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RP Enlèvement du curé de Luxeuil -suite La fuite vers Genève

Sieurfernand


Quatre compère intrépides, républicains comtois auto-exilés vers les accueillantes terres helvètes ont après leur déroute électorale à Pontarlier décidé de prendre quelques vacances bien méritées.
Les voilà donc partis pour faire un peu de tourisme et leurs pérégrinations les mènent jusqu'à Luxeuil, ville d'origine de ces rebelles patentés, capitale gastronomique du pâté de museau (quoique puissent en dire les spécialistes de la charcuterie régionale) paradis des tueurs d'ours roses, Luxeuil-aux-mille-étangs-de-bave et ses tavernes aux parquets gluants de salive, foyer de résidence de moultes infections buccalement transmissibles, ville fleurie 3 étoiles (catégorie roses et pâquerettes).....

L'accueil cependant leur réservera quelque surprise.
Depuis leur départ à la tête de la municipalité pour porter haut les idéaux républicains, de misérables suceurs de langues, (ainsi qu'une terrifiante vieille bique aux fesses plates...), qu'ils avaient su en leur temps chasser à coup de botte dans le fondement, sont reparus et se sont installés au pouvoir sous la férule d'un pantin dôlois.
piqués au vif par un message publique insultant à leur encontre, nos amis décident de réagir.
La punition sera sévère!
Surgissant à grand fracas dans l'église, ils escamotent et kidnappent en pleine cérémonie de Baptême, Adso, curé de Luxeuil, ex-maire de la même ville, ancien procureur de franche-comté, éditeur d'un guide gastronomique à succès.
La seule personnalité de la ville en somme, ne laissant aux luxoviens que leurs yeux pour pleurer et leur langue pour essuyer.

A bord d'une charrette profilée acquise d'une façon scandaleusement lubrique par la charmante Nénuphar, il transportent leur colis récalcitrant bien à l'abri dans un vieux tonneau.

Ceci est l'histoire de leur fuite vers Genève et de ce qui va advenir




le début de l'histoire ici
Sieurfernand

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Sieurfernand
Fernand retira le bouchon de bois au milieu du tonneau pour pouvoir causer à l'intérieur.
- Cesse-donc de gigoter comme ça, ou je retourne la barrique! Et arrête donc de te plaindre, tu es bien au chaud, toi au moins! Nous allons bientôt nous arrêter et tu pourras manger, te dégourdir les jambes et pouvoir aux nécessités de la nature.
Fernand se redresse regarde la route qui défile, fronce les sourcils et revient près de l'ouverture :
- Et puis à qui parles-tu au fait? j'ai cru entendre une autre voix....
_________________
Galovert
Calme toi Adso, on t'offre un petit voyage montagnard.
Tu verras le paysage dans quelques temps...magnifique.
L'air requinquerait un curé intoxiqué par l'encens.


Mais qu'a-t-il donc à marmonner ainsi...
Et Galovert cru saisir quelques bribes du rituel de l'extrême onction.

Croirais-tu une seconde qu'on te veuille du mal ?
Nous n'avons jammais écrasé une mouche* nous autres.


La charrette pourtant conduite de main experte par Mahaud ne pouvait éviter toutes les imperfections de la route et commettait souvent de nombreux écarts.

Adso avait au moins de la chance d'être "matelassé" par la nappe de l'autel qui avait servi à l'enlever aux yeux des fidèles.

Cette étape s'éternisait et l'envie de se défroisser les jambes devenait de plus en plus forte.


____________

*"mouche qui pique":
nom donné aux Partisans Républicains de Luxeuil.
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Adso


Adso sursauta. Il devait d'être assoupi. Mais pendant combien de temps ?

La voix continuait à parler :
- Et puis à qui parles-tu au fait? j'ai cru entendre une autre voix....
C'était donc celle de Fernand. Mais... lui aussi avait entendu une voix ? Se pourrait-il que ce n'était pas le simple fruit de son imagination ? et quelle disait vraie ?

