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[RP] Armées aux portes de Genève

Lavava
Armée de Savoie du Général White, ligne des archers

La dame avait pu se poser enfin quelques instants quand un messager était venu avertir les archers. Un parchemin donné aux officiers, et un cri de rassemblement plus tard, tous étaient prêt au combat. Carquois rempli à bloc, aide de camps au côté de la dame, épée et dagues à la ceinture. La nuit promettait d'être longue...

La blonde avait user plusieurs carquois, Ses bras lui faisaient mal. Elle se faisait peut-être vieille ou n'était-elle bonne qu'au lancé du chat... Quand bien même, les tirs successifs des archers avaient sûrement déstabilisé l'adversaire pour permettre à d'autres d'engager le combat au corps à corps.

Elle avait vu l'armée de Margab, s'engouffrer dans la cité. Thornton devait être dans le flot humain qui se déversait intra muros Avoir toujours un oeil sur ses proche, elle ne voulait pas que son fils grandisse sans son père. Elle redoubla donc d'effort. Point de douleur quand on défend un être cher. Pourtant elle savait qu'il connaissait son sujet le Thornton !


Et puis le calme était un peu revenu hors des murs, quand le jour pointa son nez. Un peu de répit. Partout les infirmiers s'occupaient des blessés. La blonde parcourut le camps aidant de si de là. Elle croisa Chartres. Le sang sur sa lame présageait qu'elle avait fait mouche.
Luc_la_misere
Armée des Bandes Noires sur les remparts

L'assaut avait été lancé les échelles étaient déployées et les premiers Império-papiste arrivaient pour se prendre une belle raclée. Les coups pleuvaient dans tous les sens quand il aperçut l'enmitrée la fourbe honorine la mal nommée que Déos lui fasse pousser des poils sur les dents.
Citation:

27/04/1461 04:11 : Vous avez été attaqué par l'armée "Gladiustorum" dirigée par Diepold et l'armée "L'armée des Septs" dirigée par White.


Un bref échange de passes d'arme et le sicaire prit rapidement le dessus.
Citation:
27/04/1461 04:11 : Vous avez frappé *honorine*. Vous l'avez sérieusement blessé.


Il allait l'achever d'un coup de sica en priant pour que son âme se noie dans les flots de la montagne de la désolation, quand il se ravisa.

Vous êtes en état d'arrestation vous avez été condamné par contumace par la cour Souveraine de la République de Gen've.

Se tournant vers un des commis de l'intendance


Emmener moi cette usurpatrice du verbe de Déos dans les geôles.


M'sieur m'sieur y a les génois qui sont rentré par la porte de la tour Notwen.


T'en fait pas c'est normal on avait laissé la porte ouverte c'est une république Genova tout comme nous!
Et la perd pas en route cette harpie si elle tente quoi que ce soit pour s'évader tu la tue....quoique vu dans l'état dans lequel elle est elle va courir moins vite...
Allez file!


Un mauvais sourire se dessinait sur ses lèvres et il reparti a l'assaut en poussant sont cri de guerre.


IL N'EST DE DIEU QUE DEOS.........
LES VACHES ET LES MOUTONS D'ABORD!

_________________


Primus inter Pares du Lion de Juda jusqu’à la prochaine équinoxe.
Défaites vos idées toutes faites sur la réforme.
L'église parle de miracles la réforme en vit.
Nebuline
{ un peu plus tôt dans la soirée, en taverne}

Vont pas attaquer ce soir, je pense qu'on peut dormir.

C'est vicieux un savoyard, faut tenir la garde hein! Faut être prêt!!!

T'inquiète pas Nébu, il se regroupe, il vont nous faire attendre et nous sautez dessus d'un coup!

Mouai mouai, je me méfie que même...

[ ...]

{ Plus tard dans la soirée, remparts}

La nuit s'annonçait bien fraiche et la lune n'éclairait pas tant que ça. La Nébu retourne sur les remparts, elle a bu qu'un peu de gnôle ce soir, c'est pas joyeux.

Elle aperçoit sa naile tout près de son charmant, sourit en les voyant, c'est bien chou tout ça. Se demande encore où est Raya, dans une cave avec des rats peut être, elle doit pas être au courant de ce qui se passe. Ou peut être dans l'armée de camy, c'est pas le même secteur, elle ne la verra pas...


CSSSSSSSSSS GZOUMMMMMMMMM BAAMMMMMM BOUMMMM


La bataille commence, Nébu part sur le premier ennemie, l'esquive de justesse, elle est rouillée, mais se défend comme elle peut. Après quelques minutes elle se retrouve en face à face avec une savoyarde, elle contre son premier coup d'épée avec la sienne, se remet en garde, attaque à son tour, la savoyarde la bloque et renchérit avec un coup bien plus puissant qui brise l'épée de Nébu et la pourfend en plein ventre.

La moratoise genevoise sent l'épée glisser de son corps lentement, regarde son ennemie, lui sourit, puis son morceau d'épée et crache dessus avant de dire d'un souffle qui s'éteint
" Put**n de Forgeron".

Elle s'étale au sol, ses yeux se ferment, elle voit trouble de toute façon. La nuit est bien fraiche, la nuit est bien noire.
On l'appelle au loin, sa naile, elle s'approche et la déplace. Un peu de gnôle sur les lèvres, elle regarde sa Jéjé lui sourit tendrement.
J'ai besoin d'un bon somme ma puce...
Swan
      [Armée « Les Bandes Noires »]



La première nuit fut tranquille. A part l'envolé de chat et le jeté de pot de chambre, oui elle avait été tranquille ...

La deuxième nuit par contre, c'était autre chose ! De nouveau sur le rempart à observer les mouvements entre les créneaux, elle entendit les sifflements d'une volée de flèches qui venaient des « coyotes ». Elle eut juste le temps de se tourner dos contre la pierre pour éviter les flèches. Elle ferma les yeux, respira un bon coup, cette fois c'était la bonne.

