas permis pareille offense. Il avait même accordé l'indépendance !


Maudits tous ces soudards venus s'amuser chez nous !

Tout avait basculé si rapidement, une arrivée dans le calme à Genève depuis Arles, une remontée vers Fribourg et tout qui sombre. Les envahisseurs bien tapis prêt à surgir, les menaces, les faux dialogues, leur satanée diplomatie que des foutaises.

L'empereur négocie avec des épées, il va le regretter, peu importe ce que nous subirons, jusqu'à la dernière goutte nous ferons saigner son domaine.

Et dans la colère, la rage, le De Furia aiguisa couteaux et lames de nouveau.

Me gâcher mon premier tournoi de Genève, je vais vous le faire payer, vous allez voir ce qu'un ancien cavalier de l'Ordre des Lames est encore capable de faire.

Empereur sans parole, tu ne vaux rien, nous avons pu constater toute ta bassesse, c'est dans ton propre sang que tu te noieras lorsqu'on se sera occupé de toi !


Il en avait saigné des hommes, bousculé des maréchaux en Rouergue, rencontré des patrouilles en Franche Comté, il tiendrait parole.
Un beau jour abandonnant la politique, les hautes sphères impériales, le genre d'endroits réunissant des hommes cupides, avides, la lie de la société en réalité, il avait traversé les royaumes avec pour seule protection sa lame.

Plus de maître, cet aristolécien modéré, critique envers son Église avait de tout temps défendu les peuples pour sauvegarder leur liberté. Il se mit à genoux et pria silencieusement, se libérant de sa rage. Son épée, si le Très Haut le voulait, bientôt s'abreuverait du sang des impériaux.

_________________
Gaia
Gyllaume, si déjà vous citez mes courriers, faudrait mettre la date pour ne pas confondre les informations et le peuple.
L'empéreur avait envoyé ce courrier hier ! avant de prendre Genève !
Et voici ma reponse de cette nuit, vers minuit, avant la prise de Genève :



Gaia a écrit:

Et la reponse de l'avoyère en colère à l'empéreur :
Citation:
Excellence,

il me semble que vous n'aviez rien compris de notre système,
je suis avoyère de Fribourg et pas chancelière dudit conseil confédéral dont je ne fais pas partie., et je n'ai aucun pouvoir pour dicter quoi que ce soit au conseil. Nous avons 6 cantons, et si on laisse Genève, 5 cantons qui ont leur mot à dire.

Je me soucis uniquement pour ma ville et mes citoyens, mais on peut non plus se laisser envahir par l'empire qui essaie à nous octroyer ses lois !
Vous avez voulu une guerre avec Genève ? Allez donc à Genève et laissez les innocents cantons en paix !

Si vous attaquez Fribourg et le conseil, et pas uniquement Genève comme vous avez essayer de faire comprendre aux helvètes, on considère que vous vous déclarez la guerre donc à toute l'Helvétie.


Gaia
Avoyère, légitimement élue pour le canton de Fribourg


_________________
Avoyère de Fribourg - Ancienne Chancelière des Helvètes / Ehem. Kanzlerin Helvetiens - II.Amirale Helvète
Aelig
[Fribourg, le 28 avril de l'an de Grâce 1461. Nuages épars. ]

-Aux remparts !

Pour l'Helvétie !


Qu'avait hurlé le capitaine fribourgeois la veille, à peine sortaient-ils du bureau du recrutement. Avec Michel, on chômait pas : tout juste arrivés, déjà en poste. Parcequ'on était pas venu pour égrainer les épis de maïs non plus.

Une fois sur le chemin de ronde, entre la porte de Berne et la tour des chats, Aelig régla quelques derniers détails.

-Maria ! Enlève ta culotte, je retrouve plus notre bannière ! Celle de l'armée du Bonheur.

- Barth' ! Barth' ! t'es prêt ?

