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[RP] Fers & Bouillon - Tour éliminatoire

Fearghass
[Tartan & Tarté - Avant le duel]

La lettre était claire. Une tenue officielle était requise.
Fearghass dépoussiéra son kilt qu'il n'avait plus porté depuis son arrivée en France. Sacrilège la poussière avait osé se poser sur cette étoffe si précieuse pour entamer une conquête. Mais personne ne peut conquérir l'Écosse. Après quelques grands battements de bras, le kilt était comme neuf et fût rapidement enfilé.
Attardons-nous quelques instants sur ce vêtement qui fait la fierté de l'Écossais.
Le kilt, K-I-L-T, que Fearghass portait parce que... ben c'est... Ce sont les fringues tendances de là où il vient, été comme hiver.
Avec ce kilt il portait ce que l'on nomme le "feileadh mor", démerdez-vous pour la prononciation, une étoffe enroulée puis ceinturée autour de la taille. Ce pan de tissus pouvait être rabattu sur l'épaule pour mieux couvrir. Bref un manteau dissimulé dirons-nous, où l’ancêtre du "k way" banane. Ingénieux ces Écossais.
Porter cette "jupe" était et est un véritable honneur en soi, et c'est perçu comme une véritable consécration du statut d'homme. Le summum de la virilité. Aucune femme n'étaient autorisées à porter ce qui ressemblait de près ou de loin à un kilt.
Et bien sûr le tout aux couleurs du tartan Familial, pour le coup vert et noir.
Avec cela la bonne vieille claymore, une large et grande épée qui se manie à deux mains ou...une main et demie, ça dépend, qui avait pour avantage d'offrir parade et attaque, qu'il portait dans le dos au repos.

Bref, c'était fringué comme ça qu'il se trouvait au tournoi de Bouillon. Espérons que la rouquine soit satisfaite de voir qu'il acceptait volontiers de ce plier à cette demande. La cloche retentit signifiant que l'attention des participants était requise et tout le monde fit silence parce que... c'était gentiment demandé. Pour sûre si l'Écossais avait eu quelqu'un avec qui causer il l'aurait fait mais là par le choix d'écouter.


Les Aïegueland?

Il fronça les sourcils et répéta plusieurs fois le mot dans son esprit pour essayer de décrypter la signification. Et comprit quand il entendit son nom, étrangement bien prononcé pour une fois, qu'il devait s'agir de sa chère patrie. Il soupira:

Ha cette femme...

[Tartan & Tarté - Le duel]

Il profita de ce que le premier duel était lancé pour s'essayer au portage d'armure. Une grande première pour lui et se fut compliqué. Très compliqué d'enfiler le tout, et puis il avait l'impression de peser deux tonnes avec toute la panoplie. Ses mouvements nécessitaient plus de force pour être exécutés, certains étaient même devenu impossibles, ce qui avait pour effet une diminution de son temps de réaction. Il laissa volontiers le casque derrière lui, trouvant qu'il était plus dérangeant plus qu'autre chose pour la vision.

Lorsqu'il s'avança sur l'air de duel, il se jura que jamais plus, Jamais, il ne porterait un attirail pareil.
Chaque nation avait son style de combat et sa façon de s'y préparer. le port de l'armure n'était visiblement pas son truc. Mais il avait eu le mérite de tester.
Une fois dans le feu de l'action tout se passa très vite et seul obtenir la victoire comptait. Il lança la première offensive, partant de l'idée que, généralement les premiers coups son décisif et qu'il préférable d'imposer son rythme à l’adversaire. Son épée s'abattit sur l'armure de Verrazzano et n'eut quasiment aucun effet sur lui, la cuirasse semblait avoir absorbé le choc. Foutue armure...
L'adversaire contre-attaqua et entama à son tour la cuirasse de l'Écossais.
Fallait admettre que ces armures avaient l'avantage d'absorber pas mal de choc mais il préférait largement se battre sans.
Au final le combat se joua à peu de chose près, mais Fearghass réussit à remporter la victoire.
Un peu essoufflé, il planta son épée dans le sol et observa la foule afin de savoir comment avait été perçue sa prestation. Et au coup d'oeil ça semblait être pas trop mal. Il salua son adversaire:

Tapadh leibh...*
Tapadh leibh, pour ce combat. Qui sait peut-être que nos lames se recroiseront et auront le plaisir de s'exprimer à nouveau.


Et il quitta les lieux pour aller se débarrasser de sa ferrailles. L'idée de rançonner son adversaire ne lui avait pas vraiment traverser l'esprit. Peut être que dans d'autres lieux, dans d'autres conditions, il aurait pût y penser.
Hors que question de se la taper au prochain tour.



*merci

_________________

~~Je ne déteste pas tout le monde, je n'aime juste personne ~~
Scath_la_grande
« ZzZZzzZZzzzz »
Cap’taine !
« ZzzzzzzzzzRrRZzzZZrrzzhmmZzzzz ? »
Cap’taine !
« RzZZzzzzZzz hmm quoi ? »

Bouche pâteuse, la Musteile les deux mains sur son bidon ouvre un œil puis l’autre, vitreux, la langue claque et se passe rapidement sur sa lippe sèche.
Une main molasse se tend et un verre s’y niche, c’est que le jeune page connait bien les habitudes de son capitaine.


Le tournoi, Cap’taine.
« Ah ? Hmm oui… ? »
On vous attend !
« Ah ? Tu dis vrai… c'est que le repas fut un peu copieux… je me suis assoupie. » Se tâte le panse rondie.
J’aurai juré que c’était l’arrosage qui l’était… vous connaissant.

Hin hin !
Grognement.
Un moue boudeuse farde son museau avant qu’elle ne prélève à son verre le dû mérité, une large lampée, puis se redressant un peu, elle essaye de remettre un semblant de cohérence à sa toison à l’aide de ses deux peignes.


« J’arrive… tu n’aurais point vu mon Gianni ? »

Le jeune page secoue la tête.

« Marde ! Fais le appeler, qu'il me rejoigne incontinent à la tribune. »


[Lice – Après-midi : 1 heure]


Le petit papier sorti pour faire la présentation des bretteurs, Musteile se racle un peu la gorge avant de commencer, la cloche ayant retenti plusieurs fois pour réclamer le silence, elle peut enfin faire l’annonce.

« Votre attention je vous prie, que les duellistes prévus pour le début d’après-midi s’avancent et montrent leurs hardiesses de fiers combattants.

Pour ce groupe II, l’ouverture du bal se fera par un fier étranger, Taywan Lannaster qui affrontera la belle brune Sélène d'Hambers dont la lame est aussi acérée que le bleu de son bel œil.

Tynop, la mysté… hmm ?
–se fait tirer pas un pan de sa vêture avant que quelques mots lui furent glisser à l’oreille- quoi ? Le blond là… ça change rien, il a l’air d’une fille… c’pareil… Tynop ! le jeune blondin ici présent et il me doit deux cailloux –se tourne en aparté vers Gianni- Je lui trouve un air fourbe pas toi ?... croisera le fer avec le Chevalier à la Sauterelle –brouhaha dans le publique qui applaudit à tout rompre et scande le nom de la jeune Bouillonante- j’ai nommé Calico ! –repris en boucle par la liesse populaire.