Quelques Savoyards avaient réussi à entrer. Elle chercha son père du regard, mais ne le vit pas. Elle traversa tout le rempart en courant et dévala l'escalier qui menait à la porte où le combat faisait rage. Sortant son épée et se protégeant de son bouclier, elle donna des coups sans trop savoir où elle frappait. Elle cherchait son paternel et ne pas le voir faisait monter la pression.


P'paaaaaaaa !!!!!

Elle finit par le voir, il était en train de se battre comme un beau diable et elle fut soulagée de voir qu'il n'avait rien. Elle se concentra un peu plus sur ceux, qu'elle avait en face d'elle. Au levé du jour, elle n'avait rien, mais n'avait tué personne non plus ! Complètement vermoulu, elle partit se reposer un peu ....

*
*
27/04/1461 04:11 : Vous avez été attaqué par l'armée "Gladiustorum" dirigée par Diepold et l'armée "L'armée des Septs" dirigée par White.

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Amedee.le.lion
Cette nuit ayant précédé l'assaut des troupes impériales, le Capitaine des Bandes Noires avait intercepté des courriers ennemis, par la grâce de quelque complice. Les correspondances semblaient indiquer que l'attaque ne serait pas imminente. Mais le vieux chevalier avait peut-être mis trop facilement la main sur ces parchemins pour leur accorder trop de crédit, et commit une première erreur, en s'accordant un certain relâchement...

Et cette détente le conduisit finalement dans une taverne, en terrain neutre, dans laquelle il partagea un pot avec l'adversaire, accompagné de son logisticien Luc la Misère, de Musartine et Nébuline. Il avait retrouvé ainsi le Général White, son ancien compatriote désormais à la tête des armées de l'Empereur, ainsi que le Marquis Margab, son plus vieil ennemi, celui que le Lézard avait voulu pendre du temps des guerres ayant mis à feux et à sang la plaine du Pô. Ce fut la seconde erreur du Capitaine.

Ces pourparlers entre officiers n'avaient point pour but de ramener la paix, non, les deux camps n'étaient que trop résolus à s'affronter. Il s'agissait là pour le Montjoye d'une prise de température, une manière aussi de jouer cartes sur table, dans le respect et l'honneur. Car tout bien considéré, se battre à la loyale quand on jouait sa peau pouvait peut être contribuer au salut de l'âme dans la vie éternelle. Mais ici-bas, sur la terre des hommes, c'était le plus sûr moyen de mourir comme un idiot, avec six bons pouces d'acier dans le foie.

Entre les remémorations de souvenirs et autres taquineries, la rencontre se passa sans heurt, du moins le Huguenot le croyait-t'il. Mais dans un moment d'inattention, on versa quelque substance dans sa choppe. Montjoye ne s'en rendit pas immédiatement compte, mais il venait de se laisser empoisonner. Fourberie.

Citation:
Caractéristiques
Force 4(-198)


Les défenseurs du Phare de l'aristotélité étaient finalement remontés aux créneaux afin de cuver leur vin, son poison en ce qui concernait le Lézard, et surveiller les remparts. C'est là que l'affaire se gâta pour le Capitaine. Une douleur commençait à lui brûler les entrailles, et c'est en cet instant qu'il comprit qu'il était déjà mort. Ravalant sa colère, lorsque sonna l'assaut impérialo-papiste, il ne lui restait plus qu'à se cramponner à sa bannière noire comme la nuit, et lancer une ultime harrangue à destination de ses frères d'arme. Sa voix était rauque, tandis qu'une écume mortelle lui montait aux lèvres.

" Combourgeois, mes frères. L'heure est venue de défendre votre cité contre l'envahisseur. Ce jour, beaucoup d'entre-nous vont mourir, mais il sera dit qu'ils auront combattu jusqu'à leur dernier souffle ! "

Visière de son haume relevée, son étendard dans une main et son épée dans l'autre, il ne restait qu'une seule chose à accomplir pour le Capitaine des Bandes Noires. Franchir ce dernier pas qui le séparait de l'au-delà, et donner l'exemple à tous ceux qui le suivraient jusqu'aux Enfers.

Citation:
27/04/1461 04:11 : Votre bouclier a été détruit.
27/04/1461 04:11 : Votre arme a été détruite.
27/04/1461 04:11 : Frodon3112 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
27/04/1461 04:11 : Vous avez été attaqué par l'armée "Gladiustorum" dirigée par Diepold et l'armée "L'armée des Septs" dirigée par White.


Ainsi disparut Raoul de Montjoye, dit le Roi-Lézard, premier homme à tomber sous les assauts de l'ennemi. Seul l'honneur était sauf, mais c'était déjà une petite victoire en soi. A sa suite, un autre brave allait relever la bannière et poursuivre la lutte.



( deux petites citations empruntées au capitaine Alatriste )
Yliana
Armée de White

Des jours et des nuits à attendre, même si Annecy était jolie ca commençait à bien faire. Les sabots de tête de mule commençaient à piétiner. Il avait tout mangé les maigre fleurs qui commençaient à pousser, l’herbe se faisait rare, il voulait aller voir ailleurs.
Les ordres étaient donnés, il fallait se rendre prés de Genève, elle prépara tête de mule, et la voila partie suivant l’armée, à la tête d’une petite troupe.

Arrivé aux portes de Genève, ils déposèrent leur camp, avant l’attaque le repos mérité, et puis la surveillance des remparts, et des armées.
La nuit porte conseil..

A l’aube les ordres étaient donnés, l’attaque fut fulgurante, sombre et terrifiante.