Je vais faire attention à ne pas tomber, rassure toi. Je reste concentré et je te suis. Parceque plus dans la lune que Barth', on avait pas encore trouvé.

- Parfait !

- Euh...Petite question bête : c'est la guerre entre qui et qui ? dit -il ingénu.

- Oh là là, Barth ! T'es pas fou de dire des trucs comme ça ! Tu vas nous mettre la honte ! Non mais faut vraiment que tu sortes de chez toi un jour ! T'es pas un peu d' fond d' vallée de Glaris ou de l'Appenzell dès fois ?

Ainsi nos compagnons, qu'avaient recruté en dernière minute un fribourgeois, un drôle qui faisait des trucs bizarres avec son doigt, pour remplacer l'Raoul qu'était en plein entretien avec Déos, adoptèrent la formation chien de faïence ou plutôt le premier qui bouge, il est mort. Et toute la nuit, il scrutèrent l'obscurité afin de guetter tout mouvement suspect de l'armée en face...

Citation:
Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé l'armée "Alba stella " dirigée par Ollowain27, l'armée "Caeruleus Stella" dirigée par Lestad, et les défenseurs de Fribourg.


Citation:
Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé l'armée "Caeruleus Stella" dirigée par Lestad, les défenseurs de Fribourg, et l'armée "Alba stella " dirigée par Ollowain27.


- Vous avez remarqué? Ils ne sont pas passés dans le même ordre la deuxième fois. J'ai l'oeil !

- Barth', tais toi !

- Tais toi Barth' !


...Tout en partageant une bouteille de schnaps que le Benedict avait piqué à la cantoche de l'armée teutonne durant son stage d'intégration. Avions même du jambon de la forêt noire, n'étions pas les plus malheureux dans l'histoire.

Et au petit matin, ce fut finalement un oiseau de mauvaise augure qui vint troubler la quiétude et propager la rumeur jusqu'en haut des remparts de sa triste nouvelle :

Citation:
Genève est tombé .


Aelig, sans montrer la moindre affectation et sans un mot, sortit de sa besace le vieux cor des Alpes, dont il se servait à l'occasion pour signifier sa présence, ce qui généralement entrainait une réaction fortement reprobatrice de son auditoire, et pinça l'extrémité de l'instrument avec ses lèvres.

PFFF...

- Dis donc, c'est la première fois que j'entends sortir une mélodie de cet instrument de torture. Dit notre castillane étonnée et qui s'y connaissait en castagnettes et autres instruments qui vous percute les esgourdes.

- C'est l'ebotion Maria, l'ebotion.
_________________
Leamence
[Sur les Chemins]

Oh la journée de Merdum !

Genève est tombée, tout le monde est bon pour le pieux pendant une lune et demi. Groumpf... Ce n'est pas la première fois que le Phare tombe, et sans aucun doute pas la dernière. Mais là quand même, Magrab dans le fauteuil d'Avoyer, ça pique un peu. Heureusement que Roi-Lézard n'est plus là pour voir ça.


Mais point le temps de s’apitoyer, la priorité maintenant, c'est la défense de Fribernboug, le château. Stratégie à gauche, stratégie à droite, tout doit être pesé.

Quand soudain, une Colombe blanche se pose, avec un petit collier Estampillé Fatum. Très classe la Colombe.

Le Capitaine de l'Armée du Lion de Juda voit son visage s'éclairer, au fil des mots. Tonic écrit à l'Empereur



Sire Von Frayner,

Je vous écris au nom de l'Alliance Fatum, présentement maitre de l'éphémère Régence de Bourgogne, afin de vous faire une proposition.
Sachez que sans réponse au delà de 36H, du fait de l'urgence de nos intérêts stratégiques, cette missive n'aura plus aucune valeur.