Mais que disait cette voix d'ailleurs ? un truc sur une façon de s'échapper... Zut ! il ne s'en rappelais déjà plus !

Il entendit ensuite Galovert :
Calme toi Adso, on t'offre un petit voyage montagnard.
Tu verras le paysage dans quelques temps...magnifique.
L'air requinquerait un curé intoxiqué par l'encens.


"Un petit voyage montagnard" ? L'amenaient-il dans les montagnes suisses ?

Nom de Non ! Ca suffit maintenant ! Où on va comme çà ! Vous vous rendez compte de ce que vous faites ? Il faut que je retourne dans ma paroisse ! Déjà que je me faisais harceler toutes les nuits par Aristote et Christos parce que les luxoviens n'avaient pas suffisamment la foi, c'est pas comme çà que les choses vont évoluer ! On voit bien que c'est pas vous qui manquez de sommeil ! Est-ce que vous allez stopper cette carriole et me ramener à Luxeuil, à la fin ! Oh ! je vous parle ! Vous m'entendez ? Stoppez cette carriole ! Mais qu'est-ce qui vous prend ? pourquoi vous m'avez enlevé ? Attendez un peu que je vous fasse passer le goût du "spectacle", moi ! Vous n'avez pas honte d'avoir abusé de ma bienveillance ? Et ces pauvres gens dont la cérémonie a été gâchée ? Vous vous rendez compte que (...)

Adso s'était enflammé et ne semblait plus pouvoir s'arrêter.

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Sieurfernand
Fernand referma le bouchon de bois du tonneau pour atténuer les braillement d'Adso, regarda Galovert et haussa les sourcil...
- On arrive bientôt à Lausanne.... on lui dit ou pas?
Dîtes, si on s'arrêtait un peu, tout le monde est fatigué.
On va se dégourdir les jambes, manger un morceau et faire un petit somme.

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Nenuphar
Pour passer le temps sur le chemin, ils avaient bien ri de leur exploit. Chacun revenant sur les détails, de la mobilisation démesurée de défenseurs à Luxeuil face à l'armée d'invasion d'au moins... quatre... républicains, jusqu'au tour de passe-passe de Fernand et Galovert.
Les commentaires imagés et mimés de la tête ébahie des fidèles dans l'église leur firent également passer un bon moment.

Au petit matin, ils étaient fourbus. Ils avaient voyagé toute la nuit.
Impossible de dormir, ni même d'espérer somnoler un peu, tellement les routes étaient cahoteuses. Nénu ignorait si les frissons qui lui parcouraient le dos et étaient dus au froid ou à la fatigue.... peut-être les deux.
Pour couronner les desagréments, le « Saint colis », comme l'appelait Fernand, n'arrêtait pas de ronchonner du fond de son tonneau et malgrè le rideau de velours qui atténuait sa voix, on entendait quand même l'inusable moine rompu à parler des heures dans le vide.
Qu'importe la cathédrale pourvu qu'on ait le sermon.
Nénu ne savait pas trop s'il parlait tout seul ou s'il était en lien direct avec Tristote, ou un autre.
Quand il ne soliloquait pas, il s'agitait dans son espace réduit tant et si bien qu'il produisait un insupportable vacarme avec toute sa quincaillerie cultuelle...
Il ne devait y avoir qu' un seul curé Bling Bling dans tout l'empire et c'est celui la qu'ils avaient choisi d'enlever.

L'aube était enfin là... La prochaine halte aurait lieu en Helvétie.

Ils avaient franchi la frontière au plus vite, ayant appris au cours d'une halte qu'un avis de recherche avait été lancé contre eux en Comté.
Nénuphar regardait défiler les chemins, perdue dans ses pensées...
Voir Fernand parler à travers le tonneau,la fit sortir de sa torpeur.


Tiens, les rôles sont inversés!
T'as trouvé une nouvelle vocation? Tu confesses les curés, maintenant?
Ils doivent sûrement avoir des tas d'histoires à raconter... ça doit être amusant!
Pendant que tu y es, tu pourrais lui demander de méditer en silence?