On entendait dans la nuit noire, le bruit des épées, les râlements des blessés et les cris de guerre des soldats,.

Un œil jeté à droite et gauche, yli frappait tout ce qui venait à elle. Non loin d’eux tête de mule broutait tranquillement. Il était heureux il avait trouvé de nouvelle fleur à manger.

Elle vit fleurette a terre, elle s’approcha d’elle, lui pinca les fesses, la vit bouger

Bien tu es toujours vivante, tu pourras encore nous servir,

Elle tourna la tête vers deux soldats

Emmenez la sous la tente, qu’on la soigne..

elle regarda si elle tous ses soldats etaient encore debout, sourit quand elle vit phil rouge de sang.

Un instant un bref instant d égarement et yli sentit une épée lui frôler l épaule, elle se retourna, d’un geste vif et fut surprise de se trouver nez a nez avec la bourrique. Un homme au sol assommé par les sabots de la bestiole.

Elle sourit, et s’approcha de tête de mule, lui flatta l’encolure et lui murmura rapidement,

Merci sans toi j’étais plus la pour te botter le c… aller retourne manger.

Sans un mot elle retourna au combat en hurlant a tue tête.

A cœur vaillant rien n’est impossble…

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Musartine
Etrange journée, étrange soirée.

Elle avait à peine dormi, elle en aurait été bien incapable. Le moment tant attendu arrivait, l'excitation des premiers combats la rendaient impatiente.
Les mouvements fluviaux lui rappelaient sa frustration de ne plus avoir de navire. Mortecouille ! cela ne pouvait durer.

Ne restait que les combats à terre, alors elle y serait, comme toujours.

Avant cela, soirée passée en taverne. Pas l'une de ces soirées que l'on passe à s'insulter vaillement. Pas l'une de ces soirées que l'on passe à faire ami-ami. Pas l'une de ces soirées que l'on passe à voir ce qu'a l'autre dans les tripes. Tout cela, on le sait déjà.
Juste une soirée, à discuter, se souvenir, faire semblant de se provoquer. Un air de respect dans ces relations ennemies.

L'Iguane voit ses verres servis par l'ennemi. Il y a un point positif : les écus rentrent ainsi dans l'avoyerie. L'Iguane semble ne pas réagir, il est même étrangement bien. Étonnant.

Après les paris d'usage, "on castagne ce soir vous croyez ?", il est enfin temps d'y aller.
Temps de scruter l'horizon, la nuit entière.
Temps d'entendre les canons siffler sur le Rhône.
Temps de voir le moulin subir ce qu'il subit à chaque guerre. Premier temps où elle le voit d'ailleurs.

Puis, enfin, les échelles sont accrochées aux créneaux.

Il est alors temps de repousser ces échelles, le plus souvent possible.
Temps de jeter les projectiles sur ceux qui montent, avant qu'ils ne montent trop.


Ca arrive cette eau bouillante ????? vous foutez quoi merdasse !?!?

Temps de sortir l'épée, et de trancher la chair qui se présente aux montées de créneaux.


27/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Alexei_kurtnov. Ce coup l'a blessé superficiellement.
27/04/1461 04:11 : Vous avez été attaqué par l'armée "Gladiustorum" dirigée par Diepold et l'armée "L'armée des Septs" dirigée par White.


Et maintenant ...

Temps que peu à peu les bruits s'apaisent, d'entendre le silence de plomb brisé par les cris de douleur des différents soldats.
Temps de jeter un coup d'oeil vers l'entrée de la ville.
Temps de sourire en coin, et de chercher Luc du regard, complice.
Temps d'afficher cet air insolent, espiègle, et fier, alors qu'elle le trouve du regard : ils sont entrés.


Armée "Order of the Nemesi-Semper Fidelis" commandée par Margab
L'armée est dans l'enceinte de la ville


Dans quelques heures, il sera temps de sentir l'odeur du sang emplir leurs narines.
Il sera temps de voir les charognards tourner en cercle au-dessus du champs de bataille.
Mais pas encore, bientôt.

Pour l'heure, les brancardiers s'affairent, et Muse va de suite se reposer quelques heures, trois ou quatre, guère plus, car elle a d'autres choses à régler. Maintenant. De suite.

Bienvenue au Phare. Découvrez sa Lumière. Avant qu'elle ne vous crève l'oeil.


**************************

Giornata strana, strana serata.

Aveva appena dormito, lei sarebbe stata capace. Il momento tanto atteso è arrivato, l'emozione delle prime battaglie rendeva impaziente.
Movimenti fluviali ricordato la sua frustrazione di non dover spedire. Mortecouille! non poteva durare.

Combattevano solo per terra, poi lo avrebbe fatto, come sempre.

Prima di allora, ieri sera in una taverna. Non una di queste notti che passiamo a insultare valorosamente. Non uno di questi partiti che andiamo a fare amicizia. Non uno di questi partiti che andiamo a vedere ciò che l'altro nelle budella. Tutto questo è già noto.
Solo una sera per discutere, ricordare, far finta di guidare. Un'aria di rispetto a queste relazioni ostili.

L'Iguana vede gli occhiali utilizzati dal nemico. Vi è un punto positivo: ECU così cadere nella avoyerie. L'Iguana sembra non reagire, è anche stranamente bene. Incredibile.

Dopo l'uso di Parigi, "Noi risse stasera pensi?", È finalmente il momento di andare.
Tempo a scrutare l'orizzonte, tutta la notte.
È ora di sentire il fischio pistole sul Rodano.
Il tempo di vedere il mulino riposare subisce ogni guerra. Prima volta che lo vede altrove.

Poi, finalmente, le scale sono attaccati agli slot.

E 'il momento di spingere queste scale, il più spesso possibile.
È ora di lanciare proiettili a chi va prima di salire troppo.