Nous savons bien entendu pourquoi, peu après notre départ (et ça vous fait une centaine de soldats en moins à combattre, c'est bien joué), vous vous en prenez à Genève et à l'Helvétie. L'une de vos motivations premières est le retrait des agréments des armées Fatum et Eldorado. En croyant diviser ainsi les helvètes, vous les avez unis plus que jamais contre vous, mettant fin à toute chance de voir un jour l'Helvétie repousser les choix de Genève.

Helvétie est mal en point, nous le savons aussi. J'ai proposé des concessions à mettre sur la table, mais Genève ne souhaite pas négocier. J'en viens donc à vous directement, au nom de Fatum seulement.
Notre mission hors des frontières helvètes est désormais terminée. Nous sommes malgré tout plus nombreux et mieux armés que jamais dans nos armées, prêts à en découdre sur les nombreuses possibilités qui nous sont encore ouvertes.
Nous nous inquiétons néanmoins pour l'Helvétie. Aussi, j'en viens à notre proposition. Si vous consentez à stopper toute agression contre la cité réformée et la confédération, nous dissoudrons aussitôt nos armées, à la condition d'être assurés d'une reconduction pacifique de l'ensemble de nos compagnons vers la frontière helvète.

Fatum n'a commis aucune exaction grave en terre impériale. Les quelques morts d'innocents lorrains ont été largement compensés par le meurtre de sang froid de nos compagnons pacifiquement égarés en Franche Comté, par lequel nous avons répondu par la prise de Lörrach et de Pontarlier. Bref, vous connaissez le cercle vicieux dans lequel ce cycle nous entraine, qui ne mènera à rien. Fatum a toujours vécu sur les routes, sans attache. Nous n'avons pas de quoi combattre seuls tout un Empire, et vous n'avez pas la capacité physique de dissoudre notre Alliance. Toucher notre armée n'affecte en rien Fatum et sa capacité d'action.

Je vous sais fortement agacé par l'aventure Lorraine, mais je sais aussi que vous savez faire fi des conflits antérieurs pour le bien de votre Empire. Vous l'avez montré avec les écorcheurs, à moins qu'il ne s'agisse là encore pour vous d'une vengeance personnelle à l'égard de Fatum.

Nous n'avons jamais caché notre profond désir de nous entendre avec l'Empire, je pense qu'il nous sera possible de conclure un accord de non agression, et pourquoi pas de libre passage voir d'association. C'est dans l'intérêt de chacun, la guerre n'a jamais apporté de victoire de long terme.

En attente de votre réponse,
Respectueusement,
Tonic


Voilà qui apporte un nouvel élément, de taille.

_________________
Aurea
    La cambrousse helvète, c'est chouette !
    La montagne, ça vous gagne !



Quand un Sédunois carapaçonné rencontre un paysans sédunois qui travaille dans son champs, ça donne à peu près ça.


- Alors comme ça, vous vous battez dans la forêt de Sion...
- On se bat, on se bat, c'est plutôt qu'on est comme une espèce de poste avancé, quoi. Dans le cas que... comprenez, une supposition, que les impériaux reculent, crac, on est là!
- Pour les empêcher de reculer...
- Non, pour euh..., la t'naille quoi.
- La t'naille, oui... Je vous demande ça parce que, aux dernières nouvelles, les Impériaux sont déjà 30 noeuds à l'ouest de Lausanne.
- Tiens, oh dites-donc, ils foncent, hein.
- Ils foncent, oui. Alors si je comprends bien, vous êtes 30 noeuds derrière les Impériaux, à attendre qu'ils reviennent, en somme.
- Voilà! Enfin, voilà... pour l'instant. On va pas attendre des années, évidemment.
- Je m'en doute. Surtout qu'ils peuvent reculer par un autre chemin...
- Eh oui!
- Déjà qu'ils sont pas passés par là pour descendre, on voit pas pourquoi ils passeraient par là pour remonter...
- Oh ça, vous savez, quand on recule... Moi je suis redescendu du front par le centre et à pied. Et j'y étais monté par l'est et à cheval. Et en chantant.
- Bien sur. Et vous êtes combien à faire euh... la t'naille ?
- Trois ! Enfin trois euh plus euh... Léa, Maethor... neuf. Mais dites donc, vous êtes bien curieux on dirait.
*






Pendant ce temps là, en tête de la troupe, on se prépare mentalement, on se soutient moralement...