Après avoir fait retentir plusieurs fois la cloche afin d’obtenir un peu de calme, la rouquine reprend son annonce.

Sileeeeeeeeeeeeence ! A ce rythme, on n’est pas rendu !

La Bourgogne sera dignement représentée par son Duc régnant, Crezus de Montestier, Duc du Charolais, et Baron de Cruzy le Chastel, il rencontrera la non moins terrible Alix du Vivier
–prend une large inspiration avant de débiter- Vicomtesse de Biron, Baronne du Gros orTheil, Dame de Mories, du Mont d'Astarac & de Matécoulon, Maréchale royale et etc…
Du beau spectacle en perspective.


La préférence du public se fait sensiblement ressentir pour le bourguignon dont le Bouillon garde une plus grande l’affection.

Theodule de Cassel, représentant de la Touraine devra faire preuve de force et d’ingéniosité pour mettre en difficulté la perle de Champagne, la nommée Hersent d'Ar Sparfel, Dame de Maizières et de Vignory, vice-chambellan et tout ça…

Le dernier duel avant la relâche opposera le fin Zeckiel Wolback-Carann contre la dangereuse épouse du Pasteur, Marie du Lourdou !

Bretteurs ! Echauffez-vous quelques minutes avant que la sentence du fer se prononce. »


Fallait bien ça pour remplir son gobelet de vin et que les spectateurs aillent chercher des grains de maïs soufflés.
Se tournant vers le Prince de Retz, elle lui souffle.


« Moi, j’vous parie cinquante écus sur la femme du Pasteur. Pour l’avoir affrontée… je peux vous le dire, que sous ses airs de douce épouse, et d’attentive mère, cette femme, c’est une tueuse… Elle va déchiqueter le Zeckiel ! »

Sa lippe s’ourle d’un sourire malsain, la rousse serait-elle ravie de voir le Wolback en mauvaise posture ?
Naaaaan, ça s’rait pas son genre, hein ?
Du tout.

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Calico
[Lice – Après-midi : 1 heure]

C'était presque un début de journée pour le chevalier. Elle s'était levée à l'aube, c'est à dire vers les onze heures du mat', avait retiré quelques cacas des yeux, fait un petit déjeuner, et s'était habillée. Un petit chiffon mouillée fut passé sur ses dents pour ne pas leur faire perdre leur éclat légendaire et enfin elle fut prête.
Sa bâtarde dans son fourreau, la brunette se rendit pour son rendez vous avec Tyty.


Elle fit un petit coucou à la rouge qui annonçait la suite des festivités.

....Tynop ! le jeune blondin ici présent....

Le jeune blondin? C'était pas une blondine à la base? C'était quoi cette embrouille, elle avait changé de sexe entre temps?
Calico fronça les sourcils et chercha du regard le bond qui pourrait être Tynop. Elle se mit en mode périscope et trouva...Ô merde....que le blond en question était le même qu'au bureau de recrutement.
Des grands yeux azuréens se pointèrent sur le décoloré. Ca risquait d'être épique et pic et colégram.

Des acclamations montèrent de la foule en délire quand la rouge prononça le nom de Calico. Yeaaaaaah!!!!
La brunette leva les bras en l'air et tournoya pour se montrer à la foule.
Elle ferait peut être bien de pas faire trop la maligne mais elle ne peut s'en empêcher. Elle regarda le blond et sourit de toutes ses merveilleuses dents immaculées.

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Tynop
[Lice, Après-midi, 13h]

Et le sourire est rendu. Même si,le temps de la présentation , les sourcils se sont haussé, ledit blondin trouve la situation bien amusante . l'Architecte face à la Langue Fourchue. Voilà qui promet bien des réjouissances.

Il ne peut s'empêcher de trouver le sourire qui lui est adressé un brin sadique. Voire carnassier. La recruteuse a l'air de savoir ce qu'elle fait. Ne manquera pas l'occasion de lui prouver qu'elle se bat mieux qu'elle n'érige des bureaux, d'autant plus à domicile. Le public sera donc contre lui pour cet affrontement. Certains y voient une source d'intimidation, d'autres se servent de cette animosité pour gonfler leur moral et leur volonté, dans l'objectif de faire fermer le clapet de la foule, de montrer qu'ils valent mieux que leur chouchou. Lui n'en a strictement rien à faire.

La main fermement agrippée à la rapière, il jette un œil à la bâtarde de son adversaire, qui a d'ores et déjà remporté la bataille de "qui a la plus grosse ?".
Avant de tourner le regard vers Scath la Grande, qui n'est en effet pas si grande que ça, et qui a manqué de foirer son annonce, transformant Tynop en Tynope. Tactique de déstabilisation ? Qu'à cela ne tienne.

Les yeux se rivent à nouveau sur le chevalier à la sauterelle, qui semble à l'aise, se payant même le luxe de saluer la foule. Et dans un éclat de rire sincère, dénué de toute once de moquerie ou de méchanceté, il lui lance:

Chère Sauterelle, je sais qu'on ne peut rançonner quelqu'un de Bouillon. Toutefois, si jamais je parvenais, allez savoir par quel miracle, à vous faire mordre la poussière, j'aimerais obtenir l'une des branches qui constituent votre merveilleux ouvrage.

Et comme ça, il ajoutera une nouvelle pièce à la collection de projectiles potentiels à jeter sur un insolent en taverne.

edit pour vilaines fôtes

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Alix_du_vivier
[Lice Après midi 13h01]

Voila, alea jacta c'était son tour, elle était juste à coté, si si!! Tout près de la Lice quand la rouge l'annonça.
Des titres à rallonge et bien écorché, on lui avait déjà fait celle là....Alix aurait largement suffit, Pfff...

Un regard plein de reproches sur Scath ! Bien on règlera ça plus tard.

Le public avait déjà sa préférence, pour le Duc, soit ! De son regard noir elle scruta l'assemblée, reconnait quelques visages et prends note dans un coin de sa tête, perdent rien pour attendre ceux la!!!!
Elle voyait bien en ce tournois les partis pris, soit!!! On allait tous se mettre ensemble pour leur faire mordre la poussière., à la fin, elle riait doucement imaginant la scène, bagarre générale tiens, pour clore ce grand tournois.

En attendant son adversaire, sa rapière bien de coté, vêtu d'une cuirasse de cuir, elle reporta son attention sur le duel qui allait commencer, quand elle entendit Tynop mettre en jeu un morceau du magnifique ouvrage de Calico.

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Varek
[ Duel Cuche de Fronsac VS Varek Salaun de Kerkreñv - Tour 1 du matin Fin ]

Les présentations d'usage furent courte, au moins pour Varek qui l'avait pas une soixantaine de titres à décliner et un nom de famille à énumérer de bout en bout sans pouvoir reprendre son souffle. De toute façon pour seule présentation, la foule et la tribune officiel eu le droit à un simple "Varek née bâtard" sonnant dans la tête du jeune homme comme un "je suis bâtard et je le reste, dans formes et dans les gestes..." si il avait su que des siècles plus tard cet air ferait carton, il aurait bien pensé à déposer les droits d'ailleurs !
En tout cas, son adversaire était lui un peu plus distingué, un brin plus adroit sur les formules et les gestes de la belle société, un seigneur, il allait combattre un noble... Pour son plus grand plaisir de découvrir qu'ils ne sont pas tous pleutre à se cacher derrière leurs titres pour ne pas assumer un duel contre un simple bâtard.
Présentation faites, le duel pouvait commencer, signe de tête à son adversaire avant de prendre position l'épée au claire tenu fermement de ses deux mains gantées, la lame légèrement en oblique pour pouvoir fouetter l'air si une occasion se présentait.