Accade che l'acqua bollente??? Cosa stai facendo merdasse??

momento di tirare fuori la spada e tagliare la carne che viene fornito con nicchie montate.


27/04/1461 04:11: Hai colpito Alexei_kurtnov. Questo colpo è stato superficialmente ferito.
 27/04/1461 04:11: è stato attaccato dall'esercito "Gladiustorum" condotto da Diepold e dell'esercito "Army of Seven", diretto da Bianca
.

E ora ...

Tempo gradualmente rumore placarsi, sentire il silenzio assordante rotto dalle grida di dolore di diversi soldati.
È ora di dare uno sguardo verso l'ingresso della città.
Tempo di sorridere e guardarlo Luc complice.
Visualizzazione del tempo questo insolente, giocoso, e fiero, come lei è l'occhio: hanno ottenuto
.

Army "Ordine della Nemesi-Semper Fidelis" controllato Margab
L'esercito è in città murata


In poche ore, è il momento di sentire l'odore del sangue riempie le narici.
Sarà il momento di vedere gli avvoltoi girano in cerchio sopra il campo di battaglia.
Ma non ancora, presto.

Per ora, i portatori sono occupati, e Muse saranno ora riposare per alcune ore, tre o quattro, non di più, perché ha altre cose da affrontare. Ora. Subito.

Benvenuti al Faro. Scopri la Luce. Prima che ti scoppia l'occhio.


*************************

seltsamer Tag, seltsame Abend.

Sie hatte kaum geschlafen, wäre sie nicht in der Lage gewesen. Die lang erwartete Augenblick gekommen, machte die Aufregung der ersten Schlachten ihr ungeduldig.
Riverine Bewegungen erinnerte sie Frustration nicht mit zu versenden. Mortecouille! konnte es nicht dauern.

Wurden nur kämpfen auf dem Boden, dann würde sie, wie immer.

Davor letzten Abend in einer Taverne. Nicht eine dieser Nächte, die wir passieren, um tapfer zu beleidigen. Nicht einer dieser Parteien, dass wir gehen, um Freunde zu finden. Nicht einer dieser Parteien, dass wir sehen, was die anderen in die Eingeweide gehen. All dies ist bereits bekannt.
Nur an einem Abend zu diskutieren, erinnern, so tun, als führen. Ein Hauch von Respekt in dieser feindlichen Beziehungen.

Die Iguana sieht seine Brille durch den Feind eingesetzt. Es ist ein positiver Punkt: ECU damit in die avoyerie fallen. Die Iguana scheint nicht zu reagieren, ist es sogar seltsam gut. Amazing.

Nach dem Einsatz von paris, "wir heute Abend Schlägereien Sie? Denken", Es ist endlich an der Zeit zu gehen.
Zeit bis zum Horizont, die ganze Nacht zu scannen.
Zeit, um die Waffen Pfeife auf der Rhone zu hören.
Zeit, um die Mühle zu sehen ertragen erfährt jeden Krieg. Zum ersten Mal sieht sie ihn an anderer Stelle.

Dann endlich werden die Skalen zu den Schlitzen angebracht.

Es ist Zeit, diese Waage drücken, so oft wie möglich.
Time to Projektile an diejenigen, die gehen zu werfen, bevor sie zu steigen.


Es passiert, dass kochendes Wasser?? Was machst du merdasse?

Zeit zum Herausziehen des Schwertes, und schneiden Sie das Fleisch, das mit montierten Nischen kommt.


27/04/1461 04.11: Du triffst Alexei_kurtnov. Dieser Schuss wurde oberflächlich verletzt.
 27/04/1461 04.11 Uhr: Sie wurden von der Armee "Gladiustorum" von Diepold und Armee "Army of Seven" führte angegriffen Regie White
.

Und jetzt ...

Zeit allmählich nachlassen Lärm, hört das ohrenbetäubende Stille durch die Schmerzensschreie von verschiedenen Soldaten gebrochen.
Zeit, einen Blick auf den Eingang der Stadt zu nehmen.
Zeit zu lächeln und schauen ihn an Luc Komplize.
Zeitanzeige diese frech, verspielt und stolz, als sie das Auge ist: sie haben
.

Army "Orden des Nemesi-Semper Fidelis" gesteuert Margab
Die Armee ist in der ummauerten Stadt


In ein paar Stunden, dann ist es Zeit zu riechen das Blut füllen ihre Nasenlöcher.
Es wird Zeit zu sehen, die Geier in einem Kreis über dem Schlachtfeld wiederum.
Aber noch nicht, bald.

Denn jetzt sind die Träger beschäftigt, und Muse wird nun für ein paar Stunden ruhen, drei oder vier, nicht mehr, weil sie andere Dinge zu tun hat. Jetzt. Sofort.

Willkommen auf dem Leuchtturm. Entdecken Sie das Licht. Bevor es platzt Sie das Auge.

_________________
Woland_von_selenios


Armée de Margab




"DIEU ! ET MON SANG !"

C'est un peu sur cette note là que le vieil homme commença sa belle nuit de bataille. Oh bien sûr, il n'était plus de première jeunesse, il avait aussi été ordonné prêtre tout récemment, mais comme on le dit bien dans les chansons, chasser le naturel et tout le toutim.
Sur sa longue tunique de cuir, le Seigneur de La Condamine-Castellard avait revêtu ce qu'il fallait de pièce d'armure pour n'être ni trop lourd, ni trop léger, il n'était pas question de se casser le col du fémur dans un escalier !

Et en quelques coups d'épées bien placés...

Citation:
27/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Philippe_pygmalion. Ce coup l'a probablement tué.
27/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Genève.



Je rééditerai plus tard pour plus de narration !