♪♫♪ Un jour en coloniiiiiie ♪♪♫ la siiiiii la sooool ♫♫♪ un jour en colonie la si la soool fa mi !
♫♪♫ On sautait sur les liiiiiits ♫♫ la siiiiii la sooool ♫♪♪ on sautait sur les lits la si la soool fa mi ! ♫
♪♪♫ Le vieil empereur arriiiiive ♫♫♪ la siiiiii la sooool Le vieil empereur arrive la si la soool fa mi ! ♫♪
♫♪ Qu'est-ce que vous faites iciiiiii ♪♫ la siiiiii la sooool ♫♪♪ qu'est-ce que vous faites ici la si la soool fa mi ! ♪
♫♫♪ On fait tout ce qu'on veeeuuut ♪♪ la siiiiii la sooool ♫♫♪ On fait tout ce qu'on veut la si la soool fa mi ! ♪♫
♪♫♪ Ici c'est nous les roooiiiis ♪♫ la siiiiii la sooool ♫♪ ici c'est nous les roooiiiis la si la soool fa mi ! ♪♫

Arrête net de l'une des deux chanteuse du dimanche.

Aaahh Léa ! Léa ! Celle là, tu la connais ?

♪♫ Yéyé les copains c'est demain qu'on fait la maaaalleuh♫♫♪
♫ Yéyé les copains c'est demain qu'on fait la guerre ! ♫
♪ A bas le vieil empereur ♪♪
♫♪ Espece de sale menteur ♪♫♪
♪ Qui dit a nos voisins qu'on est des emmerdeurs ! ♫♪






* Honteusement pompé (même pas honte d'abord !) d'un chef d’œuvre du cinéma de guerre : la Septième Compagnie.
Atomlik
[Les fagots sont prêts, sont secs.]

Prendre l'Helvétie c'était devenu facile. Cette fois ci la tactique consistait à prendre un bouc émissaire, Genève, d'amadouer les avoyers pour qu'ils s'allient à leurs opinions sur les agissements de Genève, puis d'envoyer assez d'hommes pour la prendre.
Tandis que de l'autre côté, envoyer assez d'homme à Fribourg, pour prendre la capitale, le contrôle.

Le tout avait été savamment orchestré dès leur entrée sur les terres indépendantes, en exigeant une chose impossible. Celà leur faciliterait la tâche.

Pour finir, avant l'assaut, et après en avoir eu fini avec le martelage aux avoyers, voilà-t-il pas qu'ils allaient commencer le lavage de cerveau.
Helvète après helvète.

Le rattachement allait sans doute mieux se passer selon eux ...


Citation:
Expéditeur : Yliana
Date d'envoi : 28/04/1461 - 21:00:56
Titre : information

Fribourgeois !!

Je suis le Vice-Maréchal White (White IG), je dirige actuellement les opérations militaires pour l'Empire. Je vous écris pour clarifier la situation sur le sol Confédéral, certains avoyers manipulateurs déformants volontairement nos intentions !

Le présent conflit concerne Genève et UNIQUEMENT Genève. L�Empire n'a absolument aucune intention hostile contre les six (6) autres cantons!

Depuis des mois, Genève pille nos villes, attaque nos duchés et coule nos bateaux. C'est notre peuple qui est attaqué, ce sont nos familles qui souffrent ! Cette situation a été tolérée par l'Empire et ses provinces depuis trop longtemps et ne sera plus jamais tolérée !