Le duel fut à peine lancé que le seigneur attaqua (pas le tout puissant mais Cuche hein ?!), une de ses attaques qui font horreur à Varek, surement parce qu'il sait que si lui attaquait de la sorte, son manque de force le mettrait dans une sale situation... Mais aussi car ce genre d'attaque bien que puissante, découvre tout le corps de l'attaquant de sorte.
En temps normal il ce serait décalé pour éviter le coup et porter le coup fatal à son adversaire, mais sa volonté d'en découdre l'avait fait s'avancer vers Cuche, voulant porter le premier coups, mais trop tard...
Sans autre moyen que de parer la lame de son adversaire, le jeune Varek manqua de s'écrouler sous la puissance de l'attaque, ses quelques bases en duel lui permirent de limiter la casse en faisant glisser la lame de son adversaire sur la sienne pour l'écarter, ne manquant pas de le faire transpirer à grande eau.
Attiré par le poids de son arme, le flanc de Cuche se libéra et sans réfléchir d'avantage, c'est dans une sonorité de métal qui frotte que la lame du jeune homme transperça l'armure avant de glisser comme dans du beurre dans la chaire.
Retirant la lame dans une éclaboussure de sang Varek s'écarta pas peu fier de lui !!

Son adversaire pourrait il continuer ? Gagner sur un abandon était hors de question...
Signe de pouce de Cuche pour un arbitre disposé à laisser continuer ! Petit signe de tête de Varek à Cuche pour le remercier de sa remarque, très pertinente d'ailleurs. Bien sur que c'était bien vue, il est trop fort le Varek non mais !

De nouveau en position, et encore une fois c'est au seigneur d'avoir l'avantage sur l'attaque, plus rapide, plus expérimenté surement, contre un Varek qui tarde à porter ses coups lors de ses attaques.
Un échange pris place dans un tintement de lames qui s'entrechoc, les coups fusent et les esprits s'échauffe.
Il veut gagner, il le faut, il veut prouver pleins de chose et pour ça il veut gagner... Quitte a être un peu inconscient parfois.
Oubli d'une base élémentaire, la distance de sécurité... Voulant foncer sur son adversaire Varek se rapprocha sans faire attention à la lame qui pointait vers son visage. Trop tard pour paré... heureux d'un poids léger, Varek arriva à faire un petit bond en arrière pour éviter le pire, ce qui aurait pu lui arracher la moitié du visage se transforma estafilade traversant l’arrête de son nez.
Sentant un petit filé de sang couler, s'imaginant défigurer à jamais, c'est dans une rage folle que Varek contre attaqua en sautant sur son adversaires, l’assénant de coups, le faisant reculer sur la lice. Mais à force d'attaquer et d'avancer, on en viens vite à un corps à corps tellement proche que l'épée n'est plus utile quand... Profitant d'un pas en arrière de son adversaire, Varek lui fit un petit croche pied accompagné d'un jolie coup de boule.
L'effet souhaité fut obtenu avec sucé !
Mais Varek dans sa précipitation avait oublier que lui, ne portait pas de casque ! Et donc, alors que son adversaire se retrouvait dans le sable à ses pieds, lui se retrouva debout et étourdit avec une violente douleur au front !

En tout cas son adversaire était tombé... et lui avait gagné !! Seul ce détaille lui importait.
De plus après un rapide passage de ses doigts sur son nez, et se rendant compte de l'état plus que bénin de la blessure, c'est de bonne foi qu'il proposa sa main à son adversaire pour l'aider à se redresser. Sans pour autant masquer la fierté irradiant son visage, un brin impertinent.


- Bien combattu papi ! En référence au "gamin" lâché par Cuche plus tôt.

Premier tour passé, Varek pouvait aller se changer en attendant la suite en observant les autres combats.

[Entre deux tours, vers les coups de midi]

Les derniers combats prenaient fin, et Varek s'occupait du mien qu'il pouvait, mangeant et buvant à grand soif après le stresse du premier combat et du premier sang.
Un bout de cochon dans la main, une choppe pleine de cidre dans l'autre pour faire passer, c'est comme ça qu'on viens trouver Varek avec un plis.


Monsieur Varek ? Un pli de ma maîtresse pour vous et ceci.
Petit grognement pour la forme, fallait pas que ça devienne une habitude de venir le déranger, surtout que maintenant qu'il avait gagner son premier duel, c'est avec crainte qu'il s'attendait à voir arriver de jeunes femmes sans la moindre parcelle de cervelle, attirées par l’hémoglobine et la sueur prêtes à tout pour satisfaire un combattant... arriver et le harceler. Diantre qu'il aimait pas ce genre de femme, ni les hommes dans le même genre d'ailleurs.
C'était d'ailleurs un homme qui l'accosta pour lui tendre un papier cacheté et... un étoffe que Varek reconnu, une écharpe en soie... L'écharpe de dame Agnès !!
Ses yeux s'ouvrirent en grand et après avoir passé ses mains à l'eau, attrapa le tout.
L'homme reparti aussi tôt laissant Varek à sa lecture.

Un mot de Scath-machin-la-rousse, ses yeux passait des mots griffonnés à l'écharpe tout en retenant sa surprise. Jamais il n'avait reçus cadeau d'une telle dame, ni d'une telle valeur, de la soie... c'est pas donnée !
Tout en s'enroulant l'écharpe autour du coup, se promettant de ne point la quitter même pour combattre il continu la lecture.
QUOI ? QUOIIIIII ? Dépourvu de finesse lui ? Manquant de constance ? Nan mais...
Ah non, en fait c'était un compliment et les yeux se radoucir, quand on parle de fouge et de hargne... Pour quelqu'un qui avait parlé une fois au jeune homme, elle avait vite compris son tempérament !
Pour la forme, Varek grogna dans sa barbe naissante, non sans une once de fierté quand même.
Puis hésitant... Il décida de griffonner une réponse à l'attention de la Scath.



Citation:


A vous Scath au nom que je n'arrive pas à retenir,
De moi Varek Bâtard de mon état,


Veuillez s'il vous plait, passer à sa Grâce parmi les Grâces, mes remerciements les plus sincères et ce n'est pas tous les jours que j'en fais je vous l'assure. Par ce geste elle démontre une grande bonté d'âme qui me réchauffe de voir chez une personne de sa stature. Et de la sorte, fait de moi son obligé en cas de besoin ( Enfin faudra pas abuser non plus ).

Je tenais aussi à vous remercier vous, Scath et votre nom et titre, pour vos encouragements, et je continuerais mon apprentissage par la pratique du fait de n'avoir jamais eu de véritable entrainement.
D'ailleurs, je nie pleinement que je sois hargneux, vous vous fourvoyez j'en suis sur ! Je suis d'une nature calme et pausé, que même les anges m'envient !

