Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3   >>

[RP] Petits Tyrans ou petits Dragons?

Kathryn.brehnian
En l'espace de quelques minutes, l'espace se remplit de figures pour la plupart familières, certaines plus que d'autres néanmoins.
Ad', tu tombes bien, je me sentais seule au milieu de toutes ces Everlange.

C'est que le clan grossissait de minutes en minutes, même les membres non officiels rejoignant les femmes. Instincts quand l'un des leurs était en difficulté ou système de communication bien au point se demanda la blonde sans prendre la peine de vraiment se renseigner à ce sujet.
Chacun en arrivant posait les mêmes questions ou presque que son prédécesseur, et la confusion reprenait ses droits.


Bon, pour les derniers arrivants, je reprends. Lizie allait bien il y a environ une heure. Je suis venue avec elle depuis Caen, et juste avant la porte...une porte de la ville, qui devait très probablement avoir un nom sauf qu'elle l'a déjà dit, elle ne connaît ni Dieppe ni sa géographie, et bien celle qui mène à Caen, regard à Ad' qui en toute logique devrait savoir de quoi sa cousine parle, un journaliste nous a rejoint et elle est partie avec.
A vivre la situation n'était déjà pas tout à fait normale, mais racontée devant le père, supposé du moins, des enfants à naître cela empirait.
S'enfuir avant une noce, pourquoi pas...mais avant des naissances. Étrange qu'elle n'ait pas envisagé la fugue sous cet aspect avant, mais il faut dire que l'agacement et l’inquiétude primait alors, ceci ne l'incitant pas à imaginer de très romanesque explications au comportement de Lizie.
De toute manière, qu'importe la raison, il fallait la retrouver.


Comme Nerwenn l'a suggérée, il sera peut-être plus simple de retrouver le journaliste que Lizie. Il était, quelques secondes de réflexions mais elle l'a à peine vu au final, de taille moyenne je crois, plutôt coopératif, ne lui demandez surtout pas en quoi cette information sera de nature à les aider à le retrouver, et les cheveux plutôt foncés.
Enfin il lui semble...elle a déjà précisé que la rencontre avait été furtive ?

Alors que fait-on, on se sépare en groupes ?
Pas folle non plus, si elle doit retourner errer dans les villes, et veut cette fois être accompagnée de quelqu'un qui connaît un minimum la cité.
_________________
Alizarine


[ Et la .. c'est le drame^^]

Ahem, bonjour vous deux...besoin d'aide peut-être ?


Le journaliste était de toutes les couleurs, vive le printemps! Les femmes doivent tout prendre en main au propre comme au figuré. Mais la, avant de pouvoir répondre a Jean, tout a coup, le visage de la rectrice se décomposa et elle regarda a ses pieds une flaque se former. De dieu elle venait de perdre les eaux.L'homme lui avait peut être perdu quelques métacarpiens, mais cette perte la était assurément moins douloureuse.Elle avait l'impression qu'un couteau lui entrer dans le ventre et qu'on le tournait dans tous les sens sans qu'elle puisse rien faire si ce n'est crier de douleur et ... tomber de la chaise.
Au sol roulé en boule Lizie se cramponna a ce qu'elle trouvait a sa porté. Ses yeux se révulsèrent . Elle replia ses jambes vers son ventre. Elle avait revue la technique pour le mode "roulage sur ennemis",mais la douleur lui fit lâcher les jambes. Des clients sortirent en vitesse et tout ce que pu dire Lizie a Jean avant de se déconnecter de la réalité fut:

Prévenez Gidius.

_________________
Beldurian
[Du rire à la catastrophe]

Le jeune homme ouvrit grand les yeux et...se mit à rire, ouvertement, voyant Alizarine se rouler ainsi à terre. Celle-ci avait toujours eu quelque chose de théâtral, se dit le jeune homme, et il ne pouvait que s'amuser de cette tentative qui avait sans doute pour but d'éloigner l'autre journaliste et de se sortir de cette impasse qu'était l'entrevue pour le journal.

Mais très vite, en voyant Alizarine poursuivre son état, et en apercevant tout à coup une flaque sur le sol, le visage du jeune homme se décompose et quoi qu'il continua à rire, ni l'expression ni l'intention n'étaient plus les mêmes.