Outre Genève, les armées de criminels et autres racailles du Fatum et de l'Eldorado ont été agrémentées par la Confédération Helvétique, sur demande de Genève. Hors, votre Conseil Confédéral refuse de retirer les étendards Helvètes de ces armées qui attaquent en ce moment la Bourgogne.

Cette prise de position est absolument intolérable ! L�Empire accepte l'indépendance des Cantons mais ne peut simplement pas tolérer que des armées agrémenté par la Confédération Helvétique attaquent son territoire ou celui de ses alliés !

L'affaire est donc simple : puisque la Confédération refuse sciemment d'accéder à notre demande légitime concernant le retrait de ces agréments, elle nous contraint à prendre Fribourg et son château afin de le faire par nous-même.

Fribourgeois, soyez conscients que nous n'avons aucune intention belliciste à votre égard, mais la Confédération ne nous laisse pas d'autre choix!!! Elle est prêt à sacrifier votre ville et faire couler votre sang, tout cela dans quel intérêt ? Celui de Genève ? Celui du Fatum et de l'Eldorado qui sont en train de piller la Bourgogne?

Maintenant, vous voici informé de la situation réelle! Lorsqu'on vous demandera de monter aux remparts de votre ville pour nous affronter, demandez-vous pourquoi!

Perdre sa vie dans une bataille perdue en défendant sa patrie... oui
Perdre sa vie dans une bataille perdue en défendant des criminelles... À vous de savoir!
par :

Yliana de catenei
porte parole

pour:
White de Tiallaz
Général de l'armée des Septs
Aide de camp des armées du Roi
Vice-Maréchal Impérial


Lavage raté en ce qui concernait Atomlik. Quand ils se feront égorgés dans quelques jours, quelques mois, quelques années, un pour tous, tous pour un, faudra leur murmurer.
Sanctus.
J'offre 500 écus à qui me ramènera les oreilles et la queue de ce White ! C'est pour faire un ragoût pour donner à Popol, le chien du Borgne !
Va falloir lui apprendre que "sept" est invariable, tout comme ma détermination à lui botter le cul. A-t-il oublié l'adage "à vaincre sans péril on triomphe sans gloire" ?

_________________
Le Vieux Lion.
Appolinne
A Sion, après un mauvais timing, en retard pour la balade...


Notre gamine, elle était pas bien futée, mais elle avait des idées bien posées.
Et dans sa tête, les derniers événements c'était passé ainsi...


Avant d'commencer, G'nève, l'a organisé un grand tournoi pour n'avoir plein d'gens sur place. Pi z'ont commencé à provoquer les voisins. Les voisins c'sont échauffés, réchauffés, surchauffés, et sont viendus. En avance pour l'tournoi. Elle, de son côté, elle était en retard. Elle n'était qu'en Savoy quand la guerre avait éclaté. Pi après, comme n'y avait plein d'armées... Elle avait été contrainte et forcée de changer d'objectif. Elle voulait donc faire le tour du lac Leman. On lui avait dit ''les lacs de montagne, c'est magnifique''. Et comme la mer du Sud était toute à pô bouger, d'peur d'réveiller les poiscailles. Elle voulait comparer avec un lac. Elle était arrivée à Sion pour aller voir le lac. Seulement là :

Z'êt' en guerre aussi?
Non pas ici. Mais les armées ont conseillées de rester en ville.
...
Bah en tout cas, faut pô avoir faim ici
Ah non, mais c'était pour l'armée
J'pô vu d'armée
Celle qui était là hier, vous verrez demain le marché sera de nouveau rempli

Et paf! Mauvais timing! Une fois de plus! La voilà coincée à Sion. Obligée de stagner là, et elle détestait stagner. Elle était comme l'eau des marais, stagnante, elle devenait nauséeuse. Elle avait tout râtée. Le tournoi, le lac, la balade en armée, les soldats musclés prêts à payer à boire avant la bataille pour oublier où ils allaient. C'est donc du haut des remparts de la ville qu'elle tentait d'apercevoir... mais apercevoir quoi exactement?
_________________
Arsenyk_dentelle
Aux remparts de Fribourg