D'ailleurs on a pas élevez les cochons ensemble, donc...

Je VOUS salut bien.
Votre obligé,

Varek.



Hargneux lui... Honteux !

Cacheté et la lettre expédiée, Varek pouvait revenir à son cochon et aux combats.

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Etienne_lahire
[Entre deux manches, qu'est-ce qu'il y a ? Des torses ou des des mains ?]

La première manche s'est donc achevée en beauté.

- Rholalaaa, qu'est-ce qu'elle lui a mis !

Souris est encore sous le coup de l'admiration. C'est que la Corbelette n'a fait qu'une bouchée de son adversaire du matin. Même pas, d'ailleurs. Le pauvre, elle l'a à peine mâché.

- Je ne te le fais pas dire. Je ne sais pas qui aura le plaisir d'être son futur mari mais ce que je sais, c'est qu'il aura intérêt à bien se tenir ! sourit Etienne.

De fait, il a presque eu de la peine pour le Pasteur à terre. Le gars n'en a pas placé une. Bah, c'est la vie.

Entre deux manches, l'homme et le gamin apprenti écuyer se baladent entre les tentes et les étals. Même le Champ Prévôt a été envahi par les tables, les toiles, les tréteaux. Le Grand Marché domine un peu la scène. Il a été installé de longue date sur un à-plat juché entre le champ de quintaine et les murs du Castel. A plat tout relatif, s'entend, on peut tout de même s'y laisser rouler et vers le bas, il y a même un beau talus qu'un ivrogne vient de dévaler.


- Cul d'sus tête ! s'exclame Souris. Les mômes s'amusent d'un rien, surtout quand c'est celui des autres.

Même du bas du Marché, la vue porte sans peine au dessus des remparts. Elle glisse sur les remous colorés des tentes et des fanions qui occupent l'espace dévolu aux lices et au tournoi. Les cris des marchands se mêlent aux hennissements des chevaux, aux clameurs des passants. Les trouvères y beuglent leurs copieuses rengaines, et les filles du Tape-Cul qui sont montées ici pour y chasser cliquailles et godelureaux. La vie du bourg bat son plein. Cela grouille et crie. Qui achète et qui vend, qui passe, qui boite, qui rampe, qui boit, qui sait, tout grouille ici et vit. Un acrobate fait des bonds, une femme grimée, à la peau chargée de fard blanc, fait onduler ses hanches, c'est l'heure d'aimer pour trois sous, de boire au même prix, pour ceux qui jouent de parier.

Près des lices justement, les mises vont bon train. Etienne est revenu s'installer aux barrières, Souris ne l'a guère lâché d'une semelle.

- Alors, pour ceux que je connais, précise le Nivernais pour que le môme ne soit pas trop perdu, on a ici le blond, c'est Tynop. Il fricote avec des brigands.
- Ha oui ?


Souris en bave presque. Les contrebandiers il connait, à la Gueuse le patron, Pablo, le Grand Guillerm, Etienne parfois, en sont. Mais les brigands, ça c'est du vrai féroce !

- Oui ! D'ailleurs, il a même roulé un patin à (chuchote un nom) qui s'est mariée avec (un autre nom) il y a quelque mois.
- C'pour elle qu'tétais monté à Paris, c'est ça ?
- Exact !
confirme Etienne. Même qu'elle me doit un pari ! Que j'ai gagné contre elle. Ca lui prendra une nuit.
- Une nuit ?
commente Souris, encore un peu jeune pour comprendre.
- Oui. Mais il faut que je la retrouve. Je ne sais où elle traîne ces temps-ci. Mais peu importe, Tynop affronte donc Calico, chevalier de Bouillon (grosse admiration de Souris) qui, elle, à ma connaissance n'a roulé de patins à personne.
- Ha ?
- Non. Tu vas vite comprendre pourquoi.


Souris veut bien le croire mais il ne voit là aucune évidence, la Calico n'est pas si moche keu même. Les grands sont bien bizarres...

- Sinon on a aussi un gars que je ne connais pas contre Selène d'Ambers, que je connais peu mais qui boit beaucoup.

Je te rassure lecteur, les deux faits (avérés) ne sont pas corrélés.

- Et les autres je ne les connais pas, sauf dame Hersent, de réputation seulement.
- Elle est célèbre ?
- Un peu fiston ! C'est un grand Capitaine d'armées, réputée pour poutrer les renforts alliés juste quand on en a besoin. Elle a fait ça près de Dijon, ça nous a fait bien rire. Et les Teutoniques (ta mère) d'en face aussi.
- Ha ? Mais poutrer des alliés, c'est bizarre non ?
- Oui, mais c'est une fille.


L'explication est plausible évidemment. Souris, confiant en la sagesse d'Etienne, s'en contente sans peine.

- On va voir qui ? s'enquiert le gamin, pragmatique.
- Je propose : Tynop le blond puis ces dames Selene et Hersent, puisque je ne connais que ceux là. Et je les donne gagnants !
- Ouaaaais !


Souris est d'accord. Les paris gagnants c''est de la balle, les blonds c'est sympa et les filles c'est rigolo.
Ça va être un après-midi du tonnerre !

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Etienne LaHire, dit Herode
Calico
[Lice - Après-midi, 1h]

Transcendée par la foule, galvanisée par cette liesse collective...[voix off] bon ben ça va....Calico les remerciait par sa seule présence et oui!!!
Le regard du blondin se fit plus perçant et elle soutint celui-ci. Il était pas né celui qui lui tiendra tête, ce n'était pas pour rien que le Roy en avait fait son chevalier.

Encore une fois, elle recueillit un rire. Décidément il avait l'air euphorique d'être là ou est-ce la brunette qui lui déclenchait des crises de fou rire?
Calico en était à se poser des questions sur sa bouille. Avait elle une tranche de pain du petit déjeuner collé sur la gueule ou une trace de miel?
Toujours est-il qu'elle le regardait rire sans piper mot.


Chère Sauterelle, je sais qu'on ne peut rançonner quelqu'un de Bouillon. Toutefois, si jamais je parvenais, allez savoir par quel miracle, à vous faire mordre la poussière, j'aimerais obtenir l'une des branches qui constituent votre merveilleux ouvrage.

Rançonner quelqu'un de Bouillon, elle était bien bonne celle là. De plus si elle lui faisait voir l'épaisseur de sa bourse, pour sûr qu'il se marrerait encore d'avantage mais elle ne lui en donnerait pas l'occasion.
Suite à la question, la Sauterelle se gratta le menton dans une posture hautement méditative.


Laissez moi réfléchir....Une branche de mon oeuvre...humm....ça demande une longue réflexion.

Elle haussa son regard vers les cieux comme si la réponse y était au détour d'un nuage.

Etant donné que c'est un ouvrage éphémère, je dirais oui mais à la fin du tournoi seulement. Vous aurez droit à une branche en partant comme pour vous rappeler à tout jamais que "vous y étiez". Je suis magnanime, je vous laisserais même la choisir et la prendre.

Elle sourit en coin. Avec de la chance, la structure se casserait la gueule et dévalerait sur lui. Il se prendrait son "allégorie à la nature" de plein fouet. Après tout, avec ses moqueries il l'avait bien mérité.

La brunette n'allait pas en rester là.