_________________
Thornton
Armée de Margab

Les ordres avaient été donnés. Cette nuit, ils allaient attaquer Genève. Les soldats ennemis ne s'y attendaient pas. Tuer l'autre avant qu'il ne te transperce le corps... Thornton se prépara. L'estomac noué, il prit juste une rasade de génépi pour se réchauffer le cœur et l'âme. Il frappa son bouclier avec son arme, dernier encouragement avant l'assaut vers la citadelle Genevoise.
Enfin le moment précis arrivait, il ne se mit pas à courir pour préserver ses forces. L'armée se tailla une brèche dans les défenseurs. Beaucoup de corps à enjamber... Presque tous habillés comme des paysans... Cet assaut ressemblait plus à une boucherie qu'à une vraie guerre ! Ses coups fendait l'air. Entre parades et esquives, le soldat commençait à s'épuiser à battre le vent avec sa masse...
Soudain, un défenseur se rua vers lui. Il ne put l'apercevoir que brièvement mais son assaillant avait la carrure d'une crevette et semblait assez âgé. Immédiatement, il leva sa morgenstern et l'envoya de toute ses forces vers la tête de son agresseur. Sous le coup, le sang gicla avec quelques bouts de crâne. Le visage éclaboussé par le sang, Thornton repoussa le corps d'un coup de pied. L'armée était parvenue à stabiliser et à sécuriser un quartier de Genève. Enfin l'homme pouvait se reposer... Fourbu , exténué, il se coucha sans même se nettoyer la figure... On verrait bien pour le rapport quand il se lèverai.


27/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Rahab. Ce coup l'a probablement tué.
27/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Genève.

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Philibert
L'armée des Sept





Dans l'après midi, l'ordre fut donné. " En début de nuit nous attaqueront la ville de Genève ".
Nous nous préparâmes avec ferveur et courage. Lorsque le jour tomba et que l'obscurité s'installa, peut à peut, chaque hommes et femmes ce hâta de revêtir leurs armures de pénitence, heaume à visière, côtes de maille, genouillères..., seul protection qui nous séparent d'une mort certaine.

Avec discipline les rangs ce formèrent et bientôt envahirent les champs autours des remparts de la ville, comme une nuée de sauterelle. Cette forêt de lance, d'épée et de heaume étincelant étaient vraiment impressionnante.

Ils n'y avait qu'une plaine bien étroite entre nous et ces remparts. Bientôt ont vit la fleurs de la commanderie s'approcher et ce placer en avant poste. J'était entourer de quelques compagnons, la main fermement serrée sur le pommeau de mon épée, au garde à vous à écouter les mots des généraux qui firent monter le courage en nous.

" Soldats, Nous foulerons le sang de nos ennemis, Ce soir, Sur le champs de bataille... "

La fureur des cris et des tambours de guerre ce firent rapidement entendre, nous commençâmes à faire claquer nos lames sur nos bouclier tandis que notre oriflamme ce dressa érigeant vers les cieux notre blason.

Au loin, nous apercevons les feux de l'hérétique Genève et notre seul lueur de vision fut cette lune, belle lune qui nous ne verront peut être plus jamais.
Soudain... plus aucun bruit.. Que ce passe t'il... Des sifflements venant de l'arrière ce firent entendre, la lueur de la lune s'assombri et le ciel ce couvrit de flèches enflammées fendant l'air, les soldats commencèrent a marcher vers les murailles, protégés par leurs boucliers et quelques mantelets servant pour les archers...

" A l'assauuuuttt, taillons en pièces ses infidèles "

Les soldats ce mirent à charger rapidement et avec audace vers les remparts ce protégeant des flèches et projectiles divers. Avec difficulté nous remblayons une partie du fossé qui nous sépare de cette muraille d'une hauteur étonnante.. Bientôt des trépans furent amenés contre les murailles pendant que d'autre posèrent péniblement les échelles de sièges.

Des cris de douleurs ce firent rapidement entendre, des échelles tombèrent vers l'arrière, l'odeur du sang et de l'acier, mais surtout celle de la mort furent vite au rendez-vous. Ce fut a mon tour d'assaillir ces remparts, je monta sur cette échelle avec d'autre compagnons d'infortune.

Arriver en haut de ce mur, je remonta la visière de mon heaume et vit ce carnage et l'ampleur des dégâts: Des éviscérés marchant sur leur propre entrailles, d'autre crachant leurs dents, certains encore debout avaient les bras coupés, les mourant rampaient dans leur sang d'agonie.

J'ai eu un moment d'hésitation puis me lança vers cette bataille pousser par d'autre compagnons impatient. Je me retrouve vite face à ses vile gredins sans mérites, des corps a corps brutaux, plusieurs coups d'épée s'échangèrent. Bataillant avec rage je peux enfin faire une percée sur ce mur.
Citation:

27/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Les Bandes Noires" dirigée par Philodendron.
27/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Kayte. Ce coup l'a probablement tué.
27/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Fanfan. Ce coup l'a probablement tué.
27/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Rahab. Ce coup l'a probablement tué.
27/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Genève.


Nous réussîmes a prendre ce pan de mur quand des bruits de soufflement ce firent entendre. Une partie de nos troupes fut mis en pièces par ce déluges de flèches, protéger par ce bouclier moi et mes compagnons fîmes vite marche arrière essayant de descendre de ses remparts.

Cette journée ce termina dans un bain de sang et un brasier que seuls les flammes des 9 enfers pouvaient égaler, les pertes furent très lourdes de part et d'autre, Genève à réussi a repousser l'attaque des armées assiégeantes , au prix de précieuses vies ...

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Gamalinas
Armée des Sept



Chacun a sa motivation pour entrer en guerre. Des fois on retrouve des motivations que beaucoup partagent et d'autre fois des motivations plus singulières. Dans la guerre chacun a son rôle, il apparait des rôles que beaucoup partagent et aussi des rôles plus occultes.