Elle courrait le long de la forêt, enjambant rivières et rus qui sautillaient de joie à l’arrivée timide de ce printemps. Elle avait promis d’arriver coûte que coûte les rejoindre. Son cœur battait la chamade à force de presser le pas, la solitaire Arlésienne avait pour habitude de ne jamais se presser et était du genre aquoiboniste, sauf quand quelque chose lui tenait à cœur.
Forte des promesses en l’air faites par leditWhite de Tiallaz de ne s’en prendre qu’à Genève, ce bout de chemin ne serait qu’un éclat de rire, presque une promenade de santé…. Sauf que des bruits étranges venus de fourrés et là :

Sus ! Taillaut! Hardi !

une armada lui tombe dessus, soufflant crachant tel un chat sauvage - elle n’allait pas se laisser avoir par ces sans rien dans les braies,


Citation:

29/04/1461 04:16 : Votre bouclier a été détruit.
29/04/1461 04:16 : Votre arme a été détruite.
29/04/1461 04:16 : Swissgirl78 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Ellasar vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Rabi_de_granezia vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Feenstaub vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Dilara_oliver vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Baria vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Babbs_von_wanyan vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Thymo_von_koschebor vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Rabi_de_granezia vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Rabi_de_granezia vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Artica68 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Kalypso69 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Swissgirl78 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Liandris vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Ollowain27 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Ellasar vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Liandris vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Swissgirl78 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Amitola vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Bosque vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
29/04/1461 04:16 : Ellandro vous a porté un coup d'épée. Vous avez été secoué, mais vous n'êtes pas blessé.
29/04/1461 04:16 : Vous avez été attaqué par l'armée "Alba stella " dirigée par Ollowain27.


C’est la mort qui m’a assassinée.

Pauvre chef d'armée, tes troupes ne t'obéissent même pas, méfie toi d'elles et elle lâcha prise, se sentit monter haut, très haut en souriant, cru entendre Mae l’appeler et plus rien

Citation:

Expéditeur : Jean_louis
Date d'envoi : 29/04/1461 - 08:43:34
Titre : mort
z'etes cané hihihi!!!




Citation:

Expéditeur : Arsenyk_dentelle
Date d’envoi : 29/04/1461

oui et dommage parce que je n'étais qu'une passante. Je viens de Arles et j'avais besoin de passer.
Mais merci pour votre amabilité et votre réjouissance.
Au plaisir de vous croiser,
Excellente journée que votre âme soit d ores et déjà purifiée.

A.
[/quote]
_________________
Leamence
[Sur les Chemins]

Léa chantonne en coeur avec Aurea. En fait, c'est la première fois qu'elle chante. Dans la Forêt du Lion de Juda, ça ne rigolait pas. C'était austère, dépouillé, pieux. La nouvelle expérience gutturale est grisante.

Puis les heures passent, et tout ceux qui ont eu à diriger de troupes, savent que parfois...c'est dur. Très dur. Et que l'envie de mettre ses propres soldats en liste des persona non grata, et de le virer de l'armée pour les occire les uns après les autres..c'est bien naturel.

Aurea est dans un de ses moments là, court, mais intense. Pour la réconforter, Léa lui montre la copie d'un parchemin, envoyé à l'équipage de l'Al Saif Al Assad, il y'a une lune environ



A Germaine, Zarathoustra, Gillan, Lastreaumont, équipage
A Vignolles et Kirkwood, trouffions.

Cher Equipage,

J’espère que tout se passe bien, et que vous avez trouvé un hamac confortable sur le Pont de la Caraque. Avez-vous enfin de la bière et pitance au Mess ? Je vous le souhaite, car sinon vous risquer de vous dessécher et crever sur place, comme des vers de terre au soleil.