Vous partez du principe que vous gagnerez mais si je gagne, j'ai droit à quoi mouaaaa?

Elle posa une main sur une hanche en se dandinant, attendant son dû en cas de victoire. Blondin n'avait surement même pas envisager le cas de figure tant il semblait sûr de gagner.
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Tynop
Tandis que la sauterelle se gratte le menton, lui fait de même avec sa blonde tignasse, sourcil haussé devant tant de réflexion pour une question si simple. Ils sont tous long à la détente, en Bouillon ? Lorsque la réponse parvient enfin à ses oreilles, il ne peut que s'exclamer:

Je vous remercie de votre grandeur d'âme et de votre générosité qui n'est désormais plus à prouver ! Qu'il soit su qu'en Bouillon, l'on ne vous prend pas pour un con.

Enfin... Si, un peu, quand même ? Que se passerait-il si jamais il venait à terrasser la sauterelle avec facilité? Il n'en sait rien. Pas de quoi lui foutre la frousse, l'idée de devenir l'homme à abattre l'amuse au plus haut point. Interrompu dans sa réflexion présomptueuse, alors qu'il est loin d'être convaincu de pouvoir triompher d'elle, il esquisse un sourire en entendant la question de Calico.

Une pinte. Une bonne grosse pinte à boire cul-sec. Ça vous va ? Et je ne pars d'aucun principe, après tout...

Désignant d'un geste théâtral la public qui les entoure.

N'êtes-vous pas la Favorite de ces gens ?

Qu'elle n'inverse pas les rôles. C'est sur elle que repose la pression. C'est elle qui se doit de représenter son duché. Lui n'a rien à prouver. Ici, personne ne le connaît. À part peut-être ce blond qui se balade avec un gosse, là. Qui sait ce qu'il peut bien raconter ?
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Roxannemontfortlaval
[ A quelques mètres de la lice ...]

Son princier cousin l'avait prévenu. Ils ne participeraient pas aux éliminatoires, qualifiés étaient-ils pour le tour suivant. Aussi la blonde chevalier et non moins baronne qui portait toujours le deuil de son feu suzerain s'en était elle levée aux aurores ce jour afin de ne rien perdre de cette journée qui s'annonçait des plus intéressantes.

Elle s'était discrètement faufilé hors des appartements mis à sa disposition chez la noble rousse qui les accueillait, et avait commencé par une visite des lieux. Balade culturelle qui ne lui déplaisait pas forcément, aimant à découvrir les endroits où elle se trouve.

Pour finir par se rapprocher de la lice. Vêtue comme elle l'était, pour qui ne la connaissait point, nul doute que peu était en mesure de se douter qu'ils avaient affaire à une potentielle future adversaire de lice. Pour l'heur, arborrhant une simple tunique blanche, ses longs cheveux tressés de chaque côté de son fin visage, elle s'était juchée, après avoir fait une halte sur le stand de l'un des artisans, lui achetant quelques spécialités culinaires bien du coin, sur un tonneau qui faisait office de siège à son noble séant.
Et mastiquant allègrement, apaisant ainsi l'estomac qui réclamait pitance, la blonde regardait d'un oeil averti les combats qui se déroulaient. Si elle semblait de premier abord totalement en zen attitude, il n'en restait pas moins que la jeune femme n'en perdait pas une miette et la femme d'arme qu'elle est se faisait déjà quelques avis et prenait note de ce qu'elle pouvait remarquer chez certains des bretteurs.

L'air de ne pas y toucher, la blonde s'imprégnait de l'ambiance de ces joutes et se préparait mentalement pour ce qui suivrait. Anonyme dans la foule, elle pouvait à loisir observer sans attirer quelconque attention sur sa personne.
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En Mémoire de son Suzerain, Riwan Nathan de Broceliande.
Hadelize
      [Promenade digestive avant duel]

Hadelize avait du avaler ce que Berthe jugeait bon pour elle. C’est qu’elle craignait la gouvernante pour sa jeune maîtresse, encore plus que quand l’Altesse qu’elle jugeait assez cavalière et plus très jeune, passait la nuit dans la propriété.
Le ventre plein, juste un verre de vin de cahors pour arroser la bouillie épaisse, la future « brétteuse » décide d’aller voir les premièrs éliminatoires.

Tenue légère, braies et simple corsage épaule couverte d’un châle plus chaud, elle arrive sur le champ où le premier sang a coulé.
L’Anglois avait du déjà affronter son adversaire. Curieuse comme à son habitude, elle se renseigne sur l’issue du duel et ne sait si elle doit se réjouir ou être déçue de son élimination.

La princesse qui combat, Hadelize est heureuse qu’Etienne ne soit pas dans les parages, il aurait été capable de la pousser au milieu du combat pour éviter à Jusoor d’être touchée.
Tout fini bien et notre blonde se dirige vers le prochain combat annoncé à grand coup d’ovation, celui de Calico, jeune femme qu’elle apprécie assez.

Un gamin au milieu de ces joutes, regard surpris qui se lève sur la silhouette de l’adulte qui l’accompagne

Etienne ! Vous ici ? Ho non !

Image d'un tirage au sort qui les ferait s’affronter vite chassée, reprise sur soi, (elle se lance dans la politique faut qu’elle apprenne à faire semblant), sourire engageant.

Vous rendez-vous compte Etienne, mon cher ami, ex futur époux, combien nous avons de passions communes ?
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Scath_la_grande
[Lice – après-midi : groupe II]


Résumé du duel a écrit:
__________Taywan Lannaster VS Sélène d'Hambers

La belle & le croulant

La foule est quelque peu amorphe, certainement encore dans sa phase digestive, lorsque les deux épéistes font leur apparition. Quelques applaudissements mollassons et un « Sélène je t’aime » huché dans le populaire, couronnent l’entrée en matière.
Faut dire que la brune est vive de son geste, et d’une précision redoutable –ou bien le vieux un peu trop bancal- l’affaire est vite soldée, ni pique, ni réplique pour le vénérable Taywan qui sans ménagement se fait mettre à terre, la lame froide de Sélène appuyant sur la gorge.
La brune d’Hambers a désormais tout loisir de réclamer rançon pour Taywan Lannaster.

Victoire éclaire de Sélène d’Hambers


Même pas le temps de reprendre une place confortable que le duel s’achève.
Foutredieu !


« Sélène tu n’as aucune clémence pour moi, tu aurais pu attendre un peu que je m’installe.
Ma fé. Tu as brillé. Tu as soumis. Taywan Lannaster est tien comme le veut la tradition de Bouillon.
Souhaites-tu le rançonner ? »



Résumé du duel a écrit:
__________Tynop VS Calico

Sauterelle en court-Bouillon & blondin en sursis

La foule s’amasse, impatiente, afin de voir un de leurs champions bretter à domicile, la tension s’intensifie lorsque que pénètrent en lice les adversaires.
Grêle salut, et c’est parti mon kiki, la brunette agile prend l’initiative de la première frappe, et cogne sévère, le coup est amorti par la protection du jeune blond qui s’en tire avec une petite frayeur.
Mais ? Que se passe-t-il ? Calico se trouve à terre, et le public vocifère des menaces envers le jeune Tynop. La sauterelle d’un prompt réflexe se relève ne laissant pas loisir au jeune blondin de la tenir à contrainte
Mais que fait l’arbitre !?!