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Hobb


[Commanderie Teutonique de la Chaux de Fonds]

le Landmeister reçut une missive du Palais Episcopale de Besançon car il faisait partie du Conseil diocésain.
Hobb lut, il pâlit. Le Père Adso enlevé par des hétérodoxes.
Messire Adso était son ami de longue date, ils avaient travaillés longtemps ensemble à Luxeuil. En plus d'être un bon maire, une pointure même, qui faisait prospérer ses villageois en gérant la mairie dans ce but, en toute clarté... .
Aussitôt il se mit à son lutrin pour envoyer quelques missives, il lui fallait en savoir plus.
Même si il se doutait que ceux-ci se rendraient soit à Grandson soit à Genève. Mais il penchait pour la seconde ville.
Après quelques minutes il envoya ses pigeons.


-" Wolfgang !! Bereitet Tapfer .

Le Teutonique demanda à son palefrenier de préparer son destrier.

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Tchantches
[Château de la Noblesse Noire quelque part entre Lausanne et Fribourg]

Tchantchès vaquait à ses occupations de Sénéchal.

Les missives avec des informations importantes.


Citation:
- Les sicaires tentent de pervertir Fribourg.


Oui bon, ça il l'avait vu lui-même, ce pigeon là ne l'intéressait pas.

Citation:
- Robin le fils de Sanctus et Accro est déclaré mort.


Bah, c'était quand même un avorton, probablement une sorte de dégénérescence congénitale.

Citation:
- le curé de Luxeuil a disparu.


Tiens donc qu'est-ce que cela ?
Un curé ne disparaît pas comme ça.

Faudra quez je de mande à Hobb ce qui se passe, je vais tout de même demander à la garde Noire de se mettre en alerte et à mes espions de lever une oreille, on ne sait jamais.


Puis un dernier Pigeon lui frappa la nuque.

Citation:
- Sanctus est de retour.


Tiens. il vient enterrer son engeance celui-là ?

Bah, rien de grave pour le moment, si l'un de ces traitres bouge le petit doigt, j'en serai informé instantanément.


Tchantchès classa ses petits bouts de parchemin dans son secrétaire.

Il avait un tas pour toutes les sortes de nouvelles, même pour le plus idiot des ragots, car chaque nouvelle pouvait avoir une importance qu'elle ne semblait pas avoir.

Il jetta dans l'âtre une nouvelle plutôt drôle.


Citation:
- Atila se fait ridiculiser en taverne.


Pourquoi garder un tel billet, Atila est toujours ridicule de toute façon.
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Adso


Le thème du monologue d'Adso avait glissé de proche en proche. Il en était maintenant à discourir sur les vertus comparées et complémentaires de l'amitié et de la tolérance. Choses tout à fait pertinentes pour qui voulait fléchir ses ravisseurs. Il se préparait par ailleurs à en venir à une attaque beaucoup plus en règle de valeurs plus sensibles, comme la République et la Réforme, dans l'espoir de faire davantage réagir ceux qui pour l'instant ne semblaient pas trop prêter attention à son assaut verbal.

Mais pour l'instant, une nécessité impérieuse de la nature devenait de plus en plus intolérable. Il fit une pause dans son débit.

Dites, çà doit faire des heures qu'on voyage... Vous croyez pas qu'il faudrait s'arrêter un peu ? histoire, heu... d'aller arroser les pâquerettes ? Et puis je commence à avoir soif...

C'est vrai, quoi, ces salaisons et toute cette agitation de langue l'avaient un peu déshydraté...

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Galovert
Dans la forêt de Stammhaus vivait un esprit voyeur qui égayait ses longs instants de solitude par la contemplation des animaux qui copulaient.
La dernière catin qu'il avait chevauchée se parfumait aux hormones distillées d'une chienne galeuse en chaleur.
Le pauvre esprit tant secoué par cette expérience, noyait la nostalgie de ces torrides moments qui avaient provoqué l'extinction de sa gourme par épuisement ... dans des flots d'alcool de cailloux...