L'année dernière Gamalinas partait au combat sur un destrier pour aider le Roi de France à vaincre les rebelles et brigands, de Bourgogne jusqu'à Toulouse. Là il était à pied avec son épée et son armure, sans blason. Il avait tout perdu et n'était plus le même. Sa vie avait changée et il traînait comme simple bagage de souvenirs des soucis.

Dans l'armée il ne parlait à personne, il avait même évité sa soeur Bellha, il ne savait pas quoi lui dire... Avant durant les conflit il composait des chansons, maintenant il compose avec le bourdon.

Quand la charge fut sonnée, il alla suivre les combattants à pieds, comme jamais il ne l'avait fait. White avait semble t il choisi d'attaquer l'armée des Bandes Noires. Dans ce dédale de chemins formés par les combattants, il cherchait quelqu'un. Gamalinas ne faisait qu'avancer sans se soucier des autres quelque soit leur livrée ; son rôle dans la guerre était ailleurs.

Citation:
27/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Les Bandes Noires" dirigée par Philodendron.
27/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Genève.


Mais il ne trouva pas la personne qu'il cherchait.

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Hasdrubal
Armée des Semper Fidelis :

La nuit était noire, mais illuminée ici et là par les feux de camp des armées assiégeantes. On en voyait aussi des feux sur les remparts, et parfois quelques silhouettes s’y entrecoupant. Les ordres sont donnés, et l’armée des Semper Fidelis avance dans le noir le plus absolu vers son objectif. Les bruits de la bataille s’élevaient de l’autre côté de la ville, deux armées Impériales montaient à l’assaut en combattant de front contre deux armées Genevoises. Oui, de l’autre côté de la ville ! Les Semper Fidelis avaient pour objectif de se faufiler par un passage réputé inaccessible par les défenseurs..

Une des Lances Savoyardes de l’armée Semper Fidelis :

Hasdrubal, avec un groupe d’officiers, soldats et volontaires Savoyards entreprennent l’escalade des remparts, là où ceux-ci s’approchaient le plus du grand étang local. Quelques barques repeintes en noir, de même qu’armures et boucliers pour qu’il n’y ait aucun reflet traitre, et arriver en bas des remparts fut un jeu d’enfants. Les gardes ne croyant pas possible une attaque de ce côté de la ville, il étaient plus occupés à regarder le coté opposé, essayant de deviner l'évolution de la bataille qui faisait rage..

Un par un, les membres du groupe arrivaient en haut du rempart sans que l’alarme n’ait été sonnée. Derrière le lieutenant, les volontaires Asceline et Katenice auxquelles il avait ordonné d’être toujours derrière lui et promis de les protéger.. Personne en vue. Ils commençaient à descendre l’escalier du rempart pour rentrer dans la ville, essayant de taire le plus possible le bruit de leurs armes et armures, d’un coup du mouvement ! Un milicien en armes faisant sa ronde s’approchait, débouchant d’une ruelle entre deux bâtiments à proximité. Intrigué par les bruits métalliques il s’arrêta et regarda dans leur direction, main sur le pommeau de son épée. Pas le temps de l’atteindre sans qu’il donne l’alarme. Hasdrubal reprit son réflexe d’archer, prit arc et flèche et décocha. Dans le mil !


Citation:
27/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Zarathoustra. Ce coup l'a probablement tué.
27/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Genève.


*Bruit de corps tombant au sol*

Le groupe resta immobile quelques secondes, pour s’assurer que personne ne suivait la victime. Il fallait encore rester silencieux et circonspects avant d’arriver à atteindre la mairie-cantonnerie-avoirie-consistoirie, bien éloignée. Il ordonna à ses compagnons d’avancer, et de cacher le corps. Il nota que le malheureux avait papier et encrier dans ses affaires, un gratte-papier armé. Il aurait préféré tuer un soldat de métier..

Devant le corps transpercé, absorbé dans ses pensées, il ne vit pas arriver le groupe de miliciens. Un cri de surprise, il se retourna et vit la volontaire Katenice, toute frêle qu’elle était, chargeant le groupe de Genevois. Elle distribua pas moins de quatre coups mortels en une succession de gestes adroits. Hasdrubal, abasourdi, vit aussi la volontaire Asceline, encore plus frêle en apparence, aller au contact, mettant hors de combat au moins deux miliciens avec une agilité déconcertante. Les vaillants soldats et vétérans Savoyards en firent autant, mettant hors de combat au moins un milicien chacun. Pour finir, le volontaire Dugay chargea dans un cri de rage, faisant tournoyer son épée tel un moulin à vent. Voyant le spectacle, les quelques miliciens restants prirent les jambes à leur cou et détalèrent. Ce ne sera pas ce jour que son épé rougirait.

Le combat fut rapide et victorieux avec plusieurs défenseurs hors de combat et aucun blessé parmi son groupe, mais l’alarme était donnée. Plus question d’avancer plus dans le bourg au risque d’embuscade, ils attendirent que le reste des Semper Fidelis les rejoignent. La nuit prochaine serait encore plus meurtrière.. Entretemps, des noms de guerre ont eu le temps d’apparaître et resteraient dans les mémoires des survivants, il y aurait une « Tigresse de Genève », « dame Féline » et « le Moulin »..

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Lieutenant des Dragons de Belley
White
[État-Major Impérial, 27 avril au soir, un peu avant la bataille]

Il saignait de la bouche, il s'était trop mordillé l'intérieur de la joue... Thick nerveux! On y voyait pas, mais être au sommet, c'était pas du plaisir, c'était des problèmes, de la pression, du stress, des angoisses... Ah oui, tout le monde rêvait d'une promotion, mais ce n'était pas du jeux.