Tynop gagne mais il semblerait que le juge s’apense à quelques fraudes dans cette victoire.


La Musteile comme diable en boîte saute de son siège, doigt accusateur pointé sur la silhouette du blond, à plein poumon, elle huche pour couvrir le bruit qui l’entoure.

« Je proteste ! Il a triché ! –la foule reprend en ritournelle « Tynop à mort » à moins d’être espagnol, il y a peu de chance que la remarque soit gentillette- Ce n’était pas une attaque régulière ! Je proteste ! »

La Saint-Just tente d’assouagir sa vassale par un geste de la main et à son esgourde lui glisse une ou deux paroles. De ce bref échange l’on entendra qu’un « […] mais votre Altesse en plus il est blond ! ».
Mal’engroin, le museau se tourne face aux bretteurs et d’une voix qui sent le vinaigre, la rousse rend sa décision.

« Car telles sont les règles à Bouillon, celui qui réussit à mettre à terre son adversaire est déclaré vainqueur. Tynop… soyez félicité… mais pas trop… »

La mâchoire se crispe et d’un geste de la main, elle chasse les duellistes qui sous une vague de hués à l’encontre du non-bouillonnant laissent leur place aux prochains.

« D’toute manière, je trouverai bien une excuse pour l’foutre au gniouf… »

Et avec un peu de chance, il se fera lynché avant.
Oh yeah !



Résumé du duel a écrit:
__________Crezus de Montestier VS Alix du Vivier

La maréchale ferrant le Crezus

Les premiers coups sont comme un tour de chauffe pour nos deux grands, l’officiel royal tâte le terrain bourguignon on assenant une frappe que le Duc esquive avec fluidité, lui rendant une réplique tant molle qu’Alix ne bat pas d’un cil.
Tôt fait la mascarade n’a plus cours et le ferraillage sérieux s’entame par la frappe d’Alix, qui touche sans dommage la protection du Charolais, réveillant les instincts guerriers de ce dernier, imposant une riposte cinglante qui touche la maréchale et la navre légèrement*. Le bourguignon derechef pique son adversaire qui a tout juste le temps de diligenter une belle retraite, sa blessure lui affectant un peu l’élégance de son geste –boitiller et bretter n’est point chose aisée- elle rate son assaut, frappe du vide, Crezus ne bouge mie, se croyant hors d’atteinte.
Mal lui en a pris, rebuffade de la Vivier, qui a son tour, le touche et le blesse**, de quoi déstabiliser le bretteur bourguignon, qui a son tour vainement attaque, ne trouvant que du vent pour contenter sa lame.
Dans la foule des « ooooh » et « aaaah » ponctuent les mouvements, l’on avait prédit du beau spectacle, l’on ne vous avait pas menti.
La fatigue se fait légèrement ressentir, pourtant puissant dans ses ressources, Alix assène un coup puissant qui vient heurter la cuirasse bourguignonne, y en a un qui va avoir des frais de forgeron à la fin du duel. Bien que fortement secoué –nous l’avons dit, le bourguignon à la base c’est du coriace- le Duc ne manque point de répondant, prouesse technique ou épuisement de l’adversaire, les deux ont certainement joué car il réussit à mettre la maréchale à terre sans pour autant la soumettre totalement, n’obtenant point la jouissance de rançonner.

Victoire incontestable (ou du moins incontestée) de Crezus de Montestier


*à choix : jambe, pied, jarret, genou (-1 semaine)
**à choix : coude, main, avant-bras (-1 semaine/malus de -1 pour le prochain duel)


Ah ben voilà, là il y avait de la technique, du bel art, du fer qui se froisse avec classe.
La rousse applaudit brièvement, satisfaite.


« Les règles étant ce qu’elles sont, adversaire à terre, duel gagné. Vôtre grâce… la félicitation à vous. »

Suiiiiiiivant !

Résumé du duel a écrit:
__________Théodule de Cassel VS Hersent d'Ar Sparfel

T.o.C. & tocs

La Champagne et ses petites bulles.
Théodule et ses… bref.
Les positions sont prises rapidement, offensive pour la champenoise qui tente un assaut direct, mal calculé le coup vient frapper mollement la cuirasse de son adversaire, qui presque timide, ne riposte pas. Un deuxième essai pour Hersent qui cherche certainement à savoir de quel métal est fait le Cassel, qui esquive joliment et amorce une charge, un brin faiblarde, qui ne heurte que la cuirasse sans dommage.
A croire qu’ils se font des politesses, ce qui ne dure guère du côté de la Maizières qui reprend vite son habitude à ferrailler, et se départant de son élégance en lice, cogne dru, causant une navrure légère*, reprend sa position pour souffler un peu et repique, lui assénant un puissant coup qui par la bonne chance ne dommage que la protection du Cassel qui en aura pour ses frais à réhabiliter sa cuirasse.
Mais que fait le tourangeau ! Aucune riposte, rien, Théodule doit être subjugué par les beautés orientales que dégage l'Ar Sparfel.
Apparemment les sentiments ne sont point partagés, pique et repique de la champenoise, qui va bien finir par l’embrocher, vu le manque d’entrain de son adversaire, non finalement il réussit une prompte retraite et ne subit qu’une estafilade sans conséquence** serait-ce enfin le réveil du Cassel qui tente même derechef de frapper la belle… en vain, dans le vide et ce sans qu’Hersent n’ait à battre d’un cil.
Bâillement du juge qui arrête le combat, certainement lassée par le manque de combativité du concurrent mâle.

Victoire de Hersent d’Ar Sparfel


*à choix : visage, gorge, tête
**comme qu’il veut, ça ne prête aucune conséquence au jeu
Franchement… un tirage assez pourri pour Théodule, désolée.


« Cassel ne vous laissez pas avoir par le charme vénéneux de ces dames, elles vont vous bouffer tout cru. J’annonce que par quatre touches dont une semi-pleine contre une touche faiblarde, Donà Hersent d’Ar Sparfel gagne ce duel. »


Résumé du duel a écrit:
__________Zeckiel Wolback-Carann VS Marie du Lourdou

Wolback pasteurisé

Entre en lice le dernier duo-duel de ce groupe, le beau Wolback cause quelques émotions dans un groupe de garcelettes au visage poupin qui lui baillent de grands signes et des œillades énamourées couvrant de leurs cris d’hystériques les encouragements pour Marie.
A l’œil, on donnerait le gaélique gagnant, son imposante carcasse est gage de force mais apparemment les préférences du Juge vont pour la challenger femme du pasteur.
Ici point de politesse, Marie attaque de front imposant ainsi son rythme afin d’assurer sa victoire par une surprenante attaque et assène un coup puissant qui laisse béant le géantin Zeckiel et le blesse assez conséquemment*.
Le Wolback tente gauchement d’apporter réponse par le fer, le coup porté plus tôt doit altérer quelque peu sa justesse, il frappe, effleurant à peine la protection de la Lourdou, et tente derechef une autre percée de ses défenses que Marie pare avec quelques difficultés.
Mais la Lourdou reprend vite du poil de la bête et ayant porté âprement le fer sur l’animal gaélique, elle réussit à lui faire mordre la poussière. Le Carann à terre se relève avec célérité ne laissant point la menace de Marie le garder en son joug.

