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[RP] Armées aux portes de Genève

Chiwi


[ ARMEE DES SEPTS ]

Le "vieux" lion de Jassans , se retrouvait comme des années plus tot, a combattre les "méchants" comme au temps de son beaufrere feu le vénérable Leg l'Ancien qui devait le regarder depuis les cieux ! et qui devait le proteger.

Sur car a son age , manier l'épé et jouer au jeune soldat , le baron entendait craquer les articulations de ses os comme milliers de branches mortes!

il était encore debout et vivant après plusieurs combats .

Il se rememora les evenements de la nuit passé, ou il avait decidé de suivre Gamalinas .

mais au moment de le rejoindre , il vit dans le noir une troupe le prendre a parti ... il ne put aller a la rescousse de son compagnon d'armes pour engager le combat, car il devait déja se débarasser de ses prétentieux qui pensit que vu son age , il serait facile a occir


Citation:
28/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre une armée, une armée, et les défenseurs de Genève.


un des assaillant se lanca vers lui, et le baron ne fit pas dans la dentelle , en une parade , puis coup d'estoc et de taille , il occis son vis a vis ...


Citation:
28/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Barkus. Ce coup l'a probablement tué.


a peine il eu le termps de sortir sa batarde du corps encore fumant de son ennemi qu'un autre hurle en brandisant son arme contre le lion de Jassans , pour venir s'empaler sur l'épe du vieux baron.

Citation:

28/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Skiid. Ce coup l'a probablement tué.


Le vieux ne chercha pas a savoir ce qu'il en devenait des celui-ci , et continua son chemin pour retrouver ses compagnons d'armes, le rale des blessés succedant aux cliquetis des armes.....

mais un groupe arriva ....

Citation:

28/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Sunman et de Timbi, une armée, et une armée.

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Colchique
Le vieux soldat avait pour une dernière fois accepté de reprendre les armes. Descendant de ses hautes montagnes avec armes et bagages, il suivait son suzerain dans une contrée lointaine au Nord de leurs terres.
Arrivés aux abords de la cité "renégate", le siège fut mené bon train.
Charpentier de métier, il participa aux défenses, tenons et mortaises n'ayant plus de secrets pour lui.
Les armées s'assemblaient peu à peu dans des vociférations qui encourageaient les âmes faibles.
Il connaissait son métier, ses armes aguerries au combat lui furent fidèles une première nuit où les armées montaient à l'assaut de la ville rebelle assiégée.
La percée tentée avait affaiblie grandement les forces adverses, les assaillants refluèrent en bon ordre, histoire de forces recouvrer.
Les hommes d'armes reposés reprirent le chemin des remparts au petit matin.
Entouré de ses frères d'armes, il engagea à nouveau le combat avec rage. Du mollet et de la hanche, il en bouffait à mesure qu'il avançait dans la mêlée.
Le sang giclait dans l'aurore naissante, ça hurlait de douleur, les grands coups de flamberges dans les ratiches figeaient les sourires,
Entraîné par l'enthousiasme de la lutte, il se trouva acculé un moment éloigné des siens.
Face à quatre escogriffes de haute taille qui ne lui voulaient pas que du bien, il se débattit comme un beau diable tranchant le jarret d'un premier, pivota mais trop tard sur ses appuis.
Un géant le frappa au flan gauche avec une force terrible.
Sous la douleur du choc, il s'effondra en perdant conscience à l'instant.
Laissé pour mort, ses assaillants se portèrent vers la barbacane qui pliait sous les charges répétées des forces de l'Empire.
Le vétéran couché au sol sentit s'enfuir la vie de son corps...
Geronimo2751
Ils étaient remonté au petit matin à l'assaut, la veille une brèche avait été ouverte et tout un pan de l'armée s'y était engouffré. Probablement qu'a l'intérieur les quartiers se gagnaient les uns après les autres au prix de grands efforts.
Il aurait été d'avis de refermer les portes et de tout incendier avec bétail et villageois pour raser totalement cette ville et ces habitants de l'histoire et du paysage, mais il parait que ça ne se fait pas lui avait-on répondu ...
Tant pis ils continueraient à en embrocher quelques uns quand ils passeraient à porter de son épée. D'ailleurs il n'avait pas vu Caméliane, en son temps il aimait à la poutrer quand elle passait en LD ... pauvre bichon que ces genevois qui se font poutrer quand ils passent par chez moi.
Bref l'heure était à l'assaut. Un soubresaut caractéristique de la bête qui meurt éclata leur groupe au court d'une ultime tentative de repousser leurs armées.
Gérault monta sur un tas de grava pour rechercher les siens. D'un coté Gaelle et brioche transperçaient une ancienne soldat de Valence ... Jaco se battait comme un beau diable ... Il ne manquait plus que Colchique, qu'il trouva en bien mauvaise posture.
Le vicomte dévala son tas de grava pour porter assistance à son ami, se frayant un chemin à travers la mêlée à coup de pommeau de son épée et de coup de plat du fer.