Du rire amusé et de connivence, le jeune homme était passé d'un rire nerveux qui faisait entendre aux oreilles les moins expérimentées cette évidence que l'esprit du jeune homme clamait comme une alarme : pourquoi moi ? Je n'y connais rien ! Elle va mourir ! Je n'aime pas les bébés ! Si elle meurt, Mabelle ne sera pas contente ! On va se séparer ! Je vais me faire tuer par Aegidius ! Il faut fuir ! Pas par la mer, Aegidius contrôle la mer. Réflechissons : passons par Alençon. Non, faisons diversion et détournons-nous au dernier moment vers Avranches, avant de faire demi-tour et de revenir à Dieppe, et de sortir du duché. Il faudra un déguisement. Et un cheval. Une arme ? Pas le temps ! Il faut que je dresse une liste des personnes prêtes à m'aider. Adieu ô vie cruelle ! Mais pourquoi fuir ? Non, mourir glorieusement : se battre, jusqu'au dernier souffle ! Non, mieux : se laisser tuer sans rien faire, en martyre ! Ou tuer quelqu'un pour aller se protéger en prison ?

Le jeune homme en était là de ses pensées confuses et ininterrompues, son visage notant à la fois l'angoisse, la colère, la peur, la déception, la tristesse, une certaine agonie déjà...lorsqu'Alizarine lui dit d'aller chercher Aegidius. Le jeune homme poussa alors un long soupire de soulagement : il n'allait pas faire naître ces enfants, et avait une mission qui lui convenait bien plus.

Prévenez Gidius, prévenez Gidius, prévenez Gidius, prévenez Gidius, prévenez Gidius...avec ces seules paroles en tête il sortir précipitamment de la taverne, criant et répétant dans une régularité qui pouvait rappeler les cloches d'une église :


Prévenez Gidius ! Prévenez Gidius ! Prévenez Gidius !

Ou plutôt, imitant Rochane :

PREVENEZ GIDIUS ! PREVENEZ GIDIUS ! PREVENEZ GIDIUS !


Et c'est criant ainsi qu'il arriva devant la troupe déjà rassemblée parmi laquelle se trouvait justement la personne recherchée. Tout dans son trouble et sa panique, le jeune homme ne fit même pas attention au sens de ses paroles ni à leur familiarité, et il montra du doigt la taverne en criant à Aegidius :

Prévenez Gidius !
_________________
Jean Beldurian,
Seigneur de Ponteliere,
Propriétaire d'un moulin et de champs de blé,
Ambassadeur de Normandie,
Rédacteur en chef de "La dépêche rouennaise",
Sous-Intendant des Finances de la Normandie.
Journaliste
Le journaliste reprenait des couleurs et se sentait rassuré maintenant. Il était en terrain connu, et ses fiches l'avaient averti : Alizarine était douée, elle savait ruser et il fallait s'attendre à une telle mise en scène. Apparemment, son rédacteur en chef ici présent était lui aussi dans le coup, et sans doute testait-il sa détermination pour, peut-être, lui donner une promotion ? La rubrique météo...le journaliste en rêvait, et s'il réussissait cet entretien il pourrait enfin prendre en charge cette rubrique si fine et si prestigieuse !

Il secoua donc légèrement la tête et s'accroupit aux côtés d'Alizarine pour parler, un brin moqueur.


Enceinte donc ? Excuse pratique, très pratique ! Je dois dire que je suis impressionné. Mais voyez-vous...dans ma jeunesse on me nommait "Le Simple", et ce n'était pas pour rien ! Je me suis toujours dit que c'était parce que tout paraissait simple pour moi, clair, parfaitement lisible. On ne me trompe pas si facilement !

Allons, reprenons. Vous vous occupez de l'université donc. Quels genres de cours y sont donnés ?