La faute à qui ? je vais vous le dire moi. D’habitude je balance pas, mais là c’est un tel florilèges de boulets que j’ai besoin d’extérioriser.

Le boulet de bronze est attribué à Philodendron. Il est tombé du Pont hier, et tente de remonter par la coque. Soyez charitable, envoyez lui une corde. (clic intempestif sur débarquer)

Le boulet d’argent est attribué à Roi-Lezard, Capitaine de l’Armée des Bandes Noires, qui est encore dans le patio intérieur de la Cantonerie. L’iguane n’avait pas assez mangé d’insectes, et il s’en rend compte à 1 jour du départ. Les insectes sont tous partis se planquer on ne sait où, surement dans la barbe de Gutemberg. (pas assez de PEA en stock et personne n’a postulé à l’annonce).

Le boulet d’or. Je vous le mets dans le mille ! Cendres. Celui qui devrait prendre la barre de la caraque ! Donc Cendres s’est auto-enfermé dans son champ ce matin. (clic sur travailler plutôt qu’embaucher). Oui bel équipage, il a fait ça…

Sans Capitaine d’Armée, ni Capitaine de Navire, il ne vous reste plus qu’à faire une crapette, tout en pêchant par-dessus bord. Pour ceux qui sont troufions dans l’Armée, il suffit de continuer à me suivre à tourner en rond dans la cour de l’Avoyerie. A la queue leuuuuu leuuuuuuu.

D’autres passagers vous rejoindrons ce jour, merci de leur faire visiter les locaux, et de les informer sur les consignes de sécurité, et de leur indiquer les points de rassemblement.

Que le Très Haut me fasse garder patience,

Léa
Remontée comme un Coucou Suisse


- Tu vois Aurea, c'est toujours comme ça.
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Shabat
[29/04/1461: sur le chemin de Genève]

Il savait pour la guerre qui se préparait contre Genève mais avait pas pensé que l'attaque c'était pour le jour de son arrivée. Retardé comme toujours par sa louve qui traine avec son louveteau.. Il entendait de loin l'éclat du fer, les cris de douleur, les cris d’exaltation... la fumée qui emplissait l'air ambiant et arrivait jusqu'à ses narines. Il était pas difficile pour un homme aguerri comme lui de comprendre que c'était la bataille sur les murs de la ville de Genève....
Il fit un signe à sa louve de le suivre.. Il connaissait déjà Genève et savait comment passer sans être inquiété. Il cacha ses armes dans ses bagages pour pas attirer l'attention sur eux et fila du coté du lac Leman vers une brèche dans cette forteresse... et c'est ainsi qu'il put arriver dans la ville saint et sauf lui et les siens... pour ne pas perdre le mythe de Zabatan l’inébranlable.
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Aurea
Lundi morose, c'est pas le lundi au soleil. Gros coup de blues, pas la grande forme, tout ça tout ça. Et c'est sans grande conviction que plus tard Aurea se faufile à travers les arbres, sans bruit. Ou du moins sans trop de bruit. Elle ne pense même pas à vérifier que les autres la suivent. Ses pensées sont ailleurs, au fond d'un trou qu'elle s'amuse elle même à bien reboucher. Et quand elle se retrouve à bonne distance du gars repéré plus tôt dans la journée et qui parle l'accent genevois comme une vache teutonne, elle pose son épée contre un arbre -un jour elle lui trouvera bien une utilité- et, bouclier bien agrippé par les deux mains sur le rebords, la voila qui sort à toute allure du couvert de la forêt.
Le gugus n'a pas le temps de réagir que le bouclier vient s'écraser une première fois sur son crane.

SCHBONG !

Dans l'euphorie de l'action, elle enchaine rapidement d'un second coup tout aussi fort que le premier.

RESCHBONG !