Trop tard ... oui c'était trop tard, il le trouva à terre le flan fraichement ouvert.
Il retira aussi vite qu'il lui était possible ses gantelets. Il déchira un bout de sa chemise, tant pis pour les poils dans la cote de maille, et pressa sur la blessure.
Sa chance dans tout cela c'est que les dernières poches de résistances furent écrasées très rapidement aussi Colchique pu être transporter au barbier chirurgien pour qu'il se fasse recoudre la panse.

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Pour ma patate
Hasdrubal
Une des lances Savoyardes, Armée des Semper Fidelis à l'intérieur de Genève

Nouvelle journée de combats en vue. Après être entrés dans la ville la veille, l’armée des Semper Fidelis se préparait au combat final. En face, cette fois-ci ils n’auraient pas quelques miliciens surpris comme la veille. Hasdrubal, avec ses compagnons, attendait le signal de l’attaque. Il avait près de lui Asceline et Katenice, qui deviendraient à nouveau Féline et Tigresse comme la veille. Il sourit quand il pensa à sa promesse de les protéger, vu ce qui s’était passé la veille c’étaient elles qui étaient devenues ses protectrices. Il regarda ses autres frères d’armes, le vétéran Thornton, le volontaire Dugay, le soldat Robter, le lieutenant Galopin et le sergent Pygaer. Il voulait se souvenir de chacun d’eux, des fois que l’inévitable arrivait. Mais il était certain de leur force et de leur détermination, la faucheuse n’en prendrait aucun !
Le signal donné, tous se ruaient vers l’avoirie avec le reste de l’armée. Devant eux se dressaient piques et hallebardes des miliciens et des soldats des armées Genevois. Il n’en avait cure car ce soir ils festoieraient pour la prise du symbole de la ville. Il priait juste que le prix n’en soit pas trop élevé !


Citation:
28/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre une armée, une armée, et les défenseurs de Genève.


Il y avait en plus des petits groupes d’étrangers de diverses origines recrutés par les Genevois, ils paieraient eu aussi pour leur mercenariat. Ou peut-être étais-ce les armées entrain de se disloquer en petits groupes devant le choc de l’attaque?

Citation:
28/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Sunman et de Timbi, une armée, et une armée.
28/04/1461 04:12 : Vous avez engagé le combat contre Laureline.
28/04/1461 04:12 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Liverani_ermanno et de Zarayac.
28/04/1461 04:12 : Vous avez engagé le combat contre Constant..
28/04/1461 04:12 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Obdulia de Gael_ de Iana et de Mrpunch.



Peu importe le nombre, Hasdrubal et ses compagnons taillaient et pourfendaient.

Citation:
28/04/1461 04:12 : Vous avez frappé Mrpunch. Ce coup l'a probablement tué.
28/04/1461 04:12 : Vous avez frappé Constant.. Ce coup l'a probablement tué.
28/04/1461 04:12 : Vous avez frappé Laureline. Ce coup l'a probablement tué.


Asceline la Féline distribua ce soir pas moins de quatre coups mortels, elle faisait honneur à son nouveau nom de guerre. Entre deux duels, il vit Thornton s’affaisser après avoir frappé à mort un adversaire. Hasdrubal continuait à prier qu’aucun de ses compagnons ne trépasse, tout en combattant. Katenice la Tigresse, continuait sur la lancée de la veille en distribuant quatre coups mortels, une autre qui se montra à la hauteur de son surnom ! Il vit aussi Galopin, Lieutenant de Chambéry, dans une rage qu’il ne lui connaissait pas, donner des coups de grâce à au moins six adversaires. Derrière lui, Dugay « le moulin » continuait ses gesticulations, jusqu’à ce qu’il soit pris en traître. Mais il bougeait encore, il s’en remettrait dans quelques jours. Priant toujours, Hasdrubal de promit de ramener Dugay en vie à Belley et là il lui enseignerait à être plus efficace à l’épée. Le sergent Pygaer tenait en respect plusieurs adversaires, alors que le soldat Robter, dans un état second distribuait pas moins de sept coups mortels s’acharnant sur se victimes comme une furie..
Les Genevois, dépassés, furent massacrés. Il n’y avait plus d’adversaire debout quand il vit ses compagnons de l’armée des Septs arriver à leur tour sur la place. Les combats les avaient amenés tous à l’avoirie, le lieutenant salua Margab qui y pénétrait pour en prendre possession.