Un jour qu'il tentait de se requinquer la margoulette en s'aidant de la vision des ébats de gastéropodes hermaphrodites...
Une limace lubrique lui avait confié l'existence d'une certaine gnôle élevée en fût de chêne dans lequel de grands alchimistes auraient ajouté un curé défroqué dument embaumé, ingrédient indispensable capable de bouter le feu à tout un Comté.

Une lampée d'un tel breuvage aurait la particularité de provoquer la turgescence du plus flegmatique des organes racornis.

Dame limace lui confia qu'un certain chevalier teutonique au nom sonnant comme un hoquet, en gardait le secret caché au milieu d'un tas de reliques poussiéreuses et y aurait fait maintes fois appel.
La proximité de l'ingrédient principal expliquerait sa fanatique vocation.
Même que certains crapauds issus de feuillets fribourgeois et singeant les manières de la noblesse aimeraient bien en faire autant.
Ils en auraient déjà obtenu une pâle copie du côté de Pontarlier.

Il n'en fallu pas plus pour convaincre notre esprit chagriné qu'il lui fallait à tout prix se procurer ce breuvage.
Et qu'il était urgent de commencer sa quête.

Depuis lors, notre esprit n'avait eu de cesse d'attirer en forêt de Stammhaus les charretiers transportant tonneaux et fioles, espérant ainsi tomber un jour sur cette eau merveilleuse qui lui redonnerait enfin forme convenable ...

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Lemagefreng
Freng vit cet étrange équipage. Il faisait sa garde avec son groupe. Ils paraissaient louches.

Etrangers, que faites-vous en territoire lausannois? Déclinez votre identité!
Je suis Freng, maître d'arme de l'armée consulaire lausannoise. Pourriez-vous me montrer ce qui se balade dans vos tonneaux?

Freng espérait n'avoir aucun problème à vérifier le contenu du tonneau. Sa petite-fille lui avait envoyé une lettre disant que le curé avait disparu - lui pensait plutôt qu'il avait dû s'enfuir se rendant compte que prêcher pour un bonhomme invisible n'était une solution - et était emmené par un groupe de gens étranges.

Si ces individus devaient être facheux, il avait encore de charmants soldats qui lui obéissaient.
Galovert
Les courbatures se faisaient de plus en plus vives et Galovert regretta de ne pas avoir voyagé à cheval.

Les charrettes cahotantes ne l'avait jammais inspiré.
Et dire que certains aménageaient cet instrument de torture façon chaumière.

Galovert préférait un bon bivouac et une nuit au grand air enroulé dans une couverture, à s'endormir avec la vision d'un bon feu qui faiblissait, à l'atmosphère poussiéreuse de quatre planches disjointes par les soubresauts de la route.
Mais à chacun ses gouts...et ses douleurs.

Au creux d'un vallon se profilait l'orée d'une forêt qui semblait s'étendre assez loin de la route . L'amorce d'une clairière semblait se perdre en profondeur derrière un rideau de feuillus.

L'endroit paraissait idéal pour faire une pose et surtout pour soulager une vessie qu'il n'osait pas, vue la présence de Dames, vider au grand air debout à l'arrière de cette bétaillère.

Galovert fit signe à Fernand, dans un hochement de tête celui-ci approuva le choix.
Une petite tape sur l'épaule de Mahaud qui d'un coup d'œil jugea le terrain.
Elle ralenti l'allure et bifurqua sur un terrain qui semblait praticable.
Un sol dur jonché ça et là de cailloux rencontrait naturellement les premiers arbres et avait l'avantage de ne conserver que peu de trace de leur passage.

Quand soudain, sorti au détour d'un bosquet, un homme qu'il n'avait pas remarqué se dévoila d'un coup avec force de grands signes.
Mahaud qui n'était pas tombée de la dernière pluie le dépassa et stoppa la charrette à une dizaine de pas en s'apercevant que l'homme était accompagné.