Affairé autour d'une table ovale, il était penché sur une carte précise de Genève et de ses environs. Avec d'autres Généraux, il expliquait la tactique à adopter pour la nuit.

L'Aquilae Imperatoris doit prendre le côté Sud
Son index pointait l'endroit pendant que mon armée foncera droit devant. Le doigt se déplace et indique Semper Fidelis étant déjà dans les murs, Deux coups dans le centre de la ville ils ne sauront plus où donner de la tête! La confusion sera totale et nous n'aurons aucune difficulté à percer leur défense. Il se redressa, le grignotement de la joue était accompagné par un frottement de la machoire avec la main droite, des grimances faciales accompagnait le tout pour harmoniser l'inquiétude.

On avait beau avoir des centaines de Soldats à sa disposition, le doute planait toujours. Et si un chef d'armée se plantait dans les directives et si la moitié des soldats oubliaient de se réveiller à l'aube
(suivre) et si les Genevois avaient trouvé une tactique incroyable de défense... Et si ils avaient volontairement laissé les Soldats de Margab entrés pour ainsi les prendre à revers pendant que de nouveau défenseurs se posteraient sur les remparts...

Genève était la place forte de l'Helvétie. Prendre Genève signifiait prendre le Contrôle de la région, c'était la clef de tout le reste de l'opération qu'il avait monté avec d'autres dans les dernières semaines. Les soldats étaient motivés, les stocks de nourriture étaient abondant, mais lui, il était inquiet... Tout allait trop bien, quelque chose devait arriver...

[28 avril au matin, dans la ville, la bataille achevée]

Encore quelques profondes respirations pour calmer les battements de son cœur. Les gouttelettes de sang perlait de la pointe de son épée, les combats avaient été rapide et décisif, comme il l'avait imaginé. Il n'était pas du genre a rester à l'arrière, il avait gagné le respect sur les champs de bataille, pas assied sur son cheval à l'arrière scène.

Citation:
28/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Miroilouette. Ce coup l'a probablement tué.
28/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Antoine.. Ce coup l'a probablement tué.
28/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Sunman et de Timbi, une armée, et une armée.
28/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Germaine. Ce coup l'a probablement tué.
28/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Morille. Ce coup l'a probablement tué.
28/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre une armée, une armée, et les défenseurs de Genève.


Quatre victime à lui seul, sans une égratignure... Regardant rapidement autour de lui pour repérer ses hommes, ceux de l'armée des Septs qui lui étaient fidèle depuis plus de 4 ans semblaient tous là, soulageant White du même coup. Voyant Val qui descendait du mur Est. Sergent Valdemeuse, procédez au décompte!

Genève était acquis, il fallait maintenant contacter l'Empereur...

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La force d'une armée se mesure dans la solidarité de ses soldats!
Gutemberg
Bravo, belle victoire. Tout un empire contre une petite république...
Vous connaissez le dicton : A vaincre sans péril on triomphe sans gloire.

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.richard.
Le mot était passé à la nuit tombante. Les gestes étaient revenues après une longue période d’inactivité. Les soirées d’attentes et de marche les avaient ramenés à une vie ancienne avec un certain plaisir. Il sourit à sa brune en se préparant. Ses prunelles sombres scintillaient. Sans réfléchir, il vérifia son baudrier, ses dagues … son bâton … Puis referma leur toile de tente, tellement rapiécée. Qui les avaient protégées lors de maintes veillées nocturnes. Son pouce passa sur le manche et il croisa le regard de sa Chipie alors que son doigt passait sur des armoiries oubliées …d’un clan oublié … Goupil … Tibère …Swan … Erin … Velours … et tant d’autres encore. Il regarda le ciel … Les nuages seraient leurs alliés …

Partout autour de lui, les épées gagnaient les fourreaux, les hommes leurs places et la peur les cœurs en même temps que l’excitation. Il vérifia son gilet de cuir matelassé … vieilli mais encore de bonne facture. Il suivit du regard sa brune qui s’équipait aussi et sourit. Il ne savait comment elle était parvenu à ramener de la cité une paire de bottes neuves. Il secoua la tête. Et rit doucement en la voyant les ranger pour enfiler ses vieilles bottes. Comme les siennes … parfaitement moulées à leurs pieds et montant presque jusqu’aux genoux. Les feux avaient été dispersés, certains éteints afin de pouvoir se préparer. Sur les remparts, les p’tits suisses s’alignaient en paquets de 4, 8, 12 … pour les plus gourmands …

Dans les rangs, des visages jeunes avaient le teint blême du premier … et peut-être dernier … combat … Sur d’autres plus expérimentés, la concentration serrait leurs mâchoires. Il prit sa place comme chacun. Serra discrètement la main de sa brune. Ils savaient tous deux ce qui allaient suivre. Ils avaient traversé d’autres conflits et il avait failli perdre son épouse sur les remparts Berrichons et ça pas question que ça se reproduise … On attribua les postes, on distribua les ordres et dernières consignes. Son visage se ferma et il hocha la tête. Un fois l’assaut lancé il savait déjà que le seul ordre qu’il suivrait serait sa survie. Il fit jouer ses poignets, les échauffant, regardant sur les remparts les silhouettes sombres et fantomatiques qu’éclairait parfois une torche ou une lanterne. Il avait un gourdin mais se savait nettement plus agile à la dague. Son corps semblait se souvenir. Ses doigts retrouver leurs anciennes forces, ses muscles jouer et il assouplit sa nuque … La peur contractait ses abdo mais il avait appris depuis longtemps à l’accepter. Trop jeune il avait su que la peur n’était pas couardise. La nier revenait à se jeter dans les bras de la faucheuse. Lui faire une place, comme une vieille amie l’aiderait à rester en vie et en alerte. Il l’avait toujours considéré ainsi et contrairement à d’autres, il était encore là … Il respira profondément … Et suivit …