Victoire indiscutable de Marie du Lourdou


*à choix : visage, gorge, tête (+1 semaine)


Se penchant à sa dextre, elle chuchote à son interlocuteur.

« J’vous l’avais bien dit… une tu-eu-se. »

Puis d’une voix forte.

« Adversaire à terre, duel gagné. La Réforme est en forme. Sourire en coin. Marie du Lourdou est déclarée vainqueur de ce dernier combat avant la relâche.

Buvez et mangez à satiété nous nous retrouverons à la quatre heure après le midi… ‘tain j’ai la dalle, je me ferai bien une oubli. »




hrp : je précise que le bout de rp et les résolutions de combat sur Calico et Tynop avaient été écrit hier. J'ai eu comme l'impression que Jd Tynop avait lu par dessus mon épaule uh uh uh uh
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Tynop
[Lice, 13h, au summum de la popularité]

Il fait face à la sauterelle, sourire toujours accroché aux lèvres. Avec l'air typique du type qui s'apprête à exécuter une fourberie. Comme si un panneau "je vais faire un coup foireux" était accroché sur sa trogne. Les règles ? Il ne les connait même pas. En observant les combats de la matinée, il a compris que le but était de mettre son adversaire à terre, ou un truc du genre. Tous les coups semblent donc permis. Tant mieux. Et puis si c'est pas le cas, et qu'on le disqualifie, il s'offusquera, hurlera au favoritisme, à la partialité de l'arbitre, dénoncera un tournoi truqué. Il adore jouer les victimes, le blondin.

La vache, y'a du monde. Ils sont venu dans l'espoir de le voir se prendre une rouste. Lorsque ses yeux se perdent dans la foule, il distingue toujours la même chose, un regard chargé d'animosité. Ils lui sont hostile ? Le vagabond va leur donner une bonne raison de l'être. Remarquant avec étonnement que le lacet de sa chausse est défait, le blondinet s'empresse de poser genou au sol pour corriger soigneusement cette erreur, sous les "Bouge-toi le cul, bordel !" et les "Va prendre ta rouste, on n'a pas que ça à faire !" . Saisissant au passage une poignée du sable de la lice, le voilà qui se relève finalement et laisse un mince filet dudit sable s'écouler de sa main. Le geste n'a pas vraiment d'intérêt particulier, mais il trouve que ça a une certaine classe, et en plus, ça fait s'impatienter le public. De l'autre main, la poigne se resserre fermement sur la rapière.

Un sourire niais est adressé au chevalier/ à la sauterelle/ à la recruteuse/ à l'Architecte. Une révérence bien exagérée plus tard, les choses sérieuses peuvent commencer. Quelques moulinets par-ci par-là, pour impressionner l'adversaire. Certes, sa rapière n'a pas la taille de la bâtarde de son adversaire, certes, il aura du mal à décapiter quelqu'un avec, mais c'est plus maniable, plus léger, et ça perce avec une certaine perfidie. Comme lui, quoi.

Et la danse s'entame. Pour pouvoir toucher la sauterelle, il va devoir au préalable se mettre à portée de la bâtarde. C''est donc de cette manière que sa prise de position un peu trop culottée se voit sanctionnée d'un coup d'épée bien violent sur le plastron. Elle a de la poigne, la bougresse. Son souffle est coupé l'espace d'un instant, avant qu'il ne se ressaisisse. Là. Il s'est pris un coup, mais au moins, il est à portée. Ses prunelles se rivent sur celles de Calico, son visage à quelques centimètres du sien. Il pourrait presque lui rouler une pelle, mais c'est une autre tactique de déstabilisation qu'il a choisi d'adopter.
Attirer son attention. Qu'elle le fixe. l'interpeller.


Calico ? Une sauterelle, ça se démerde comment, avec du sable dans les yeux ?

Et, joignant le geste à la parole, le blondinet lui offre ce qu'il lui reste de sa poignée de sable, visant avec une once de sadisme et sans culpabilité aucune les mirettes de la sauterelle. Profitant de l'aveuglement que cela engendre pour se faufiler dans son dos, et lui assénant un coup de pommeau à l'arrière du crâne, tout en veillant à laisser trainer sa jambe non loin des pieds du chevalier. Cette dernière trébuche, forcément, et se retrouve au sol. Déjà, les insultes fusent. C'est la bronca. Calico se relève, mais tous deux savent que le duel s'est terminé au moment où elle est tombée. Secouant la tête, une moue exagérée animant sa trogne, il lâche, d'un ton déçu:

Ça ne retombe pas sur ses pattes, visiblement.

Se mordant la lèvre, inférieure, jubilant intérieurement, il incline légèrement la tête en guise d'adieu (ou d'au revoir ?), et lui lance un dernier:

Sans rancune.

Avant de partir sans demander son reste. Quoique... Voilà que la Scath semble remettre en cause sa victoire pourtant écrasante. Il esquisse donc quelques pas en sa direction, range sa rapière et joint ses mains dans son dos, attendant la fin des palabres. Préparant déjà sa tête de victime, ainsi que quelques complaintes, tandis que le public lui apprend que sa mère est une catin, qu'il n'est qu'un lâche, qu'il va crever, que la couardise, c'est pas bien...

Le verdict est rendu. Le voilà même félicité. Adressant un sourire rayonnant à la Rousse qui semble fulminer, il extirpe de sa poche une paire de cailloux ramassée le matin même. Offrir à quelqu'un de Bouillon un bout de son duché. Voilà une autre de ses plaisanteries qu'il semble affectionner.


Je vous les offrirai plus tard. J'ai bien peur que ma popularité nouvelle ne m'empêche de traverser la foule en délire pour vous les remettre en main propre. Si je vous les jette, vous risquez de mal le prendre.

Nouvelle révérence, et le voilà qui quitte la lice. Par la petite porte. Prenant quand même soin au passage de saluer la foule qui semble l'avoir adopté.
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Alix_du_vivier
[Lice 13h15] Crezus de Montestier VS Alix du Vivier

A force de s'échauffer, la brune avait l'impression d'avoir déjà effectué son combat, elle avait beau scruter l'horizon, point d'adversaire en vue.
Le Duc de Bourgogne avait surement retrouvé la raison, et en personne intelligente qu'il était probablement, s'était dit qu'il ne servait à rien de lutter contre la Maréchal.
Il n'était pas glorieux pour elle de gagner ce duel par forfait, mais voila l'évidence était bien la.
Aussi elle retourna son attention sur celui de la sauterelle et du blondin.
Quand elle vit comment il agissait avec fourberie mais Ô combien efficace, elle en fût estomaqué.

Était-ce ça un duel de bretteur entre gens ayant une valeur. Tsss un regard vers la rouge qui pour le coup était réellement cramoisi de rage.

Elle fustigeait avec son regard de tueuse, mais force est de constater, qu'il avait bien bel et bien gagné et s'en repartirai avec un morceau de l’allégorie de Calico.
Cette dernière les mirettes ensablées, avait peine a se relever.
Mains sur les hanches elle s'approcha d'elle et lui chuchota.


Hann....Honte à lui, traitre, fourbe, lâche, il ne mérite même pas sa victoire.