Citation:
Contrôle de la zone
L'armée Order of the Nemesi-Semper Fidelis, dirigée par Margab, est maîtresse du statu quo sur ce noeud.


Le Marquis Margab avait ravi la place de maire en plus de cela.

VICTOIRE ! VICTOIRE !

Hasdrubal était fier de ses compagnons, parmi les hourras et les vivats, il alla s’enquérir des blessés. Il rendit grâce au seigneur qu’aucun ne fut plus que blessé, le fier Savoyard avait la peau dure !
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Lieutenant des Dragons de Belley
Lavava
Tout autour de la dame, on s'affairait. Ce n'était plus les combats. Elle entendait de tous côté des "houra", les cris de victoire. C'était donc fini. On avait gagné... La tête de son compagnon toujours sur ses genoux, elle regardait les hommes et femmes qu'elle connaissait, des Chambériens, arme à la main, couverts du sang ennemi, certains figés de fatigue, d'autres encore plein de rage. Et puis retour sur l'homme dont le flanc avait maintenant arrêté de saigner. Peut-être un espoir auquel la dame s'accrocha. Les secours arriveraient.

De la main, elle fit disparaitre les larmes qui brouillaient sa vue, ajoutant un peu plus de sang poisseux sur son visage. Deux brancandiers se dirigèrent vers le couple et prirent en charge le corps de Thornton.


Où L'emmenez vous ?

Et un des deux hommes de montrer du doigt une grande bâtisse.

Pas loin, t'inquiète pas ! On a réquisitionné une bâtisse pour les blessés graves . De toute façon le tien peux pas être transporté jusqu'au campement !


Un regard qui voulait bien dire," si on le bouge ou on attend trop, il meurt."

Et d'emmener le corps rapidement avec la dame aux trousses. Elle ne le quitterait pas !

Les infirmiers s'engouffrèrent dans une grande maison. La blonde, inquiète, jeta un coup d'oeil. Il fallait qu'elle sache si on s'occuperait bien de son aimé, quand un colosse, les mains rouges de sang, lui barra le chemin.


On entre pas, soldat !

Air ahuri de la dame

Mais...Bien sûr que si, laissez moi passer, mon compagnon...

Et de lui couper la chique.

Est entre le meilleur chirurgien de l'empire... Allons retourne vers ta section, tu as de la chance de ne pas être blessée soldat.

Et l'homme de repartir, laissant la dame stupéfaite.

Une grande lassitude gagna le petit soldat qui traina ses bottes à rebrousse chemin. Là où son homme était tombé : que du sang poisseux maintenant. On avait débarrassé de la rue, les corps des morts. Et toujours cette marre de sang qui obsédait Lavava. Elle s'approcha, ramassa la morgenstern de son compagnon. Une grimace d'horreur quand elle vit l'état du bouclier... On la prit par le bras...paroles lointaines d'une voix qu'elle ne reconnut pas... Une main ferme sur son bras qui l'entraina vers l'extérieur de la cité.

Son campement... sa tente...sa couche... Le noir...
Woland_von_selenios


Le deuxième jour de bataille avait été nettement plus rythmé que le premier ! Pourquoi ? Le vieil homme se le demandait encore, mais il n'allait pas s'en plaindre, tout cela le gardait bien en forme ma foi !

Sous la bannière de Margab, qu'il ne connaissait point, il fit partie de ceux qui percèrent les forces genevoises et pénétrèrent à l'intérieur de la cité libre. Les armées impériales étaient nombreuses, plus nombreuses que les défenses. La guerre n'est jamais un beau spectacle, les soldats s'acharnaient à deux contre un, trois contre un, la bataille allait bon train. Woland fut de ceux-là, dès les portes franchies, il avança dans la nuit, épaule contre épaule avec les autres membres de la noblesse savoyarde. Les forces genevoises étaient là, devant.