Le silence ne dura pas bientôt remplacé par les cris d’alarmes et de surprises des défenseurs auxquels se mêlèrent bientôt le cris de fureur et de bravoure des troupes d’assauts … Un râle primaire qui naissait dans le bas ventre, un cri de vie et de rage , qui remontait le corps tout entier et prenait son envol dans des gorges nouées , dans des bras courageux ….Le métal contre le métal, les épées contre les boucliers, le fer contre la chair, les bâtons contre les crânes et les membres … Les blessés hurlaient leurs douleurs , gémissaient avant de chuter des remparts ou s’effondrer à l’endroit même, traversé d’une flèche, assommés ou tués nette. La guerre n’était pas une affaire propre . Son bâton évita quelques lames avant de se briser. Il en expédia les morceaux sur les ennemis les plus proches … distrayant l’un


Citation:
27/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Zarathoustra. Ce coup l'a blessé superficiellement.


Il tira ses dagues et se sentit plus à l’aise. Du coin de l’œil, il vit sa brune qui le suivait. Il ne s’attarda pas, soudain trop occupé à rester en vie. Il virevoltait moins gracieusement qu’avant mais son corps se pliait à toutes ses exigences. Ses muscles se souvenaient de son ancienne vie et lui donnait rapidité et agilité. Il ne s’agissait pas de duels mais de combat au corps à corps et la seule règle qui prévalait … vivre … survivre … ou mourir … Ses lames dansaient la mort et la colère … la fièvre du combat et la crainte de mourir … Elles dessinèrent leur messages funestes sur des épidermes, des cuirs, éraflaient des boucliers … encore … encore … Elles trouvèrent une peau vulnérable qu’il investit de son acier … un sang qui n’était pas le sien l’éclaboussa, ruisselant sur son visage, s’insérant avec ce goût métallique dans sa bouche, l’aveuglant un instant … la silhouette s’affaissa …

Citation:
27/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Nicbur. Ce coup l'a probablement tué.


Il se retourna juste à temps pour se faire erafler le cuir et griffer l’avant- bras … une cicatrice de plus mais rien de grave … n’empêche ça faisait mal !!!!!! Hey ho !!!!! Il tira méchamment la langue à l’opportun qui n’en revint pas … et … et alors ? … et aloooors ???? …. Tuut tuuut … Riri est arrivééhhééhééé ….sans s’presséééé hé hé … le bon Riri, le vrai … quoi , déplacé …. Pffff … Bah oui son nom il le signe de la pointe de son épée … (oui d’accord c’est une dague mais c’est la chanson qu’y dit comme ça .. pis c’est tout !!! ) … d’un R qui veut dire Riri … Ririiiii, Ririiiiii …. Oui bon d’accord … Le brun sourit les yeux fous, le visage ensanglanté et se fendit pour se rapprocher de son adversaire mais ne put que l’égratigner …

Citation:
27/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Fanfan. Vous l'avez légèrement blessé.


Et tous deux furent séparés par d’autres arrivants et le combat repris, plus âpre une fois la surprise passée, la progression se payait chère mais maintenait les suisses sur eux … pousser et tenir encore … les combats aux portes de la ville était acharnée mais semblait leur être favorable … Des renforts, une autre vague et il repartit encore … ses dagues ruisselaient, ses mains et ses avant -bras rougis … le visage sale où se mêlaient en traces la poussière , la sueur et le sang … Le message passa alors qu’à l’est l’aube s’annoncait carmin .. Se retirer en bon ordre …Il lui sembla retrouver ses sens alors que d’un geste, il se défaisait d’un combattant supplémentaire … ce sera toujours un de moins …

Citation:
27/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Andrew_largs. Ce coup l'a probablement tué.


De retour au camp, l’épuisement eut raison de lui, le faisant tituber après que l’adrénaline du combat refluait. Son corps se rappelait amèrement à son souvenir. Il but à un seau que des gamins faisait passer. Il but et s’en versa sur la tête avant de regagner d’un pas lourd sa tente … On lui fourra un pain encore tiède dans les mains ... C’est alors qu’il s’aperçut qu’il était en effet affamée … Il fit arrêter un porteur de seau et le débarrassa de son fardeau qu’il posa devant sa demeure de toile. Ses doigts gourds et fatigués peinèrent à défaire son gilet … il se débarrassa de sa chemise dans une succession de gémissements et de soupirs … avant de se saisir d’un linge indéfini pour se nettoyer le visage et les bras … pour se rendre compte stupéfait qu’il n’avait que quelques égratignures sans gravité … rien …

Pourtant au vu des douleurs ressentis, il avait l’impression que toutes les lavandières hélvètes lui avaient fait gouter de leur battoir .. parcourant le camp, il vit que nombre des survivants s’effondraient sur place pour dormir un peu … Il hocha la tête et était bien décidé à faire pareil … il se retourna au pas qui vint vers lui … Sa brune … Il opina de la têt et ouvrit les bras pour lui montrer qu’il n’était pas blessé avant de hausser un sourcil … le sourire de sa réponse lui ôta un poids certain de ses épaules … Tout allait pour le mieux alors … Il glissa sa main sur sa nuque et l’embrassa avec brusquerie … avant de l’enlacer avec force … la relacher ensuite … Plongeant ses ébènes dans ses prunelles il sourit, las mais heureux de la savoir sauve … Du menton, il désigna leur tente et alors qu’elle faisait quelques ablutions à son tour, il défit sa ceinture, s’installa à même le sol pour nettoyer ses armes … sortir sa pierre et ls aiguiser à nouveau …contrôler que son gilet matelassé pourrait encore lui protégé les miches au prochain assaut … parce que ce n’était que le premier, il le savait bien …

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