Et il regardait Alizarine d'une manière tout à fait stoïque et consciencieuse, ce qui lui donnait, étant donné la situation, un certain air...de simplicité presque débilitante.
Mabelle
Mabelle était toute ouïe aux propos de Kathryn et son sourire satisfait, rassurée de savoir que sa soeur allait bien, demeurait toutefois timide, toujours soucieuse sur le dénommé journaliste.
Elle approuvait l'idée ingénieuse de se séparer en groupes, d'autant que c'était justement ce qu'elle voulait proposer à Bruni avant qu'elle ne parte avec Bébène.


- Merci Dame pour cet éclairage indispensable, et je vous approuve, il serait judicieux d'aller chacun en petits groupes chercher le Dragon. Toutefois, est ce que le journaliste en question portait une moustache ? Une belle moustache, fort bien taillée et seyante ! Enfin bref..passons...donc ce journaliste fort..disons...commun, avait il une...


Elle fût soudain interrompue par les cris de Jean sortant de la taverne municipale :

Beldurian a écrit:
PREVENEZ GIDIUS ! PREVENEZ GIDIUS ! PREVENEZ GIDIUS !


Ses yeux en roue de charrette, Mabelle resta bouche bée un instant, stupéfaite :


- Mais...mais Jean ??? Vous ?? Icelieu ?? Mais enfin que se passe t-il ?? "Gidius" ?? Les ...les dragotyrausaures sont nés ????

Saisie de panique, elle courut à sa hauteur comme pour mieux comprendre les explications qu'elle attendait vivement !
_________________
Nerwendile
A peine les dames eurent le temps de réfléchir à comment répartir les groupes pour aller à la recherche du Dragon qu'un Jean Beldurian tout ému arrivait à la Chope. Il n'avait qu'une phrase en tête et en bouche.

"Prévenez Gidius"

Ca, elles l'avaient bien compris au bout d'un moment, même pour celles qui avaient du thym dans les oreilles. Cependant, même Mabelle n'arrivait pas à extirper autre chose de son aimé. Et le Gidius en question, hé bien ! Il était pantois !

C'est bien les hommes ! Ils ont beau faire leur fier devant leur compagne et devant d'autres compatriotes masculins, ils tournaient de l'oeil ou devenaient blanc comme linge dès l'annonce d'une affaire de femmes.

Mais cela ne renseignait toujours pas sur le lieu où était Alizarine. Nerwendile prit les devants, alla secouer Jean par les épaules et lui cria :

ARRETE DE PARLER !! DIS-NOUS d'OU TU VIENS !

Parce que s'il se souvenait de l'endroit à partir duquel il avait couru comme un dératé, c'est qu'il avait forcément croisé Lizie. Le tout était de faire reprendre conscience à Jean qu'il devait donner des informations complémentaires.
_________________
Beldurian
Et voilà qu'on lui parlait, qu'on criait même ! Et ce n'était pourtant pas Rochane ! Toujours paniqué, le souffle coupé de voir deux Everlange se précipiter sur lui et l'une des deux le secouer, il resta finalement muet un instant, comme perturbé par ce qui venait de se passer. Son esprit cherchait à organiser les différents éléments qui devaient donner sens à la situation, mais cette opération s'avérait en cet instant bien plus compliqué qu'il ne pensait. D'autant que Nerwendile lui avait interdit de parler, tout en lui demandant de répondre à une question...que faire alors ?

Finalement, une seule phrase revenait en échos dans ses oreilles, une seule pensée, une seule voix : "prévenez Gidius !". Et c'est pourquoi, ne souhaitant pas perdre de temps en explications futiles, incapable d'éclaircir son esprit, son corps tremblant légèrement devant la gravité d'une situation qu'il ne maîtrisait pas du tout, il prit aussi Nerwendile par les épaules et la secoua comme elle l'avait fait pour lui.


MAIS PUISQUE JE VOUS DIS QU'IL FAUT PRÉVENIR GIDIUS !

Et il partit en courant vers la taverne municipale, sans dire un mot de plus, pour retrouver Alizarine et le journaliste...
_________________
Jean Beldurian,
Seigneur de Ponteliere,
Propriétaire d'un moulin et de champs de blé,
Ambassadeur de Normandie,
Rédacteur en chef de "La dépêche rouennaise",
Sous-Intendant des Finances de la Normandie.
Mabelle
Mabelle affichait ses célèbres yeux en roue de charrette de voir sa cousine secouer son Aimé comme un prunier, certes figé ! Puis totalement incrédule face à un Jean désorienté, lui toujours posé, réfléchi, calme, qui se prend à parler fort, voire crier et de courir à la taverne municipale.
Aussitôt, l'Everlange atrapa le bras de l'autre Everlange pour le suivre sur le même pas de course !