Le prêtre se signa et donna une grande estoquade à l'homme qui venait en premier. Il s'écroula, mais le vieil homme ne s'en souciât point, murmurant simplement quelques mots pour le salut de son âme. La nuit aidant, Woland se détacha du reste des forces impériales et pénétra plus avant dans la cité. Il se dissimula dans l'ombre et prit les ennemis à revers, de grands coups d'estramassons les envoya enfin sur le carreau. Un homme surgit, voulut l'estourbir et l'envoyer rejoindre les âmes fraîchement fauchées, Woland para l'attaque. Il renvoya l'arme adverse, se fendit, fut paré à son tour, il esquiva une estoc qui devait le jeter au sol et retournant incontinent son épée, donna sur le chef de son adversaire un méchant coup de garde. Les quillons fracassèrent si bien les os de la tête ennemie, que le Père Sélénios dut y aller en force pour récupérer son arme.

Ce n'était point fini, les ruelles criaient encore. Tous courraient ça et là, et gueulaient au plus fort, ça des cris impériaux, là des cris genevois. "Dieu et mon sang" répétait le vieil homme en allemand. Sa devise, la seule qui comptait réellement pour lui et pour sa foi.

Il continua tant et si bien à parcourir les rues de la ville, qu'il parvint jusqu'à l'hostel de ville, là où allait se donner les plus grands combats. Il se mêla aux hommes et aux femmes et fit tinter l'acier de sa lame. Sur ses gants coulaient le sang de genevois et de genevoises. Quand les cris se turent, Margab se tenait sur le parvis de l'hostel et levait un poing victorieux.

Woland s'agenouilla au-dessus des blessés, une jeune femme venait de tomber sous ses coups. Son souffle était court, mais elle vivait encore. Il remit son épée à son fourreau, passa ses bras sous le corps de la genevoise et se releva.

"Allons, la bataille est finie... Je vous porterai là où les vôtres soignent vos blessés..."

Citation:
28/04/1461 04:12 : Vous avez frappé Obdulia. Ce coup l'a probablement tué.
28/04/1461 04:12 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Obdulia de Gael_ de Iana et de Mrpunch.
28/04/1461 04:12 : Vous avez engagé le combat contre Constant..
28/04/1461 04:12 : Vous avez engagé le combat contre Laureline.
28/04/1461 04:12 : Vous avez frappé Liverani_ermanno. Ce coup l'a probablement tué.
28/04/1461 04:12 : Vous avez frappé Zarayac. Ce coup l'a probablement tué.
28/04/1461 04:12 : Vous avez frappé Liverani_ermanno. Ce coup l'a probablement tué.
28/04/1461 04:12 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Liverani_ermanno et de Zarayac.
28/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Musartine. Ce coup l'a probablement tué.
28/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Timbi. Ce coup l'a probablement tué.
28/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Sunman et de Timbi, une armée, et une armée.
28/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre une armée, une armée, et les défenseurs de Genève.

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Jacochere


la veille de la grande bataille

ils venaient d'arrivé dans ce coin perdu , de mémoire de soldats , il n'avait jamais vue autant de troupes
sa allé être sanglant il se détendit comme il le pouvait avec ces frères d'armes , c’était la routine
l'attaque dura une bonne parti de la nuit , il l'avait echappé belle


27/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre une armée.
27/04/1461 04:11 : Votre arme a été détruite.
27/04/1461 04:11 : Kayte vous a porté un coup d'épée. Vous avez été secoué, mais vous n'êtes pas blessé.
27/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Nicbur. Ce coup l'a probablement tué.
27/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Rahab. Ce coup l'a probablement tué.

le lendemain

il n'avait jamais connu une nuit comme celle -ci , il y avait des hommes partout , la sagesse aurait voulu qu'il emprunt une arme puis qu'il avait perdu la sienne la veille , mais sa dague avait déjà fait ces preuves ,
La bataille fit rage , il vit son frère d'arme colchique tombe doucement à terre , il compris que pour lui l'histoire serait finie , Gero se tenait le flanc , avait 'il pris un mauvais coup ...
il sortit sa dague et rentra dans la danse

28/04/1461 04:16 : Vous êtes affaibli : vous avez perdu des points à certaines de vos caractéristiques.
28/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Sunman. Ce coup l'a probablement tué.
28/04/1461 04:11 : Vous avez frappé Musartine. Ce coup l'a probablement tué.
28/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Sunman et de Timbi, une armée, et une armée.
28/04/1461 04:11 : Vous avez engagé le combat contre une armée, une armée, et les défenseurs de Genève.

le matin aux aurores ,c'est dans une mare de sang qu'il se dirigeât vers ces deux compagnons, , avec ces autres frères il les ramena au camp il était affaibli , mais il avait fait son devoir

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