Galovert sauta prestement d'un côté et Fernand de l'autre, épées au clair. Nénuphar se positionna à hauteur du précieux fût et Mahaud saisi l'arbalète que tout bon conducteur dispose à ses côtés avant de s'aventurer sur les routes.

Ces quatre là avait l'habitude des traquenards, c'était comme qui dirait une seconde nature chez eux. Aucune concertation ne fut utile en cet instant..

Au fond de son tonneau Adso que l'arrêt du véhicule avait surement soulagé, dans l'attente de pouvoir enfin profiter de la halte tant promise fini par se taire, ignorant la présence de cet homme qui s'avançait maintenant d'un air amène mais volontaire.

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Lemagefreng
Je vous prierai de répondre à mes questions et de ranger vos armes. Je ne suis pas là pour vous démonter la face mais pour m'assurer que nos concitoyens ne risquent rien. Si vous deviez vous montrer plus agressif, je serai obligé de faire mon devoir en tant que membre de l'ACL.

Freng espérait n'avoir à en arriver à de telles extrémités. Il serait dommage de devoir vérifier le contenu de la charette par la force des armes. Ce serait mauvais pour le contenu. Si c'était du vin, il se déverserait par terre, des épices idem. Freng espérait que ses hommes sauraient se manifester si il fallait user d'une violence qui - Freng l'espérait - pouvait être évitée.

Des individus louches méritaient d'être contrôlés. Il le fallait, il ne pourrait se pardonner de laisser n'importe qui dans la rue. Ces gens étaient armés, cela pouvait être des brigands. Ils avaient l'air habitué à voir sur des routes des gardes donc ils devaient souvent se battre, ce qui ne présageait rien de bon, surtout si ses soldats ne venaient. Il faudrait savoir négocier avec les présumé méchants. Il représentait une armée sur la route. S'il devait y avoir un affrontement, qu'il gagne ou perde, ils seraient perdant. Le maître d'arme espérait que cela serait suffisant pour éviter un affrontement directe et lui permettre de voir le contenu.
Galovert
Territoire Lausannois ?
Vous vous êtes perdus....

A moins que Lausanne ait des vues sur Genève, très cher nous sommes à quelques heures de cette magnifique citée ou nous sommes attendus.

Nous pouvons vous concéder quelques vivres et de quoi vous remonter le moral pour vous et vos hommes, le chemin du retour sur Lausanne que nous avons traversée sans nous arrêter risque d'être long.

Surtout si vous n'aviez pas prévu de déborder ainsi sur votre zone de compétence, il y a bien longtemps que nous avons passé le dernier carrefour dépendant de votre charmante citée.

Mais l'erreur est humaine et on ne va pas se tirer la première pierre entre réformés, n'est ce pas ?



Rengainant son épée, Galovert se saisi d'un jambon, d'un peu de fromage et d'une jarre de vin bouchée.
Quelques miches de pain pour accompagner ne leur fera pas de mal non plus pensa-t-il.
Il pris soin de glisser un litre de cette gnôle de cailloux, cuvée spéciale, tant appréciée par les helvète dont il partageait les gouts.
Donna l'ensemble à Lemagefreng.

Remonté dans la charette avec Fernand, Mahaud dessera les freins et mis les chevaux au trot.

Galovert, camelot patenté de la Compagnie du Léman, ainsi que Fernand d'ailleurs, se retourna et fit un signe d'adieu à la malheureuse patrouille qui s'était égarée


Aller, direction le bois en contre bas, et pause pipi pour tout le monde.
Un petit casse croute ne nous fera pas de mal non plus.
Et Adso doit avoir envie de se dégourdir les jambes.


Et quelques lampées de gnôle nous réveillera surement aussi.
Ne pas sentir un soudard à moins de cinquante pas sous le vent, ou ils se lavent maintenant tous les jours, ou c'est moi qui doit me décaper les tuyauteries...

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