L'homme s'écroule au sol. Elle le regarde de haut, et lui trouvant une tête qui lui revient pas, elle le termine d'un dernier coup de bouclier. Hop, emballé c'est pesé. Retour à l'envoyeur.
Pas même une pensée pour son sort à elle, qu'elle vient surement de sceller par trois coups bien donnés sur une tête impériale.


Gninhinhin...

Après le coup de mou donc, le coup dans sa gueule.

Citation:
30/04/1461 04:12 : Vous avez frappé Rainald_von_geldern. Ce coup l'a probablement tué.
30/04/1461 04:12 : Vous avez frappé Rainald_von_geldern. Ce coup l'a probablement tué.
30/04/1461 04:12 : Vous avez frappé Rainald_von_geldern. Ce coup l'a probablement tué.
30/04/1461 04:12 : Vous avez engagé le combat contre Rainald_von_geldern.
Maethor
[29 avril, dans la campagne]

Attente des ordres, on y va, on y va pas, on va là, on va là bas. Le maraudeur patientait tranquillement. L'épée le démangeait, mais il fallait savoir prendre le temps.
Un regard au sud et il comprit que dans trois jours les impériaux renforceraient les assiégeants autour de la capitale.

On se redéploie ! Zou, il prend son coursier, embrigade un homme et c'est parti, on décampe. Qu'est qu'il aurait pas donné pour leur foncer dessus et massacrer quelques envahisseurs...


[30 avril]

We are a live ! Siamo in vità ! Nous sommes en vie ! Le pigeon avait été envoyé à la capitaine, il attendrait de nouveau les ordres.
Énième destination, il aurait au moins l'occasion de s'occuper de la blessée. Genève c'était pas pour demain, ni après demain. Tout avait si bien commencé du reste, bateau, escorte et là il piétinait pour les quelques lieues à parcourir.
Entre lui et son objectif, une armée, des armées de glandus venus pour faire leur loy.

Chassant ses mauvaises pensées et calmant la rage naissante, il prit le parti de chercher Arsenyk. La pauvre, elle avait dû déguster. Une main à sa besace, ouf il avait encore ses onguents.

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Maria_paz
[Fribourg toujours l'armée, tu verras bien si elle est enceinte de la ville]

- Et Raoul ? T’as des nouvelles ?

Demanda Maria tout en examinant ses ongles en deuil. Tu parles ! Elle avait bon dos la méditation … devait plutôt être sous hypnose recouvert des jupons de bergères en folie.
A l’abri du vent et bien planqués, les tourtereaux ambulleurs s’étaient fendus d’un créneau en marche arrière histoire de se soustraire aux regards indiscrets tandis que ce ronfleur de Barth, avachi un peu plus loin le cul calé dans une meurtrière, fricotait à midi trépassé avec une grâce mâtinée poilue qu’il appelait dans son sommeil du doux nom de Benedict.
Benedict ? On lui en avait parlé au Barth, mais il n'avait pas le souvenir d'une rencontre.
Benedict ? Lui avait répondu Maria avec un sourire de faussaire, c’est ta future fiancée.


- Maria ! Enlève ta culotte, je retrouve plus notre bannière ! Celle de l'armée du Bonheur.

Pour tuer le temps et l’attente, il fallait bien s’occuper les mains. Alors ils avaient repris leurs travaux de ravaudage, faisaient l’inventaire des boutons dorés et des boutons de rose, effleurement du bouton pression par le bouton poussoir en passant par le bouton de fièvre, fignolage des boutonnières avec sensualité et une précision d’orfèvre.

Plus tard dans la soirée, au sortir de la longue sieste coquine, Maria brandit victorieusement son œuvre.


- Je crois que cette copie ferait pâlir la version originale. Vise un peu mi cabellero !



Un nuage estompa furtivement son regard.

- En tous cas, si on s’prend une dérouillée et qu’on nous éparpille, qu’on nous disperse, tu sauras au moins comment me retrouver !
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