Et de lui tendre la main pour qu'elle se relève, dans un état d'esprit mode pas contente, pour sa coupine.

En attendant son adversaire, elle retourna se poser sur le bord de la lice à regarder le prochain duel.

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Calico
[Avant le combat]

Blondin lui proposa un verre à boire si elle gagnait. Un verre contre un bout de bois, le calcul était vite fait, ET COMMENT qu'elle acceptait.
La brunette n'allait pas cracher dans un verre, enfin si elle avait déjà craché dans un verre mais jamais le sien.

Ce Tynop avait quelque chose de mystérieux et malsain. Calico en avait déjà croisé du monde depuis le temps qu'elle sillonnait les routes de France et elle avait rarement vu de personne aussi horripilante que le blond.
Il y avait son sourire narquois, qui ne le quittait pas et qui donnait l'impression qu'il se foutait constamment de votre gueule. Bien évidemment c'était plus qu'une impression.


Pour la pinte c'est d'accord, je ne suis pas exigeante.

D'un autre côté, qu'est ce qu'elle aurait bien pu demander à un homme qui puait le vagabond? Sa besace vide ou ses chausses qui devaient sentir le fennec? Non....Une pinte c'était bien.

Quand il lui balança qu'elle était la favorite, ce fut la Sauterelle qui le regarda avec un sourire railleur.


Et bien que voulez vous, ils sentent d'instinct qui à le plus de chance de remporter la mène. Je n'y peux rien, ils ont choisi.

Pauvre brunette, elle ne savait pas encore que d'ici quelques minutes, elle allait manger du sable au sens propre comme au figuré. Elle n'aurait sans doute pas du pavoiser, mais devant un tel accueil comment ne pas se sentir transporter par cette ferveur.

A tout à l'heure, je serais la femme qui vous attendra devant le comptoir pour mon dû.

[La lice]

C'est ici que les choses allaient se corser et où la Sauterelle allait prendre une honte mirifique mais elle ne savait pas ce qui l'attendait et continuer de jouer au petit coq.
Son regard soutint celui du blond. Ces prunelles azures ne lâchant pas sa proie. C'est qu'elle en avait combattu, du brun, du poilu, du blond, du roux, du chauve. Bien souvent elle avait gagné mais ses défaites étaient cuisantes et lui avaient ramené de belles estafilades qu'elle portait aussi fièrement que des médailles. Ce blondin, elle était sûre, elle allait en faire une bouchée car il semblait trop sûr de lui et qu'il la sous estimerait mais aussi car elle voulait lui péter quelques dents, histoire de...

Sa bâtarde fut défouraillée tandis qu'elle le zieutait avec sa rapière.


Et bien et bien, dites moi, c'est de l'épée ça!!!!

Inutile de dire que le ton employé fut ironique. Calico trouvait que les rapière, étaient des épées d'apparat et qu'une bâtarde était une épée de combat.
Tandis qu'il faisait ses lacets, Calico souffla. Il nous faisait quoi le blondin?
Les spectateurs dans les gradins, lui montraient leur hostilité. Ce ne devait pas être facile de combattre dans ses conditions mais les champs de bataille étaient bien pire comme lieu de rixe.


On n'a pas toute la journée? Y'en a d'autres après nous.

Elle regarda Scath et Agnès, en remontant ses bras et les abaissant sur ses flancs, pour leur montrer son attente désespérée. Puis enfin Blondin fut prêt.

En avant. La première partie commençait, c'est à dire la partie intimidation, "je te regarde, tu me regardes, j'ai pas peur, tu as pas peur".
Les jambes de la Sauterelle rentrèrent en action. Son point fort était la rapidité. Frêle et menue, ses adversaires la dénigraient bien souvent mais cela faisait aussi de la panoplie qu'elle aimait endosser.

Blondin se manqua, la brunette riposta et PAF un coup dans la cuirasse. Calico lui sourit. Ce n'était en rien un sourire courtois mais plutôt un sourire carnassier.

Leur épée se trouvèrent et leur fer se croisa, si bien qu'ils se retrouvèrent presque visage contre visage. Elle pouvait sentir sa respiration et son souffle sur sa bouille. Il allait lui coller un smack ou quoi? Son visage se décolla au maximum de celui du Blondin, alors qu'elle étirait son cou mais la tactique de déstabilisation avait fonctionné puis qu'elle s'était fait avoir comme une bleue quand il lui balança du sable dans la gueule.

Entre la surprise et la douleur d'avoir du sable dans les noeil noeil, Calico porta ses mains au visage. Elle papillonnait des yeux, essayant désespérément de faire dégager des grains de sable qui lui brûlaient les mirettes. A peine le temps, de réussir à ré-ouvrir les yeux que déjà elle sentit un coup sur l'arrière de sa tête.
Elle tomba comme une fiente dans l'arène. Blondin avait gagné!
Il n'avait pas gagné de manière réglo mais il y avait tout de même gagné.
Calico s'était faite avoir. Jamais elle n'avait pensé qu'ici, lors du tournoi, on pourrait se comporter de la sorte. Elle avait imaginer les duellistes avec un peu plus de courtoisie mais la faim justifie les moyens et peut importait le style après tout, il avait gagné.
Par conséquent, elle avait perdu!!!!

Elle eut du mal à se relever immédiatement. Ce n'était pas tant la douleur physique qui la retenait au sol mais plutôt le coup porté à son égo.
Comme il n'était pas question qu'elle dorme dans la lice, elle devait de toute façon se relever. Alix lui tendit la main qu'elle saisit.

Merci Alix.

Les spectateurs huaient Tynop mais c'était elle qui n'avait pas passé les éliminatoires. Honte à elle d'avoir fait passer les Bouillons pour des bras cassés. Calico l'avait mauvaise et regardait Tynop comme si elle aurait pu lui foutre le feu à distance.
Il paradait déjà d'avoir battu la sauterelle.


Hann....Honte à lui, traitre, fourbe, lâche, il ne mérite même pas sa victoire.

La brunette parlait entre ses dents, le visage des mauvais jours à l'attention d'Alix mais son regard ne quittait pas le Blondin.

Je vais lui foutre sa branche dans le fion bien profond.

Il jubilait. Sa joie éclaboussait toute la lice tant il exultait d'avoir mis à terre un Chevalier Bouillon.

Sans rancune.

Sans rancune? Mais il ne connaissait surement pas la Sauterelle. Un jour ou l'autre, demain ou après, elle l'aurait. D'une façon ou d'une autre, elle se vengerait de cet affront plein de malhonnêteté.

Calico ne lui répondit même pas, car pour sûr, c'était un chapelet de grossièreté auquel il aurait eu droit. Mais elle ne pu se retenir et lâcha un petit...

Fot-en-cul*

Ensuite, alors que Tynop s'en allait, Calico leva les yeux vers Scath. Dans son regard, en morse, il était écrit:

BIP - JE - BIP- VEUX - BIP - QU'IL- BIP - CREVE

Bien évidemment, même si elle ne voulait pas vraiment sa mort, elle souhaitait qu'il ait bien mal. La brunette devait voir Scath dans les plus brefs délais pour lui parler.
Il n'allait pas s'en tirer comme ça, OOOh non!!!!



* Mot grossier du moyen âge= Sodomite

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