- Jeeeaaan ! Attendez nous ! Mais enfin que se passe t-il ??

Ils se bousculèrent à l'entrée de la taverne municipale, celle du "Calva Dieppois le meilleur qui soit" (bien entendu...) et les deux cousines de s'écrier en duo : "OooOhh!"

- Liziiie ! Et de se précipiter à sa hauteur. Le dragon avait des airs de tortue qui basculait de côté, mais le visage crispé d'Alizarine révélait l'intensité de la douleur qui la tenaillait. Mabelle commençait à paniquer et pour une fois, elle ne se frottait pas la tempe pour réfléchir mais secourut au plus vite sa soeur.


- Il faut l'emmener à côté à l'Auberge de la Chope, vite !

Soudain, elle aperçut le journaliste et s'arrêta complètement ébahie par son attitude impassible :

- Mais???! Vous là ! Vous ne voyez pas que ma soeur a besoin d'aide ! Allez donc dehors prévenir les autres puis allez prévenir Gidius Viiiite !!

Pendant ce temps, elle se rapprocha de sa soeur, la rassura tout bas en murmuant à son oreille tout en caressant son visage "ça va aller ma Lizie...respire profondément...nous allons t'emmener à la Chope....Courage ma Lizie !".

Son regard inquiet alternait celui de Jean et Nerwen, comme pour leur signifier de l'aider à la relever.


- Nous devons la porter jusqu'à la chambre...
_________________
Alizarine


Il y' a des jours ou on ferait mieux de rester sous la couette. Ne pas bouger, ne pas ressentir.
Il y' a des jours ou on se dit qu'on ne devait pas tomber amoureux comme on tombe d'une chaise.
Il y' a des jours .. comme ça.
Ce jour la elle voulait juste tuer un journaliste. Elle l'avait attraper par le col de sa chemise fermement décider a en finir avec lui et le faisant virer un peu de toute les couleurs. Vive le printemps! Elle vitipurait contre lui dès qu'elle reprenait ses esprits. Cela donnait quelque chose comme:

Fichtre dieu on apprend a des crétins a savoir ce qu'est une femme enceinte!

Ou bien encore

C'est pas pour ça qu'on vous a nommé le Simple ils auraient pu directement vous fournir le titre d'idiot du village!


Cela respire la joie de vivre , le bonheur et la santé non?
Enfin sa soeur arriva, sauva de justesse le journaliste. Elle devait bien les aimer.Accouchement en famille pourquoi pas? Jean était de retour, Nerwen sur les talons et maintenant il fallait la déplacer. Non mais ils voulaient sa mort. Elle bougerait pas.D 'un air boudeur elle le fit comprendre

Non j'veux pas. NAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!


Et voila la Lizie qui se comporte comme les enfants qui vont naître.


Je m'excuse auprès des joueurs de leur annoncer que Ljd Gidius ne souhaite pas continuer le rp. Néanmoins j'aimerais autant que si ça vous tente nous le terminions dans la bonne humeur. Si vous avez envie de stopper faîtes le moi savoir.

_________________
Aegidius
[La Chope Joyeuse]

Une scène pour le moins sur-réaliste venait de se dérouler... Tout le monde en oubliait de réfléchir. Après l'hébétude provoquer par l'hystérie qui régnait il fut temps de se mettre en action.

Eh bien qu'attendez-vous pour le suivre? Une annonce ducale?

Et de prendre le chemin de la sortie en espérant que le Beldurian ne sera pas hors de vue une fois dehors.


Pas que je ne souhaite pas le poursuivre juste que j'ai encore moins de temps pour le faire... Dans tous les sens du terme d'ailleurs.
Et désolé de vous avoir coupé dans vos élans.
See the RP information <<   <   1, 2, 3   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)